– Quoi ? Tu l’as invité à la soirée, lâche-je d’un brusquement.
– Je n’ai pas le droit d’inviter un pote de ma classe à une soirée, c’est ça ? réplique Maude sur un ton piquant. A moins qu’en fait, je n’ai tout simplement pas le droit d’avoir mes propres amis ?
Merde alors, elle fait chier avec son Luc. Ce mec devient trop envahissant. Il l’appelle même à la maison pour « discuter ». Seulement quand je cherche à savoir de quoi elle discute avec lui, elle commence à s’énerver. Depuis qu’elle a soi-disant sympathisé avec ce Luc il y a deux semaines, ce n’est plus pareil entre nous deux. Elle se fait plus distante. Ce mec a réussi à éloigner ma demi-sœur de moi. Je hais ce type. J’aimerais tant lui casser sa petite gueule de prétentieux friqué.
– Non ce n’est pas ça, reprends-je. C’est une soirée prévue entre élève de terminal à la base.
– Et alors ? Moi aussi je suis en seconde et pourtant je suis quand même invitée. Et puis je suis sûr qu’il s’intégrera facilement dans le groupe.
– Toi c’est différent, t’es ma copine.
– Arrêtes tes conneries Nico, je sais très bien pourquoi tu ne veux pas qu’il vienne. Tu es jaloux. Tu t’imagines que je pourrais en pincer pour ce gars. T’es lourd à force. Je te le dis une dernière fois, ce n’est qu’un ami.
– Je ne suis pas jaloux, affirme-je d’un ton pas vraiment convainquant.
Elle ne se donne pas la peine de répliquer et sort de ma chambre en claquant la porte. Merde, on dirait que je n’aurais pas le droit à une fellation ce soir. Mais quelle idée elle a eu d’invité ce con à la soirée de Mélanie de demain? On n’avait pas besoin de ça. Et après je passe pour le méchant, je n’ai juste pas envie de voir sa tête de con venir me gâcher la soirée.
Merde, je déteste quand Maude me fait la gueule comme ça. Si je ne fais rien pour me faire pardonner, on va en avoir pour des jours et la soirée de demain sera quand même gâchée. C’est chiant à la longue, c’est toujours moi qui doit faire le premier pas sur la voie de la réconciliation.
Je me lève, sors de ma chambre et frappe à la porte de Maude.
– Vas-t-en ! fait-elle en colère.
– Écoute sœurette, je suis sincèrement désolé. Tu veux bien m’ouvrir pour qu’on discute un peu ?
– …
Pas de réponse. Il va falloir me montrer plus persuasif que ça.
– J’ai réfléchi et je pense que je peux convaincre Mélanie d’autoriser Luc à venir à sa soirée.
Berk, rien qu’à prononcer le nom de ce type me donne des nausées. Mais ça semble fonctionner car la porte de la chambre s’ouvre. Ma demi-sœur m’invite à entrer d’un geste de main et je m’installe sur son lit.
– Tu as appelé Mélanie ? demande Maude.
– Non pas encore.
– Fais-le maintenant, m’ordonne-t-elle.
Merde, elle ne lâchera pas l’affaire tant qu’elle ne sera pas complètement satisfaite. Je n’ai pas vraiment le choix et compose le numéro de Mélanie à contre cœur tandis que ma sœur s’assoit à côté de moi. Pendant que la sonnerie retentit, je ne peux pas m’empêcher d’admirer les magnifiques jambes de ma sœur qui dépassent de sous sa petite robe. Maude est vraiment bandante. Je n’ai vraiment pas envie de la perdre. Je suis donc près à satisfaire ses désirs pour la garder.
Soudain quelqu’un décroche au bout du fil.
– Allo Mélanie ? ….Ah non, c’est toi Sophie, tu peux aller me chercher ta sœur ?
Pendant que j’attends que Sophie aille chercher sa grande sœur, je remarque que Maude me regarde avec un sourire coquin. Elle pose une main sur mon entrejambe et commence à frotter. L’effet est immédiat et je bande aussitôt. Elle ne tarde pas à défaire mon pantalon et à sortir ma bite. On dirait que j’aurais finalement quand même le droit à ma fellation. Elle me gobe le gland et commence un léchage des plus divins. Hum, j’adore quand elle prend des initiatives comme cela. Tandis qu’elle aspire ma hampe, une voix provenant du téléphone me ramène à la réalité.
– Allo, fait la voix. Mélanie arrive d’une minute à l’autre.
– Ok Sophie…J’attends…oh !
Maude a accéléré le rythme sur ma queue. Elle me pompe avec fugacité et vivacité. Elle est devenue vraiment très douée. Elle me fait beaucoup de bien. C’est vraiment merveilleux.
– Allo, Nico c’est toi ?
– Euh oui, réponds-je d’une voix haletante. C’est à propos de la soirée de demain, je…
Oh ! Maude essaye de rentrer ma bite le plus possible au fond de ma gorge. Elle semble vouloir dépasser ses limites. Quel spectacle magnifique et jouissif. Sa langue continue de s’agiter le long de ma bite et ses mains me massent les couilles.
– Oui ? reprend Mélanie face à mon silence.
Ah oui, j’ai oublié de finir ma phrase.
– Et bien, je sais bien que c’est une soirée entre terminals à la base, commence-je en essayant d’adopter un ton le plus naturel possible, mais je me demandais si tu accepterais qu’un élève de seconde vienne.
– Laisse-moi deviner. Il s’agit de Luc ?
– Oui c’est ça.
Mélanie est perspicace ! Elle a tout de suite compris la situation dans laquelle je me trouvais. Elle a deviné que Maude ne me laissait pas vraiment le choix. En même temps, ce n’est pas vraiment étonnant que Mélanie est si bien tout compris. C’est deux dernières semaines, Mélanie est devenue une sorte de confidente. Je dois avouer que ça m’a fait du bien de pouvoir parler librement avec quelqu’un qui me comprenait.
– Tu es sûr de toi ? m’interroge-t-elle. Tu as une voix un peu bizarre.
– Oui.
– Dans ce cas oui, ça ne me dérange pas qu’il vienne. Je sais que j’ai dit soirée entre terminals mais c’est plutôt ouvert comme soirée en fait.
– Ok, je te remercie, c’est sympa.
– Ouais, c’est ça, bon courage et à demain soir.
– Oui, merci à demain.
Je raccroche le téléphone, le balance à l’autre bout du lit et m’allonge pour profiter pleinement de la fellation que me prodigue Maude. Je me laisse envahir par les sensations qui me font tourner la tête. Sa langue s’agite encore sur ma tige, elle me pompe divinement, me suçote, m’aspire et me lèche. Dieu que j’adore ça ! Elle s’est vraiment s’y faire.
Je suis déjà au bord de la jouissance, elle la sens arriver et redouble de vigueur pour me faire venir. C’est dans une joie indescriptible que j’explose et me libère dans sa bouche tandis que nous entendons nos parents rentrer à la maison. Elle finit de me nettoyer et nous descendons voir nos parents.
***
La soirée de Mélanie est enfin arrivée. Elle a commencé depuis maintenant deux bonnes heures et je suis déjà un peu éméché par l’alcool qui y coule à flot. Je reviens de la cuisine où je me suis récupérer une nouvelle bière et observe un peu la salle. Mélanie et avec Luc et plusieurs garçons de terminal dont Marc le copain de Mélanie. Luc semble bien faire rire l’assemblée. Maude avait raison en disant qu’il s’intégrerait facilement au groupe. Je ne peux pas m’empêcher d’avoir une boule à l’estomac en voyant la lueur qui anime le regard de ma demi-sœur. Est-ce que ce type lui fait de l’effet ? Je fixe Maude des yeux. Ça me ferait vraiment mal de la perdre. Elle est si douce, si belle et si aimante. Que ferais-je sans elle ? Je serais vraiment perdu je crois.
Mélanie arrive à mes côtés et, à mon expression, n’a pas de mal à deviner la nature maussade de mes pensées. Elle me passe une main dans le dos pour me consoler.
– Non mais regarde comment il lui matte les nibards !
Quoi ? C’est vrai, Mélanie a raison, ce fumier a les yeux rivés sur les seins de ma sœur. Une fureur a****le se réveille en moi. Je bous intérieurement. C’est ma sœur que tu mattes comme ça connard, c’est ma copine ! J’ai envie d’exploser, d’envoyer tout balancer en l’air et surtout de lui défoncer la gueule. Mais je ne peux pas me résoudre à cette dernière éventualité où je m’exposerais fatalement au courroux de ma sœur. N’empêche, ce n’est pas pour cela que la rancœur me quitte. J’observe la scène d’un œil noir. Il continue à jeter l’œil dans son décolleté et elle semble ne se rendre compte de rien, ou alors elle fait semblant de ne rien voir. Elle semble aussi bien éméchée.
Quoi qu’il en soit, la soirée continue à suivre son cours et ma haine de ce type ne me quitte pas un instant. J’enchaine les verres pour me changer les idées mais rien n’y fait.
Pendant que ma sœur est partie aux toilettes, je m’approche derrière Luc pour écouter ce qu’il peut bien raconter à Marc et aux autres.
– Et là la meuf je la prends par derrière et lui défonce le cul. J’te jure, véridique ! J’imagine la gueule de son copain s’il avait su.
Cette fois c’est la goutte qui fait déborder le vase. J’agrippe le mec par le col, l’extirpe du groupe et lui envoie mon poing au visage. Luc se retrouve comme une merde par terre. Marc et un autre type me saute dessus pour me retenir.
– Non mais ça va pas Nico ? me demande Marc. Qu’est-ce qui te prend ?
– Laisse, il est bourré c’est tout, fait l’autre type.
Maude vient de refaire une apparition dans la pièce et semble avoir assisté à toute la scène. Elle se précipite au près de Luc et me lance un regard noir.
– Mais il est complètement cinglé ton mec, geint-il. Qu’est ce qu’il lui prend ?
Maude le prend par la main et l’emmène à l’écart tout en me lançant un dernier regard de reproche.
Marc et de l’autre type me lâche et je me tire dans le jardin pour échapper aux regards désapprobateurs que je me jette l’assemblée.
Quelques minutes plus tard, Mélanie fait son apparition et s’assoit à mes côtés.
– J’ai déconné, lui lance-je désespéré.
– Je sais, fait-elle d’un ton désolé.
– Et Maude ?
– Elle est en colère bien évidemment. Elle est partie raccompagner Luc chez lui. Il n’habite pas loin apparemment.
C’est le coup de poignard qui vient m’achever. La soirée n’aurait pas pu être plus pourrie.
– Et bien il a gagné la partie me semble-t-il. 1-0 pour Luc, dis-je dégouté. Cette fois j’ai tout gâché.
Mélanie me prend dans les bras pour me consoler. Je me sens atrocement vide. J’ai mal ! Je souffre, c’est affreux. Comment ai-je pu en arrivé là ? Comment ai-je pu à ce point merder ? Cette fois, je crois bien que cette histoire est terminée, mon rêve est terminée, ou plutôt il vire au cauchemar. J’ai envie de pleurer mais les larmes refusent de couler.
Les bras de Mélanie m’apportent quand même un certain réconfort. Alors c’est sans réfléchir que je me tourne vers son visage et l’embrasse. Elle se laisse faire et bientôt nos langues s’entremêlent.
Je ne suis pas sûr que ce que je sois en train de faire soit une bonne idée, mais comme je ne peux pas m’empêcher de m’imaginer ma sœur se faire prendre par Luc, je ne trouve rien de plus intelligent à faire pour me sentir mieux.
Mélanie me prend par la main, m’entraine discrètement à l’étage, me fait rentrer dans sa chambre et me jette sur son lit. Elle s’installe à califourchon sur moi et m’embrasse langoureusement. Mes mains s’agrippent sur son fessier parfaitement moulé dans sa minijupe de cuir noir et je commence à la caresser. Elle enlève son haut, défet son soutien-gorge de dentelle noir, me prend les mains et les installe sur ses deux magnifiques seins. Je les palpe et agace ses tétons tandis qu’elle ondule du bassin pour se frotter à mon entrejambe. Elle sourit et gémit de bonheur. Elle m’enlève à mon tour ma chemise, me caresse et m’embrasse le torse. Elle m’enlève mon pantalon, puis mon boxeur et libère mon sexe tendu. C’est à son tour de finir de se déshabiller, elle retire ses longues bottes de cuir et fait descendre sa minijupe d’une façon sensuelle et excitante tout en me fixant avec un regard aguicheur. Elle ne porte rien sous sa minijupe et elle se retrouve donc maintenant complètement nue. Elle ne tarde pas à venir s’installer de nouveau à califourchon sur moi et à s’empaler sur ma bite. Sa chatte, qui coulisse maintenant sur moi, est vraiment bouillante et très humide.
– Oh oui, lance-t-elle en me caressant le torse. C’est bon. Depuis le temps que j’attendais de faire ça.
Tandis qu’elle coulisse le long de ma bite, moi, je ne fais rien. Je me contente de la regarder se faire du bien avec ma queue. J’observe presqu’absent ses seins se balancer au rythme de ses mouvements. Je le voie se passer la main dans ses longs cheveux bruns, se mordre la lèvre et gémir de plaisir. Je me laisse envahir sans résister aux sensations. Peut-être arriverais-je à oublier deux secondes Maude et cette image où elle est à genoux, le sexe de Luc en bouche.
Soudain Mélanie se retire et s’installe à quatre pattes à côté de moi.
– Viens, me fait-elle, j’ai envie de te sentir dans mon cul.
Je me lève alors obéissant et m’installe derrière elle. Je n’ai jamais fait cela alors je frotte un gland hésitant sur sa rondelle.
– N’ais pas peur, m’encourage-t-elle. J’ai l’habitude. Tu peux y aller comme ça.
Cette fois ça y est, en un coup de bassin mon gland pénètre dans le fondement de Mélanie. Oh, c’est vraiment très serré. C’est une sensation bien différente que dans un sexe. J’ai du mal à croire ce que je suis en train de faire. Il y a à peine quelques semaines, je n’envisageais absolument pas une seconde de coucher avec Mélanie et là j’avais ma bite dans son magnifique derrière.
– Vas-y, défonce-moi le cul. Fais-toi plaisir et laisse-toi aller.
J’agrippe les hanches de Mélanie et donne quelques coups de reins qui me permettent de m’enfoncer toujours plus loin dans son cul.
– Oh oui c’est trop bon. N’hésite pas à y aller plus fort.
Je lui obéis et accélère la cadence de mes coups de butoir. Je l’encule maintenant bien à fond et je mets tout le cœur à l’ouvrage. La salope gémit de bonheur. Comme elle me l’a demandé, je me laisse de plus en plus aller et ma tête se vide peu à peu des derniers événements. Tandis que je continue de la sodomiser, je finis même par ne plus penser à Maude. D’ailleurs, je ne pense plus à rien. Je me contente de besogner ce cul offert de façon automatique tout en me laissant bercer par les sensations que l’exercice me procure. Mélanie apprécie vraiment de sentir ma bite coulisser dans son cul. Elle halète, retient ses hurlements et finis par reculer son bassin pour que ma bite lui rentre aussi profondément que possible.
– Oh putain, j’adore ! J’aime que tu me défonces comme ça, lance-t-elle. Je vais bientôt jouir.
C’est dans un rythme effréné que nous oscillons tous les deux en rythme. Je sens que moi aussi je ne suis pas loin de jouir. Je puise en moi mes toutes dernières forces pour terminer cette tâche et moins d’une minute plus tard je suis pris de spasmes violents et je me sens exploser à l’intérieur de Mélanie.
– Oh oui ! Inonde-moi le cul.
Le souffle coupé, je m’effondre sur elle. Elle se retrouve donc allongée à plat ventre sur le lit avec moi couché sur elle, la bite qui débande lentement dans son cul.
Pris par une envie de tendresse, je dépose un léger baiser sur sa joue et lui caresse ses cheveux d’ébènes. Soudain, un cri de stupeur attire mon attention vers la porte de la chambre. Je découvre avec horreur Maude le visage dégoutée et les larmes aux yeux. Je me relève d’un bon, me précipite vers elle et avant que j’ai le temps de tenter pitoyablement de me justifier elle se sauve en courant et en larmes.
Pris de désespoir, je me tourne alors vers Mélanie en quête d
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