Je m’appelle Moussa. Je suis Sénégalais, j’ai 45 ans, je suis arrivé en France il y a 25 ans. Un ami m’a
demandé d’écrire pour son blog quelques-unes de mes nombreuses aventures sexuelles. Je dois dire qu’en 25 ans il y en a eu beaucoup. J’ai vite découvert l’attraction que pouvait éprouver les femmes blanches pour un beau
mâle noir. En deux décennies, j’en ai baisé de tous les types: jeunes et matures, blondes, brunes, châtains et
mêmes rousses, bcbg ou écolo, grandes et petites, rondes et minces. Etant naturellement vicieux et sans tabou,
j’ai expérimenté avec délice au cours des années à peu près tous les domaines de la dépravation. J’ai pris un
plaisir énorme à pervertir un maximum de jeunes filles blanches innocentes, dont un bon nombre de vierges, pour
en faire des bonnes salopes soumises au moindre désir des hommes noirs. J’ai également adoré baiser des bonnes
mères de famille, de bonnes épouses, dans le lit conjugal ou sur le bureau de leur cher mari pendant qu’il
était au travail pour nourrir sa famille. J’ai connu les partouzes, les gangbangs, les tournantes, les
abattages, les bukkake. J’ai baisé un peu partout: dans les toilettes de bars et de boites de nuit, sur des
parkings, dans des caves, sur des chantiers ou en foyer sonacotra.
Je ne pourrai sans doute jamais raconter toutes mes aventures, mais mon ami m’a convaincu de raconter les plus
mémorables, et je vais essayer de vous les faire partager.
Contrairement à l’habitude, je commencerai par la fin, et je vais vous raconter ma dernière aventure, qui est
d’ailleurs toujours en cours. Elle signifie beaucoup pour moi, comme vous le découvrirez à la fin de ce (ou
plutôt des ces) récit(s).
Tout à commencé au mois de Mars de l’an dernier. Je venais d’arriver dans une nouvelle boite un mois
auparavant. Je travaille dans le batiment (ce qui offre qq avantages, par exemple un accès privilégié aux
chantiers de construction pour y amener de jeunes demoiselles). Le matin, mon responsable d’équipe m’informe
que mon patron voulait me voir. Je me dirige donc vers son bureau, en me demandant ce qu’il me veut. Sa
secrétaire me dit qu’il est en réunion et me fait attendre dans le hall. Au bout de dix minutes, la porte de
son bureau s’ouvre et je vois sortir une jeune brunette, dans les 20-25 ans, les cheveux mi-longs,
grande, mince mais avec de belles formes, et surtout une superbe poitrine bien généreuse mais pointant bien
vers le haut, le temps n’ayant pas encore fait son oeuvre de destruction. Elle était habillée avec une petite
robe courte qui permettait de voir ses longues jambes fuselées, gainées de bas noirs. Elle était bien
maquillée, avec un rouge à lèvres rouge vif qui faisait ressortir ses belles lèvres pulpeuses et charnues. En
passant devant moi, la miss me regarda furtivement, et mon expérience m’assura que je ne lui était pas
indifférent. J’étais vraiment dégouté de ne pas pouvoir l’aborder, car la secrétaire me demanda d’entrer dans
le bureau. Je me demandais bien qui était cette fille et si j’aurais l’occasion de la revoir. Je me disais
qu’elle était peut être venue pour une interview pour le job de secrétaire, car celle-ci devait partir en congé
maternité (et pour une fois je n’y étais pour rien). Vu son physique, il y avait de bonnes chances qu’elle soit
embauchée. C’est encore le patron qui allait en profiter. A sa place, je la baiserai sur mon bureau tous les
matins au moment où elle m’apporte mon café, en lui têtant ses gros nichons. Tant pis me suis-je dis, c’est pas
les blanches qui manquent.
Mon patron me fit asseoir et me demanda rapidement comment se passait mon nouveau travail. Puis il me dit qu’il
m’avait convoqué car il avait des travaux à faire chez lui et qu’il voulait que j’y passe dans l’après-midi.
Pas grand chose, juste un peu de plomberie. Je devais repasser prendre mes outils sur le chantier et me rendre
chez lui en début d’après midi.
A 13h, j’arrive chez mon patron et je sonne à la porte principale. Une grande barraque d’au moins 400m2, avec
un jardin énorme. Je me dit que le salaud se sucre bien sur notre dos. Tant mieux pour lui.
Comme personne ne vient m’ouvrir, je resonne une nouvelle fois. Et là, au bout de 30 secondes, j’entends des
pas sur le carrelage. La porte s’ouvre et je tombe nez à nez avec la fille de ce matin, dans sa petite robe.
-« Bonjour, vous êtes Moussa ? Mon père m’a dit ce matin que vous passeriez pour les travaux. C’est au premier,
suivez-moi, dans la salle de bain de la suite parentale. Je ne vous avais pas entendu sonner, et notre bonne
est partie faire des courses. Entrez-donc. »
Cette petite bombasse était donc la fille de mon nouveau patron ! Le choc. Dommage pour lui, il ne pourra pas
la baiser chaque matin sur son bureau en lui pelottant ses gros seins laiteux… Moi, en revanche, je reprenais
espoir !
Elle me mena au 1er étage, dans une grande salle de bain tout en marbre, avec douche à jets et même un jacuzzi.
Par une porte entrouverte je pouvais apercevoir la chambre de mon patron et de sa femme, avec un grand lit
KingSize. C’est bien d’être patron.
-« Il y a une fuite d’eau au niveau du jacuzzi. Je vous laisse travailler, je vais dans ma chambre, un peu plus
loin dans le couloir. Appellez moi si vous avez besoin de quelque chose. »
– « Bien mademoiselle, je vous remercie. »
– « Vous pouvez m’appeller Cécilia. Mademoiselle, cela fait trop vieux jeu, je n’ai que 21 ans. »
Elle sortit, et je me mis au travail immédiatement. Une petite fuite d’eau, ça allait être vite fait. Un
après-midi tranquille au frais du patron. Une fois la fuite réparée, je profitais d’être seul pour visiter un
peu la salle de bain et jeter un coup d’oeil dans la chambre. Le boss avait pas fait les choses à moitié, tout
était superbe. Tout à coup, j’entendis un bruit derrière moi. La fille du patron était dans l’encadrement de la
porte de la salle de bain. J’étais un peu gèné d’être surpris en train de fureter. Elle avait quitté sa petite
robe et était vêtue d’un peignoir de bain.
-« Je vois que vous avez fini. Je vais pouvoir tester si le jacuzzi fonctionne bien. Je ne peux jamais
l’utiliser quand mes parents sont là, ce sera l’occasion d’en profiter. »
Elle entra et se dirigea vers le jacuzzi que je venais de réparer. Elle ouvrit les robinets et commença à le
remplir.
-« Vous aimez la maison ? » me dit-elle avec un petit sourire ironique.
-« Oui, elle est très belle mademoiselle. »
-« Cécilia, cécilia, pas de mademoiselle. »
-« Oui, désolé madem…, euh je veux dire Cécilia »
-« C’est mieux comme ça. Toi c’est Moussa ? »
-« Oui. »
-« Tu es de quelle origine Moussa ? »
-« Je suis sénégalais »
-« Oh, le premier black que j’ai connu était sénégalais. Depuis, je ne baise plus qu’avec des hommes noirs. J’ai
connu aussi quelques maliens, camerounais, ivoiriens et des nigérians. On est jamais déçue avec les africains.
Certaines de mes copines préfèrent les antillais, mais moi je préfère l’Afrique noire, même si je déguste
parfois de bons boudins créoles. Ah, le jacuzzi est prêt. Tiens, prends mon peignoir Moussa. »
Elle enleva son peignoir et me le tendit. Elle était entièrement nue devant moi, son énorme poitrine à quelques
centimètres de mon visage. Elle monta les quelques marches du jacuzzi, puis entra délicatement dans le bain
bien chaud. De la vapeur s’élevait du bassin. L’atmosphère devenait chaude et moite.
Elle était à présent plongée intégralement dans l’eau. Je pouvais voir son corps de déesse en transparence, sa
grosse poitrine effleurant la surface, son sexe intégralement épilé.
-« Mets en route le jacuzzi Moussa, je veux plein de bulles. »
Je réglais le curseur au maximum et une nuée de bulles envahirent le bassin, me masquant la vision de son jeune
corps ferme.
-« Qu’est ce que tu attends pour me rejoindre ? Je n’aime pas me baigner seule. C’est un jacuzzi pour 2
personnes, il faut le tester à 2. Enlève moi vite ce bleu de travail. »
Je ne me fit pas prier et en 5 secondes je me retrouvais en caleçon à côté du jacuzzi. Une grosse bosse
pointait sous mon boxer. Cette petite salope commençait à sacrément m’exciter.
-« Tu ne vas pas te baigner comme ça. Enlève ton caleçon. Voilà, c’est mieux. Aller, rentres vite dans l’eau
pour me tenir compagnie. »
Je me mis en face d’elle dans le jacuzzi, les jambes bien écartées pour lui offrir la vision de mon gros sexe
noir. Je bandais déjà comme un âne et mon sexe remontait allègrement sur mon ventre, au delà de mon nombril.
Mes 2 grosses couilles pendaient sous ma queue, ballotées par les bulles remontant à la surface.
Cécilia commença à ma masser la queue entre ses 2 pieds.
– « Hummm, tu es sacrément bien monté Moussa. J’ai connu beaucoup de grosses bites africaines, mais la tienne
est vraiment hors norme. Et tu es tellement bien bati. J’adore les grands mecs très musclés, et plus vieux que
moi. Tu mesures combien ? Tu es vraiment gigantesque. Pas étonnant que ta queue soit aussi énorme. »
– « Je mesure 2m02, 100kg sur la balance, et pas du gras comme tu peux voir. »
– « Oh oui, je vois ça. J’adore. »
Cécilia se fit toute chatte et se coula lentement à côté de moi. Elle se mit à me caresser le torse, les
épaules, les bras. Elle semblait apprécier ma musculature abondante. Elle glissa une de ses main le long de mon
ventre, pour tâter mes abdominaux, peut être plus aussi saillants que durant ma jeunesse, mais tout de même
bien dessinés. Sa respiration commençait à se faire plus haletante. La petite cochonne devait commencer à
mouiller. Sa main finit par atteindre le bas de mon ventre, et elle empoignat délicatement ma queue. Elle
commenca à me branler. A ce moment, j’attirai son visage vers le mien pour l’embrasser vigoureusement. Nos
langues s’entremélèrent dans nos bouches. Elle embrassait vraiment bien. Tout en continuant de m’embrasser à
pleine bouche, elle se tourna et commenca à me chevaucher. Elle dirigea rapidement ma queue vers l’entrée de
son vagin, et s’empala d’un coup sec sur ma bite, en lachant un petit cri de plaisir au passage. Elle commenca
à aller et venir sur ma tige, à son rythme, adaptant la cadence pour moduler son plaisir. Elle m’offrait sa
poitrine généreuse à téter, et je ne m’en privais pas. Je lui léchais gouluement les seins, lui suçait les
tétons, en les mordillant doucement de temps en temps. La jeune salope ne tarda pas à avoir un premier orgasme.
Je sentis sa moule se contracter sur ma grosse tige. Elle en profita pour changer de position, mais tout en
laissant toujours mon sexe au fond de son vagin. Elle me tourna le dos et recommenca sa chevauchée fantastique.
Elle était encore bien serrée. Je sentais bien les parois de sa chatte le long de ma queue. Elle s’empalait
bien à fond, mon sexe venant buter à l’entrée de son utérus. Elle gémissait de plus en plus.
Je commençais alors à l’insulter un peu.
– « Tu l’aimes ma grosse queue hein petite salope ? Tu es une bonne chienne blanche comme j’aime. »
– « Oh oui Moussa, elle est bonne ta grosse queue noire, elle me fait du bien. Je suis ta petite chienne
blanche. »
– » MONSIEUR Moussa, compris connasse ? »
– « Oui, pardon Monsieur Moussa. »
– « C’est mieux comme ça. Allez, active toi bien sale pute. »
Elle accéléra la cadence et atteignit rapidement un deuxième orgasme, encore plus violent que le précédent. Sa
chatte se contracta violemment, m’étraignant la queue dans la gaine de son vagin. Elle se laissa tomber en
arrière sur ma poitrine, nos 2 sexes toujours enlacés. Elle me baisa avidemment sur la bouche. Je pris chacun
de ses gros seins naturels dans mes grandes mains pour les caresser. Puis je la souleva, et la mit en levrette
au bord du jacuzzi.
– « Ta chatte a eu sa dose ma salope. Passons un peu à ton anus pour voir si tu jouis autant du cul. Tu veux que
je t’encule sale chienne blanche ? »
– « Oui Monsieur Moussa, je vous en supplie, pilonnez moi mon cul de blanche. »
– « Voilà ce que j’aime entendre ma putain. »
J’ouvris légèrement son trou du cul avec un doigt, puis deux, puis trois. Il était bien elastique. Cette
chienne devait avoir l’habitude de se faire sodomiser. Je mis mon gland à l’entrée de sa rosette, puis
j’entrais d’un coup sec, lui arrachant un cri mélé de plaisir et de douleur. Je commencais à la limer de plus
en plus fort, son trou du cul s’adaptant petit à petit à la grosseur exceptionnelle de mon sexe. Cela glissait
de mieux en mieux. Au bout de quelques minutes je pus y aller à fond et lui pilonner le cul à grands coups,
enfonçant ma queue en entier dans son rectum. Mes couilles claquaient contre ses fesses fermes et rebondies.
De temps en temps, je sortait de son cul pour lui faire sucer ma queue et lui faire gouter le parfum de ses
intestins. Elle me bouffait alors la queue comme une mort de faim, en l’enfonçant le plus possible au fond de
sa gorge. Je reprenais alors le pillonnage avec encore plus de vigueur, jusqu’à ce qu’elle jouisse du cul comme
une bonne salope. Tout son corps se mit à trembler, ses jambes flageollaient. Je sentis alors la sève monter
depuis mes couilles. Je fit encore quelques vas et viens puis sortis de son cul et vint gicler plusieurs longs
jets dans sa bouche et sur son visage.
Nous sortîmes alors du jacuzzi, exténués, et nous allâmes nous allonger sur le lit de ses parents. Elle mît sa
tête sur ma poitrine et ma caressa longuement. Nous nous sommes endormis comme ça, repus de sexe.
Au bout d’un moment, un bruit nous réveilla tous les 2. Quelqu’un se trouvait sur le pas de la porte et nous
regardais. Une femme, la quarantaine, élégante, style BCBG, les cheveux châtains mi longs, plutôt mince.
-« Oh maman, tu es déjà revenue ? Je te présente Monsieur Moussa. Il a eu la gentillesse de venir réparer le
jacuzzi, et j’en ai profité. Viens nous rejoindre, on va le ranimer toutes les 2. Tu verras, il est
extraordinaire… »
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