Histoires de sexe arabes Histoires de tromper

Sur les contrefort de l’Oural (chapitre 1)

Sur les contrefort de l’Oural (chapitre 1)



Sur les contreforts de l’Oural.
Personnages :
Jili Le père
Laura la première épouse de Jili
Tana La seconde épouse de Jili
Zoula La troisième épouse de Jili
Horn Le frère de Jili, Chamane, déclaré comme vétérinaire.
Ini, le fils de Zoula 18 ans
blce le fils de Tana 17 ans
Julia la fille de Tana 18 ans
Jiri le fils de Laura 19 ans
Rania, la soeur de Jili et la tante de Ini.
Olaf un charpentier originaire de Suède
Avant propos
L’épisode se situe lors de la guerre entre l’URSS et l’Allemagne au départ dans un
village un peu oublié dans les contreforts de l’Oural. Ce village était resté peu touché
par la civilisation et avait gardé ses traditions remontant à la Horde d’Or.
Le père, Blce, Julia, Jifi et Zoula ont été recrutés pour la défense de Stalingrad ce
printemps, Ini, le cadet a échappé à la réquisition car il était en train de faire paître les
troupeaux de Jili.
Olaf étant retourné dans sa Norvège natale après avoir rendu plusieurs services de
charpentier dans le village.
Vu le danger d’embrigadement, Horn a conseillé la montée des troupeaux et de tous à
l’alpage.
L’accès de l’alpage était gardé par un « pont levis » mis en place par Olaf lors de son
passage qui avait l’avantage de couper relativement parfaitement l’accès de la plaine
de pâturage supérieure. L’alpage avait une yourte de type mongole qui permettait de
passer très agréablement la saison chaude et de survivre pendant la saison froide.
Pour mieux décrire les personnages, il apparait aux yeux de tous que Ini, n’est pas le
vrai fils de Jili, mais plus que probablement d’Olaf, il a une statue qui dépasse d’une
bonne tête les autres garçons de son âge, chevelure blonde, yeux bleus, mais toutesfois
légèrement bridé du à sa mère et un teint de peau plutôt sombre.
La préparation de l’hiver
Une fois les troupeaux passés, on relève le pont levis pour éviter les mauvaises
surprises. Rapidement Ini voit que si on veut passer l’hiver ici, il sera nécessaire de
compléter l’installation la métairie. Il construit un agrandissement des enclos fermés
pour éviter les dégâts des prédateurs ainsi qu’une grange pour permettre aux
troupeaux de passer l’hiver sans redescendre.
Vers l’automne, il faut engranger le foin pour l’hiver et là, Ini fauche l’herbe verte et
les femmes la retourne jusqu’à ce qu’elle soit bien sèche pour ne pas fermenter et
risquer l’incendie.
On engrange toutes ces réserves. On entre-coupe ces activités par une chasse assez
active pour également faire des peaux en vue de la saison froide pour avoir de la
viande fumée, ainsi que la mise en coupe de quelques mètres cube de bois.
Rania assure la liaison avec le village elle monte en principe avec un âne toutes les
quinzaines et reste la nuit.
Dans la Yourte, pendant l’été, les couches sont divisées en 2, une pour Ini et l’autre
pour les 2 épouses restante de Jili. Pendant la visite de Rania, elle partage la couche
de Jili, mais en toute pudeur. Il faut dire que Ini, très beau garçon n’a pas encore reçu
l’initiation qui lui permettrait d’avoir un commerce avec une femme.
Une journée à l’alpage.
Après s’être levé avec le jour, les 2 femmes préparent le déjeuner alors que Ini se
débarbouille, il prépare son arc pour aller à la chasse. Il préfère de chasser à l’arc qui
est plus naturel et laisse à la bête une chance de salut. Il possède en effet un arc de
guerre hérité de son arrière arrière grand-père, venant de la Horde d’Or.
Il sent le vent et aujourd’hui cela promet d’être une journée fructueuse et on risque
d’avoir un bon souper, vu que Rania nous visite.
En souplesse, marchant sans bruit, il se rapproche du point d’eau où tôt le matin, les
animaux sauvages viennent se désaltérer et oh surprise, il voit un magnifique daim, ce
qui va amener une belle palette de viande et une très belle peau. Il tend son arc avec
un flèche, tire dans le cou, tranchant la veine jugulaire, le daim s’enfuit, mais après
quelques pas, il tombe vidé de son sang. La journée est bonne, mais il reste du travail,
en premier il faut le rentrer sur les épaules, ce qui n’est pas une petite affaire, il arrive
vers les 10h et il commence à ouvrir la bête pour en sortir les viscères, pour midi, il y
aura du foie de daim. Il perça les tendons d’Achille et suspendit le daim pour enlever
la peau et une fois pelé, il la plaça sur un cadre pour finir de la nettoyer, la tendre.
Puis dans la journée, il fait du bois pour l’hiver, alors que les femmes tannent la peau
pour l’assouplir.
Les derniers jours de l’été
Avec la venue de l’automne arriva une nouvelle terrible, Jili et Julia étaient morts au
champ d’honneur et blce avait été fait prisonnier. C’est Rania qui apporta cette triste
nouvelle, toutes-fois, Stalingrad tenait toujours et on voyait que les allemands
s’essoufflaient. Ini voulu tout de suite partir les venger. Rania le stoppe en lui
rapportant les conseils de Horn, il n’a pas le droit d’abandonner ces 2 femmes sur les
hauteurs, que la descente serait une catastrophe, qu’un seul soldat ne change pas
l’orientation de la guerre.
Rania annonce que c’est sa dernière montée pour cette année et qu’elle a pris le bouc
de Horn pour engrosser les chèvres pour l’an prochain. Ini pour la première fois
participe à la manoeuvre Pour commencer, il devait juste maintenir la chèvre pour que
le bouc puisse lui monter dessus, mais bientôt, il dut changer de fonction et c’est lui
qui devrait introduire le sexe du bouc dans la chèvre. Il commence à faire des
comparaisons.
La soirée fut triste, mais bien arrosée.
– Alors Ini, qu’est-ce que tu penses de ta journée.
– Que c’est une journée bien triste.
– Mais encore du travail du bouc.
– Il a de la chance, il a de belles chèvres et encore on doit lui aider.
– Tu penses que quand viendront les chevreaux ?
– Vers le printemps, Reviendras tu pour voir les naissances ?
– Si il n’y a pas trop de neige, certainement.
Rania, au milieu de la nuit constate que Ini ne dort pas et gémit dans son coin. Elle le
prend dans ses bras et appuie sa tête sur sa poitrine et doucement lui caresse le torse
en lui chuchotant des mots apaisants, mais sans beaucoup de succès, elle soulève son
bras gauche ce qui place la tête et le nez d’Ini en face de son aisselle.
– Tante, quel parfum as-tu mis, cela me tourne la tête et me fais tout drôle.
– Rien mon trésor et elle pense, ce serait pas mal de le déniaiser, une bel
adolescent comme cela.
– Mais je vois que tu t’es bien développé cet été, tu as un torse bien puissant
maintenant, dit-elle en parcourant de ses doigts le torse de son neveu.
– Je suis chatouilleux.
Rania dans son for intérieur : je vois qu’il faut que je voie un peu plus en détail si ce
que je présume tient ses promesses, cela me changera avec Horn qui a un peu de
peine à suivre.
– Avec les jambes aussi ? Dit-elle avec un sourire coquin.
– Je ne crois pas.
– Alors je vais contrôler et sans attendre, elle place sa main sur la jambe et
commence une longue caresse qui lentement remonte pour arriver à l’intérieur
des genoux.
– Tu as des belles jambes bien musclées, c’est très agréable de les caresser. Je
pense que tu cours beaucoup. Tu chasses ?
– Oui, mais à l’arc, mais tes caresses me troublent un peu, dit Ini. J’ai pas
l’habitude
– Petite nature, tu te troubles pour peu. Répond-elle en continuant sa progression
et elle se redresse tout en contrôlant au passage comme par inadvertance, que
l’éveil était bien présent.
Elle se blottit contre lui et le provoquant,
– Penses-tu que je soies chatouilleuse ?
Il place ses grandes mains sur les cotes de sa tante en essayant les chatouilles, mais
sans succès et du coup, les mains dérivent un peu et se posent sur la poitrine de sa
tante qui mime l’effet des chatouilles pour l’encourage à continuer. Pris au jeu, il
avance sa main vers le ventre de sa tante qui toujours en provoquant se débat un peu
mollement jusqu’à ce qu’il place sa main dans la fourche des jambes, ce qui stoppa les
mouvements de soustraction de sa tante et Ini se trouvait un peu emprunter de
continuer, même si il se souvenait l’effet qu’avait produit les caresses de sa tante et
qui étaient bien agréables.
– J’aime bien quand tu me caresses entre les jambes.
– Moi aussi, mais je ne sais ce qu’il faut faire. Je vois que c’est tout mouillé,
qu’est-ce qui se passe ?
– C’est ce qui se passe quand une femme aime bien les caresses, si tu veux, je
peux aussi te caresser entre les jambes, tu verras c’est bon.
– Oui, je veux bien.
– Mais tu es bien membré. Dit-elle en enpoignant sa virilité. J’aimerai bien
gouter ton sucre d’orge dit-elle en plongeant dans les fourrures et en attrapant
son sexe avec sa bouche. Ouf ! c’est chargé comme odeur.
Mais Ini, surpris par la manoeuvre, ne put tenir longtemps et il éjacula brusquement
dans la gorge de sa tante en soupirant fortement.
– Eh bien, tu étais bien pressé, mais moi maintenant je fais quoi. Tu ne veux pas
aussi me faire un petit plaisir avec la bouche. Viens sur mes seins pour les
sucer, comme quand tu étais bébé !
Ainsi fut fait au grand plaisir de Raina qui lui suggéra ensuite de gouter aussi de son
entre-jambe, là où il y avait tant de parfum.
– Mais je ne l’ai jamais fait, je ne sais pas comment.
– Vas entre mes jambes et mets ta bouche entre mes jambes et là tu tires la
langue et tu lèches mes lèvres d’en bas, puis tu remontes un peu vers un petit
bouton que tu peux sucer.
Là ce fut un éblouissement, elle n’avait pas souvent ce service car son époux se
contentait de la position classique dite du missionnaire et n’était pas trop enclin à ce
genre de marivaudage.
Brusquement, une houle lui saisit les hanches et elle serre la tête entre ses jambes en
maintenant bien la tête devant son sexe et elle déverse un flot de cyprine dans la
bouche de son neveu.
– Ouh houa, je jouis, comme tu t’occupes bien de moi, continue, c’est tellement
bon. Dit-elle en frottant sa craquette contre les lèvres de son neveu.
– Tu pisses ?
– Non, c’est le lubrifiant, répond-elle en lui saisissant la queue, Maintenant que
tu es à nouveau dur, vient mettre ton outil entre mes jambes, comme il faut.
Ainsi fut fait et doucement il plaça son sexe en face de la fente qui lui faisait face et
là se souvenant des saillies du bouc se planta lentement dans le ventre de sa tante.
Arrivé au fond, il y reste sans bouger, ce qui fait pas l’affaire de sa tante qui attend un
autre orgasme. Le voyant immobile elle le bascula et grimpa sur lui pour s’empaler
sur sa tige turgescente.
– Grand nigaud, il faut pas t’endormir lors du coït dit-elle en amorçant un
mouvement de balancier de son corps, sa mortaise bien rivée au tenon.
– Ma tante, je n’avais jamais imaginé que ce soit si bon. Je comprends pourquoi
mon père avait autant d’épouses.
– Oui, mais il ne faut dire à personne ce que nous venons de faire, car ce sont des
choses qui doivent rester entre ceux qui le pratiquent.
Le lendemain matin, une légère odeur de stupre régnait dans la yourte et après que la
tante soit repartie avec son âne et le bouc, les mères, suite au décès de l’époux et en
présence de ce qu’elles ont entendu pendant la nuit, décidèrent que pour l’hiver, il n’y
aurait qu’une couche utilisée.
– Ini, comme les frimas vont commencer, il serait sage que les deux couches
soient réunies pour pour se chauffer mutuellement.
Se rappelant la dernière nuit passée, il n’y eu pas d’objection de la part d’Ini qui déjà
prenait son rôle de substitut de son père très au sérieux.
Le soir même, après une journée vouée au culte des disparus, aux soins des animaux,
On ferma l’enclos et on se réfugia dans la yourte où on mit les couches toutes
ensembles. Là à nouveau, la vodka fut mise à contribution.
La nuit se passa sans incident spécial, mais le matin, en se réveillant, Ini, sentant
vraiment fortement une odeur musquée qui lui chatouillait les narines, sentit tout de
suite son sexe se redurcir, malgré ses deux mères à ses cotés dormaient
profondément.
Il sortit pour pisser et n’ayant rien de spécial à faire, il se replongea sous les fourrures
pour bénéficier de la chaleur de ses mères. Elles commençaient aussi à se réveiller et
à leurs tours allèrent soulager leurs vessies et se cachèrent à nouveau sous les
fourrures avec une petite idée en tête.
Jusqu’à maintenant, le respect du patriarche avait annihilé toute forme de provocation
vis à vis du fils de la dernière épouse qui n’était pas là, mais maintenant, le mâle de la
famille, c’était lui et il leurs semblait qu’elles n’allaient pas y perdre au change à la
suite de ce qu’elles avaient entendu et deviné pendant la nuit.
– Ini, que penses-tu de Rania ?, on a entendu que vous étiez très occupé la nuit
dernière.
– Que veux-tu dire par là ?
– Vous n’avez pas joué à la chèvre et au bouc par hasard ?
– Oui et alors ? répondit-il en sentant son sexe se gonfler à la suite de ces propos.
– Nous on a rien eu !
– Vous voulez aussi y jouer ?
– Bien évidement, maintenant que père n’est plus, il faut qu’il y ait quelqu’un qui
s’occupe de nous, comme on s’est occupé de toi quand tu étais plus petit. Cela
nous changera avec nos habitudes.
– Bon pour l’hiver, c’est ok, mais au printemps, je vais voir. Pour commencer qui
veut en premier que j’exerce mon droit du bouc à la chèvre.
– Moi, étant la plus vieille, je laisse ma place à celle que tu pourrais engrosser
pour maintenir la famille. Cependant, je veux bien participer à la préparation,
dit Laura.
– Comment cela ?
– En caressant, léchant, suçant.
– Ok, tu peux commencer par mon soc qui m’a l’air un peu fatigué ce matin, une
fois la pisse partie.
Sans attendre, Laura glisse sa main vers le bas ventre de son fils (enfin pas de sang)
et apprécie au passage la puissance du torse, l’odeur mâle qui s’en dégage. Elle att****
son sexe pour le moment un peu mou et d’un mouvement gracieux lui rend sa dureté
originale.
– Tu peux aussi en même temps d’occuper de Tana et lui chauffer la marmite à
bébé.
– Comment cela ?
– Il faut donc tout t’apprendre, je vais te montrer dit-elle en lâchant l’épieu bien
dressé et prêt à remplir son office.
Elle rampe en direction de Tana et lui met la main sur la poitrine :
– Tu vois, en principe pour commencer l’excitation, il est souhaitable de
commencer à s’occuper des seins, on commence par les caresser dans
l’ensemble puis quand les pointes s’érigent comme maintenant, tu les prends
dans ta bouche comme un bébé qui vient de naitre et simultanément tu utilises
ta main qui devient inutile en direction de son entre-jambes à la recherche de
son petit bouton, Là, tu vois ce petit bouton que j’excite.
– Quand il est bien décalotté, tu peux abandonner les seins et lui rendre
hommage en le léchant ainsi que le reste de l’entre-jambe qui comme tu le vois,
ressemble à une bouche sans dents, continue Tana et commençant à brouter la
motte de la deuxième épouse, démontrant par là une longue habitude.
– Bon, je vais essayer, répond Ini, en mettant la main sur les seins et en les
empoignant vigoureusement. Cela me rappelle quelque chose de la nuit passée.
– Plus doucement, si on fait trop fort, c’est douloureux et cela fait l’effet
contraire, c’est comme si je te serrais fortement le petit sac qui est sous ton soc.
Voila comme cela, c’est bien agréable, maintenant, tu peux sucer les bourgeons
aussi doucement sans forcer avec les dents. Dit Tana qui commence à être bien
chaude avec un double traitement.
– Reste maintenant à t’habituer à l’entre-jambe
– Oui, mais l’odeur est un peu forte, répond Ini, en commençant à lécher le
clitoris et la vulve, Comme cela ? Ce serait bon de passer un peu d’eau après la
nuit et la pisse du matin.
– Hummm c’est trop bon, continue crie-t-elle en giclant une belle gicle de
cyprine. T’inquiète, pour les jours suivants on va s’organiser, mais là on est un
peu prises de court.
– C’est quoi ce jus dont tu m’inondes, tu me pisses dessus !?
– Mais non, c’est ce qui aide à ton soc de venir déposer tes graines. Viens
maintenant et glisse ta tige bien dure dans ma bouche d’en bas.
– Justement, ma tige n’est plus très dure.
– Laura ! Prend ta bouche d’en haut pour lui redonner de la vigueur.
– Avec plaisir, mais j’avais interrompu tout à l’heure, car il faut qu’il ne gaspille
pas sa semence dans l’air. Dit-elle en embouchant le sexe et lui rend sa rigidité
d’un beau mouvement d’aller retour, mais pas jusqu’à ce qu’il dégueule.
– Là, il est fin prêt de dégorger ce poireau. Ini, va te planter dans ta mère pour la
féconder. Complète Laura en présentant la trique à l’entrée de la bouche sans
dent qui est impatiente de l’engober.
– Houa ! C’est super dit Ini tout aussi bon qu’avec Rania, on va le faire souvent.
– Oui, mais maintenant ne reste pas planter sans rien faire, il faut que tu te
bouges et ne la joue pas à la flemmard.
Lentement, il se met en mouvements, comme une Pacific 735, son piston rentrant et
sortant en cadence de plus en plus rapide. Sous lui Laura a les prémices d’un orgasme
dévastateur, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas éprouver un tel sentiment, son
mari étant du genre de liquider ses obligations le plus vite possible : on se plante, le
plus souvent à sec ; on dégorge et on dort ; la nature faisant le reste pensait-il.
Là, la symphonie va crescendo, Si elle avait commencé par une petite musique de
nuit de Mozart, elle arrive rapidement des sommets qu’atteint la musique de Wagner
La chevauchée des Walkyries pour déboucher tranquillement sur la symphonie du
Nouveau Monde de Dvorak lors du dégorgement du porreau.
– Seigneur que c’est agréable, commente Ini en se retirant.
– Demain ce sera mon tour, mais il y a peu d’espoir que tu puisses ensemencer à
cause de mon âge, mais rien n’empêche. Viens là que je nettoie tout cela dit
Laura en saisissant ce sexe sortant de cette gaine qui lui avait tant apporté et
elle l’embouche pour le nettoyer avec la langue. Dieu que j’aime ce mélange de
gout partagé entre la femme et l’homme.
D’un coup, voila Ini qui redevient dur et bousculant Laura lui dit :
– Pourquoi attendre jusqu’à demain, je ne veux pas attendre de te gouter aussi et
sans hésitation, il replonge sa mentule dans la bouche inférieure de Laura, qui
par son action était bien prête à se faire piner.
– Tana, caresse lui le cul, je pense qu’il appréciera cette caresse qu’il ignore
encore.
– Je préférerai le lui brouter. Répond-elle en plongeant la tête entre une paire de
fesse musclée qu’il faut écarter énergiquement. Là aussi l’odeur est un peu
forte.
– Mais qu’est-ce que tu fais proteste Ini.
– Laisse-toi faire, tu verras, découvre les plaisirs de la couche, ce n’en est que
meilleure, puis elle remplace sa langue par son doigt et commence à lui masser
la prostate ce qui déclenche l’orgasme de Ini.
Dans la journée, Ini passe son temps à renforcer l’enclos pour protéger les chèvres des
prédateurs. Dans la soirée, avec les premiers flocons de neige, il entend les premiers
chants des loups raisonner dans le lointain. Là, il faudra bien veiller et empêcher
qu’un s’introduise dans la bergerie.
Dans la nuit, il entend que les Ouh ouh se rapprochent et il prend son arc et va dans
l’enclos pour veiller et éventuellement tuer un loup pour l’exemple. Vers les minuits,
il voit des yeux brillants dans la nuit et il allume un feu pour les tenir à distance, il
bande son arc, tire un flèche et touche sa cible que qui crée une dispersion des loups
effrayés et pas encore très affamés. Il charge la bête sur ses épaules et se dit qu’il aura
encore une nouvelle peau.
Ainsi se passe ce premier hiver avec son lot régulier de loups ou de renards tués et la
collection de peaux commence à être très importante.
Vers la fin de l’hiver, il tire une louve qui était accompagnée de 3 louveteaux, il en a
les larmes aux yeux, il en prend un dans les bras et laisse les deux autres aux soins de
la meute. Il espère en faire son chien, il faut qu’il l’éduque. Il se promet de demander
à Rania qu’elle envoie son oncle pour lui apprendre comment procéder.
Le ventre de Laura s’est bien arrondi et on peut bien dire qu’elle est enceinte des
oeuvres de son fils. L’accouchement est prévu pour avril, raison supplémentaire pour
faire venir Horn, bien qu’il ne soit que médecin pour les animaux, comme chamane, il
sera parfait. On va réinstaller les deux couches, pour lui et Rania, Ini restant avec ses
deux mères.
Les nuits sont loin d’être calmes, la grossesse de Laura ayant aiguisé son appétit
sexuel, maintenant, Ini est obligé de la prendre régulièrement par derrière en faisant
bien attention de ne pas se tromper de trou, ce qui n’est pas encore apprécié.
Rania est déjà remontée avec l’âne chargé de blé et de sel et a pris toutes les peaux de
loups tués pendant l’hiver ainsi que la peau du daim. Évidemment elle n’a pas manqué
de partager la couche avec les 2 autres et a constaté que son élève avait fait de très
grands progrès cet hiver avec ces deux femmes affamées de sexe avec ce beau jeune
homme.
Si le texte plait, peut-être que je raconterai les retrouvailles du printemps.
Suite
Le printemps arrive avec le réveil de la nature, Les chèvres sont à la limite de vêler et
Horn est réquisitionné pour que tout se passe bien, mais oh surprise, il vient
accompagné de sa fille Anastasia.
– C’est dangereux de la laisser en bas, les rouges réquisitionnent de plus en plus
jeunes pour alimenter le front ou les usines qui sont aussi bombardées. En plus
il y a le commissaire politique qui a des vues dessus, à peine 16 ans et il m’a
déjà fait une demande plus ou moins directe.
– Tu n’as qu’a faire comme pour moi, elle est partie chez les parents de ta femme
loin d’ici pour perfectionner son russe.
– Tu as raison, je vais la laisser ici pendant un certain temps.
– Volontiers, cela fera de la compagnie.
– Viens, on va voir ces chèvres dans quel état elles sont. Là, il y en a une qui est
en train de mettre bas. Tu peux bien voir comment il faut faire. Juste contrôle
que le chevreau arrive comme il faut, c’est comme pour les humains, il faut que
la tête arrive en premier et cela va presque tout seul, juste un peu nettoyer la
bouche et la chèvre fait le reste, mais si c’est les pattes arrières qui arrivent, il
faut aider et les chances de succès sont plus faibles.
La fille s’approchant, vient admirer ces jeunes animaux qui viennent de naître.
– C’est beau ces jeunes chevreaux. Tu m’en donneras un ?
– Tu pourras t’occuper de tous cet été et automne, y compris l’hiver.
– Chouette.
La dessus, Horn, ayant bien mené le vêlage, il redescend au village en recommandant
de bien garder la route et de remonter le pont levis pour éviter les mauvaises visites.
La vie s’organise gentiment. Les 2 jeunes partent souvent en ballade et s’apprécient de
plus en plus,
Lors de la dernière, après avoir pris un bain dans le torrent, ils restent sur la berge à
torse nu.
– Tu as un beau torse mon cousin, pas un atome de graisse, bien musclé. Dit-telle
en promenant ses doigts sur son torse, et j’aime bien cette petite fourrure
blonde que tu as. Elle se serre contre lui ses petits seins à l’air.
– J’aime aussi beaucoup ta poitrine juvénile, lui répond-il, et doucement il
commence à lui caresser ses seins.
– C’est bon et bizarre, cela me réchauffe le ventre,
– J’aimerai bien les embrasser, dit-il en se souvenant des leçons de sa tante et des
femmes de son père.
– Tu peux, c’est encore meilleure, mais c’est quoi cette bosse que tu as au niveau
du pantalon.
– C’est avec cela qu’on fait des enfants. Tu veux voir ?
– Oh!oui,
Il se déshabille complètement et montre sa verge bien dressée.
– C’est avec cela ?
– Oui et avec ce que tu as entre les jambes, tu ne veux pas aussi me les montrer ?
J’aimerai aussi t’embrasser sur tes lèvres inférieures.
– Mais c’est pas propre.
– Que si, on vient de sortir de l’eau.
– Bon si tu veux et elle enlève aussi son bas
– Là, dit-il en écartant les jambes de sa cousine, il plonge sa tête et commence à
lui lécher les lèvres qui bientôt émettent une jus abondant.
– C’est très bon, mais tu ne vas pas me faire un enfant.
– Non, il faut d’abord qu’on se marie, mais on peut s’amuser en attendant.
– Alors continue.
Doucement, il commence à remonter vers le petit bouton qui s’est sorti de sa
gaine et commence à le sucer comme un petit bonbon. Rapidement, la tension
monte, le jus devient encore plus abondant, si bien que Ini ne sait plus si il faut
sucer ou lécher, dans le doute il faut les deux. Brusquement elle se cabre dans
un orgasme dévastateur.
– Aïe, j’ai jamais connu cela, on le refera.
– Il est bon ton jus, j’aime bien, certainement.
– J’aimerai aussi gouter ton truc, dit-t-elle
– Fais, mais fais attention avec les dents, c’est très sensible.
– Oui, et elle empoigne le sexe de Ini vigoureusement. Comme cela.
– Oui, mais il faut faire un mouvement d’avant en arrière en ne tirant pas trop fort
sur la peau.
Elle se met à le secouer jusqu’à ce qu’il libère une grande quantité de jus.
– C’est quoi ce jus qui est sorti ?
– C’est avec cela qu’on fait des enfants, il faudrait que je mette ce que tu as dans
les mains à l’intérieur de toi et que ce jus sorte.
– Cela marche aussi avec la bouche ? Comme tu me l’a fait.
– Oui, mais cela ne fait pas d’enfant, par contre, c’est très agréable pour l’homme,
surtout si tu avales et n’interrompt pas.
– On revient demain et on va approfondir la chose.
– Demain, je pensais aller à la chasse. Tu veux venir avec moi ?
– Oui.
Les deux rentrent à la maison et là il y a les deux mères qui regardent avec
réprobation ces amoureux de retour.
– Attention, pas de krakra sans le mariage du Chamane, on peut se passer de
l’officiel, mais pas du religieux, sinon les enfants ne seront pas bien.
– Il me semble qu’on a pas fait tant de chichi cet hiver, nous n’avons pas été béni,
il me semble.
– C’est pas la même chose. Nous ont étaient mariées avec ton père et il est mort,
il est normal que tu t’occupes tout à fait de nous.
La Chasse
Personnages :
Jili Le père
Laura la première épouse de Jili
Tana La seconde épouse de Jili
Zoula La troisième épouse de Jili
Horn Le frère de Jili, Chamane, déclaré comme vétérinaire.
Ini, le fils de Zoula 16 ans
blce le fils de Tana 17 ans
Julia la fille de Tana 18 ans
Jiri le fils de Laura 19 ans
Rania, la soeur de Jili et la tante de Ini.
Anastasia fille de Horn et cousine de Ini
Hans un aéroporté d’Allemagne
Anne Laure, idem
Olaf un charpentier originaire de Suède
Ça y est, le printemps est bien revenu, Tana vit ses derniers jours de grossesse, son
ventre a l’air énorme.
– Le ciel est bien dégagé ce matin, la journée promet d’être agréable, je parts
pour la chasse pour améliorer un peu le quotidien.
– Je peux venir avec toi, lui demande sa cousine.
– Bien sûr, répondit-il
Après une heure et demi de marche, ils arrivent vers un ruisseau qui gazouille à
travers l’herbe nouvelle et avec plein de traces de pas d’animaux.
– On va se planque un peu plus loin et continuer notre dernière discussion.
À l’abri d’une paroi rocheuse, sous le vent, ils trouvent un petit replat bien
mousseux qui semble bien convenir. Ini étale 3 peaux de mouton qu’il avait pris
en prévision.
– Embrasse moi Ini, dit-t-elle en tendant ses lèvres entrouvertes.
– Pour commencer, lui répond-il en glissant sa grosse main dans son corsage.
– Hum J’aime
– Attends, ne fais pas de bruit, dit-il en saisissant son arc et ses flèches.
Doucement et sans bruit, il rampe en direction du bruit qu’il a entendu. Là, il
voit un beau daim occupé à se désaltérer. Ini bande son arc et tire une flèche
qui se loge en plein dans le garrot et avant que le daim réagisse, il tire une
seconde flèche qui fait mouche et met fin à ses souffrances.
Il charge la bête sur ses épaules et se dirige vers leur cache.
– On remet les galipettes pour plus tard, il faut le vider et le suspendre pour qu’il
se vide de son sang. Il prend son couteau de chasseur et pratique deux entailles
dans les jarrets et le suspend à un arbre, ensuite, il ouvre le ventre et sort les
abats qu’il disperse aux alentours. C’est alors que leurs parvient le bruit de voix
et de claquement de fouet.
Discrètement Ini va effacer toutes traces de leur passage et va s’embusquer un
peu plus loin.
Il voit arriver un drôle de cortège, en tête, un gros homme avec une casquette
rouge qu’Ini reconnaît comme le commissaire politique local, un être
répugnant. Il semble le seul armé avec un gros pistolet à la ceinture.
Tranquillement Ini bande son arc, retient sa respiration et envoie une flèche qui
se plante en plein dans le cou, le tuant sur le coup.
Sans attendre, il met une autre flèche sur le personnage du fond, une brute
épaisse, mais son trait ne fait qu’atteindre le bras armé du fouet.
L’autre, sans attendre une nouvelle flèche éperonne son cheval et se rue sur Ini,
mais au passage, un des prisonniers l’accroche et le fait tomber, c’est plus qu’il
n’en faut à Ini pour arriver sur lui et l’égorger proprement selon la tradition.
Il se retourne vers les prisonniers et les libère des entraves.
– Spasiba, Danke murmurent-ils.
Ini leur fait comprendre qu’il faut qu’ils récupèrent les vêtements, souiller et les
laisser nu, on les mettra dans les buissons, les bêtes sauvages vont bien se
charger de se supplément de nourriture, puis il les oriente vers leur cache.
Il désigne sa cousine :
– Anastasia et ensuite montrant sa poitrine Ini
Les 2 rescapés se présentent
– Hans dit l’homme et Anne Laure.
Ini à sa cousine :
– On ne va pas s’éterniser par ici, j’espère que les loups feront le nécessaire, c’est
dommage que je n’ai pas pris le louveteau pour simuler. Mais il n’est pas assez
dresser pour le prendre.
À ce moment Anne-Laure leurs déclare :
– Je comprends un peu votre langue, elle ressemble à ma langue maternelle, le
hongrois.
– Tu expliqueras à Hans que je vous invite à nous rejoindre, je porterai le produit
de la chasse et Hans devrait se soigner un minimum les pieds avant de mettre
les bottes. On va marcher environs deux heures en effaçant nos traces par
sécurité. Anastasia va en tête et je ferme la marche en effaçant les traces.
Deux heures plus tard, la troupe arrive et on met la chasse à l’abri tout en
donnant au petit loup un peu d’abat.
– Pour la soirée et la nuit, Laura s’occupera de Hans et moi je continue la
discussion avec Anne-Laure, Anastasia s’occupant de Tana. Demain on va aller
sur la position de repli et Lara descendra au village pour amener Horn
l’accouchement est pour bientôt.
Suite selon Lara
« ce salaud de Ini, il me refile ce jeune homme pour mieux pouvoir s’occuper
de la jeunette, il va voir, demain il lui faudra élargir les portes si il voudra sortir
avec les cornes que je vais lui mettre, » Elle prépare un tube d’eau tiède et fait
signe à Hans d’y aller. Il se déshabille un peu gêné, mais pour le tranquilliser,
elle fait de même, elle commence à bien lui savonner le dos avec l’avantdernier
savon d’Istanbul, elle s’attarde particulièrement sur ses fesses qu’elle
trouve à son goût, ensuite elle lui fait comprendre qu’il faut qu’il présente le
coté face et elle commence par les pieds et les inspecte, ils n’ont pas trop
souffert et le traitement peut se faire demain, elle remonte le long des jambes,
ce qui crée un mouvement semblable au niveau du sexe et le Hans se met à
bander dur. Surprise, Lara constate qu’il n’a pas été baptisé au sécateur, un peu
comme les russes qui ont souvent des sexes assez sales. Effectivement, en lui
saisissant la bite et en la retroussant, elle voit une profusion de fromage de bite
qu’elle nettoie soigneusement avant de le prendre en bouche.
« après nettoyage. Le goût est pas mauvais, meilleur que celui d’Ini qui ne
nettoie pas trop. Je vais voir si il va aussi me faire une petite gâterie quand il va
s’0cuper de moi. «
Elle lui fait comprendre qu’elle aussi aimerait bien prendre le bain et galant,
Hans sort du tube pour lui laisser la place et impérativement saisit le savon en
pensant lui rendre la pareille. Il commence aussi à lui faire le dos, les fesses et
ensuite passe devant en nettoyant le cou les bras et il s’attarde un peu avec les
petits écureuils qui ornent ses dessous de bras. Il agrandit son cercle d’action et
commence à lui masser les seins gentiment tout en les gratifiant par moment de
petits baisers, ce qui a pour effet de faire frissonner sérieusement Lara.
Ensuite il passe à du plus concret et commence à lui nettoyer son tablier de
sapeur et plus bas également, il laisse trainer sa langue sur le petit bouton qui
garde la caverne de famille. Lara lui prend le sexe et lui montre la couche en
lui faisant comprendre que la séance de gymnastique à deux dos va
commencer. « Pour ne pas alourdir, je ne rentre pas dans les détails, mais j’ai
l’impression que Ini doit avoir des remords après tout le programme que m’a
fait subir Hans, il devait être sevré le chéri, j’ai eu droit aux sources de la forêt
noire, le saucisson de Francfort à la crème de pruneau, tout cela jusqu’à satiété.
Il a de la santé ce jeune, j’ai grimpé aux rideaux plusieurs fois (vous allez me
dire que les rideaux dans une yourte, c’est vraiment pas ça) «
L’éducation et préparation chamanique des jeunes filles pour le
mariage.
A l’instar de Hans et Lara, Ini et Anne-Laure ont pris leur tube et sont étendus sous
une profusion de fourrures.
– Serais tu intéressée que je t’explique et que je pratique comment on éduque et
prépare les jeunes filles pour le mariage ?
– Ce serait avec un très grand plaisir, avant la guerre, j’avais commencé une thèse
sur les populations chamaniques, là, ce serait à la source.
– Bon tout au début, le chamane contrôle si la jeune fille est toujours jeune fille,
donc tu te mets sur le dos et écarte bien les cuisses. Je vais mettre deux doigts
dans ton conin et voir si tu es encore une jeune fille. Suivant le résultat, il y a
deux suites qui existent.
A ce moment là, Ini part sous les couvertures et introduit deux doigts
délicatement dans le conin quand il sent une résistance et il n’insiste pas.
– Je vois que tu es encore vierge, donc on va faire le programme prévu pour ce
cas. Mets toi sur le ventre et je vais te masser spécialement le dos et les jambes.
Ini commence à lui caresser les épaules, descend le long des bras passe sous les
aisselles et constate qu’elle est rasée sous les bras.
– Ah normalement une jeune fille ne se rase pas sous les bras avant d’avoir été
initiée, mais on va faire avec dit-il en continuant le massage en descendant le
long de la colonne vertébrale, il s’arrête sur le postérieur et commence à le
malaxer, jusqu’à ce qu’il devienne assez rouge, puis continue à masser
l’extérieure des jambes, jusqu’au pied et là, il demande à Anne-Laure de se
retourner et il remonte jusqu’au cou qu’il continue à masser.
– La partie suivante est assez importante, il faut contrôler la texture et sensibilité
de la poitrine et il lui empaume un sein tout en mettant l’autre dans l’entrejambe,
mais simplement posée.
– Ainsi, on contrôle si il n’y a pas de boules malignes, au quel cas le chamane
donne une médication et d’autre part, on teste si la future femme est réceptive
aux caresses sur les seins.
– Je sens que ton corps réagit bien et ton conin s’humidifie correctement,
maintenant il faut voir ce qui se passe avec la caresse du sexe et on va
commencer par le bouton que je vais rouler entre mes doigts tout en laissant
l’autre main plaquée dans mouvement.
– A voir les mouvements de ton bassin, c’est clair que tu apprécies cette caresse,
mais qu’en est-il des grandes et petites lèvres, là, il y a un teste suivant, le goût
et l’odeur lors de l’excitation et sans attendre de commentaire, il plonge sa
figure entre ces cuisses et commence à lécher les grandes lèvres et les petites,
créant un flot de ciprine dont il se régale.
– Voila, il semble que tout va particulièrement bien, il reste l’ouverture de la
famille. Le rôle du chamane est d’ouvrir la voie en cassant l’hymen pour que
cette opération ne soit pas du fait de l’époux car on a constaté que souvent c’est
mal fait, c’est une opération difficile, car il faut que l’initiée voie 3 fois le
paradis et que le chamane ne laisse pas de souvenir. C’est à dire que après les 3
orgasmes, le chamanes déverse sa crème dans la bouche de l’initiée, marquant
par là, la fin de l’initiation.
– J’ai passé tout l’hiver à m’entraîner à tenir ce challenge, avec les femmes de
mon père qui est mort à la guerre, Je réussis assez bien, mais ce sont des
femmes déjà âgées et je ne sais si avec une jeune je tiendrai.
– Il n’y a qu’un moyen de le savoir lui répond-elle émoustillée par la préparation.
Ini se couche sur Anne-Laure et la bite vient forcer cette jeune pucelle
allemande, ou le label de garantie explose du premier coup de buttoir, sans gros
dommages collatéraux, mais comme il est très excité, il sent qu’il ne va pas
tenir les trois fois alors il sort sa mantule ensanglantée et se couche sur le dos
en lui indiquant la suite à donner, le chevaucher.
Là, cela marche super bien Anne-Laure trouve son rythme et enclenche
orgasme sur orgasme quant sentant la pression monter, Ini se retire et présente
son sexe sur le point d’éclater devant les lèvres pulpeuses.
– La crème de pruneaux doit être toute consommée dit-il en lui aspergeant la
glotte.
La suite
un nouveau chamane

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire