En Retraite
Bonjour, je m’appelle Marc, j’ai 56 ans. Toute ma vie j’ai été cadre commercial itinérant, ce qui ma causé de grave problèmes familiaux. Je viens de prendre une retraite méritée et un peu anticipée, mais je suis seul, mon épouse et mes deux enfants ont depuis longtemps abandonné l’idée d’un père ou d’un mari toujours absent, et souvent avec d’autres femmes. C’est vrai que le fait d’être itinérant m’a fait rencontrer beaucoup de femmes, et cela se terminait souvent au lit, mais cela est une autre histoire.
Pour m’a retraite j’ai choisi la région d’Aix en Provence. J’ai acheté une villa avec une piscine (j’aime beaucoup nager). Lorsque j’ai déménagé, j’ai demandé à mon neveu Bruno de venir passer quelques jours pour m’aider à m’installer.
Un soir après une rude journée, assis sur la terrasse en buvant un pastis devant une piscine encore vide, Bruno m’a demandé si la solitude ne me pesait pas. Entraîné par la fatigue, l’alcool ou la gentillesse de Bruno, je me suis laissé aller à des confidences. La solitude est un peu difficile sur le plan sentimental, mais sur le plan sexuel, j’ai eu beaucoup, et l’âge venant, je suis devenu plus voyeur qu’acteur, aussi je me contente de visionner quelques cassettes et de rendre visite à quelques vieilles copines. Bruno me dit alors que c’est bien dommage d’avoir un si belle maison et une piscine qui promet déjà beaucoup et de ne pas avoir une femme qui se dore au soleil sur le solarium. Je lui fais remarquer, que si j’avais une compagne elle aurait le même âge que moi. « C’est vrai me dit-il j’avais l’image de Marie en tête ». (Marie c’est sa petite amie, 21 ans, blonde, mince sans être maigre.)
Je lui fais remarquer la chance qu’il a d’avoir une si belle fille comme petite amie, et le plaisir que j’aurais à les recevoir. J’insiste (peut-être un peut trop) sur le fait que j’aime voir les filles en maillots, mais encore plus topless ou nues. Il me dit alors que Marie est très réservée, et qu’elle n’aimerait pas se montrer ainsi.
Une quinzaine de jours après cet épisode, Bruno me téléphone, pour me dire qu’il aimerait passer la semaine prochaine, deux ou trois jours chez moi avec un copain et sa copine. N’ayant plus que quelques bricoles à finir pour mettre la piscine en service je lui donne mon accord avec plaisir. Cela me changera les idées.
Je prépare la chambre d’amis pour les copains de Bruno, lui je l’installe dans le bureau sur la banquette BZ.
Ils arrivent en fin d’après midi, trempés de sueur car il fait très chaud, nous sommes à la fin Juin. Bruno me présente rapidement Michel 22 ans, un grand brun, très musclé, et Carole, 20 ans, une petite boulotte rousse, très vive, avec une poitrine généreuse. Je leur propose de prendre rapidement une douche et de me rejoindre à l’ombre sur la terrasse pour un rafraîchissement.
Je les conduis vers leur chambre. Chaque chambre à sa propre salle de bains ou plutôt de douche, car pour se laver, je préfère les douches au bain.
Dix ou quinze minutes après ils me rejoignent, les cheveux encore mouillés, en maillots de bain.
Bruno dit « je leur ai dit de se mettre en maillot car je savais que la piscine était prête ».
« Mais bien sûr vous pouvez piquer une tête, les apéritifs sont au frais, ils peuvent attendre », dis-je en prenant mon verre de pastis. Bruno plonge immédiatement, suivi de près par Michel, Carole plus inquiète sur la température de l’eau commence par la tâter du pied, puis se met à genoux et se penche pour y plonger la main. Ce faisant elle bombe ses fesses dans ma direction, son maillot brésilien, bien tendu par ses fesses charnues la moule. L’entrejambe, sous la tension diminue de largeur et glisse entre les globes. Quel beau cul ! Elle se décide et glisse dans l’eau comme une anguille, sans aucune éclaboussure. Après quelques brasses, ils remontent et viennent, dégoulinant s’asseoir.
Carole bouge sa chaise pour être au soleil. Elle est vraiment jolie, sa rousseur lui donne un petit air mutin, très agréable.
Je leur sers un apéritif, et nous parlons de chose et d’autre. Comme tous les soirs le vent se lève, pas fort, mais cette brise rafraîchit l’air surtout si l’on est mouillé. Le soutient gorge de Carole en tissus épais n’est pas encore sec. Elle réagit très vite. « Avec le vent quand c’est mouillé, c’est très désagréable. » Michel reprend : « enlève-le cela te fera moins de marques, je suis sûr que Marc n’y verra pas d’inconvénient ». Bien sûr j’acquiesce. Carole fait glisser son soutien gorge qu’elle étale sur la chaise d’à coté pour le faire sécher. Elle à de magnifiques seins en poire, les tétons pointés vers le ciel, le froid de l’humidité qui s’évapore leurs donnent encore plus de fermeté. Les aréoles sont pâles, mais sa peau laiteuse de rousse les font paraître plus sombre. Elle n’a pas l’air, le moins du monde, intimidé d’avoir ainsi les seins nus devant un étranger. Au contraire elle croise mon regard avec un petit air de défi. Je n’ai aucun scrupule pour dévisager ces rondeurs qui pointent dans ma direction.
Michel s’en aperçoit, et d’un air malicieux dit : « Tu vois Carole, les belles choses, il faut les montrer, Marc apprécie beaucoup tes seins. »
Je surenchéri « oui, ils sont vraiment magnifiques, la perfection même. Je n’en ai jamais vus de si parfaits. »
Bruno appuis encore « et il s’y connaît l’oncle Marc. »
Et la conversation s’engage sur le plaisir de la vue. Bruno s’empresse de la faire glisser sur le voyeurisme. Je défends avec passion cette thèse. J’aime voir, j’aime tout voir, même ce qui ne doit pas se voir.
Pour ce soir là nous resterons sur le voyeurisme. Nous allons nous changer, et nous partons manger une pizza au bout de la rue. Il est déjà tard et comme mes jeunes ont fait 600 km ils sont bien fatigués, ils vont se coucher.
Cette conversation m’avait beaucoup excitée et j’ai eu quelques difficultés à dormir. Le lendemain, je pensais être le premier debout, et bien non. Michel et Carole étaient déjà dans la piscine, bien sûr Carole n’avait pas remis son soutien gorges. Sa poitrine était encore plus belle, éclaboussée d’eau et de soleil. Ils chahutaient silencieusement, ou du moins je le cru au premier coup d’œil. Mais en y regardant mieux ils se frottaient, se caressaient, Michel plongeait pour aller lui caresser l’entrejambe puis sortait et l’embrassait fougueusement. Puis à son tour Carole plongeait. Je ne voyais pas ce qu’elle faisait, mais aux remous l’on pouvait croire que la bitte de Michel était hors de son maillot et que Carole l’avait en bouche.
Je rentrais dans la cuisine pour faire le café. Bruno était déjà entrain de le faire.
« Oh ! C’est bien, je n’ai plus rien à faire ».
Le café passé, Bruno appela ses copains pour le petit déjeuner. Michel et Carole sortirent de l’eau et tout trempés s’assayèrent autour de la table.
« Wahou ! Super ! Quel pied cette maison, piscine, soleil, calme, le paradis » me dit Michel.
La poitrine de Carole attirait mon regard comme un aimant. Elle me sourit, en bombant un peu plus le torse. Michel perçoit ce mouvement et passe la main sur l’aréole et titille le mamelon entre deux doigts. Il fait ce geste sans gène de façon très naturelle, mais Carole me fait un petit clin d’œil.
J’essaie de planifier la journée : « que voulez vous faire les jeunes ? »
La réponse est simple et unanime « rien on reste là ».
Au bout de quelques minutes, Carole se lève et se dirige vers la porte-fenêtre de la maison. D’ici l’on est en droite ligne sur la porte des W-C. Elle s’y dirige tout droit en tortillant légèrement les fesses. Elle à vraiment un fessier remarquable, rebondi juste ce qu’il faut, pas trop gros, ferme. Elle ouvre la porte, entre dans les W-C, se retourne, et sans fermer la porte baisse son maillot et s’assoit sur le siège. Elle me regarde et me sourit. D’ici l’on ne peut entendre le bruit de cataracte, mais on l’imagine fort bien. Puis elle prend du papier passe sa main entre ses cuisses et se lève, le maillot aux genoux, on voit parfaitement le pubis avec sa forêt de poils roux. Elle a le regard fixé au loin comme si elle ne nous voyait pas. Puis elle se baisse remonte son maillot, l’ajuste, et revient prendre sa place.
Bruno alors dit « Oncle Marc, j’interviens car Michel n’ose pas, voilà : Michel et Carole ont 3 semaines de vacances en Août mais ils n’ont pas un centime pour prendre une location. Ils te font une proposition très honnête. Tu les héberges pendant leurs 3 semaines de vacances, et comme ils sont très exhibitionnistes (tu viens de le voir) ils te garantissent du spectacle à la hauteur de l’accueil que tu nous as réservé ».
Michel et Carole se regardent un bref instant s’embrassent (je vois le bout de la langue de Carole) et se retourne vers moi « acceptez, Marc, je crois que vous n’aurez pas à le regretter ».
« OK, je crois aussi nécessaire de donner certaines règles du jeu. Vous serez traités comme si vous étiez de la famille, je ne vous demanderais jamais de faire ce que vous ne souhaitez pas faire, vous serez libre de faire ce que vous voulez devant moi, ou de ne pas le faire. Et je maintien que je suis voyeur pas acteur. »
Après quelques secondes de silence je poursuit.
« Pour le séjour pas de problème, pour les repas, je ne suis pas du tout cuisinier, pour éviter des frais je propose de fournir les ingrédients et que Michel et Carole fasse la cuisine. Mais attention en été dans cette région pas de cuisine chaude, rien que des salades et des plats froids. Cela ne représente pas un gros travail, je pense. »
Carole et Michel se regardent, se sourient, et Carole répond, c’est d’accord, merci beaucoup pour cette proposition. Si l’on peut circuler le 3 Août nous arriverons comme hier soir.
La journée s’est terminée en douceur avec beaucoup de clins d’œil et de vision plus ou moins furtives ou appuyée sur les fesses, l’entrejambe du maillot d’où s’échappe sur le coté des poils roux un peut fou, des caresses appuyées de Michel.
Au cours de la nuit j’entendis Carole chanter l’amour au rythme du sommier. Difficile de rester de marbre.
Après un petit déjeuner rapide ils ont repris la route de la capitale. Au moment des adieux après une chaude poignée de mains avec Michel, Carole me fit la bise, joue droite, joue gauche et en plein sur les lèvres, le temps de sentir sa langue humide et elle était déjà tourbillonnante devant moi. Elle sait y faire la coquine.
Ces deux mois furent très long. Mais je préparait les lieux pour nos vacances.
Le 3 Août j’étais à l’ombre, à coté de la piscine, lorsque Michel et Carole sont arrivés, vannés par la route encombrée, la chaleur du mois d’Août et le temps de conduite (ils étaient partis depuis 5 heures du matin).
Tellement trempé de sueur que les poignées de mains étaient collantes.
De suite je leur servis un verre d’iced-tea, et ils se dirigèrent vers la salle de bain, une bonne douche.
À leur sortie, enfin rafraîchis, Carole me saute au cou et me fait le même coup que la dernière fois, une bise joue droite, une bise joue gauche, et en plein sur les lèvres avec un petit bout de langue humide et avant que je puisse réagir une fuite tourbillonnante.
Mais attention dans nos règles du jeu je suis voyeur et non-acteur.
Je ne vais pas vous raconter ces trois semaines jour par jour. Je vais prendre quatre ou cinq situations particulièrement croustillantes. Tout n’a pas été au même niveau, mais globalement ces vacances furent formidables pour moi et au dire de Michel et Carole pour eux aussi.
Le premier matin, étant en vacances ils ont fait une petite grasse matinée.
J’ai préparé le petit déjeuner, café, pain prêt à griller, etc.
J’avais faim et je ne les ais pas attendus pour déjeuner. Est-ce l’odeur du pain grillé qui les ont sortis du lit ? Très vite ils ont été à table. Michel, torse nu, en culotte de pyjama, Carole avec un grand T-shirt en guise de chemise de nuit. Il lui arrivait deux ou trois centimètres au-dessous de la forêt rousse qui cachait son pubis.
Michel s’assit sur une chaise et Carole vint s’asseoir sur ses genoux. Ce faisant elle fut obligée d’écarter un peu ses jambes faisant remonter sa chemise. Là maintenant, je pouvais voir la rousseur de sa chatte. Une forêt peut fournie, mais attirante par sa couleur de feu. Michel la maintenait à bras le corps la main gauche sur le sein. Il chercha sa bouche et ils échangèrent un long et profond baiser. Je put voir leurs langues s’égarer un peu sur leurs lèvres avant que celles-ci se rejoignent.
Puis la main droite de Michel s’abaissa vers les cuisses de Carole, il remonta la chemise dévoilant complètement l’entrejambe. Carole écarta les cuisses plus largement, et Michel de sa main droite commença à la caresser. Carole ne restait pas insensible, manifestement elle mouillait car les lèvres se séparaient et Michel pouvait glisser un doigt inquisiteur dans cette fente qui semblait-il devenait de plus en plus glissante. Carole avait rompu le baiser et me regardait en souriant pendant que Michel lui caressait, en rotation lente, le petit bourgeon floral qui précède la fente menant à la profonde corolle.
Carole commençait à s’émouvoir de plus en plus elle gémissait, se contractait spasmodiquement. Puis brutalement elle se mordit les lèvres en envoyant son bassin en avant au devant des doigts de Michel. Doucement Michel ralentit ses mouvements, pour serrer fortement le pistil sans bouger et ils échangèrent un nouveau très long baiser.
Une ou deux minute après Carole se releva et dit « wouahou, mais cela donne faim, heureusement que tu as tout prévu Marc ! » En se levant, elle passa sa main dans sa chatte comme pour l’essuyer, et vint me passer ses doigts sur le nez et la bouche. Quelle odeur divine !. J’ai saisi un doigt au passage e je l’ai nettoyé avec ma langue. C’était un bon début pour leur séjour.
Quelques jours plus tard, un soir Michel regardait la télé et Carole était sous la douche. N’ayant plus de scrupule je passais la tête par la porte de la salle de bain pour jeter un coup d’œil. Carole dit « tien Marc tu tombe bien, peux-tu me frotter le dos ? » « Mais, bien sûr lui répondis-je »
J’ouvris la cabine de douche, elle me passa le gant nylon, et me tournant le dos je commençais par la frotter doucement sur les épaules, entre mes omoplates et je descendit doucement centimètre par centimètre jusqu’au fesses.
« C’est bon ! Tu peux me frotter les cuisses s’il te plaît. Me dit-elle en se tournant de trois quarts »
Je me mis à genoux et je commençais par les mollets remontant vers le genou puis vers la cuisse. Pour faciliter la tâche elle écarta largement les cuisses. Et je pu voir sa chatte de très près, ses petites lèvres purpurines qui dépassait à peine des grandes lèvres couvertes de duvet roux. J’ai respecté notre convention, malgré l’envie qui me démangeait, je n’ai pas touché à sa chatte.
Puis elle ma demandé de lui frotter le dos à nouveau. Je me suis relevé.
Elle s’est tournée. J’ai caressé vers les omoplates, mais elle s’est penchée en avant, m’obligeant par ce mouvement à descendre vers les fesses. Je compris qu’elle voulait que je me m’occupe de cette zone. Je me remis à genoux, j’étais alors juste au niveau. Je lui caressais le haut des fesses et je descendis lentement vers le dessous. En se penchant et écartant légèrement les pieds, ses globes se séparaient et je pouvais voir son petit trou. Je quittais le gant de nylon trop rude pour aller frotter ce petit trou directement à la main. Quelles sensations que de sentir sous son doigt les petits plis rayonnants de ce trou interdit !
Elle se releva, se tourna vers moi, me fit un bisou sur les lèvres, et me dit « maintenant il faut que je me rince, je me sèche, et je vous rejoins »
De retour dans le salon, Michel était entrain de regarder une émission un tantinet érotique, et il avait sorti sa bitte de son pyjama et il se caressait, faisant aller sa main alternativement de haut en bas, faisant glisser le prépuce sur un gland pourpre. Sa technique de serrer la base du gland par l’anneau formé par le pouce et l’index avait l’air très efficace.
Carole nous rejoint et dit « Hé bien ! Tu ne tant fait pas ! » Elle se met à genoux, pousse la main de Michel et commence une fellation savante.
Je restais debout ma bitte dans mon short me faisait mal tellement elle était tendue. Je la caressais à travers la toile. D’un coup d’œil Carole avait vu le problème, quittant momentanément la bitte de Michel elle me dit : « ne resta pas comme ça Marc si tu veux te caresser sort ta bitte et astique toi nous aussi on aime bien voir.
Je ne me le fit pas dire deux fois. J’enlevais short et slip. Michel et Carole se sont arrêté un moment pour voir, puis Michel s’est allongé et Carole est venue s’empaler sur lui. Pour faciliter les mouvements, Carole était à genoux, permettant à Michel de monter et descendre en elle. Dans cette position elle levait le cul, les globes s’écartaient, et je pouvais voir ce petit trou que j’avais si bien caressé tout à l’heure.
« Carole je peux te lécher le cul pendant que Michel te lime »
« Ho ! Oui, viens, lèche-moi. »
Je m’approche, écarte un peux plus les globes et plonge ma langue sur ce trou plissé. Ma langue la pénètre sur quelques millimètres. Les mouvements de Michel font qu’elle entre et sort au même rythme. Carole ronronne.
Michel fait des mouvements de plus en plus violent. Tout à coup il sort de la chatte et glisse vers le haut, et j’ai sa queue dans la bouche. Bien arrosée au jus de Carole, elle à très bon goût. Deux aller et venue et je la lui remets dans la chatte. Cela à du lui plaire car il éjacule immédiatement au fond de Carole.
Je continue à faire des feuilles de roses à Carole, elle apprécie fort. Dès que les spasmes de Michel sont calmés, il sort sa queue de la chatte et volontairement la glisse vers moi. Je la prends en bouche et la nettoie de toutes les sécrétions de Carole ainsi que des dernières goutte de sperme. Un dernier coup de langue sur le cul de Carole et je me relève.
« Je vous prépare un whisky ? »
« Oh ! Oui cela s’impose »
Nous avons fini la soirée en parlant tout en restant nus.
Dans la semaine nous avons eu un coup de téléphone de Bruno nous annonçant sa venue pour le week-end suivant. Ils programmaient une arrivée vendredi soir très tard ou dans la nuit, et un départ Dimanche en début d’après midi. Aix – Paris ce n’est pas rien avec une petite voiture.
Je signalais à Michel et à Carole qu’il faudrait être correct car Marie n’était pas aussi libérée et elle n’aimerait pas notre liberté de vie.
Bruno et Marie arrivèrent vers minuit. Ils étaient vannés, cuit à point. Une bonne douche fraîche, et tout le monde à la piscine. Il n’y a rien de meilleur que l’eau d’une piscine à minuit.
Le lendemain matin Bruno me dit qu’il aurait besoin de faire voir sa voiture par mon garagiste car il avait un petit souci. Il ne voulait pas tenter le retour sans un avis de spécialiste. Laissant à la maison Michel, Carole et Marie nous sommes allés voir mon garagiste.
A notre retour en arrivant silencieusement dans le salon, nous avons été très étonnés de trouver les deux filles complètement nues allongées sur la moquette. Marie sur le dos, Carole au-dessus, en position de 69. Effectivement c’est ce qu’elles étaient entrain de faire. Elles ronronnaient, gigotaient, se frottaient sur la bouche de l’autre. Michel debout derrière nous fit signe de rester silencieux. Il baissa son short, le fit glisser pour l’enlever. Il bandait dur. Il s’approcha de Carole, lui caressa les fesses, et visant entre le petit trou et la bouche de Marie il pénétra le vagin de Carole. Marie avait le choix entre le clito de Carole et les couilles de Michel.
Les filles étaient bien avancées dans l’action, elles étaient proches de l’orgasme. L’érotisme de la situation d’exhibitionnisme déclencha l’orgasme de Michel, qui déchargea en long spasme dans la chatte de Carole. Ces spasmes déclenchèrent ceux de Carole qui à son tour déclencha ceux de Marie.
Michel se retira. Marie les yeux fermés sous le plaisir lécha ce qui coulait de la chatte de Carole, puis ouvrit les yeux. Saisie de frayeur en nous voyant debout près de la porte, elle devint rouge de confusion. Carole se retourna la pris dans ses bras et lui prodigua un baiser long et mouillé. Pendant ce temps Bruno s’était dénudé et prenant la suite de Carole, allongea Marie, la fit rouler sur lui en frottant sa verge sur son entrejambe, trop excitée pour refuser, elle écarta les cuisses et s’empala sur son épieu. En appuis sur les genoux elle montait et descendait sur sa colonne luisante de mouille.
Il fallut très peu de temps pour que de nouveau un long spasme la saisisse, l’orgasme fut violent et long.
Ce n’est qu’après une bonne douche que nous sommes retrouvés tous autour de la piscine. Les deux couples étaient nus moi j’étais en short. C’est alors que j’ai vu que Marie avait un très joli sexe rasé, pas un poil, un vrai sexe de gamine, même les petites lèvres ne dépassait pas, un abricot tout lisse. Mais elle était tellement excitée que les grandes lèvres baillaient et l’on voyait le rose carminé des nymphes à l’intérieur. Je bandais déjà pas mal, mais à cette vue mon short faisait la tente.
Carole s’est approchée de moi, et en se mettant à genoux à baissé mon short en disant : « Marc tu dois être comme nous, tout nu. »
C’est dans cet état que nous avons fini la matinée.
Nous ne nous sommes rhabillés que pour le départ de Bruno et Marie
En partant Marie m’a remis une petite boite en me disant « En souvenir de ce magnifique week-end, tu l’ouvrira lorsque nous seront parti ». Nous avons profité que nous étions habillés pour aller manger une pizza en ville, laissant la boite sur la table du salon. A notre retour j’ai ouvert la boite, il y avait dedans la petite culotte de Marie. Alors Carole lève sa mini jupe, enlève sa culotte, la roule en boule et la joint à celle de Marie. « Voilà un bon début de collection me dit-elle. »
Michel et Carole m’ont chaudement remercié de mon accueil, je crois que les vacances qu’ils ont eu resteront dans leur mémoire. Pour moi, ce fut certainement les meilleures que je n’ai jamais eu.
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