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Des vacances chez Belle Maman 2

Des vacances chez Belle Maman 2



Le grand jour du départ fut arrivé. Pierre descendit avec un sac, préparé par Anaïs et les deux valises de sa compagne et Kader, pour aller attendre le taxi en bas de l’immeuble. Ces deux derniers faisant le tour de l’appartement, pour vérifier si rien n’avait été oublié. Pierre se retrouvant seule, dans le froid à attendre.

Au bout de quelques minutes, de manière quasi-simultanée, ils arrivèrent tous. Ce fut un taxi van, ce qui permit qu’ils puissent tous s’asseoir à l’arrière, après que Pierre eut chargé les valises dans le coffre. Kader indiqua au chauffeur qu’il devait d’abord passer à Massy Palaiseau, avant de se rendre à Orly.

Rapidement le chauffeur ne put se retenir devant l’atmosphère joyeuse régnant à l’arrière du véhicule de demander si c’était un voyage entre amis.

Anaïs, n’éprouvant aucune gêne quant à la situation, entreprit de lui répondre :

— Non du tout on réalise notre rêve on part à la Réunion, c’est un grand voyage qu’on a toujours rêvé de faire, et puis c’est prévu qu’on y fasse un enfant aussi. Elle ne put s’empêcher de rouler une énorme pelle à Kader, avant de continuer. Et puis juste avant on dépose mon mari chez ma belle-mère qui le garde pendant qu’on part.

Le chauffeur mis quelques secondes, avant de retenir maladroitement un pouffement de rire. Il fit les gros yeux, demandant si c’était une blague ou si c’était vrai. Anaïs toujours aussi sûre d’elle, lui répondit que non pas du tout.

— Donc sans vouloir paraître grossier et pour résumer la situation, vous partez avec Monsieur en vacances, et votre mari qui est donc cocu si j’ai bien compris ne vient pas avec vous.

Kader prit la suite, achevant toute forme de dignité que pouvoir encore avoir Pierre auprès du chauffeur :

— Pour être encore plus clair, cette larve de cocu on le dépose chez belle-maman pour qu’il lui serve de bonniche, faut bien lui trouver une utilité, plutôt que de le laisser se frotter sa nouille encagée en pensant à moi en train d’engrosser sa femme

Ce fut un résumé rapide, clair et limpide, ne laissant nullement le doute sur la situation. Le chauffeur ne put cette fois-ci retenir son rire.

— Je crois que c’est la première fois, que j’ai des clients comme ça, c’est incroyable. Et donc vous, ça ne vous pose pas de problème que votre femme parte en vacances ainsi et qu’elle tombe enceinte d’un autre.

Kader prit soin de répondre à la place de Pierre :

— Quand on a un sexe d’un enfant de 10 ans, le physique d’une crevette et qu’on a la virilité d’une pute travestie, on remercie des vrais mecs de satisfaire sa femme et on obéit sagement, hein Pierre ?

Ce dernier, tête baissée depuis un certain temps maintenant, répondit à son tour :

— Oui c’est ça, je remercie Kader, parce que je ne peux pas satisfaire ma femme

La discussion entre eux continuant tout le long du trajet, le chauffeur de taxi se montrant de plus en plus curieux, jusqu’à demander, tellement intrigué par l’objet, c’est que c’était vraiment que la cage dont il parla auparavant.

Anaïs qui fier de cet objet, expliqua au taxi :

— En gros c’est une cage fermée à clef, qu’on pose sur le sexe pour l’enfermer. Par contre il faut avoir un sexe ridiculement petit pour y rentrer à l’intérieur, sinon c’est impossible. Comme il ne va plus s’en servir, on ne sent pas ses pénétrations ça n’a pas de sens, inutile qu’il perde de l’énergie à bander pour rien ou se branler, on contrôle sa sexualité et il peut se concentrer sur les tâches qu’il à faire. Mais attendez, on va vous montrer.

Pierre releva la tête d’un seul coup, implorant du regard sa femme, qui ne prêta même pas attention à lui, se concentrant sur le bouton du jean à défaire. Une fois celui-ci baissé, apparut un string en dentelle rose. Ce qui provoqua un éclat de rire coordonné entre Kader et le chauffeur.

Anaïs qui souriait pleinement baissa le string, pour laisser apparaître cette fameuse cage sur le sexe de Pierre. Le chauffeur fut ébahi par la vue.

— Je savais même pas que ça existait ce genre de trucs. Il ne put s’empêcher d’alterner entre le rétroviseur intérieur, et tourner la tête pour pouvoir regarder de plus près.

— Mais c’est impossible qu’un sexe rentre dedans c’est minuscule !

La discussion reprit de plus belle entre eux, interrompue par des rires et des moqueries, le trajet paraissant interminable pour Pierre. Puis vint la libération l’arrivée chez Hélène, sans même un instant penser à ce qui pouvait l’attendre là-bas, il se sentit soulagé.

— Hélène accueillit à bras ouverts Kader, et tout autant sa fille. Pierre en retrait avec son sac, assista à la conversation comme s’il n’avait jamais été là.

— Merci beaucoup Maman de le garder tu nous rends un immense service !

— Non mais tu rigoles ma chérie, c’est normal. Et puis je vais bien m’en servir. Tu verras je te le rendrais encore mieux que tu ne me l’as laissé.

— Oh oui surtout ne te gêne pas, c’est déjà incroyable l’effort que tu fais en le prenant alors tu as toute liberté

— Oui oui ne t’inquiète pas ma puce, c’est surtout que je vais être Grand-mère dans pas si longtemps du coup.

— Anaïs cria et sauta de joie dans les bras de sa mère.

— Tu te rends compte et en plus à la Réunion, c’est le rêve

— Je suis si contente pour toi ma fille. Elle se dirigea vers Kader, qu’elle serra dans ses bras au niveau du cou. Merci pour tout mon Kader, prends-en bien soin, ramène la moi épanouie et surtout je compte sur toi pour nous faire un beau bébé.

— Merci Hélène et ne te fais pas de souci vous allez avoir un beau petit-fils vous verrez

— Kader embrassa Hélène avant de repartir dans le taxi, Anaïs fit de même prenant soin de serrer dans ses bras Pierre

— On va être si bien, je suis trop heureuse, et toi aussi tu vas être bien là. On t’enverra des photos pour que tu nous suives. Et surtout t’es sage avec maman, tu sais bien que s’il y a un problème Kader s’occupera de toi et tu n’as pas envie. Ah et dernière chose j’ai donné la clé de ta cage à maman mais ne t’avise pas de lui demander quoi que ce soit, c’est juste en cas de problème, hors de question de te libérer.

Un bisou sur la joue et voilà sa femme partant dans le taxi, à grands pas. Les vacances commencèrent enfin.

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