Comme je l’ai raconté dans l’histoire précédente, à part une putain, je n’avais jamais fait l’amour avec une fille ou une femme quand je me suis marié. J’ai dit que c’était un mariage arrangé mais ce n’en était pas tout à fait un car j’étais très timide à l’époque et ma mère m’a présenté une fille dont elle connaissait les parents et j’ai accepté.
Mon expérience sexuelle consistait en la masturbation commencée très jeune et les rapports que j’avais eus au service militaire avec une autre recrue mais je n’en ai jamais parlé à personne à part ici avant aujourd’hui. Quand j’étais adolescent, je me procurais des revues comme « Union » par l’intermédiaire d’un copain dont les parents tenaient un tabac/marchand de journaux et aussi l »a Vie Parisienne » dont la qualité laissait à désirer mais qui me suffisait à m’exciter.
Je me branlais dans mon lit au début en lisant ces revues et quand je me suis rendu compte que j’en mettait plein mes draps et mon pyjama, j’ai pris l’habitude de me branler dans la salle de bains ou dans les W.C. de la maison. Je me branlais même dans les W.C. du collège et ensuite du lycée.
Je me souviens encore d’une prof d’anglais, une belle rousse assez menue qui dès qu’il faisait beau avait toujours des petites robes et j’essayais de voir au travers dans un rayon de soleil et j’apercevais parfois la courbe de ses fesses. Ses robes étaient toujours boutonnées jusqu’au cou mais un jour elle en a mis une qui était décolletée et quand elle s’est penchée sur moi avec sa peau si blanche et les tâches de rousseur sur le haut de sa poitrine. J’ai sans doute eu une curieuse réaction parce qu’elle m’a collée pour deux heures le jeudi matin suivant, ce qui m’a valu une baffe de la part de ma mère.
J’avais l’habitude de lézarder le jeudi matin et ma mère a eu du mal à me faire lever. J’arrive à l’école. Je vais dans la classe des collés. Il y avait une dizaine de garçons et il y avait la prof d’anglais. Elle m’a fait venir au bureau, m’a demandé les devoirs que j’avais puis elle a pris une feuille et a écrit quelque chose dessus puis me l’a tendue et j’ai lu : « Tu es un gentil garçon et je ne suis pas une putain ! »
La prof a repris la feuille et l’a déchirée en de menus morceaux et elle m’a dit d’aller à ma place. J’avais quatorze ans et j’étais grand pour mon âge. Chaque fois que je levais les yeux de mes livres, je croisais son regard. Il était midi et temps de partir. La colle était terminée. Les autres sont sortis et la prof m’a dit de l’attendre.
– Pourquoi as-tu dit que je suis une putain, m’a-t-elle demandé ?
J’ai bafouillé que j’avais vu ses seins et elle s’est mise à rire et m’a dit que j’en verrais d’autres. Elle a posé sa main sur mon cou et j’ai désiré qu’elle me force à plaquer mon visage sur sa poitrine, mais c’était pour me pousser vers la sortie de la classe. Après ça, elle ne m’a plus embêté. Au contraire, elle a marqué plusieurs fois dans mes carnets qu’elle admirait ma franchise.
Je voyais ma « fiancée » chez moi ou chez elle le dimanche après-midi et je dois avouer que je n’ai presque aucun souvenir de mon mariage qui ne s’est passé qu’à la mairie. Le soir même, nous avons pris le train jusqu’au Croisic où ma mère avait réservé une chambre en pension chez des gens qu’elle connaissait. On n’y était allés en train et il n’y avait pas d’autre moyen de transport et nous avons passé huit jours chez cette femme qui nous a choyés.
La première nuit, il ne s’est rien passé. Ou si. Ma femme a posé sa main sur ma bite et j’ai éjaculé tout de suite. Une vraie catastrophe. Quand je suis revenu me coucher, ma femme dormait. Elle dormait les cuisses ouvertes et j’ai posé la main sur sa coupe. Nous nous sommes promenés toute la journée et la seconde nuit il m’a bien fallu faire quelque chose et je voyais bien que je n’étais pas très au point. Quand j’avais fait l’amour avec la putain, elle s’était assise au bord du lit, jambes pendantes et je l’avais fait debout. Je me suis couché sur ma femme et je lui ai fait l’amour tant bien que mal mais j’ai réussi à éjaculer dans son vagin.
Ça peut paraître ridicile mais ça c’est vraiment passé comme ça. Le troisième jour, un pêcheur nous a proposé de traverser le passage pour aller en face sur la presqu’île de la Turballe et nous a lâchés là en nous disant qu’il nous reprendrait sur les six heures. On a marché dans le petit bois puis on a débouché sur la plage et pour la première fois j’ai vu des nudistes. Il y avait des gens nus étalés sur le sable et d’autres qui faisaient du volley. Une femme à la quarantaine triomphante et avec des seins énormes qui lui descendaient sur le ventre s’est levée de sa serviette de bains et est venue vers nous et nous a dit qu’on ne pouvait pas rester là à moins de faire comme eux et de nous déshabiller entièrement puis elle nous a demandé si nous n’étions pas de jeunes mariés.
Elle nous a dit ensuite que ce n’était pas facile au début et ce n’était pas difficile de comprendre de quoi elle parlait et elle nous a fait asseoir à côté d’elle et nous avons parlé de ce qu’un jeune mari doit faire avec sa jeune épouse. Peut-être était-elle sexologue mais j’en doute parce que ça ne devait pas exister à l’époque. De temps en temps, elle faisait des signe à son mari qui s’amusait dans les vagues avec leurs enfants.
La femme a dit à mon épouse qu’elle pouvait me faire téter ses mamelons parce que ça m’exciterait ou qu’elle pouvait me caresser le sexe pour me faire bander, ajoutant que les femmes n’ont pas ces problèmes. Elle a encore ajouté que bien que ce ne soit pas bien vu, le mieux était de faire l’amour comme les chiens, à quatre pattes et que de toute façon, personne ne le saurait. Elle a encore dit que si mon épouse m’aimait elle pouvait prendre mon pénis dans sa bouche et le sucer et qu’à l’inverse, je pouvais embrasser le sexe de mon épouse.
Nous étions rouges de confusion. Mon épouse a trouvé le courage de lui demander si elle faisait tout ça avec son mari et la femme lui a répondu qu’une épouse amoureuse fait tout ce son mari lui demande et ça en a été fini de cette conversation. Nous nous sommes levés et la femme s’est levée avec nous et elle a ajouté pour mon épouse qu’ele n’avait pas beaucoup de poitrine mais que ça s’améliorerait avec les grossesses.
J’ai expliqué par ailleurs que sa première grossesse était déjà en route. Nous avons marché au bord de la plage et nous étions nus comme tous ces gens. Nous avons même vu un couple qui faisait l’amour discrètement. Le mari était collé dans son dos et elle avait la jambe relevée et pliée et elle avait le pénis bien enfoncé dans son vagin. Nous les avons regardés et je me demande encore s’ils ont su qu’on les regardait sur l’instant mais quand ils ont fini, la femme a posé ses doigts sur sa vulve et nous a vus et nous a dit bonjour puis elle s’est levée et elle est partie se laver dans la mer.
J’aurais voulu que ces deux là aussi nous donnent des conseils mais il ne s’est rien passé. La femme a rejoint son mari et ils se sont allongés sur leurs serviettes. Il était temps de rentrer. Le pêcheur nous a ramenés en nous évitant un énorme détour dont à l’époque on ne savait rien. On a dîné avec la femme du meublé puis nous sommes montés nous coucher et on a fait à peu près tout ce que nous avait conseillé la femme aux gros seins à part que quand j’ai tété les mamelons de mon épouse elle m’a dit que ça la chatouillait et quand j’ai embrassé sa chatte elle m’a dit que je lui faisais mal.
J’ai pris ma femme en levrette et j’ai éjaculé au bout de cinq minutes mais heureusement, le lendemain, ça a duré plus longtemps parce que ma femme a compris qu’il fallait me faire attendre et faire autre chose entre deux pénétrations et c’est comme ça que j’ai éjaculé sur sa poitrine puis elle a réussi à me faire jouir en me suçant et m’a dit que le sperme c’était dégoûtant mais depuis elle a changé d’avis.
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