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Belle-fille voilée et son beau-père 3

Belle-fille voilée et son beau-père 3



Quand je me suis levée le matin, j’ai trouvé mon beau-père en train de préparer, lui-même, le petit-déjeuner, quand le café fut prêt, on l’a pris tous les deux. Il m’a demandé si j’avais besoin de quelque chose, il allait sortir. Je lui dis : « rien de spécial, l’essentiel, c’est que tu prennes soin de toi », il m’a remerciée et m’a fait une bise sur mes joues.

Vers 10h, j’ai senti mon cycle mensuel, je maudis ce jour et, en même temps, j’étais très contente, car il ne m’avait pas mise enceinte, car il a éjaculé au fond de moi. Vers midi, mon mari s’est réveillé, il a déjeuné avec moi et s’est préparé pour aller à la mosquée pour la prière du vendredi. Il m’a posé la question sur son père et je lui dis qu’il est sorti.

Vers 13h30, une sonnerie de la porte, j’allai ouvrir, j’aperçus la tête de mon beau-père passer par l’ouverture, il me souriait, en entrant et en refermant la porte avec précaution. J’en ai été si surprise que je n’ai pas réagi, il s’est approché de moi et, sans un mot, il m’a fait une bise, après, il a pris place dans le salon, il s’est allongé sur le canapé et m’a demandé de m’assoir près de lui. Tout en souriant, Il m’a dit : « Taous, et toi, tu ne fais pas ta prière ? », je n’ai pas répondu, puis, après un instant, il m’a dit : « tu es de plus en plus belle, mais tu dois changer un peu tes habits, je te vois toujours avec ce maudit voile », « pourquoi, c’est la volonté de ton fils et je suis sa femme, je dois lui obéir ». Il a murmuré en m’attirant à lui. J’ai soudain eu froid, un grand frisson m’a parcouru sur toute la surface de ma peau et pour le coup, j’étais bien réveillée. Mon beau-père m’a prise dans ses bras puissants et, tout à coup, j’ai retrouvé cette intimité.

Ses lèvres ont embrassé ma joue, elles ont cherché ma bouche et je me suis laissé faire. Tout m’est revenu en mémoire en un instant, cette sensation de sécurité entre ses bras, cette douceur qui était la sienne et rien qu’à lui. Mon corps s’est détendu et je me suis laissée aller contre sa peau chaude. Il a commencé à m’embrasser partout, la bouche, le cou, les seins, quand j’ai senti mes cuisses s’ouvrir sous la poussée de ses genoux qui s’insinuaient entre mes jambes. Je lui dis d’arrêter, mais il m’a dit : « pourquoi ma belle, tu as peur ? », je lui réponds : « non, je suis sale par là », mon beau-père a glissé contre moi et j’ai senti sa bouche se poser encore sur ma bouche, mon imagination va directement vers mon mari, il va bientôt arriver de la mosquée.

J’étais entre deux univers, celui de mon mari et celui de mon beau-père qui m’avait ouvert aux choses du sexe de façon si délicieuse qu’il m’était difficile de lui refuser quoi que ce soit. C’est ainsi que je l’ai laissé faire, remonter mon désir, que j’ai gémi sous sa langue et ses lèvres si douces, je me suis ouverte à lui et je l’ai accueilli. Quand il a estimé que j’étais assez chaude pour cela, avant même qu’on finisse, la sonnerie de la porte nous fit sursauter tous les deux. Je me suis mise debout rapidement, quand j’ai ouvert la porte, c’était la tante de mon mari. Je lui souhaitai la bienvenue, elle passa directement vers le salon où se trouvait son frère. Je les laissai discuter tous les deux et moi, j’ai préparé le café. Quelque instant après, mon mari fit son apparition, on a passé toute la soirée à discuter. Elle nous a annoncé qu’elle restera quelques jours, tout était foutu pour moi. Presque une semaine, on a rien fait, mon mari, c’était sa semaine où il travaillait la journée. La nuit, on les laisse discuter de bon vieux temps. Quand elle est partie, mon mari travaillait l’après-midi, je me rappelle très bien. Quand sa sœur a dépassé le seuil de la porte, il a fermé, rapidement, la porte, il est venu directement à moi, il m’a embrassée, il m’a dit : « Dieu merci, nous sommes enfin seuls », sans perdre de temps, il a glissé sur moi.

J’ai senti son sexe tendu frotter sur mon ventre et puis glisser plus bas entre mes cuisses et, enfin, remonter. Mon beau-père pesait sur moi, le souffle haletant. Moi, fascinée et subjuguée par ce qui arrivait, je ne disais rien sous lui, je le regardais, admirative, de sa masculinité. J’ai senti mes lèvres intimes s’ouvrir pour cet après-midi-là et puis mon vagin, bien trempé, s’écarta et mon beau-père, d’un coup de reins, magnifiquement délicieux, s’est propulsé en moi. J’ai poussé un « ah » étouffé et nous sommes restés ainsi un long moment qui n’appartenait rien qu’à nous.

Puis j’ai senti le membre de mon beau-père qui commençait à labourer mon vagin. J’ai gémi et mon beau-père avait un grand sexe, pas comme celui de mon mari, en grosseur, comme en longueur et je le sentais qui tapait au fond de mon ventre, contre mon utérus. Il allait et venait d’un mouvement régulier délicieusement rythmé. Je fermai les yeux pour mieux me consacrer à cette sensation si particulière et qui avait le don de m’envoyer, à chaque fois, vers des paradis interdits. Mon beau-père me besognait et je crois que cela a duré, duré, le temps a perdu sa notion première pendant que je plongeais dans les délices d’une baise interdite. Son accélération m’a fait rouvrir les yeux, mon beau-père était au-dessus de moi, il me regardait de façon si intense que j’en étais hypnotisée. J’ai plongé mon regard dans ses yeux sombres, nous étions un, nos corps si imbriqués et si complices qu’il suffisait de se laisser aller. C’est-ce que j’ai fait. J’ai senti soudain que mon beau-père se crispait sur moi, j’ai senti sa bite palpiter, puis tressaillir et puis, juste après, des spasmes à n’en plus finir, des coups de reins qui faisaient de moi une poupée de chiffon entre les bras puissants qui m’enserraient si fortement. J’ai crié, je crois et mon beau-père m’a mis la main sur la bouche pour étouffer mes cris.

Dans un dernier coup de reins, mon beau-père s’est fiché en moi comme un pieu en terre. Je sentais ses jets de sperme envahir mon ventre. Je ne peux pas dire combien de temps nous sommes restés ainsi enlacés l’un à l’autre. Nous étions si bien dans cette situation ombreuse dans l’après-midi ensoleillée. Mon beau-père me tenait chaud, mais peu m’importait, j’aimais sentir son poids rassurant sur mon corps trempé de sueur.

Nous sommes restés ainsi un long moment sans bouger. Et puis mon beau-père a relevé la tête, il m’a souri, il a glissé sur le côté, j’ai ressenti un grand froid, mais mon beau-père était près de moi, je ne devais pas avoir peur du monde, j’étais protégée.

À son âge, j’étais très surprise de voir son sexe redevenu si dur en si peu de temps, le contraire de mon mari, pourtant, il venait d’avoir sa retraite. Quelques instants après, je l’ai senti contre mes fesses, ses bras m’ont entourée, il m’a ramenée contre lui, sa main a écarté mes globes fessiers et j’ai senti son gland s’appuyer sur mon anus. « Ah, beau-père, j’aime ça », mais je n’osais pas lui dire, on dirait qu’il sait ce que je veux. Déjà, c’était le premier à me faire ça, vraiment ça me plaît beaucoup, alors, sans me laisser le temps, il a donné un coup de reins et son sexe a retrouvé sa voie dans mon ventre, il me sodomisait. Mon cul s’est rouvert pour lui, mon sphincter laissant le passage à sa verge. Il se planta profondément en moi avant de s’immobiliser encore pour jouir de l’instant. Ses deux mains puissantes m’avaient prise par les seins, me collant à lui. Et dans l’après-midi torride, mon beau-père a repris ses mouvements de va-et-vient entre mes fesses. Son souffle chaud balayait ma nuque pendant qu’il faisait de moi sa chose. Pour la seconde fois de l’après-midi, il se laissa aller et je sentis le sperme envahir mon ventre. J’étais un peu honteuse, mais il était là pour me soutenir. Il m’a dit, ce soir-là : « j’aimerais bien te prendre quand mon fils sera là », je lui dis non, il m’a dit : « trouve une excuse, tu te débrouilles, l’essentiel, c’est qu’il sera ici à la maison », j’ai rien dit, puis il m’a dit : « viens ce soir dans ma chambre, je t’attendrai, Taous », sans qu’il ait ma réponse. Je me suis dirigée vers la cuisine pour préparer le dîner. À 21h, mon mari est arrivé, la table était prête, mon mari appela son père : « Papa, c’est l’heure de souper ». Mon mari l’appelle en ouvrant la porte, en se demandant pourquoi son père s’enferme dans sa chambre.

« Viens papa, avant que ça refroidisse ! », ajoute-t-il, en attendant sa réponse. J’entendis lui dire : « d’accord, je viendrai dans quelques instants ». On a dîné tous ensemble, j’étais très gênée, mais lui, je n’ai rien remarqué. Il parle à son fils, il le conseille, même, il lui a dit de prendre soin de moi : « rappelle-toi bien, elle est ton soutien, vraiment, tu as une très belle femme », mon mari lui a dit merci en rougissant.

Apres le dîner, ils sont allés au salon et moi, je suis restée à la cuisine pour terminer mes tâches ménagères, mon mari a fait sa prière, même son père a regagné sa chambre. J’ai terminé mes tâches et j’ai suivi mon mari dans notre chambre. Cette nuit-là, j’ai porté ma chemise de nuit préférée au lit, depuis mon mariage. Mon mari l’a remarqué, il m’a dit : « sûrement celle de notre nuit de noces », je lui répondis que oui, Il n’aime pas me voir dans des petits dessous, il m’a dit : « rentre vite sous la couette, il ne faut pas que je te voie ainsi », il m’a aussi dit : « je trouve agréable de te regarder, mais il ne faut pas rester ainsi, presque nue, devant moi », je me suis glissée sous la couette et mon mari était déjà là, se plaçant derrière mon cul, et en le sentant contre moi une sensation de chaleur envahit tout mon corps. Il aime être derrière moi, me toucher jusqu’à ce qu’il s’endorme, moi dans ma tête, je ne pensais qu’à ce que m’avait dit mon beau-père, il faut que je trouve une excuse, j’ai senti la bite de mon mari, elle était dure comme une pierre et il la plaquait contre mes fesses. Il m’a serrée dans ses bras le plus fort possible, mais que devais-je faire pour me libérer et aller rejoindre mon beau-père ?

J’ai continué à penser à mon beau-père, à sa longue et grosse queue contre mes fesses, j’ai donné des petits pincements à mes mamelons, caressé mon minet brûlant et j’ai enlevé mon slip sans que mon mari ne s’en rende compte. J’ai dégrafé mon soutien, j’étais, maintenant, toute nue sous ma chemise de nuit et l’image de mon beau-père ne me quittait pas. J’ai attendu, comme ça, presque 2h 30 ! J’ai constaté que mon mari dormait, je fis semblant de sortir à la salle de bain, je n’étais jamais sortie comme ça, même quand nous étions seuls tous les deux. J’avançais dans le couloir, toutes les lumières, dans la maison, étaient éteintes, à part une lueur venant de la chambre de mon beau-père. Avec beaucoup de courage, je me suis avancée vers cette porte, mon cœur battait très fort et mes jambes tremblaient.

« Mon Dieu, ce que je fais », j’ai pris mon courage à deux mains et j’ai ouvert cette porte, il était sur son lit, il m’attendait, son sexe dressé devant mes yeux:

« Ah, comme ça, tu es très bien avec cette tenue…, tu es si belle… ! »

Il m’a dit : « viens vite pour te serrer dans mes bras », il a ajouté : « tu es splendide, Taous », et il m’a basculée sur le lit et s’est collé contre moi.

Je gémissais, tremblais dans ses bras puissants, en me demandant si je devais fuir ou rester avec lui, en appréciant son vit épais, écrasé contre mon minet en feu.

Son pénis long et très dur se plaqua dans ma chatte excitée, en envoyant, vague après vague, des sensations à couper le souffle, déferlant sur moi. Les troubles que je ressentais étaient provoqués par mon beau-père, je savais aussi que ces choses-là n’étaient pas naturelles.

Il me tenait serrée, en appréciant mes magnifiques seins écrasés sur son torse et ma chatte chaude sur son pieu raide.

Il savait que ça devrait cesser maintenant, mais mon tremblement et son corps m’excitaient, me mettaient en transe.

Il ne pouvait pas ôter ses mains de mon corps, de ma peau excitée. Il m’a caressée partout dans mon dos et bougé lentement jusqu’au bord de mes lèvres intimes, puis il m’a donné une fessée, en matant mon cul. Il aimait frotter son pénis entre mes fesses, il m’a dit : « tu as une raie profonde et large, Taous ». Il m’a dit que sa bite bien dure souhaitait être logée entre mes deux globes. Je n’ai pas répondu, il m’a donné une autre fessée : « réponds », je lui dis « oui », il m’a dit : « quoi oui, tu veux ou non ? », je lui dis : « oui, je le veux », puis il m’a dit : « mon fils ne te fait pas ces choses ? », j’ai fait un geste avec ma tête, une troisième fessée, il m’a dit : « quand je te pose une question, tu me réponds », je lui dis « oui ».

Il m’a dit : « est-ce que mon fils t’a prise par là ? », il a mis son doigt dans mon anus, je lui dis : « non », il m’a dit alors : « mon fils est un pédé », je lui dis : « non, c’est interdit dans notre religion », il m’a dit alors : « pourquoi tu l’as fait avec moi et en plus, ça te plaît beaucoup ? ». Je n’osai pas bouger, de honte et d’excitation, il m’a dit : « s’il n’est pas pédé, comment ne sent-il pas l’absence de sa femme ? Et toi, tu es une « kahba », n’est-ce pas ? ». Je n’ai pas répondu : « allez, dis-le-moi ».

Je lui dis que je ne le suis pas, il m’a dit : « tu es « kahba diali », c’est-à-dire, « ma pute à moi ». Moi, je me trouvais seulement à quelques centimètres de son sexe gonfle qui piaffait d’impatience, seulement séparés par l’oreiller. Quand je bougeais, je ne me suis pas rendu compte que l’oreiller avait glissé, jusqu’à ce que je sente son sexe contre mon oreille.

Oh mon Dieu, qu’il était chaud !

J’appuyais mon visage sur son chibre gonflé. Quand son sexe rigide atterrit contre ma bouche chaude et excitée, j’ai commencé à lui donner des doux baisers, partout le long de sa tige et quand il s’est reculé au fond du lit, une odeur plaisante arriva sur mon nez.

Lui commença à me lécher les cuisses, jusqu’à la source de l’arôme à couper le souffle. Je n’avais plus de force pour ne pas crier quand mon beau-père embrassa et lécha mes cuisses moites. Moi, j’embrassais son gland gonflé et je savais, maintenant, qu’il était temps, pour moi, de faire plaisir à mon beau-père. J’ouvris la bouche, respirais à fond et j’essayais d’avaler toute la bite. Presque son pénis tout entier dans ma bouche et jusqu’au fond de ma gorge.

« Tu es une sacrée bonne petite suceuse de bite, Taous », j’ai retiré son sexe et je lui dis que c’était la première fois de ma vie.

Il rit en attrapant ma nuque et il commença à baiser ma bouche aussi vite et aussi fort qu’il le pouvait.

Il grognait plus fort, en baisant ma bouche, durement et profondément. Il matait ma chatte et ne put pas résister, il plongea sa bouche entre mes cuisses et entama un cunnilingus, il me lécha et me suça à fond.

« Aimes-tu ça, Taous ? », il entendit un gémissement arriver quelque part au-dessous de lui, moi je suçais le plus fort que je pouvais, j’adorais la grosse et raide bite de mon beau-père dans ma bouche, je voulais seulement lui faire plaisir. Il enfonça sa langue dans mon vagin et je ne pus m’empêcher de crier, j’avais même oublié que mon mari est à côté. Je hurlais de plaisir quand sa langue fouilla ma chatte. Moi, je coulissais sa bite, profondément, dans ma bouche chaude et appréciais le fait qu’elle soit profondément logée au fond de ma gorge.

Je le suçai plus fort, plus profond jusqu’à ce que son pubis se plaque contre ma bouche. Tout à coup, il m’a dit : « Taous, je vais jouir, attention, je ne peux pas me retenir très longtemps », à cet instant même, j’ai senti des jets au fond ma gorge, il a éjaculé dans ma bouche qui était pleine de son sexe, je ne pouvais pas avaler toute cette quantité, et il me l’a demandé, mais je n’ai pas pu. Il a remis son sexe dans ma bouche, il était mou, mais très chaud. Il me baisa la bouche aussi vite qu’il pouvait. Il pouvait faire tout ce qu’il voulait de moi, même s’il voulait dire de n’être rien que sa petite chose personnelle, d’être son jouet pour la baise, sa poupée gonflable, même comme il venait de me dire déjà, « kahba dialou » « sa pute à lui », au fond de moi, je voulais lui appartenir.

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