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Le loyer de retard

Le loyer de retard



Mon histoire se déroule pendant nos années fac. Nous étions alors deux jeunes étudiants des TOM perdus dans Montpellier. Nos parents ne roulaient pas sur l’or et nous devions travailler pour pouvoir manger à notre faim. Nous manquions de tout en réalité, et la situation s’est brusquement aggravée lorsque mes parents, en proie à des difficultés financières, ne purent plus m’envoyer le mandat salutaire du début de mois. Rapidement, on se mit à devoir un demi-loyer, puis un loyer, etc., etc., jusqu’à arriver à deux loyers entiers en retard.

Notre propriétaire était un vieux monsieur bedonnant, la soixantaine bien sonnée, très gentil avec nous, mais malheureusement ne pouvant pas se permettre de nous loger gratuitement ou presque vis-à-vis des autres locataires. Il est venu nous trouver pour nous faire savoir qu’il fallait que l’on trouve une solution rapidement sinon il allait être obligé de nous faire partir.

Depuis le début, nous avions remarqué qu’il trouvait Charlie tout à fait à son goût, ne manquant jamais de la complimenter sur sa tenue, son sourire, sa plastique, etc. Jusqu’à présent, nous n’avions jamais pensé nous servir de ça pour avoir des avantages vis-à-vis des autres locataires ; mais là, une suite d’événements a fait qu’on en a profité, par la force des choses.

Charlie, qui travaillait avec moi à la brasserie du coin, démissionna pour prendre un poste d’hôtesse d’accueil dans un salon de massage de relaxation où les masseuses n’en étaient pas vraiment. Pour être tout à fait franc, les masseuses en question, moyennant finances, pouvaient être amenées à « soulager » leur client – en général manuellement – et beaucoup plus rarement oralement, si vous voyez ce que je veux dire. Elle était beaucoup mieux payée, et on a alors pu commencer à rembourser petit à petit, chaque mois, une partie de notre ardoise, à la grande satisfaction de notre propriétaire qui accepta alors, au vu de notre bonne volonté, de continuer à nous loger.

Très peu de temps après avoir commencé son nouveau job, une des masseuses démissionna. La patronne lui proposa de prendre le poste en lui expliquant les rudiments du massage relaxant après une formation ultra-rapide d’une dizaine de jours sur le terrain, si j’ose dire. Charlie accepta sans m’en parler, de peur que je m’y oppose, en sachant très bien ce qu’elle allait devoir faire avec les clients. Le salaire n’avait plus rien à voir avec ce qu’elle touchait en qualité d’hôtesse d’accueil ; et surtout, les horaires étaient beaucoup plus malléables, ce qui l’arrangeait à cause des cours à la fac.

Rapidement, je me suis rendu compte que quelque chose était en train de se passer quand j’ai vu d’abord notre petit frigo déborder de victuailles, et des nouveaux vêtements, tant pour elle que pour moi. J’ai commencé à lui poser des questions quant à son travail, mais elle restait toujours très évasive sur ce qu’elle avait à faire exactement, jusqu’au jour où elle finit par me dire qu’il fallait que l’on parle car elle avait quelque chose à me dire.

C’est alors qu’elle m’apprit le nouveau travail qu’elle avait accepté avec les « petites contraintes » que cela signifiait, et surtout le fait qu’elle avait eu la surprise de voir débarquer au salon notre brave propriétaire. Bien sûr, il avait demandé à ce que ce soit Charlie qui officie, puis lui avait demandé – moyennant un petit supplément – une fin de massage très spéciale puisqu’il s’agissait pour elle de le faire jouir manuellement. Charlie n’avait pas trop le choix, aussi elle s’exécuta pour la plus grande joie de notre pas si gentil propriétaire.
Bizarrement, et bien que contrarié par ce qu’elle était en train de m’avouer, je me suis senti de plus en plus excité, et naturellement je me suis mis à bander comme un cerf. Elle s’en est bien sûr aperçue, s’exclamant alors :

— Putain, mais j’y crois pas… Tu bandes ? Ça t’excite ce que je te raconte, hein ? T’es un gros pervers ! Ça t’excite de savoir que je fais jouir des mecs en les branlant, c’est ça ?

J’étais vraiment tout bête d’être pris en flagrant délit, et je ne pus qu’avouer qu’effectivement, ce qu’elle racontait m’excitait un max, à mon plus grand étonnement car j’étais plutôt d’un naturel assez possessif jusqu’à présent.
Elle profita de son avantage pour me dire que d’un côté ça l’arrangeait que cette situation m’excite car ce matin, après mon départ à la fac, notre propriétaire était venu la voir pour lui dire combien il avait apprécié sa prestation, mais surtout qu’il était prêt à ce qu’on trouve un arrangement très avantageux au niveau du loyer si elle acceptait de le recevoir ici, chez nous, ou de venir chez lui pour pratiquer ses massages.

Je n’en revenais pas qu’elle me balance ça à la figure aussi crûment ; mais ce qui était sûr, c’est que je me mis à bander encore plus fort puis, n’y tenant plus, je lui sautai dessus en la traitant de petite salope, et sans perdre de temps je lui arrachai ses vêtements pour la basculer sur notre petit canapé et lui planter ma queue raide comme du bois dans la chatte. On était sur la même longueur d’onde. Elle aussi avait envie que je la saute sans ménagement. Elle m’encourageait de la voix tandis que je lui assenais de véritables coups de boutoir avant de la retourner pour la finir en levrette, mes mains solidement accrochées à ses hanches.

— Oui, oui, vas-y ! Baise-moi fort… Ça t’excite, hein, que ta petite salope branle des mecs et les laisse éjaculer sur ses doigts ?
— Ouais, je ne te savais pas aussi salope. Ça m’excite. Je veux que tu me racontes tout. Combien t’en as fait jouir ? Avoue que t’en as sucé aussi ? Dis-moi tout. Je veux tout savoir.

En peu de temps, elle se mit à jouir comme une folle avant qu’elle n’ait pu me dire si elle avait déjà sucé des mecs dans l’intimité de ce salon de massage, m’entraînant avec elle dans un orgasme ravageur et bruyant.

Le calme revenu, on se mit à parler de tout ça plus tranquillement. J’appris alors qu’elle n’avait encore jamais sucé un de ses clients, se contentant de les faire juter en les branlant entre ses doigts, m’avouant quand même qu’il lui arrivait très souvent de leur montrer ses seins, voire de les laisser les peloter au moment de leur jouissance.

Quand je lui demandai si elle n’avait jamais eu envie d’en sucer au moins une, elle m’avoua que plusieurs fois elle en avait eu envie mais qu’elle s’était retenue car elle ne pouvait pas faire ça sans qu’on en ait parlé avant. Je l’inondais de questions, voulant tout savoir, et là j’appris qu’elle n’avait jamais vu autant de bites en si peu de temps. Des grosses bien larges, des longues, des énormes, et des couilles aussi toutes différentes les unes des autres. Les hommes étaient vraiment tous des gros vicieux avides de sexe dès qu’ils voyaient une petite jeune prête à se plier à leurs exigences.

Puis elle revint à notre propriétaire en me demandant ce que j’en pensais. Ça m’embêtait beaucoup que ça se passe carrément chez nous, mais en même ça m’excitait un max, d’autant qu’avec de la persuasion, je pourrais peut-être arriver à la convaincre de me laisser regarder, caché dans le petit réduit servant de combles dans le plafond.
Je finis par lui donner mon accord en lui faisant promettre qu’elle allait tout me raconter sans jamais rien me cacher, et qu’à partir de maintenant elle acceptait de ne jamais se refuser à moi, même si elle était fatiguée ou qu’elle n’en avait pas envie tout simplement. Elle accepta toutes mes conditions en me disant que dès le lendemain elle lui annoncerait la bonne nouvelle comme quoi il n’aurait plus à passer au salon de massage.

La journée du lendemain se passa normalement, à part que je me sentais excité en permanence, me demandant à plusieurs reprises dans la journée si notre propriétaire était passé à notre appartement pour profiter des services de ma petite salope. Quand je rentrai le soir, je retrouvai Charlie toute souriante, visiblement de très bonne humeur. Elle me demanda de regarder sous mon oreiller ce qui s’y trouvait. Je le soulevai, et là je découvris un reçu de notre propriétaire, lequel stipulait que le reste de nos dettes (se montant encore à un mois entier de loyer) avait été réglé. Je me mis à bander immédiatement en imaginant ma chérie avec lui durant l’après-midi.

— Il est venu, c’est ça ?
— Oui, il est venu pour se faire masser et puis, comme la dernière fois, m’a demandé une spéciale. J’ai donc accepté en baissant son caleçon et découvrir sa queue déjà toute raide.
— Il en a une grosse ?
— Non, non. Pas du tout. Je dirais plutôt super fine et super longue. Je n’ai pas mesuré, mais c’est sûr qu’elle est super longue, avec un gland par contre très gros, très beau, circoncis.
— Très beau… humm ! Ça m’excite que tu dises ça en parlant d’une autre queue que la mienne.
— Bref, j’ai commencé à lui caresser la bête pour bien finir de l’exciter, puis je l’ai branlé en enduisant sa bite de salive. Il grognait comme un goret. C’était super excitant de l’entendre grogner comme ça, et surtout sentir les spasmes de sa tige entre mes doigts. Il coulait tellement fort que je n’avais même plus besoin de remettre de ma salive sur sa bite.
— Tu l’as sucé ?
— Non. Enfin, pas tout de suite.
— J’y crois pas… T’as pris sa queue dans ta bouche ?
— Oui. Mais attends, je t’explique. J’étais en train de le branler. Il gémissait de plus en plus fort, sur le point d’exploser. Tout à coup il m’a demandé de le sucer pour qu’il jouisse dans ma bouche. J’ai refusé. Il m’a alors dit que si j’acceptais, il me ferait grâce du dernier loyer en retard que nous devions encore. J’ai craqué.
— Oh, putain… Salope ! Petite pute de monsieur Georges ! Tiens, suce-moi pour la peine, et montre-moi comment tu t’y es prise pour le faire jouir.

Sans attendre, elle ouvrit la bouche et me glissa entre ses lèvres. Elle commentait en même temps ce qu’elle me faisait. Je me retenais de toutes mes forces pour ne pas gicler sur le champ. Je sentais sa langue s’enrouler autour de mon gland, insister sur le frein, descendre vers mes couilles pour se mettre à les lécher. Elle me branlait en même temps. J’avais la tête en compote. Tout tournait autour de moi tellement c’était bon. De temps en temps elle me faisait sortir de sa bouche pour continuer à me raconter ce qu’elle avait fait à monsieur Georges et comment il beuglait de plaisir, puis comment quand elle l’a jugé à point, elle lui a assené le coup de grâce en lui tétant le gland jusqu’à ce qu’il se mette à lui vomir toute sa semence dans la bouche. Il lui a crié de tout avaler, de ne rien perdre de son jus. Elle s’est exécutée en déglutissant tout ce qu’il lui expédiait au fond de la gorge au fur et à mesure de son éjaculation, puis elle s’est mise à jouir sans que personne ne la touche. C’était la première fois que ça lui arrivait. Elle était complètement déconnectée du monde des vivants, lâchant le gland du vieil homme en s’affaissant à ses pieds, la tête posée sur ses cuisses toutes velues.
Monsieur Georges était aux anges. Il l’a laissée reprendre son souffle de longues secondes puis s’est rhabillé en sortant d’une de ses poches son carnet de reçus.
Chose promise, chose due : il a rempli le formulaire, l’a signé puis le lui a remis en la remerciant d’avoir accepté de faire ce qu’il lui avait demandé puis s’en est allé.

Charlie elle-même n’en revenait pas de ce qu’elle venait de faire. Dans sa bouche, l’odeur et le goût de sa semence étaient bien présents. Elle n’avait pas rêvé : elle venait de sucer monsieur Georges, le laisser jouir dans sa bouche et avaler son sperme jusqu’à la dernière goutte. Elle venait de se prostituer contre de l’argent. Elle se mit à pleurer, affalée dans notre tout petit canapé, et puis je suis arrivé.

En fait, ça venait tout juste de se produire. J’avais croisé monsieur Georges en arrivant. Il devait certainement sortir de chez nous. J’aurais pu la surprendre, une grosse queue dans la bouche en train de donner du plaisir à un autre mâle que moi. J’étais déçu de ne pas avoir pu assister à ça. Elle le comprit tout de suite.

— Tu n’as pas l’air content, tout à coup. Tu aimerais nous mater, c’est ça ?
— Oui, c’est vrai. Ça me paraît tellement incroyable, moi qui suis si possessif normalement avec toi ; et pourtant, oui, ça m’excite tellement de t’imaginer en train de faire ça que je crois que j’adorerais que tu me laisses assister au moins une fois à ça.
— T’es sûr que tu veuilles assister à ça ? Tu ne vas nous péter un câble et faire je ne sais quoi qui pourrait nous expédier à la rue ?
— J’en suis sûr. Tout à fait sûr.

Elle me dit que monsieur Georges allait certainement revenir dans deux jours pour un nouveau petit massage ; enfin, on se comprend lorsqu’on parle de massage. Elle me proposa de monter dans le faux plafond pour pouvoir assister à toute la séance, me faisant promettre de ne pas me manifester quoi qu’il arrive. Je recommençai immédiatement à bander malgré ma jouissance toute proche. Charlie se mit à pouffer de rire en me voyant la queue à nouveau dressée contre mon ventre. Elle se débarrassa de son short et de sa petite culotte, se tourna pour me présenter ses fesses en montant à quatre pattes tout au bord de notre lit en disant :

— J’ai assez sucé pour aujourd’hui. Baise-moi comme ça, par derrière. Moi aussi ça m’excite de te raconter tout ça.

Un simple regard vers sa petite moule dégoulinante de ses sécrétions me confirma qu’elle disait vrai. Sans attendre, je me suis positionné derrière elle, posé mon gland dans l’entrée de sa vulve en commentant à mon tour :

— Monsieur Georges adorerait être à ma place en ce moment, tu ne crois pas ?
— Ça c’est sûr et certain.
— Tu le laisses te toucher pendant que tu le suces ?
— Juste mes seins, mais je suis sûre qu’il crève d’envie de plus, ce vieux salaud !
— Et toi, t’en as pas envie ?
— Si, bien sûr, surtout quand il m’a bien trituré les tétons en tirant sur eux jusqu’à m’en faire mal. Dans ces moments-là, c’est une bonne queue dans le ventre qui me ferait envie.
— C’est pour moi que tu ne le fais pas ?
— Tu le sais bien. C’est toi mon homme. Ces deux trous-là sont à toi.
— Et si je te le demandais ?
— Tu aimerais donc que je laisse un autre homme me posséder ?
— Je ne sais pas. J’ai envie, pas envie. En fait, je crois que oui, mais à condition que je sois là pour bien voir sa queue s’enfoncer dans ta chatte.
— T’es vraiment un vicieux, un gros pervers…
— C’est toi. C’est toi qui m’as mis toutes ces idées dans la tête !

Notre excitation était à son paroxysme ; j’accélérai mes coups de reins. Elle me cria de lui donner tout mon jus. C’en était trop. J’explosai en criant que je l’aime. Elle me suivit dans l’orgasme en poussant une longue plainte de jouissance.

Deux jours plus tard, je me retrouvai caché dans le faux plafond de notre petit studio, attendant l’arrivée imminente de ce cher propriétaire. J’avais tout préparé en mettant des coussins dans l’abri de fortune, et surtout en perçant plusieurs orifices pour me permettre de voir le lit et le canapé de ma cachette. Mon cœur était sur le point d’exploser quand je m’installai dans ma cachette. Heureusement, l’attente ne fut pas longue car quelques minutes plus tard, j’entendis toquer à notre porte. C’était lui.

— Bonjour Charlie !
— Bonjour, Monsieur Georges.
— Tu es seule ? Je n’ai pas vu Éric s’en aller.
— Houlà, ça fait presque deux heures qu’il a dû partir.
— Ah, cool. On va pouvoir euh…
— Bien sûr, Monsieur Georges. Installez-vous sur le lit, vous voulez bien ?
— Je me déshabille comme d’habitude ?
— Comme d’habitude. À moins que vous préfériez passer aux choses sérieuses tout de suite.
— Humm ! J’aimerais assez, ouais !
— Bien. Dans ce cas, installez-vous dans le canapé. Le temps de me laver les mains et j’arrive.

De mon poste d’observation, je voyais Georges commencer à se déshabiller. Chemise, pantalon, chaussettes, tout y passa sauf son caleçon qu’il ne se décidait pas à ôter. Il s’installa confortablement sur notre canapé en attendant l’arrivée de mon petit cœur d’amour. La voilà qui arrivait. Elle avait revêtu une blouse blanche très courte, genre médicale. Sans attendre, elle s’est agenouillée entre les jambes de son client puis lui a retiré son caleçon. Je découvris son sexe tel qu’elle me l’avait décrit. Il ne bandait pas encore, mais à mon avis ça n’allait tarder car je le voyais se déplier lentement. Elle posa ses doigts sur la verge en commençant à la caresser doucement, allant du sommet de la verge jusqu’à la base de la hampe puis sur les bourses couvertes d’un fin duvet de poils poivre et sel. Rapidement la verge se dressa, m’apparaissant dans toute sa splendeur, raide et dure.

Elle leva alors les yeux vers moi, un petit sourire aux lèvres, puis ouvrit toute grande sa belle bouche de salope et engouffra le gland entre ses lèvres. Georges poussa un long soupir tandis qu’elle le laissait s’enfoncer profondément au fond de sa gorge. Je n’en revenais pas qu’elle lui fasse ça à lui, alors que moi je n’y avais jamais eu droit. Elle s’empala doucement sur le long pieu, le fit ressortir, recommença dans un mouvement de va-et-vient sans fin. Je n’en pouvais plus de voir ce membre entrer et sortir entre ses lèvres, et les gémissements que poussait notre vieux m’excitaient tellement que je finis par sortir ma queue pour commencer à me branler doucement. La sensation était énorme. Plusieurs fois je fus obligé de serrer la base de mon gland pour faire retomber la tension et éviter de gicler.

J’allais jouir. C’était trop bon, Charlie. C’était trop bon.
Charlie ne voulait visiblement pas de ça. Elle arrêta de le pomper, sous les protestations de son client puis, levant les yeux vers moi, elle se désapa en souriant. Elle était nue sous sa blouse. Pas le moindre sous-vêtement. Mon cœur allait s’arrêter. Elle enjamba le papy en posant une jambe sur l’un des accoudoirs du canapé, puis tout en ouvrant sa chatte avec ses doigts, guida la verge avec son autre main vers l’entrée de sa vulve. Le papy n’en croyait pas ses yeux, sur le point de sortir carrément de leur orbite. Juste avant de se laisser descendre sur le membre, elle me lança un dernier regard, un grand sourire, et s’assit carrément sur les cuisses de notre hôte. J’imaginais la verge en train de glisser dans son fourreau intime. Elle ferma les yeux en sentant le membre prendre possession de sa chatte.

— Ouiiiii, ouiiiiiiii… Je te sens bien dans ma chatte, espèce de salaud. Tu aimes ça, hein ? C’est ça que tu voulais ?
— Ah, putain, que t’es bonne… Oui, t’es trop bonne ! Je vais jouir dans ta chatte, petite catin.
— Ouais, vas-y, remplis-moi, donne-moi tout ton jus… J’ai envie de te sentir me gicler dans la chatte !

Le vieil homme accéléra ses coups de reins, mais avant qu’il n’arrive au point de non-retour, elle se retira une nouvelle fois et s’allongea sur le lit en écartant ses cuisses dans une invitation sans équivoque. J’étais idéalement placé car d’où j’étais, je pouvais voir sa chatte presque en gros plan, ouverte, luisante de mouille, les lèvres gonflées de désir. Monsieur Georges la rejoignit sur le lit, se mit à genoux entre ses jambes, et sans attendre posa son énorme gland dans le trou tout béant. Il s’allongea alors sur elle en la pénétrant doucement tout en soulevant ses jambes pour les replier sur sa poitrine. Elle était écrasée sous le poids du vieillard, mais elle l’encourageait à la prendre plus fort en lui assurant qu’elle aimait sa grosse queue toute raide. Je regardais, fasciné, la verge plonger entre les lèvres gonflées de désir, sortir presque entièrement avant de replonger encore plus fort entre les chairs roses, le gros ventre sur le corps fragile, les grosses fesses qui s’agitent à chaque coup de reins.

C’en était trop, beaucoup trop. Je ne contrôlais plus rien. Ma sève montait inexorablement le long de ma tige. J’explosai en plantant mes dents dans l’une de mes paumes pour étouffer le long gémissement qui s’échappa de ma gorge. Le vieux Georges continua de la pilonner un long moment, réussissant à la faire jouir encore une fois, puis se raidit en criant que c’était trop, qu’il était en train de se vider dans sa chatte. Elle le laissa faire, accueillant sans broncher tout son foutre dans son ventre. Ils restèrent un long moment soudés l’un à l’autre, puis monsieur Georges se retira doucement. Je regardais fasciné son sexe sortir du fourreau d’où s’échappait déjà une épaisse coulée de sperme. C’était incroyablement obscène, et pourtant j’étais subjugué par ce spectacle qui s’offrait à mes yeux. Jamais je n’aurais imaginé qu’un jour j’aurais vu Charlie se donner devant moi à un autre mâle, recevoir sa semence, recevoir sa semence et en jouir. Ça ne pouvait pas être vrai. Je devais certainement être dans un rêve, et pourtant tout cela me semblait tellement vrai…

Monsieur Georges n’était pas homme à perdre du temps. Il se rhabilla rapidement en remerciant Charlie pour ce qu’elle venait de lui accorder, ajoutant qu’elle n’aurait plus jamais aucun souci à se faire pour le paiement du loyer si à chaque fois qu’il venait, il pourrait la baiser comme cela venait de se produire.
Charlie lui sourit en lui demandant si c’était bien ce qu’il voulait, la baiser à chaque fois qu’il viendrait, en levant les yeux vers le plafond. Je répondis oui en même temps que monsieur Georges puis, à peine celui-ci hors du studio, je descendis de ma cachette pour me précipiter vers Charlie. Elle m’attendait sur le lit, souriante, son corps simplement recouvert d’un drap tout froissé par la joute dont il avait été le témoin. Elle me dit alors en repoussant le drap pour se découvrir :

— C’est bien ça que tu voulais, n’est-ce pas mon chéri ?

Elle avait les jambes écartées, sa petite chatte toute boursouflée et débordante du sperme de monsieur Georges.

— Réponds à la putain de notre propriétaire. C’est bien ça qui t’excite ? Tu as aimé, mon chéri ? Tu as aimé voir ta petite femme se faire mettre par le gros monsieur ?
— Oui. Oui, j’ai aimé. Mais toi aussi tu as aimé. Je t’ai vue et entendue jouir plusieurs fois. Ça t’excite toi aussi de faire la pute ?
— C’est vrai. Je ne me reconnais plus, et ça me fait peur maintenant.

Pendant tout le temps où nous sommes restés dans cette fac, monsieur Georges est venu deux fois par semaine « relever les compteurs » comme il disait, en s’épanchant dans le vagin de ma chérie d’amour. Au bout de quelque temps, Charlie lui a avoué que c’était grâce à moi qu’elle avait accepté de le laisser la baiser, lui expliquant que j’étais un gros pervers et que je jouissais de voir ma femme se faire mettre par une autre queue que la mienne. Elle lui a demandé de la prendre devant moi de temps en temps et il a accepté. Dès cet instant il est venu plus souvent, n’importe quand, même me sachant à la maison pour venir se soulager dans le ventre de ma belle, sachant pertinemment qu’il était le bienvenu tant vis-à-vis de ma femme que de moi. Toujours prête et disponible pour satisfaire ses deux mâles.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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