Appelles moi Monsieur !
J’étais la plupart du temps seule dans l’appartement et Julien ayant des horaires très réguliers, j’avais pris l’habitude de rester nue en sortant de la douche ou pour effectuer certaines taches ménagères (pour faire un petit pied de nez à ma pudeur), sachant que personne ne risquait de me surprendre.
Le jeudi suivant le repas avec Laurent, après le départ de Julien pour son travail, j’ai mis de la musique et me suis mise à l’aise pour faire un peu de ménage. Tandis que je me penchais en avant pour ramasser avec la pelle les poussières que je venais de balayer dans la cuisine, j’ai entendu une voix grave couvrant la musique dire : « Quel beau spectacle !» Je me suis figée plusieurs secondes, les fesses dirigées vers cette voix puis j’ai lâché pelle et balais pour me retourner en couvrant mon pubis et mes seins de mes mains.
Il était là, son petit sourire ironique aux lèvres, me regardant de son regard bleu lumineux et je suis devenue rouge de la tête aux pieds. Au bout d’un moment qui m’a paru interminable, j’ai bafouillé : « Comment êtes vous entré ? »
Il m’a répondu : « C’est mon appartement, j’ai une clé. Enlève tes mains ! J’ai envie de voir devant maintenant que j’ai vu ton derrière» « Je… Je dois aller m’habiller » « Arrête de jouer les oies blanches, j’ai bien vu samedi que ça t’excitait d’être à poil sous ta robe alors enlève tes mains que je puisse me rincer l’œil »
Je suis devenue encore plus rouge mais n’ai pas bougé. Il s’est approché de moi et m’a attrapé les poignets pour poser mes mains sur ma nuque sous ma queue de cheval, a écarté mes pied d’environ 50 cm et s’est reculé de 3 pas pour me mater. Malgré moi, j’ai senti une chaleur commencer à envahir mon entre-jambe, mes tétons et mon clitoris gonfler et durcir. Il a souri et a dit : « J’ai vu au premier regard que tu es une petite chienne en chaleur, viens jusqu’à moi» Je me suis approchée de lui lentement, les yeux baissés et les mains toujours sur la nuque. Il m’a attrapée par ma queue de cheval, ma penchée en avant sur la table de la cuisine et m’a dit : « Poses tes coudes sur la table et ne bouges plus !» J’ai obéi et il a quitté la cuisine pour revenir quelques instants plus tard. Il m’a soulevé un pied pour y glisser une chaussure à talon qui ma paru super haute et a recommencé avec l’autre pied. Il a ensuite attrapé ma queue de cheval et a déplacé l’élastique pour coiffer mes cheveux en palmier et a dit : « Bien maintenant on va passer aux choses sérieuses »
Il a commencé à me caresser ma vulve et je me suis mise à mouiller. Content de lui, il a dit : « A partir de maintenant, quand on sera seuls, à chaque fois que je te demanderai de faire quelque chose tu répondras : oui Monsieur, c’est compris ? » « Oui » Il s’est arrêté de me caresser et m’a mis une claque sur les fesses « Ouille » « Oui qui ? » « Oui Monsieur » Et il a recommencé à me caresser la chatte. « Et quand je te demanderai si tu aimes ce que je te fais tu répondra oui même si ce n’est pas le cas compris ? » « Oui (claque sur les fesses) ouille, oui Monsieur » Je l’ai entendu défaire la ceinture de son pantalon alors qu’il avait recommencé à me caresser puis il a posé une main sur ma hanche tandis que de l’autre main il a positionné son gland entre mes grandes lèvres pour me prendre ensuite par mon autre hanche. Et me tenant fermement il a enfoncé son membre d’un coup dans mon vagin jusqu’à la garde. J’ai poussé un cri de douleur car bien que mouillée par l’excitation, la brutalité du geste plus le fait qu’il était mieux monté que Julien m’on donné l’impression d’être transpercée. « Tu aimes ? » « … » Il m’a lâché une hanche pour me pincer un téton « Ouille oui monsieur » et il a commencé à faire lentement des vas et viens dans ma chatte trop étroite pour son sexe épais. Je poussais un petit gémissement de douleur à chaque fois qu’il enfonçait sa bite dans mon intimité mais mon vagin n’a pas tardé à se dilater et mes gémissements se sont transformés en gémissements de plaisir. Lui, sentant son sexe circuler plus librement à accéléré la cadence progressivement jusqu’à me pilonner la chate et je me suis mise à gémir au même rythme. Sous ses coups de boutoirs, mes seins libres se balançaient et mes cheveux attachés au sommet de mon crâne suivaient le mouvement. C’est en pensant que j’étais en train de me faire prendre comme une grosse cochonne que j’ai senti une grande chaleur diffuse de plus en plus intense se propager dans mes entrailles et que j’ai eu le premier orgasme de ma vie. Lui, bien que sentant mon vagin en feu avoir des spasmes a continué son pilonnage en me demandant « Tu aimes ça petite pute ? » « ouiiii » « oui qui ? » « ouiiiii Monsieur » Sous ses vas et viens incessants j’ai eu un deuxième orgasme tandis qu’il a poussé un râle et que j’ai senti de longs jets brulants se répandre dans ma chate en feu. Nous sommes restés immobiles quelques instants puis, m’attrapant par mes cheveux en palmier, il m’a redressée toute flageolante et m’a dit : « Tu vas te mettre accroupie et me nettoyer la queue avec ta bouche. Compris ? » Comme je ne réagissais pas assez vite il m’a pincé un téton et a répété : « Compris ?» « Oui Monsieur » Je me suis mise maladroitement accroupie perchée sur mes hauts talons et j’ai commencé à lécher sa bite ramollie couverte de mouille et de sperme. « Tu aimes me nettoyer ? » « Oui Monsieur » « Bien, tu vas m’enlever mes chaussure et mon pantalon puis tu me les amèneras au salon avec une bière bien fraiche » Comme je commençais à délacer une chaussure sans rien dire, il m’a attrapée par les cheveux « aille » et a dit : « Tu n’as rien oublié ? » « Oui Monsieur ». Quand j’ai eu fini, il a quitté la pièce sans un mot et je me suis redressée en tenant ses affaires. J’en ai profité pour regarder les chaussures qu’il m’avait mises aux pieds. C’était des escarpins rouges à talons aiguilles d’au moins 10 cm (je les ai mesurés par la suite pour savoir qu’ils en faisaient 13) et je n’ai pu m’empêcher de penser qu’il me faudrait du temps pour m’habituer à marcher avec, vu que les talons les plus hauts que j’avais mis jusqu’à présent ne dépassaient pas les 7 cm et qu’en plus ils étaient larges. J’avais les jambes encore cotonneuses et je me suis déplacée maladroitement jusqu’au réfrigérateur pour y prendre une bière que j’ai versée dans un verre à pied. J’en ai profité pour me nettoyer rapidement la vulve dégoulinante de mouille et de sperme avec du papier essuie-tout puis me suis dirigée avec précaution vers le salon.
Il était assis dans un fauteuil la queue à l’air et en me voyant arriver, nue, perché sur mes échasses, son pantalon sur l’avant bras, ses chaussures à la main et tenant sa bière de l’autre main, il a eu un sourire de satisfaction et m’a dit : « Donnes moi le verre, poses mes affaires et mets toi accroupie face à moi pour me montrer comment tu suces » « Oui Monsieur » Je me suis mise en position, un pied de chaque côté de ses jambes allongées, j’ai pris sa queue en main et j’ai commencé à le branler pour lui redonner de la vigueur. Une fois qu’il a été bien raide, je me suis penchée en avant et j’ai commencé à lui téter le gland comme je le faisais parfois avec julien. Au bout d’une minute il a demandé : « C’est tout ce que tu sais faire ? » « Euh oui Monsieur » « Et bien il va falloir que j’e t’apprenne comment doit sucer une bonne chienne » Et sans attendre ma réponse, il m’a prise par la nuque avec ses 2 mains et a commencé à me faire faire des vas et viens sur sa queue jusqu’au fond de ma bouche. Faisant cela, il a commencé à me faire la leçon : « Pour être une bonne pipeuse, tu dois prendre plaisir à sucer. De plus, tu dois varier les techniques et être attentive aux réactions de l’homme à qui tu donnes du plaisir et le regarder pour voir comment il réagit car tous les hommes n’ont pas les mêmes gouts, pour le sexe comme pour le reste. Le fait que je recommence à mouiller et que mes tétons et mon clito durcissent et gonflent à nouveau m’a fait penser qu’effectivement je devais y prendre plaisir et je me suis mise à le regarder. Il m’a lâchée la nuque et m’a dit de lui sucer le gland en utilisant ma langue. Puis j’ai alterné vas et viens dans ma bouche, aspirations et caresses de langue toujours en le regardant tandis que lui poussait de petits râles de plaisir. Il m’a subitement tenue par la nuque et j’ai senti gicler 4 ou 5 jets de sperme dans ma bouche. Surprise, j’ai eu un hoquet et il m’a dit en riant : « Avales c’est plein de vitamines » J’ai obéi et j’ai trouvé le goût de sa semence bizarre mais pas désagréable. « Lèves toi et mets tes mains sur ta nuque » J’ai obéi et suis testée immobile tandis qu’il remettait son pantalon et ses chaussures puis il s’est mis devant moi et m’a dit : « Tu es un peu gourde mais quand j’aurais fini ton éducation, tu seras une vrai cochonne. J’espère que tu comprends que Julien ne doit pas être au courant de ce qui s’est passé ce soir ?» J’ai répondu en rougissant : « Oui Monsieur » « De tout façon, si tu décidais de lui en parler, ce serait ta parole contre la mienne et il a une confiance absolue en moi » Je baissais les yeux sans répondre et il ajouta : « Je suis certain que tu as apprécié ce que nous avons fait et que comme tu es une bonne petite chienne en chaleur, tu es impatiente de recommencer pas vrai ? » J’ai rougi encore plus « Oui Monsieur » « Bien. A partir de maintenant, quand tu seras seule, tu devras toujours être cul-nu et chaussée des escarpins car je passerai quand j’en aurai envie pour te baiser comme j’en aurai envie et si tu n’es pas dans la tenue correcte tu seras punie. Compris ? » « Oui Monsieur » Et il est parti sans me dire au revoir.
Vous vous demandez surement pourquoi, alors que j’étais amoureuse de Julien, je n’ai pas protesté et lui ai obéi sans discuter ? Et bien c’est tout simplement parce que même si je l’ignorais jusqu’à ce jour, comme l’a dit Monsieur, Je suis une petite chienne en chaleur et il a fallu qu’un mâle dominant s’intéresse à moi pour que je m’en rende compte.
A suivre…
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