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Camp de Dressage

Camp de Dressage



C D

Les lettres C.D. étaient gravées sur une plaque du mur d’enceinte de la bâtisse. Nous ne savions pas où on nous avait conduites, mais ça ne présageait rien de bon. Le voyage avait duré deux jours. Ballottées à l’intérieur d’une caisse en bois cachée au fond d’un camion, confiné dans un espace minimum, sans manger avec juste de quoi boire et un seau pour nos besoins, nous étions à bout.
Des hommes genre « mercenaires » nous avaient délivrées toutes les cinq pour nous embarquer sans ménagement dans une camionnette aux vitres fumées.
On pouvait voir à l’extérieur et nous avons rapidement compris que nous étions en Italie. Les lettres C.D. résonnaient dans ma tête et ce n’est que par déduction que j’en compris la signification. Nous étions cinq filles paumées que des souteneurs avaient enlevées afin de faire le tapin. Mais nous étions surtout cinq rebelles qui n’ont jamais acceptées de leur obéir. Les lettres C.D. voulaient donc dire « Camp de Dressage » et je me mis à craindre le pire.
La bâtisse était imposante, entourée d’un parc immense et ceinturée d’un mur de deux mètres cinquante de haut. Un portail en métal plein en barrait l’entrée et une caméra surveillait les arrivants.

Le maître des lieux, un italien genre « mafioso » nous reçut à notre entrée et nous dit :
– Voilà donc le nouvel arrivage ! Bienvenu en enfer, mesdemoiselles. Comme vous devez vous y attendre, vous êtes ici pour apprendre à vous comporter en pûtes obéissantes. Chaque manquement à la règle que l’on va vous dicter vous vaudra le fouet ou le cachot. Plus vous serez rétives et plus ça nous plaira, les sévices n’en seront que plus intéressants.
Pour commencer, vous allez prendre une douche, vous puez le fauve. Ensuite pour vous apprendre nos manières vous aurez droit à une petite séance d’échauffement avant de commencer votre éducation. Ensuite vous verrez bien, ce sera la surprise. Chacune d’entre vous sera parrainée par un homme qui aura tous les droits sur vous et auquel vous devrez une obéissance absolue. Allez ! Exécution.
Chaque homme présent se choisit une victime et ils nous conduisirent dans une sorte de vestiaire où ils nous dirent de nous déshabiller. Notre ne résistions pas, nous avions toutes besoin d’une bonne douche et chaque homme avait d’accroché à sa ceinture une cravache dont nous ne voulions pas goûter.
Je me déshabillais donc ainsi que mes compagnes, gênée par leurs regards vicieux sur nos anatomies.
– Passez dans la pièce à côté, dit l’un d’eux.
Une petite piscine y était installée, avec douches, hammam, jaccusi et autres équipements. Nous rentrons sous la douche avec plaisir. Une fois propres, ils nous édictèrent le règlement. Celui-ci nous fit frémir car il nous ramenait toujours à des sévices en cas de refus ou désobéissance. Nous devions également rester nues en toutes circonstances.
Ils nous firent ensuite aller dans une autre pièce qui nous impressionna, elle était aménagée en salle de tortures.
Chaque fille eut les poignets liés avec des courroies et suspendues à une poutre à deux mètres cinquante du sol. Comme les autres, je me trouvais dans cette position inconfortable, les pieds ne touchant même pas le sol et les bras étirés vers le haut. Aucune défense ne nous était permise.
Celui qui s’occupait de moi en profita alors pour faire une inspection minutieuse de mon corps, il me palpa les seins, les soupesant, les englobant dans le creux de ses mains, puis attrapa les mamelons entre deux doigts et serra afin de me faire mal. J’essayais de résister, mais il serra de plus en plus. Il voulait réellement me faire souffrir. Je criais; les yeux remplis de larmes. Ma réaction l’excita encore plus et il tourna les pointes tout en serrant. J’avais l’impression qu’il voulait m’arracher les tétons tellement la douleur était forte. Il passa alors à mon ventre, chatouillant le nombril puis descendant dans la toison de mon sexe. Il attrapa les poils à pleine main et tira en me disant :
– Tu me feras disparaître ces poils, je te veux nue comme une petite fille. Sinon je te les arracherai un à un !
Il glissa alors ses doigts dans ma fente et en éprouva la largeur. Un doigt, puis deux, trois et enfin quatre se glissèrent dans mon vagin distendu. De son pouce, il m’écrasa alors le clitoris, me faisant à nouveau crier.
– Voilà un endroit bien sensible – Dit-il -. Bientôt tu ne feras plus le compte des bites qui y entreront.
Il serra encore. J’essayais alors de me débattre en remuant les jambes afin de le faire lâcher. Mais plus je bougeais et plus il serrait, m’imposant de me laisser faire sinon ma punition serait encore plus terrible. Je subis donc encore un moment cette douleur.
Passant derrière moi, il me palpa les fesses, se régalant du galbe et de la finesse de la peau. Puis il insinua ses doigts dans le sillon pour arriver à mon anus que je serrais de toutes mes forces. Un nouvel ordre fusa :
– Laisse-toi fouiller, sinon ce sera pire tout à l’heure.
Je fis un effort surhumain pour me détendre et le laisser me violer en cet endroit. Il appuya un doigt sur mon anus et força pour l’enfoncer. Je jetais un cri quand le sphincter céda. Il l’enfouit alors au plus profond à mon grand désespoir. Il força à nouveau avec un deuxième, me faisant encore plus mal.
– Tu es bien serrée par ici, je sens que je vais me régaler avec toi, ma jolie ! Bon maintenant on va passer aux choses sérieuses. Ici tu subiras la cravache ou le fouet au moins deux fois par jour. Plus encore si tu reste rétive. Alors à toi de choisir : l’obéissance absolue ou le fouet ! Pour le moment je vais te faire goûter de la cravache afin que tu en connaisses les effets, je n’arrêterais que lorsque tu ressembleras à une écrevisse.
Il commença alors à me frapper les fesses, débutant depuis le haut des reins, en descendant. A chaque impact, je criais et des larmes emplirent mes yeux. La douleur était atroce et mes jambes ballottaient en tout sens afin d’esquiver les coups. En fait, je ne faisais que l’exciter davantage en mettant encore plus à sa portée mes endroits fragiles. Je le suppliais d’arrêter, mais inlassablement il continuait.
Il descendit un peu, frappant maintenant sur les cuisses, juste sous les fesses là où la peau est la plus fine. La douleur était insupportable et je me démenais dans mes liens.
Puis il me fit face et me frappa sur le ventre. A chaque coup, je me balançais sous l’effet de la douleur, je criais et pleurait et je pense que ça l’excitait encore plus pour frapper. Il continua sur l’aine et le devant des cuisses, puis se mettant de côté les coups se portèrent sur mes seins. Il visait les mamelons et chaque coup les faisaient bouger de façon très érotique. Je m’époumonais de plus belle, lui promettant de faire tout ce qu’il désirait de moi s’il arrêtait. Mais c’était peine perdue, je devais subir mon châtiment jusqu’au bout.
Se mettant ensuite face à moi, il envoya la cravache en plein au centre de mes cuisses, entre mes lèvres intimes. Je serrais immédiatement les cuisses afin qu’il ne puisse plus m’atteindre sur cet endroit si fragile. Il se fâcha sévèrement :
– Écarte les cuisses – dit-il avec un air mauvais- que je puisse viser ton sexe. Tu as intérêt à obéir, sinon gare à toi, ce sera pire. Juste deux coups sur ton con et je passe à la suite.
J’obéis, épuisée et tremblante. J’avais trop peur que la suite soit encore plus atroce. Au premier coup, je lâchais un hurlement abominable, toute ma volonté fut nécessaire pour que j’écarte à nouveau les cuisses. Au deuxième coup, je crus défaillir. Je pendais maintenant misérablement dans mes liens.
– Même chose sur ton trou du cul et après je te laisse tranquille un moment. Allez écarte !
Une fois encore, je desserrais mes cuisses, la mort dans l’âme. Il appuya un nouveau coup, frappant une nouvelle fois de bas en haut afin que l’impact soit plus cuisant. Puis enfin le dernier coup arriva, me faisant projeter les jambes en avant sous l’effet de la douleur. Je pleurais et tremblais de tous mes membres. J’étais complètement effondrée et je me laissais pendre. Tout mon corps me faisait mal, j’avais l’impression de n’être qu’une plaie. J’aurais voulu me frotter le corps avec mes mains pour en apaiser la douleur, mais on ne m’en laissait même pas le loisir.
Il me laissa là un bon moment à digérer ma peine et sortit.
Pendant ce temps, mes compagnes étaient logées à la même enseigne. Elles subissaient également le fouet ou la cravache et on n’entendait que des cris et des gémissements.
Lorsque mon bourreau revint, j’eus un frémissement de tout le corps. Je le suppliais de me laisser tranquille, que je serai docile, mais que j’avais trop mal.
Il me détacha les bras et je m’écroulais au sol, privée de mes forces. Il me porta alors sur une sorte de chevalet où il m’installa sur le dos, les bras en arrière réunis par un bracelet de cuir qui les maintenaient. Puis il m’écarta les cuisses et attacha mes chevilles à deux autres bracelets. Le chevalet était en arc de cercle et mon ventre était projeté en avant. Voyant que j’étais à nouveau à sa merci, je me mis à pleurer de plus belle. Dans cette position mon sexe et mes reins se trouvaient entièrement à sa portée.
Il s’approche alors de moi après s’être mis nu et me pénètre le sexe bien à fond. Je jetai un nouveau cri, mais je ne pouvais que subir. Dans cette position, il me pénétrait profondément et son sexe me blessait chaque fois qu’il buttait au fond de la matrice. Il att**** alors à nouveau mes pointes de seins et les écrase entre ses doigts, les triturants en les tirants et les tordants également pour me faire souffrir. Je jetais de hauts cris en le suppliant d’aller plus doucement et que je serai docile.
Il se retire au bout d’un moment en me disant qu’il allait m’enculer. Mon cul lui faisait trop envie et il voulait me faire encore plus mal. Il pointe alors sa bite sur mon anus et commence à forcer. Jamais on ne m’avais prise par là et je craignais qu’il me déchire. Mes cris se transformèrent en hululement continus qui devait l’exciter encore plus car sa verge était encore plus dure qu’avant. Il entre d’un seul coup dans mes reins, s’enfonçant d’une dizaine de centimètres. Il se retire un peu, puis d’un coup de rein magistral il s’enfonce de la totalité de son sexe. Puis il me pistonne avec force et v******e. De ses deux mains, il reprit mes tétons pour les froisser à nouveau entre ses doigts.
Il me prit ainsi pendant plusieurs minutes avant de se vider au plus profond de mes reins. Son sperme me fit l’effet d’un baume à l’intérieur de mes intestins malmenés. Il se retire enfin.
– Pour te remercier de m’avoir prêté ton con et ton cul, je vais te caresser avec mon fouet. Ici les récompenses ressemblent aux punitions, il faudra que tu t’y fasses ma petite !
Il prit alors une sorte de martinet constitué de lanières en cuir d’au moins un mètre de long. Prenant de l’élan, les projetant derrière lui, il m’en lance un coup violent en plein sur mes seins. Un nouveau hurlement sort de ma poitrine lorsque les lanières claquent sur la peau fragile, laissant plusieurs traces rouges. Un deuxième coup suivit, puis un troisième. Il change ensuite d’endroit, frappant sur mes côtes, puis sur le ventre en plein sur le nombril. Puis se plaçant entre mes cuisses, il frappe rudement sur celles-ci en remontant sur le sexe. Deux ou trois coups de plus eurent raison de moi. Je m’évanouis.
A mon réveil, je me trouvais dans une sorte de cellule, celle-ci était sommairement meublée : Un lit, une table avec une chaise et un coin toilette avec un lavabo, un W-C et un bidet. Un seul point de jour donnait de la lumière à travers des pavés de verre. Sur les murs, une sorte de toile matelassée qui donnait une impression de chambre sourde. Par endroits, des chaînes étaient fixées, terminées par des bracelets de cuir. A chaque angle, à hauteur de plafond, une caméra était fixée, épiant mes moindres faits et gestes. Tout était fait ici pour subir sans avoir aucune chance de s’échapper ou de se défendre. Je replongeais dans mon désespoir et restait un long moment à sangloter.
Un moment plus tard, la porte s’ouvrit, juste après que le judas incrusté en son milieu n’ai été actionné. Mon tortionnaire entra. – « J’espère que tu t’es bien reposée – Dit-il – et que tu es devenue docile. Ici ton rôle consistera uniquement à obéir, aucune initiative ne te sera permise. Lorsque tu sortiras, tu devras être la plus docile des pûtes. Sinon ton séjour se prolongera. A toi de choisir. Pour le moment, tu vas venir me tailler une pipe. Je la veux exemplaire, à toi de jouer ! »
Je m’approche doucement de lui, résignée et prête à tout. Jamais je n’aurais pensé baisser les armes aussi vite, mais ce que j’avais subi était vraiment trop atroce. Je dégrafe donc sa braguette, sortant un sexe déjà bandé. J’approche mes lèvres et englobe le gland de la moiteur chaude de ma bouche. De ma langue, je le titille tout en pressant mes lèvres. Malgré ma répugnance, je m’applique, ne voulant plus souffrir. Je m’enfonce ensuite son sexe dans la bouche, allant loin, jusqu’à ce que celui-ci butte au fond de ma gorge. Puis je le fais coulisser en aspirant et en pressant fortement mes lèvres le long de la hampe. Mes mains étant posées de chaque côté de son bassin et seule ma bouche officie. Je savais qu’aucun homme ne pouvait résister à ce traitement et j’en ressens rapidement les effets. Il se cabre alors, me saisissant l’arrière de la tête et s’enfonce à fond, m’arrosant la glotte de son sperme brûlant. Il reste ainsi un petit moment, savourant encore le contact de ma bouche.
– « Bien, je vois que tu apprends vite – Me dit-il – Si tu es aussi docile pour tout, ton dressage sera plus court. Je vois que tu as compris où était ton intérêt. J’avais prévu de t’éclater le cul, Mais comme tu as été gentille, ce sera pour plus tard. Tu as gagné le droit de te reposer encore une petite heure ». Il me fit sortir de la cellule pour aller dans la grande salle que je connaissais malheureusement trop bien. Il me fit asseoir dans un fauteuil et me dit de regarder ce qui allait suivre.
C’est alors qu’une autre fille fit son entrée, suivie de son maître. Celui-ci l’invective violemment, lui promettant une punition exemplaire.
Il la fit mettre à genoux sur un nouvel instrument de soumission, les cuisses très écartées et les bras attachés dans le dos. Il lui pose alors une pince à chaque sein, de celles qui sont les plus douloureuses en acier bruni. Celles-ci se trouvent reliées par de forts élastiques à une sorte de support muni de petites manivelles, qui en tournant vrillent les élastiques et tordent les mamelons tout en les étirants. Devant la fille, un autre support la maintient afin qu’elle ne puisse pas tomber en avant. Enfin il positionne un gode de fort calibre en partie entré dans l’anus de la fille et fixé au sol. On pouvait deviner aisément l’inconfort de la position qui oblige la fille à se maintenir en avant afin que ses seins ne soient pas trop étirés mais qui devient vite épuisante. Et la seule possibilité qui lui était offerte de se reposer l’oblige à s’empaler un peu plus sur le gode. Ce qui lui étire encore plus les seins. Son persécuteur fait plusieurs tours de manivelle, tendant les mamelons de plusieurs centimètres tout en les vrillants. La fille hurle, se maintenant en équilibre sur le bout des genoux. La position est insupportable et pour se soulager de celle-ci, elle essaie de s’asseoir un peu plus sur le gode, ce qui a pour effet de lui étirer encore un peu plus les mamelons. Elle se penche alors à nouveau en avant, se remettant à nouveau en déséquilibre. On a l’impression qu’elle simule un coït, se penchant tantôt en avant, tantôt en arrière. Ca a l’air d’amuser énormément son persécuteur qui donne encore quelques tours de manivelle. Les seins de la fille s’étirent encore, ils sont maintenant allongés d’environ vingt centimètres et vrillés à la manière d’une vis. L’effet en est impressionnant et on peut voir dans les yeux de la fille la douleur du supplice qu’elle subit.
Il la laisse ainsi un bon quart d’heure puis estimant qu’il fallait passer à autre chose, il détend les élastiques. Les seins de la fille sont devenus violets et les pointes qui se trouvent toujours écrasées par les pinces semblent avoir maintenant une forme plate et allongés. Le reste de la poitrine a gardé des marques rouges, là ou les seins se sont vrillés et où la peau s’est plissée. Pour reprendre son équilibre, la fille s’est maintenant assise sur le gode. Celui-ci lui entre profondément dans le fondement et on voit qu’elle en souffre beaucoup.
Son bourreau s’approche à nouveau d’elle, il se positionne face à son visage, le sexe en érection devant sa bouche et lui ordonne de le sucer. La fille s’exécute non sans dégoût apparent. Je suppose alors que c’était pour la précédente fellation que celle-ci a été punie. Soit qu’elle n’y avait pas mis tout son cœur, soit que son maître estime qu’elle avait encore des progrès à faire, ce qui revenait au même.
Dans la position où elle est, elle ne peut pas contrôler la progression du sexe dans sa bouche et bien sûr le mâle en profite pour donner de grands coups de reins tout en maintenant l’arrière de la tête de la fille. A chaque fois, celle-ci manque de s’étouffer et on voit bien les efforts désespérés qu’elle fait pour reprendre sa respiration lorsqu’il repart en arrière. Au bout d’un moment qui devait lui paraître interminable, l’homme plonge encore plus profondément dans l’arrière gorge de la fille et se vide dans son oeusophage. Il la laisse ainsi, à moitié asphyxiée et écrasée de douleurs sur cet infâme instrument.

Mon tortionnaire s’approche à nouveau de moi, trouvant que je m’étais reposée suffisamment et voulant me faire à nouveau souffrir. Il tient dans ses mains des pinces en acier bruni garnies de petits picots en acier; il me dit de mettre mes mains dans le dos et de me laisser faire sans bouger. Il approche une première pince de chacun de mes tétons, puis les lâche d’un seul coup. La douleur fut immédiate je pousse un cri mais je garde les mains comme il me les imposait. Puis tirant sur l’une d’entre elles, il m’en installe deux nouvelles de chaque côté de celle-ci toujours sur le mamelon. Il en fait de même sur l’autre sein. Je criais à nouveau et les larmes me vinrent aux yeux. Une autre pris place sur la crête de mon clitoris, me faisant tordre de douleur. Puis deux autres sur mes grandes lèvres. Je n’osais pas bouger afin d’atténuer la douleur. Il entreprit alors de les faire bouger en les secouant de ses doigts. Je poussais de petits cris qui l’excitaient encore plus. Puis attrapant la base de chacune il en augmente la pression en tirant et soulevant mes mamelles. Je me tortillais de plus belle. Il fit de même avec celle de mon clitoris jusqu’à me faire hurler de douleur.

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