Cette histoire est réel puisque encore maintenant dès que je vais là bas nous nous voyons encore.
Nous sommes le 21 juin 2003, je dois partir en Algerie cela fait maintenant deux ans que je ne suis pas parti, je viens d’avoir 20 ans et je voulais aussi découvrir d’autres lieux de vacances pour jeunes de mon âge. Mais cette fois ci malheureusement, je devais m’y rendre pour faire la tombe de mon oncle décédé depuis un an suite à une longue maladie. C’est le frère de mon père, il laisse derrière lui une fille en bas âge, ma tante Halima, encore assez jeune avec ses 42 ans pleure encore son défunt. Heureusement ayant étudié la médecine, elle a réussi à retrouver une place d’ophtalmologue. Elle vit dans une belle maison sur les hauteurs d’Alger que mon oncle lui a laissé pour seul richesse avec sa fille âgé de trois ans que sa mère garde à cause de son travail.
On devait se réunir toute la famille pour cet évènement important afin de lui apporter notre soutien et notre réconfort.
Il est 9 heures du matin, je viens d’atterrir sur Alger, ma tante et son frère viennent me chercher, il faut dire que cette femme m’adore du fait que je l’ai toujours défendu devant notre famille, la jalousie des femmes de notre clan a donné bien des soucis à cette femme qui est d’une largesse de coeur étonnante, et d’une beauté merveilleuse, ce qui a été je crois l’un des principaux grief que les femmes de la famille n’ont pas supportés, elle est brune, environ 1 M 70 et une silhouette fine, avec de lourds seins, et un cul avec des hanches bien fait. Elle a de grande lèvres et de grands yeux comme les femmes des séries télé syrienne…
Me voilà arrivé dans le hall pour récupérer mes bagages, je vois le frère de ma tante derrière la vitre, et elle ne doit pas être loin, je sors quelques minutes après avec mes valises, et là je vois ma tante encore les yeux rouges de larmes venant vers moi et ouvrant ses bras, dans la foulée son frère me saisit les valises, et enfin les bras de ma douce tante s’enlacent sur moi, je suis au anges, je suis ému de la retrouver, de la sentir, elle était venu avec une robe traditionnelle qui lui allait à ravir, je sais que dans ce hall, tous les hommes ont du la suivre des yeux sur son passage.
Elle me sert fort contre elle, elle se fait tellement insistante que cela en devient gênant pour moi et son frère. Je suis contre son buste et ces caresses d’affection sur le dos même en ces circonstances me donne envie, le mot est lâché dans mes pensés, envie d’elle …
Son frère: Karim, Halima ont y vas vous aurez tout le temps de vous retrouver à la maison, tout le monde vous regarde.
Halima: oui tu as raison, Abdel, karim mon neveu comme je suis contente, tu as toujours été à part dans ta famille, tu m’as toujours soutenu, viens allons chez nous.
Moi: ma tante je suis heureux de vous voir aussi, vous m’avez manqué et encore plus dans ces circonstances sachez le.
Halima: je sais que tu as toujours eu une pensé pour moi, je le sais, mais tu dois me tutoyer maintenant, tu n es plus un gamin, tu es devenu un homme pour le bonheur de ta mère.
Moi: je n’ose pas ma tante, je vais y réfléchir promis.
Nous sommes dans la voiture qui nous mène à la maison, je suis sur le siège passager avant et ma tante commence à nous parler de détails et autres, et ensuite elle s’approche derrière ma tête et me dis:
Halima: Dis moi alors comment ce passe les études mon neveu?
Moi: ben cela se passe bien, je suis en fac de droit, cela me plaît, et je sens que durant cet échange elle passe sa main sur ma tête et descend jusqu au cou et cela commence à me donner une érection, en plus son frérot est à coté je ne sais plus où me mettre…
Je me tourne vers elle afin d’éviter tout incident avec son frère et continue la conversation avec elle.
Nous voilà arrivés à la maison, son frère bois le café avec nous et s’en va à son travail, et elle va se changer dans sa chambre, je suis dans le salon je regarde les photos d’elle et de sa petite famille.
Le téléphone sonne:
Moi: oui Allô
Sa mère: Halima est là?
Moi: je suis son neveu elle est occupée.
Sa mére: soit le bienvenu, tu lui diras que je garde sa fille pour la nuit comme je sais qu’elle travaille tôt demain matin
Moi: ok, bonne journée Hadja Saida, à bientôt Insh Allah
Je l’appelle à voix haute, et lui dis que sa mère vient d’appeler et qu’elle garde la petite jusqu’à demain.
Elle: je ne t’entends pas rapproche toi karim.
je n’ose pas me rapprocher de peur de trouver la porte ouverte et de tomber nez à nez avec sa nudité, mais un coté de moi, le mauvais me pousse à y aller, je commence la marche vers la chambre, la porte est ouverte un petit peu. Je lui répète le message.
Je sais pas: le courant d’air pousse la porte et là je vois ma tante terminer de s’habiller, j’eus le temps de voir le haut de ses jambes, puisque sa robe se passe de haut en bas en commençant par la tête.
Je m’excuse de cela, et elle en sourit me dis que ce n’est pas grave que je suis comme son fils, que je n’ai pas à avoir honte de cela.
Sur ces mots, je file dans le salon et commence une parti de play station… Elle arrive et commence le ménage et à chaque fois qu’elle se courbe pour ramasser quelques choses je regarde son cul…
Ce jeu là dure environ 20 minutes, et je me fais prendre quand elle passe devant le miroir du meuble du salon où elle me regarde en arrêtant son geste de la main qui nettoyait le meuble.
Je ne sais plus quoi dire.
Elle: tu n’as pas honte de mater ta tante comme cela surtout la veille de faire la tombe ton oncle hein?
Moi: Je suis navré et je ne sais pas quoi dire, ma jeunesse m’a perdu, vraiment excuse moi.
Elle: Pour te faire pardonner viens nettoyer le logis avec moi
Moi: d’accord!
Nous commençons le grand ménage dans la maison pour que les invités, demain soient bien reçu.
A un moment nous devons déplacer la table basse, et là je me trouve face à ma tante. Elle baisse la tête pour guider ses mains sous la table, moi comme un idiot je matte ses seins qui sont visibles par le haut de son cou.
Elle: Karim je vais finir par croire que tu as de mauvaises intentions sur moi, dit elle sans me regarder comme pour ne pas croiser mon regard.
Moi: Je rentre dans son jeu, ben écoute ce n’est pas de ma faute, tu es une belle femme et tes caresses tout à l’heure dans la voiture m’ont plus.
Elle: Karim je t’aime comme mon fils, tu sais cela fait un an que personne ne s’est occupé de moi mais nous deux c’est immoral…
Avec ses mots je sentais qu’il y avait une possibilité, je lâche le meuble je me dirige vers elle et l’att**** par le bras et la relève pour lui dire dans les yeux.
Moi: je sais que tu as envie de moi, même ton frère l’a pratiquement compris, tu es en chaleur cela se voit, tu n es pas ma tante direct donc si tu veux on baise, moi je veux te baiser tu entends?!
Elle baisse le regard comme un aveu de sa part…
Je ne laisse pas l’émotion retomber.
Je la prend dans mes bras et au bout de quelques minutes je descend sur ses lèvres et je n’ai pas de mal à forcer sa bouche, sa langue m’est aussitôt donnée, je fouille sa bouche et je profite de cet instant ou, je me laisse aller, pour descendre ma main sur ses fesses et commences à les malaxer.
Nous nous embrassons comme des fous, je sens que son ventre boue, elle commence à se lâcher, la preuve en est, puisqu elle rentre une de ses mains dans mon jeans… et cherche vainement ma bite…
Elle: viens dans ma chambre.
Moi: non ce soir je te baiserai dans ta chambre mais là c’est ici que je veux te prendre tu entends?!
Elle: Oui, mais vas y doucement.
Franchement vue ce qu’elle ma fait, à savoir me chauffer pour ensuite faire semblant avec sa posture autoritaire, j’allais faire le contraire de ce qu’ elle vient de me demander.
Je ne la laisse même pas finir ses actes sur moi, je la met sur le canapé assise … je défais moi même mon jean’s et lui présente ma bite
Moi: allé suce ma belle!
Elle: doucement quand même, cela fait longtemps Karim.
Moi: suce moi je te dis!
Elle ferme les yeux et ouvre sa bouche, timidement elle prend ma bite dans celle ci, elle commence ces va et vient. J’en profite pour commencer à toucher ses seins, elle commence à aimer et je sens son cul se tortiller sur la banquette du canapé… Je me baisse pour relever sa robe à ses genoux et commence à chercher sa chatte … et je vois, stupeur, elle ne porte pas de culotte, je suis excité par cela… En plus elle mouille comme une fontaine, elle a encore une touffe mais qu’importe elle est trop bonne cette chatte avec ces grosses lèvres humm!
Elle me dit entre deux va et vient, je n’en porterai pas tant que tu seras là, tu me baiseras autant de fois que tu veux compris? tu seras à moi!
Je venais de comprendre maintenant tout en baisant sa bouche, qu’elle avait tout organiser pour que je sois seul avec elle…
Je veux jouir tout de suite tellement elle m’excite… je la prend et la met à quatre pattes sur le canapé et elle écarte ses jambes comme une chienne, je ne savais pas que ma tante était une salope à ce point, je relève sa robe et je vois que son cul est très dilaté, apparemment elle n’a pas perdu de temps depuis que tonton est parti …
moi: tu te fais souvent enculer à ce que je vois?
Elle: à vrai dire oui, j’adore cela que l’on me prennent par le cul… j’avoue que tout les hommes de la clinique où je travaille m’ont déjà tous enculés au moins une fois …
moi: à oui! ben moi je vais le faire à sec pour venger mon oncle… je pointe mon dard sur son orifice et je l’enfonce d’un coup sec…
Elle: Aie tu me fais mal, ressort!
moi: non, tu rêves ma belle tu vas être baisé comme une chienne, tu vas voir ça!
Elle: karim s’il te plaît… j’ai mal.
je la laisse se plaindre et au bout de quelques minutes, des gémissements remplacent ses plaintes du début… Elle commence à aimer, pour me le faire sentir et vient buté à contre sens de ma poussée en elle,
Moi: tu as envie salope hein?
tu t’écartes encore plus hein?
elle: oui karim défonces moi mon coeur fais moi mal encore, déchire moi je t’appartiens, défonce ma rondelle tout le temps que tu seras là… hum c’est bon rooo que j’aime ta bite
je sens que je vais venir ma tante viens tourne toi.
Elle se retourne et je lui lâche tous sur le visage, je continue de lâcher mon foutre, sa main vient sur ma bite pour m’aider à tout sortir et de sa langue elle se lèche les lèvres.
HUMM c’est bon je vais m’occuper de toi ma tante, je serai ton mari désormais
Elle: oui karim je serai à toi, tu es mon enfant karim, je me dois de m’adonner à toi, ta bite est si bonne humm, viens que je te la nettoie mon chéri, viens bébé tante Halima va te faire ta toilette …
Elle commence à me prendre dans sa bouche pour avaler encore le sperme chaud qui en sort …
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