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Esclave sexuelle 2

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Faisons plus ample connaissance

Deux jours avaient passé et le travail suivait son cours au bureau. Jamais, avec mon patron, on ne fit allusion sur ce qui s’était passé dans son bureau. Eric, comme il l’avait annoncé, déposa un certain nombre de règles.

L’une d’elle était, que les tenus décontractées étaient interdites pendant les heures de travail.

Je dus renouveler ma garde robe et Eric me donna une indemnité ainsi qu’une liste des vêtements et sous-vêtements à acheter et à porter bien évidemment. J’aime beaucoup la lingerie et jamais je n’aurais pus m’en offrir de si belle avec mon salaire.

Un soir, alors que je m’apprêtais à partir, Eric m’appela dans son bureau. Il prétexta un travail urgent et me demanda de m’asseoir près de lui sur son bureau afin de prendre des notes. Alors que je croisais les jambes une fois assise, je remarquais son air désapprobateur dans ses yeux. Je devais insulter à nouveau son intelligence, comme la fois où je m’étais couverte les seins. Je décroisais les jambes et les écartais même afin qu’il ai une vision parfaite sur mon intimité sous ma jupe étroite. En plus de ma jupe, je portais un body en dentelle sans chemisier. On pouvait voir ma poitrine nue dans l’échancrure de ma veste.

Pendant qu’il me caressait les cuisses gainées de bas, il me dicta son courrier. Sa caresse était agréable et arriva ce qui devait arriver. Je sentis mes liqueurs perler à la sortie de mon sexe et humidifier le tissus de mon body. Cela n’échappa pas à mon patron. Du bout du doigt, il recueillit un peu de liqueur et la goutta comme si c’était la première fois.

-Humm, quel goût merveilleux! Chaque femmes a un goût différent et je ne m’en lasse pas. »

Alors qu’il disait cela, il dégrafa son pantalon et sorti son pénis à moitié en érection. Pas la peine de dire un mot, seul le regard suffisait. Je déposais mon bloc note et m’agenouillais. Je me mis à caresser et à lécher l’oiseau afin de lui donner de la vigueur. Je me masturbais tout en le suçant.

Je l’entendis composer un numéro sur son téléphone.

-Bonsoir Jeff! » Il appelait mon mari. « Daphné rentrera tard ce soir, car elle a un travail à terminer. Elle est d’ailleurs en train de le faire. Je mets le haut parleur afin que vous l’entendiez. »

Je n’eus pas le temps de m’offusquer, trop concentrée sur mon travail.

-Elle est actuellement à genoux près de moi, me suçant délicieusement le pénis. Mais pas la peine de vous faire un dessin, vous connaissez aussi bien que moi l’habilité de votre femme.

J’accentuais le bruit de ma bouche autour de l’engin afin que mon mari l’entende bien. Je devinais la bonne partie de cul une fois que je rentrerais à la maison. La respiration d’Eric s’accéléra en même temps que son sexe prenait du volume.

-Maintenant, nous allons passer à des choses plus sérieuses. Relevez vous Mme J. et reprenez votre place sur le bureau. »

Je lui obéis en prenant bien soin cette fois d’écarter mes jambes après avoir relevé ma jupe sur mes hanches. Je remarquais le combiné du téléphone décroché. Mon mari devait être dans tout ses états. Je le voyais se branler dans le salon près du téléphone.

Eric disait tout ce qui se passait afin que mon mari en profite. Jamais je n’avais imaginé que je partagerais un jour ma vie sexuelle entre deux hommes, et que mon mari serait consentant. J’avais reçu une éducation assez strict et là je jetais toutes mes convictions aux orties.

Eric caressa doucement mon pubis à travers mon body avant de descendre entre mon entre cuisse afin de dégrafer celui-ci. Mon pubis apparut, nue, récemment rasée suivant les conseil de mon patron, le pubis d’une jeune fille. La fraîcheur sur mon intimité me surprenait à chaque fois. Je tremblais.

-Vous êtes une excellente collaboratrice. Vous respectez très bien mes ordres. » me dit Eric. « Bon, maintenant retournez vous et allongez vous sur mon bureau en m’offrant votre cul. »

Je lui répondis « oui monsieur! ». Il m’écarta les jambes et commença à me caresser les lèvres avec son pieu turgescent.

-Votre femme est très chaude aujourd’hui Jeff! »

Lentement son sexe entra en moi, écartant mes lèvres. Son sexe était nettement plus épais que celui de Jeff, et mes muscle vaginaux s’adaptèrent à celui-ci. Je sais que les hommes adore sentir un sexe se refermer doucement autour d’eux. J’avais même réussi, après un long apprentissage, à masturber un homme, uniquement avec mes muscle vaginaux.

Je sentis son scrotum butter contre mes fesses. Mon vagin lubrifia le pieu de telle sorte qu’il put plus facilement sortir et revenir.

-Vous devriez voir cela Jeff. Votre femme est une vrai chienne en chaleur, une salope d’enfer.»

Il se mit alors à flatter l’entrée de mon anus. Ce n’était plus que je n’en pouvais supporter. Dés que l’on s’intéressait à lui, je devenais folle, bien que n’ayant jamais pratiqué la sodomie. Jeff devait entendre mes râles et mes gémissements de plaisirs. Eric continuait, malgré son souffle coupé par ma possession, à commenter ce qu’il me faisait.

-Votre femme est délicieusement étroite et son cul est merveilleux. »

Je sentis son sexe gonfler un peu plus me renseignant ainsi sur les prémices de son éjaculation.

-Je vais jouir dans sa chatte! »dit il à l’intention de mon mari.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Un flot de sperme m’inonda, provoquant par la même occasion mon orgasme. Je criais, plutôt hurlais mon bonheur. Il se retira de mon fourreau et déposa la fin de son plaisir sur mes lèvres et mon anus.

-Son travail est terminé Jeff. Elle ne va pas tarder à rentrer. » dit Eric une fois que sa respiration fut redevenu normal.

Moi, je continuais à haleter, les fesses toujours exposées. Il me caressait la peau avec le bout de son pieu poisseux. Une tape, assez violente, sur la peau fragile de mes fesses, me dit que je pouvais me rhabiller et partir. Eric salua Jeff et raccrocha. Je remis les pression de mon body en place sans penser à me laver. Je gardais sur moi, les preuve de notre étreinte, surtout pour mon mari.

Mon mari était un véritable amour. Il m’avait fait couler un bain et avait débouché une bouteille de Chardonnet, mon vin préféré. Il devait bien avoir une idée derrière la tête. Bien que légèrement fatigué après l’étreinte que je venais de subir, j’étais très excitée de lui raconter ce qui c’était passé. Je vis ses yeux briller lorsqu’il remarqua le sperme séché d’Eric sur mon corps.

Il s’assit sur le bord de la baignoire, pendant que je lui racontais mon aventure tout en sirotant mon vin préféré. Le faite de tout lui dire en détail, réveilla mes pulsions et mes seins se mirent à durcir. Il n’avait pas mis de savon à bulle afin de profiter de la vision de mon pubis de jeune fille. Pour mon plus grand bonheur, il plongea une main dans l’eau et vint me caresser intimement. Je continuais à lui raconter l’histoire avec une voix tremblante. Je lui dis que le faite de le savoir a téléphone m’avait encore plus excitée. J’avais les jambes écartées et mon mari me caressait divinement bien. Je sentis mes liqueurs se répandre dans l’eau chaude de mon bain. Il glissa deux doigts dans ma chatte et me masturba. Je jouis encore une fois se soir là.

Il m’aida à sortir de la baignoire, et pendant qu’il m’aidait à me sécher, j’en profitais pour coller mes fesses sur son bas ventre. Il bandait comme un taureau. Je décidais de le soulager. Je m’agenouillais devant lui, sortis son oiseau et me mis à le sucer sauvagement. Il ne tarda pas à éjaculer dans ma gorge. J’avalais tout ce qu’il pouvait m’offrir, jusqu’à la dernière goutte.

On mangea quelque chose de léger, vu que je n’avais pas une grande faim et on monta directement se coucher. Mon mari bandait à nouveau et on fit l’amour en levrette sur notre lit.

Ma vie sexuelle commençait à être comblée, vue le passage à vide que l’on venait de connaître.

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