Histoires de sexe arabes Histoires de sexe en groupe Histoires tabous

De Paris à Mogadisio, sans argent…

De Paris à Mogadisio, sans argent…



… mais en suçant…

Première étape : de Paris à Lyon.

Tout a commencé par un chagrin d’amour.
Il arrive un moment où il n’y a plus moyen de recoller les morceaux.
Sa dernière phrase, « Tire toi, dégage! », a été la phrase de trop. J’ai mis tout ce que j’avais dans une petite valise, je me suis tirée et je ne l’ai plus jamais revu.
Je suis partie dans la nuit, avec ma valise dans une main et mon chagrin comme un boulet à un pied.
J’ai été retrouver des copains… J’ai bu, j’ai pleuré… Et puis, j’ai fait des conneries, normal… A l’époque j’étais très douée pour ça et, là, j’avais une bonne raison de m’étourdir…
Une semaine à boire, à déconner…
À dépenser l’argent que j’avais… puis à faire des dettes. Pour rembourser, j’ai accepté de l’argent de gens dont il vaut mieux se méfier… Je pressentais que je devrais rendre des services dangereux, très dangereux.
Tout allait partir en couilles, je le sentais…
Peut-être, était-ce ce que je cherchais??
Paris était devenu trop chaud pour moi et ma vie ne ressemblait plus à rien. La solution, c’était de me tirer de nouveau, vite, et de changer de vie.
Avec le peu d’argent que j’avais, je me suis rendue à la gare de Lyon. Au guichet, j’ai demandé un billet… »Pour où?? », m’a demandé le préposé. « Pour… Lyon », j’ai répondu, comme ça… C’est beau comme nom, c’est au Sud, il y a un fleuve et une rivière, dans lesquels j’allais noyer mon chagrin.
J’ai loué une petite chambre dans un hôtel minable. J’ai traîné une journée, envie de rien… Et puis le lendemain après midi, je suis allée boire un verre dans le Centre. Il faisait beau, je buvais une bière-pression… Un jeune guitariste est venu chanter « Hôtel California » et puis un peu timidement, il a fait la manche. Ça ne marchait pas fort… quand il est arrivé à moi je lui ai dit, « Je suis fauchée, mais je peux te donner un coup de main pour la manche ». Je l’ai vu hésiter, genre, elle est sérieuse ou elle se fout de moi? Il m’a regardé attentivement et ça l’a convaincu. On a été à une autre terrasse, il a refait sa chanson. Ensuite, j’ai été de table en table, en disant n’importe quoi, comme, « Aidez deux jeunes mariés à partir en voyage de noces. » Les gens, ça les a fait sourie… un peu. Ils m’ont refilé des pièces. On a été de terrasses en terrasses et au bout d’une heure, on avait une belle somme. Le gars était ravi. Il m’a proposé : « Il y a une soirée techno ce soir, on va s’acheter des « Xtas » et faire la fête. ».
C’est vrai que j’avais une folle envie d’aller m’éclater avec ce gars qui me plaisait, mais je savais que tout allait recommencer. Je lui ai dit que j’avais un rendez-vous le soir et je l’ai quitté en lui laissant l’argent.
J’avais changé de ville, j’allais changer de vie.
J’ai acheté le courrier de la Saône et j’ai regardé les offres d’emploi. Vendeuse… serveuse… j’avais déjà donné. Je sais que j’allais me faire draguer et retomber dans les conneries.

Dans la rubrique « gens de maison », il y avait une annonce plus importante que les autres, entourée d’un trait gras. Ça disait ceci : « Cherchons une bonne à tout faire, jolie et stylée. Bon salaire, logée et nourrie ». Je ne vais pas vous dire que cela correspond exactement à moi, mais je plais…quant au style, on verrait…
J’avais peur aussi que les gens de Paris retrouvent ma trace.
Il me fallait un boulot qui me prenne la tête et où il y a des règles à respecter. Je me disais que tous mes malheurs venaient de n’avoir jamais eu des règles. Alors, j’avais le choix, un ordre monastique, genre Ursulines ou alors, bonne, ça me disciplinerait. J’étais un chat sauvage, j’allais me transformer en chatte stylée. Le Beaujolais était tiré, j’allais le boire! Il me fallait ce boulot! J’ai téléphoné et j’ai eu un rendez-vous le lendemain à 11 h.
Je m’imaginais dans un joli uniforme de soubrette, « lutinée » par un patron séduisant… J’allais être servie!

La « résidence » se trouve en dehors de Lyon sur une colline qui domine le Rhône. J’ai pris un bus et j’ai terminé à pied après avoir demandé mon chemin à un chauffeur de taxi. Je suis arrivée en sueur devant les grilles d’une énorme propriété entourée de hauts murs. Deux dobermans sont venus aboyer derrière la grille. Je sonne, un parlophone grésille, je dis, « C’est pour la place de bonne ».
Quelqu’un rappelle les chiens et les grilles s’ouvrent. Je me dirige vers un très grand bâtiment, genre château ou manoir du 19ème siècle. J’aperçois un tennis et une piscine. La porte du manoir s’ouvre et un homme d’une cinquantaine d’années m’accueille, « Bonjour, ma femme va vous recevoir ». Il me fait entrer dans une grande pièce où se trouve la maîtresse de maison. C’est une femme d’environ 35 ans, jolie. Elle a l’air très sûre d’elle.
Elle porte une robe très décolletée. « Bonjour Madame », je lui dis. Elle me répond « Bonjour. » et me détaille des pieds à la tête. Au-dessus d’elle il y a une peinture très réaliste qui la représente debout et de dos, tournant la tête vers le spectateur. Ce qui surprend c’est qu’elle est nue. On reste un moment silencieuses.
Elle dit enfin, « Physiquement, vous me convenez. Je veux avoir quelque chose, enfin quelqu’un, d’agréable à regarder en me réveillant le matin. ».
Ces gens ont manifestement beaucoup d’argent, mais ils ne sont pas délicats… enfin, pas avec les bonnes. C’est le genre nouveau riche. Très riches et très nouveaux. Vêtements et bijoux de marques, mais trop…et trop voyants aussi. « Oui, physiquement vous me convenez, », répète-t-elle, « mais je veux une bonne obéissante et stylée. Montrez-moi comment vous faites une révérence ». Alors là, je suis cueillie! Une révérence???
Je lui demande, « Euh…comme Marilyn quand elle rencontre la reine d’Angleterre, Madame? ». La dame est ravie, « Exactement ». Alors, je fais une profonde révérence. « Très bien. », me dit elle, « Et, vous nous parlerez à la 3èmepersonne ». Oulah! C’est quoi ça?
« A la troisième personne Madame??? » Elle fait une petite grimace dégoûtée, genre, quelle gourde, « Oui bon, on en reparlera. Parlez-moi de vos références… Vous avez des certificats. »
Je me tortille, un peu, puis les yeux baissés, je lui dis, « C’est à dire, je…j’ai perdu ma valise et… ». Elle s’en fout, en fait… Mon physique lui suffit. Elle me dit ce qu’elle propose comme salaire. C’est franchement beaucoup plus que ce que j’espérais. Elle me le confirme, « C’est un beau salaire, mais je veux que vous soyez absolument… euh… », elle ne trouve pas le mot qui convient. Je lui propose, « Obéissante? »
« C’est ça! Obéissante. Quel est votre prénom? »
« Mia, Madame. »
La dame fait la grimace : « Mia… ça ne me plait pas… Ici, vous serez… Voyons…Lucie… non… Mathilde, oui, Mathilde, c’est bien ».
Tête de Mia/Mathilde!
« Ah oui, encore une chose », dit elle, « Mon mari et moi nous sommes… libres…. Le samedi nous recevons des amis et vous devrez faire le service peu vêtue ». Evidemment, l’annonce disait « jeune et jolie »! En plus sa photo à poil et le salaire élevé, je me doutais qu’il faudrait mettre la main à la pâte, ou plutôt la bouche. De ce côté j’ai quand même un peu plus d’expérience que dans le ménage, mais je joue les ingénues, « Toute nue Madame? ».
« Non, vous aurez un petit tablier. », dit-elle en riant.
Je voulais des règles…stricts, je pense que je vais les avoir ici, mais pas dans le sens que j’imaginais! D’autre part, je dois me planquer un moment et c’est l’occasion de mettre de l’argent de côté pour aller me faire bronzer sous d’autres cieux…
Les yeux baissés, je lui dis, « Je ferai comme vous me le direz, Madame ».
« Parfait. A ce sujet, déshabillez vous, que je puisse juger de votre allure. »
Je joue un peu… genre, c’est gênant.
La voix de Madame se fait plus dure, « C’est pour aujourd’hui ou pour demain? »
J’enlève mon jean et mon tee-shirt. Je n’ai plus que mes baskets. Madame fait la moue, « Tournez-vous…. moui… de dos, c’est mieux…A propos, il faudra vous épiler, c’est dégoûtant tous ces poils. »
« Oui, Madame. »
Elle ajoute, « Et vous laver soigneusement tous les matins, vous sentez la transpiration! » Si elle avait marché sous le soleil, autant que moi, elle serait moins fraîche!
La dame appelle son mari. Il est un peu surpris de me voir toute nue, vêtue seulement de mes baskets et de mes poils pubiens.
Elle lui dit, « Elle est pas mal… surtout de dos. » A moi, « Tournez-vous, Mathilde, et marchez. »
« Oui, elle est mignonne.. », dit le mari. « Je pense qu’elle convient! »
Elle lui dit, « Montre lui sa chambre », et à moi, « Prenez une douche et lavez vous bien, ensuite vous mettrez l’uniforme qui est sur votre lit et vous viendrez vous montrer. »
« Bien Madame. » Je fais une révérence, toute nue, comme une danseuse qui ferait un entrechat.
En montant l’escalier, Monsieur me prévient. « Ma femme aime bien faire marcher son personnel à la baguette, mais elle n’a pas un mauvais fond… ».
Je lui réponds, « J’ai besoin de travailler, Monsieur, et aussi d’un peu de discipline dans ma vie. »
Il rigole, « Pour ça, comptez sur elle. »
C’est la première fois que je monte un escalier toute nue à coté d’un gentleman habillé.
Je sens qu’elle va être spéciale ma nouvelle vie!

Ma chambre est petite, mais par la fenêtre je vois le Rhône ou la Saône, au loin…
Sur le lit, il y a un uniforme : robe noire courte, petit tablier et une coiffe en dentelle.
Quand je suis déguisée en femme de chambre, je descends et je toque à la porte de Madame.
J’attends qu’elle me dise d’entrer. Je m’avance et fais une révérence, « Voilà Madame, je me suis changée ».
Madame me regarde, « Relevez votre jupe… » Elle constate que je suis nue sous la jupe. « Pourquoi n’avez-vous pas mis de culotte? »
Je lui dis la vérité, « Je n’en ai pas, je n’en mets jamais, Madame. » Elle a une moue dégoûtée et fait alors quelque chose de surprenant : elle se lève, remonte sa jupe et enlève une culotte brésilienne échancrée noire. Elle me la tend, « Tenez, mettez ça! »
Euh…voilà qui est spécial…et l’idée de coller ma chatte là où elle a mis la sienne, est ce bien hygiénique? Je la prends et la mets en disant, « Merci Madame. ».
Engager une bonne doit l’exciter, car la culotte est mouillée contre ma chatte. Si je mouille aussi, on va connaître les pensées l’une de l’autre! Mais sa voix autoritaire me ramène sur terre, « Allez chercher Monsieur dans son bureau, Mathilde. ».
Ah oui, c’est moi, Mathilde!
Monsieur a imprimé un contrat qui vient du Net. Je remplis les cases vides et le signe sans le lire. Ensuite Madame me dit ce que j’aurai à faire. En fait, il y a une bonne pour le gros nettoyage et un jardinier qui fait aussi chauffeur à l’occasion. Moi, je dois servir les repas, faire la vaisselle, la lessive, repasser…et surtout accourir dès que Madame a besoin de moi.
Il y a une hiérarchie dans la maison : je suis au même niveau que la bonne, mais je dois obéir à la cuisinière.
Elle dit à son mari, « Tu sais qu’elle n’a pas une seule culotte? En plus, elle est poilue comme une chèvre, on finirait par retrouver des poils dans notre assiette ». Rire de Monsieur.
« Tu l’amèneras en ville et tu le feras épiler… et puis tu lui achèteras des culottes, des grandes, des culottes de domestique, quoi. »
Je fais la grimace. Madame me dit, « Faudra vous y faire, ce n’est pas un bar à putes, ici ». Je suis sûre qu’elle sait de quoi elle parle.
L’épilation, je n’aime pas du tout, je préfère le rasoir, mais c’est agréable d’avoir un pubis et une chatte toutes douces.
Le lendemain, j’attends dans la cuisine avec la cuisinière. C’est une grosse matrone d’une cinquantaine d’années qui n’a pas l’air plus commode que sa patronne.
Je suis épilée et ma nouvelle culotte monte jusqu’au-dessus du nombril. Ce sont des rappels de ma nouvelle condition… On sonne, sur le tableau des sonnettes, la lumière au dessus de la « chambre principale », s’allume. « C’est pour vous, dépêchez-vous », me dit la cuisinière. Je monte avec le plateau.
Je frappe à la porte de la chambre, j’entre et j’ouvre les volets, « Bonjour Madame, vous avez passé une bonne nuit? »
Elle ne répond pas, mais, baille et s’étire. Elle dort nue. Elle est appétissante : très brune, avec des seins en poires qui accusent un peu de fatigue… Elle a des poils noirs sur le sexe, ce n’est pas comme sa bonne!
Madame mange dans son lit, salement! Elle met des miettes partout, renverse du café dans les draps. Je reste debout à attendre. La bouche pleine, elle me donne ses ordres pour la journée.
« Aujourd’hui, vous ferez la lessive et puis, Marthe – la gouvernante – vous dira ce qu’il y a à faire. »
Tout en mangeant son croissant, elle écarte les jambes et se caresse le sexe avec une parfaite impudeur. Elle constate, « Le matin, je suis toujours excitée ». Puis « Vous savez ce que vous êtes en plus de bonne, Mathilde? ».
« Euh…non, Madame ».
Elle me montre son sexe. « Mon sex-toy ».
Elle ajoute « Vous vous êtes bien lavé les dents ce matin? »
« Oui, Madame. »
« Déshabillez-vous et appliquez-vous! »
Alors, pendant qu’elle termine son croissant, je m’agenouille entre ses jambes et j’embrasse son sexe mouillé. Ses grandes lèvres sont très saillantes. Si je suis déjà lavée, par contre, elle ne l’est pas et elle a une forte odeur de brune…pas lavée. Sueur vers l’aine, un peu fade vers le vagin et très marine quand j’entrouvre ses lèvres de ma langue. Vers le méat et le clitoris, ce sont des odeurs puissantes, un peu dégoûtantes, mais excitantes aussi. Je la lèche, le goût est moins prononcé que l’odeur… Elle mouille beaucoup. Je dois lécher trop mollement à son goût, parce qu’elle me prend par les cheveux en disant, « C’est quoi ça?? Vous n’avez jamais léché une chatte? « .
Bon, bon, je me mets à la lécher avec… fougue… Tandis qu’elle pousse sur ma nuque et fait un mouvement de va-et-vient.
Mon nez disparaît même dans son vagin par moments. Là, tout mon visage est un sex toy. Heureusement, ça ne dure pas trop Elle se cambre et jouit…. bruyamment!
Je reste un moment le visage contre sa chatte mouillée.
« Nettoyez, maintenant! », me dit-elle.
Aah? Bon! Je suce et avale ses sécrétions et ma salive mêlée. Au bout d’un moment, elle me repousse. Elle me regarde, touche mes joues, mon nez et ma bouche toutes mouillées. « Qu’est ce qu’on dit?? ». « Merci Madame ». Elle me pince la joue méchamment. « Non, pas deux mots, faites une phrase. »
« … euh… je vous remercie, Madame, de m’avoir permis de vous lécher la chatte. »
Elle me repince la joue, moins fort et en souriant, « Hé bien, voilà, vous êtes peut-être moins stupide que vous en avez l’air. Et puis pas besoin de vous changer les piles! ».
Elle rit, approche son visage du mien et me renifle, « L’odeur de ma chatte va très bien avec votre genre de beauté vulgaire! Ne vous lavez pas ».
Elle lâche mon visage. « Bon assez joué, il y a la vaisselle qui vous attend! »
Je me rhabille et redescends… un peu étourdie…

A suivre.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire