A la conquête de l’âge
La journée était donc passée, allongé sur son lit, Maïwen dans ses bras, Alexandre faisait le bilan. Il avait trouvé un moyen de mettre sa mère à ses pieds et couché avec sa sœur et sa cousine. Il ne restait qu’un obstacle entre lui et Sylvia, son père. Par chance, celui-ci s’occupait souvent de sa tante et de son oncle, laissant le champ libre à son fils. Aussi un jour celui-ci eut une idée pour varier les plaisirs que lui conféraient ses deux amantes. Inspiré par un site voyeur consulté récemment, il dépensa le peu d’argent qu’il possédait pour acheter une caméra, la plus discrète possible. Satisfait de son achat, il rejoignit sa chambre et fit part de son plan à Maïwen et Victoria. Cette dernière fit diversion, demandant à sa mère de l’entrainer à conduire pour son permis. Se retrouvant donc seul avec sa cousine, Alexandre entama ses petits travaux. Il plaça la caméra dans la grande armoire parentale, le plus près possible du miroir, meuble où la famille rangeait tous les ouvrages épais ou ennuyeux, souvent les deux, sans jamais les ouvrir. La cache idéale, en partant du principe que personne n’irait fouiner. Caché derrière une encyclopédie l’appareil était presque invisible, seul l’objectif dépassait. Enfin, il la relia en wifi à son ordinateur. Heureux de son idée le jeune homme célébra cette réussite dans son lit, en compagnie de sa cousine.
A peine sa mère rentrée Alexandre se précipita devant son écran, sa cousine et sa sœur ne tardèrent pas à le rejoindre, curieuses. La chambre était vide, quelques minutes passèrent, déçu Alexandre allait éteindre son portable, il n’aurait qu’à lancer l’enregistrement, lorsqu’une paire de jambe passa devant l’écran. Un sourire illumina le regard du jeune homme, il ne savait pas à quoi s’attendre mais le simple fait d’épier sa mère l’excitait. Sylvia se plaça face au miroir, le garçon était satisfait de l’angle, on voyait intégralement la femme. Celle-ci s’observait, se recoiffant, ne se doutant pas de la présence de la caméra. Le regard de son fils courrait partout sur elle, la déshabillant du regard. L’imagination devint réalité, la jupe glissa sur les longues jambes bronzées, la culotte tomba aux pieds de Sylvia. La chatte était ornée d’un duvet en triangle, légèrement rasé. Le haut tomba à son tour, les seins lourds de la femme étaient à l’air libre, encadrés par une belle chevelure brune. Elle restait là à contempler son corps, sans prendre la peine de s’habiller. Elle essaya plusieurs tenues, tout y passait, des sous-vêtements aux chaussures. Elle revint en tenue d’Eve, et s’assit sur son lit. Elle fit alors un mouvement, un simple geste qu’Alexandre avait vu maintes fois ses amantes exécuter, elle écarta les jambes et apposa sa main sur sa chatte. Victoria et Maïwen s’étaient rapprochées de l’écran qu’elles avaient jusque là ignoré. Les caresses ne durèrent que quelques instants, Sylvia se leva, et ouvrant l’armoire, fouilla dans les tiroirs où Alexandre avait trouvé le plug. Celui-ci était figé, allait-elle se rendre compte de la disparition de son sextoy ? Elle sembla ne pas s’en apercevoir et prit un gode rose, semblable à celui de Victoria. Elle s’assit sur son lit et commença aussitôt à se pénétrer, sans la moindre préparation. Encadré par ses amantes, le jeune homme posa sa main sur son entrejambe. Les deux jeunes filles le regardèrent, amusées, se caresser en matant sa mère.
De son côté Victoria fixait sa cousine, plus elle la côtoyait, la voyait si intime avec son frère, plus celle-ci lui semblait belle, l’excitait. Elle s’approcha de Maïwen, tendant ses lèvres vers les siennes. Sous les yeux étonnés d’Alexandre les deux jeunes filles s’embrassèrent, du moins la brune prenait dans ses bras la petite blonde, surprise. Cette expérience nouvelle sembla plaire à cette dernière, elle se laissa tomber dans ce baiser amoureux. Le jeune homme ne savait plus où donne du regard, entouré de deux lesbiennes enlacées et de son écran de PC, diffusant des images de sa mère, nue, jouissante. Étrangement il se sentait frustré, il avait ces deux jeunes filles à ses pieds, pourquoi devrait-il se contenter d’image de sa mère, pourquoi n’aurait-il pas le droit au concret ? Énervé il quitta la pièce, sous les yeux étonnés de Victoria et Maïwen, décidant d’arrêter un moment l’expérience de la caméra. Le jeune homme regrettait, il avait oublié la sobriété des fantasmes, seul dans son lit, accompagné de son poignet. Il avait eu deux femmes prêtes à combler ses désirs mais il était lassé, il avait été gâté, il voulait sa mère, tout de suite. Comme il les enviait, elles pouvaient s’occuper entre elles, lui restait seul, tirant les mêmes coups chaque jour…
Il resta seul dans sa chambre une heure, plongé dans ses pensées, avant que Maïwen ne rentre.
– Qu’est ce qu’il t’a prit ? C’est Victoria et moi qui t’avons énervé ? On s’est juste embrassée…
– Non… Non évidemment, ce n’est pas de votre faute, juste… Je voudrais un peu de nouveautés, expérimenter, comme avant.
– Si ce n’est que ça. Victoria m’a dit qu’elle t’avait dépucelé, et si tu t’occupais de mon cul maintenant ?
– Tu sais me parler toi !
– Vous êtes tous pareils, c’est pas bien difficile. Allez en piste mon petit, laisse-moi juste me préparer…
Le jeune homme s’affala sur le lit sans prendre la peine de se déshabiller, sa cousine s’en occuperait, il fixait le plafond, rêveur, sa première sodomie… Quelques instants plus tard la porte grinça légèrement, Maïwen était revenue de la salle de bain, entièrement vêtue de lingerie. Elle se plaqua contre le mur, laissant son cousin apprécier son corps bien formé. Celui-ci la trouvait magnifique, son buste svelte mais doté d’une belle poitrine était finement moulé dans un haut noir, dénudant ses épaules et dévoilant ainsi son absence de soutien-gorge. Plus bas se trouvait une culotte en dentelle, noire également, la minuscule bande de tissu, recouvrait avec peine la chatte de la jeune fille. Dernier ajout à ce sublime ensemble, une paire de bas noir, pièce de vêtement dont Alexandre raffolait. Sous les yeux du jeune homme Maïwen s’approcha de son cousin, se penchant face à lui. Elle lui retira son jean et son caleçon et prenant sa bite en main, lui demanda.
– Une mise en bouche avant la visite de la grotte mon cœur ?
– Je te laisse faire ta visite guidée.
– Alors commençons tout de suite !
Elle lui tourna le dos, dévoilant son cul huilé aux yeux d’Alexandre. Celui-ci n’osait pas agir, préférant laisser faire l’habituée. Elle ne se laissa pas prier et prit les choses en main. Elle se cambra, présentant ses fesses rondes à son cousin, et laissa glisser lentement sa queue en elle. La vaseline marchait bien, le membre rentra peu à peu et s’arrêta à mi-chemin. Maïwen remua un peu son fessier, appréciant la chose en elle. Une fois le plaisir à son maximum elle fit coulisser les derniers centimètres. Alexandre était aux anges, la sensation de l’anus de sa cousine se resserrant autour de sa bite était des plus plaisantes. Il prit confiance en lui et commença à y mettre du sien, accélérant ses mouvements. Face à ces attaques les râles de la jeune fille se firent plus insistants. Le plaisir était à son apogée lorsque Victoria déboula dans la chambre, pas plus surprise que ça devant la scène qui se déroulait devant elle.
– Ramenez-vous ! Faut que vous voyiez ça !
Leur curiosité attisée, les deux amants se séparèrent, avec dépit néanmoins, et suivirent la jeune fille. Ils se retrouvèrent de nouveau face à l’écran. Ce qu’ils virent valait le déplacement, Sylvia était toujours dans son lit, accompagnée cette fois. Ce qui aurait pu passer pour une scène banale n’en était en aucun cas une, ni Alexandre ni Victoria ne reconnaissait leur père en le compagnon de leur mère. Il venait de la surprendre en pleine adultère. Le jeune homme se précipita sur son clavier et démarra l’enregistrement, avant d’embrasser amoureusement sa sœur.
– Victoria, tu viens de me trouver la clé vers la chatte de maman.
Face à cette déclaration saugrenue, la jeune fille éclata de rire.
– Mais je t’en prie petit frère, amuse-toi bien ! Je vous laisse finir votre affaire tous les deux ?
– Ou alors tu pourrais jouer avec nous ?
– Un plan à trois ? Mais où vas-tu chercher tout ça petit obsédé ?
– J’ai révisé de nombreuses années avec mon ordinateur.
– Je sais je sais, il aurait juste fallu que tu apprennes à effacer un historique mon grand.
– Hum… Revenons à nos moutons.
Un sourire moqueur à la bouche les deux jeunes filles finirent de se déshabiller, à la joie d’Alexandre. Elles se précipitèrent sur la queue dressée, tentant l’une et l’autre d’arriver la première. Maïwen gagna cette espèce de course, engloutissant le membre chaud. Victoria ne fut cependant pas en reste, elle s’assit doucement sur le visage de son frère, présentant sa chatte à sa langue agile. La situation était des plus agréables au jeune homme, le gout acide de la mouille de sa sœur dans la bouche, sa bite dans celle de sa cousine. Prit en sandwich entre ces deux plaisirs Alexandre était aux anges, ses mouvements de langue s’arrêtèrent, il n’y pensait même plus. La brune n’y vit pas de problème et rejoint Maïwen, mêlant sa langue à la sienne dans une fellation à deux. Cette fois leur amant ne pu se retenir plus longtemps. Il cracha sa semence dans la bouche de sa cousine, la plus proche du jet. Partageant ce nectar avec Victoria elle l’embrassa, le sperme coulait entre les deux bouches, il fut enfin séparé et avalé goulument par les deux jeunes filles.
Enhardie par ce baiser elles se séparèrent d’Alexandre et se mirent en 69, appréciant l’une et l’autre la chatte humide de son amante. Ainsi abandonné, le jeune homme s’assit sur le lit, se branlant lentement, ne voulant pas épuiser ses forces. Il admirait les deux corps sveltes, tendrement enlacés, il n’aurait pu être plus heureux. A leur tour les deux lesbiennes jouirent, s’affalant sur le lit, leur corps se soulevant au rythme de leur respiration. Leur amant les rejoint, se couchant entre les deux corps chauds, appréciant de la main leurs douces formes, moelleuses, parfaites. Elles l’avaient finalement comblé, il avait souhaité et avait obtenu, il se sentait puissant. C’est dans cette reprise d’assurance qu’il embrassa Maïwen, lui signifiant son désir de recommencer, de mêler à nouveau son corps au leur.
Quelques jours passèrent donc. Combien ? Alexandre n’aurait su le dire, plongé constamment dans ce plaisir i****tueux, il perdait la notion du temps. Chaque jour il enregistrait les parties fines de sa mère, appréciant apparemment les absences répétées de son mari. Son fils n’aurait su dire pourquoi mais cela ne le surprenait guère. Ni le fait que Sylvia trompe son père, ni le fait que ses amants changent au fil des journées, ne l’étonnait. Était-ce du aux multiples godes et pièces de lingerie qu’il avait trouvé dans l’armoire, forgeant en lui une image différente de sa mère ou à une banalisation de la sexualité ? Il avait passé tant de temps dans les bras de ses amantes que le simple fantasme était devenue une normalité, voire une habitude. Cela ne l’inquiétait pas plus que cela, il était jeune, autant en profiter, il penserait aux conséquences plus tard, comme toujours. Quoi qu’il en soit il était temps pour lui de conquérir sa mère, il avait une bonne dizaine de vidéos compromettantes d’elle et ses amis. C’était sans compter l’apparition d’une nouvelle personne dans son entourage.
En effet les vacances étaient passées entre temps. La situation de sa tante et de son oncle s’étant débloquée, ils étaient rentrés chez eux, retirant Maïwen au jeune homme. Victoria, quant à elle, avait repris les cours si bien qu’absorbée par ses études elle ne pouvait guère plus consacrer de temps à son frère. Le cœur d’Alexandre était donc ouvert à la nouveauté, ce que lui offrit la rentrée. Il y avait certes de nombreuses jeunes, et jolies, filles dans son nouveau lycée mais ce ne fut pas cela qu’il remarqua. Son attention se porta sur sa professeure d’anglais. Elle était une rareté dans le domaine de l’éducation, la vingtaine, belle, sympathique.
Les premiers jours d’Alexandre au lycée se déroulèrent sans troubles, le jeune homme se contentant d’apprécier du regard les formes de ses amies et de l’enseignante. Mais plus il la côtoyait plus il la désirait. Chaque jour où il croisait, apercevait, rien que pensait à Lise, car tel était son nom, il sentait un feu brûler en lui, cette flamme réclamait la jeune femme. Avec l’absence de ses deux amantes, Victoria étant partie en voyage scolaire, Lise était devenue une obsession, allant jusqu’à éclipser Sylvia du crâne d’Alexandre. Bien sûr l’enseignante se rendait compte de la situation, à chaque cours elle y avait le droit, il la déshabillait littéralement du regard. Aussi un jour elle fit la pire décision de sa vie, elle alla à sa rencontre.
– Alexandre si je t’ai convoqué ce n’est pas pour rien.
Celui-ci feignait, mal, l’humilité, baissant les yeux, en profitant pour plonger dans le décolleté de Lise. Elle le remarqua aisément et ne cacha pas son agacement.
– Voilà, c’est de ça dont je veux te parler ! Je ne doute pas que tu ais des facilités en anglais mais je préférerais que tu regardes le tableau plutôt que… Que… Enfin je suppose qu’on se comprend.
Il feignit l’innocence, répondant sur un ton mielleux qui mit à bout la jeune femme.
– Non je ne vois absolument pas de quoi vous parlez.
– Ne te moque pas de moi ! Je suis sérieuse Alexandre.
– Si on ne se comprend pas on ne pourra pas se mettre d’accord.
– Très bien… J’aimerais que tu écoutes en cours plutôt que passer ton temps à mater mon cul.
– Tu aimerais ? Moi je sais ce que tu aimerais, sinon pourquoi aurais tu mis si longtemps à réagir ? Ca te plait hein ? L’idée qu’un de tes élèves te désire, que tu puisses jouer avec lui.
– C’est faux, je ne te permets pas de me tutoyer.
– Ah oui ? Et tous ces décolletés, ces mises en scène pour me narguer ? Arrêtes de te mentir à toi-même.
Il se leva, s’approchant de la porte.
– Assieds-toi immédiatement !
– Notre entretien est terminé, je vous laisse méditer là-dessus, Madame.
Sur ces mots il jeta un dernier regard aux seins de Lise et, un sourire narquois figé sur le visage, quitta la pièce. Il l’aurait. Comme toutes les autres elle tomberait à ses pieds. De son côté la jeune femme était perdue, elle ne croyait pas un seul mot de ce que lui avait dit son élève mais cela l’avait perturbé. Non c’était faux, ce n’était pas ce qu’il lui avait dit qui l’avait troublé mais lui-même, il avait dégagé une certaine assurance, tout le long de l’entretien il l’avait dominé, ce qui, étrangement, lui avait plu. Elle se sentait chaude, elle toucha son entrejambe, elle mouillait…
Elle rentra au plus vite chez elle et, à peine arrivée, s’écroula par terre, elle pouvait encore sentir le regard du jeune homme sur son corps, cela l’excitait. Elle se déshabilla au plus vite et se posa sur son lit, commençant à se masturber. Elle savait que c’était immoral, c’était un de ses élèves, mais cela ne faisait qu’accroitre son plaisir. Ses doigts couraient sur la chair moite, envahissant chaque parcelle de sa chatte, caressant le léger duvet blond. Un doigt rentra, cela ne suffit cependant pas à satisfaire sa soif de plaisir, elle s’arma d’un sextoy couleur chair.
De bonne taille, l’objet était composé d’un attribut masculin, accompagné d’une paire de boule en plastique. Il avait été cependant modifié par l’un des anciens amants de la femme, en faisant une pièce rare. Une ventouse y avait été ajoutée, permettant un usage libre et facile, mais ce n’était pas cela qui en faisait un objet original. L’homme s’était mis en tête de faire du sextoy une véritable représentation du sexe masculin, fonctionnelle, mieux, il avait réussit. Par un réseau de fins tuyaux il avait réussit à permettre au gode d’éjaculer, du lait certes mais la sensation restait la même. Une simple pression sur les boules et le liquide se déverserait en elle.
Elle fit avec hâte le plein et s’enfonça la chose en elle, voilà bien longtemps qu’elle ne l’avait pas refait. Elle commença à faire des mouvements de va-et-vient avec le sexe en plastique. Les frottements de l’épais sextoy dans sa chatte étroite, sa mouille s’étalant le long du latex, toutes ces sensations lui avait manqué. Restait à en expérimenter une dernière, celle qui lui semblait la plus plaisante, qui l’avait incité à ressortir son vieil ami, le jet. Lise pressa lentement les boules, comme savourant cette attente. Soudain, une explosion de liquide en elle, un geyser la traversant brutalement. Elle s’écroula sur son lit, haletante. Elle venait de se masturber en pensant à un de ces élèves… Un reste de lait, sortant en un fin filet de sa chatte, lui fit sortir de ses pensées. Non, non elle ne se poserait pas de question, elle y avait prit du plaisir, c’est tout ce qui importait. Elle comptait bien recommencer d’ailleurs, et s’y remit sans attendre.
Boite de nuit Ferro, centre-ville :
Deux heures du matin, la fête battait son plein, un peu trop aux yeux du gérant apparemment. Un groupe de colosse rentra dans la salle. A leur simple vue la foule s’agita, éteignant hâtivement les joints et autres substances supposément illicites. Ceux qui ne le faisaient pas à temps se voyaient expulsés de l’établissement, de gré ou de force. Auréa faisait partie d’eux, totalement déchirée elle fut empoignée par un videur et jetée dehors sans ménagement. Ses compagnons de beuverie ne tardèrent pas à la rejoindre sur l’asphalte. Ils se séparèrent, partant chacun de son côté, titubant dans la nuit. La petite blonde se retrouva seule, trop ivre pour s’inquiéter de cela. Elle rentra chez elle et commença devant sa porte la longue exploration de ses poches, cherchant maladroitement ses clés. Soudain elle entendit un râle, intriguée elle tenta de trouver d’où il provenait. Le son se répétait, de plus en plus fort, cela venait de l’étage. Tant bien que mal elle grimpa sur une poubelle et, manquant de s’affaler par terre à de multiples reprises, s’accouda à la fenêtre. Un couple était en plein ébat. Elle les observa un moment, légèrement excitée par ce voyeurisme. Soudain elle les reconnut et fit un pas en arrière, surprise. Ce sursaut n’aurait eut aucune conséquence si elle n’avait pas été une jeune fille saoule, perchée sur une poubelle branlante. Elle s’écrasa au sol dans un vacarme assourdissant avant de prendre la fuite, de peur d’être vue par les deux amants. Elle couru donc, traversant rues et avenues à en perdre le souffle, elle ne pouvait croire la scène qu’elle avait surpris. Elle s’arrêta, riant intérieurement de sa réaction, ce n’était surement qu’une impression, une vision de son esprit troublé
Alors qu’elle faisait demi-tour vers sa maison, une main l’attrapa, coinçant son bras dans son dos. Une paume sale s’écrasa sur ses lèvres, bloquant son cri de frayeur. Une corde enserra ses poignets, mordant à vif la chair. Bien vite ses chevilles furent aussi liées. L’homme la plaqua au sol, face contre le sol, une lame glissa sous sa gorge.
– Tu tente ne serais-ce que de parler et je te saigne comme une truie. Compris ?
Les larmes aux yeux Auréa hocha la tête, que pouvait-elle faire d’autre ? Les mains de l’homme la relevèrent avant de se glisser en elle, commençant à la déshabiller. Il ouvrit la chemise de la jeune fille et, tirant de toutes ses forces sur les bretelles, craqua son soutien-gorge. Deux beaux seins en sortirent, il se précipita dessus, les empoignant, caressant la douce chair. Il attrapa un téton, le faisant rouler entre ses doigts. Malgré ses plaintes il sentait le plaisir que prenait sa victime, il jouissait de ce tiraillement que ressentaient ses proies, à demi entre le désespoir et cette sensation agréable, presque immorale dans ce cas, que leur procurait l’acte sexuel. Ce fut au tour de la jupe de tomber, la courte pièce de tissu glissa le long des belles jambes d’Auréa. L’homme sourit, posant son regard lubrique sur le corps de la jeune fille, voilà bien longtemps qu’il n’avait pas eu affaire à une telle beauté. Il détacha les liens qui entravaient les jambes de sa victime et déboutonna sa braguette, lui signifiant clairement ce qui allait lui arriver. Il plaça son membre en face d’elle et prononça un unique mot, un seul certes mais si lourd de sens.
– Suce.
La jeune fille tenta de résister, en vain, il la gifla violemment, avant de lui remettre la lame sous la gorge. La situation venait d’empirer, il ne restait plus qu’une solution. Elle approcha lentement sa bouche, dégoutée. Ce n’était pas à sa première fellation, elle comptait bien le faire jouir rapidement, mais cela l’inquiétait en même temps… Que ferait l’homme une fois satisfait ? Continuerait-il ses sévices, la battrait-il, fuirait-il ? Tant de questions sans réponses. Elle fut interrompue dans ses réflexions par la main du violeur, il l’avait frappé une fois de plus. Il la prit violemment par les cheveux.
– Dois-je me répéter ?
Peut lui importait après, elle voulait mettre fin à son supplice. A la joie de l’homme elle se résigna, commençant à sucer le sexe dressé qu’il lui présentait. La fille avait de l’expérience, sa langue était partout, accompagnée de ses doigts agiles. Elle le retira de sa bouche, le branlant lentement, il aimait ce qu’elle lui faisait, elle le savait. Il l’éloigna sans ménagement de sa queue, le prenant à son tour en main. Il approcha le visage d’Auréa de son sexe, parcouru par des spasmes de plaisir mal contrôlés. Soudain il éclata, sa semence était partout sur le visage de la jeune fille, dégoulinant sur son corps à moitié nu. Cela ne lui suffisait pas, il voulait recommencer. Hélas. Il jeta un œil à sa bite et put admirer les désastres de l’âge, un coup tiré et elle n’avait plus de munition… Honteux, et légèrement paranoïaque, de cette tare, il crut surprendre un sourire sur le visage de sa victime. Il la gifla une fois de plus, s’acharnant sur le corps recroquevillé. Soudain il eut une idée, ce fut à son tour de rire. Il sortit de nouveau son couteau et, sous le regard terrifié d’Auréa, commença à déchirer ses vêtements, les réduisant en lambeaux. Elle était nue, le visage et le buste couverts de sperme et seule dans la nuit. En bref on pouvait résumer sa situation en un mot. C’était la merde.
Elle se traina vers les restes de sa veste et en sortit son Smartphone, miraculeusement rescapé. Elle composa fébrilement le numéro d’une amie et, dans un sanglot, lui demanda de venir au plus vite la chercher. Elle laissa soudain le téléphone tomber au sol et tomba dans les pommes.
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