Ma femme a repris ses études et elle travaille beaucoup en groupe avec des étudiant.e.s de ses TD. Ils échangent leurs cours, leurs notes et parfois, il arrive que lorsque ma femme a besoin d’un cours il est chez un autre étudiant.
C’est donc pour aider ma femme que je suis allé chercher les notes de cours qu’elle avait prêtées à Sophie. Je devais passer chez elle le matin sur le chemin du boulot. J’avais un post-it avec toutes les coordonnées de ladite Sophie que je n’avais jamais vue de ma vie.
Comme prévu, à 8h je sonne à sa porte. La porte s’ouvre mais, surprise il n’y a personne derrière. En fait, la porte a juste la place de s’ouvrir car derrière il y a un escalier qui donne accès à l’appartement. Sophie est donc quelques marches plus haut dans l’escalier. J’entre et lève la tête pour lui dire bonjour. Et je suis tout de même un peu surpris de voir une jeune femme brune très souriante ne portant sur elle qu’une chemise d’homme qui, avec la différence d’altitude entre nous, m’offre une vue imprenable de sa chatte. Je vois parfaitement que sa toison est coupée ras et s’arrête juste au dessus du capuchon de son clitoris. Plus bas, les lèvres sont totalement rasées.
J’arrive à balbutier tant bien que mal un bonjour maladroit. Elle me fait un grand sourire, me souhaite la bienvenue et remonte les marches. Là encore la chemise me donne une vue sur ses fesses bien rondes et musclées du genre qu’on aimerait voir plus souvent.
Je la suis en prenant bien garde de ne pas me presser pour pouvoir savourer le spectacle le plus longtemps possible. Arrivé sur le palier et donc dans l’appartement proprement dit elle m’invite à m’asseoir dans sur le canapé dans le salon pendant qu’elle va chercher les notes dans sa chambre.
Le canapé est du genre super mou et je me retrouve avec les genoux sous le menton, Debout devant moi, elle me sourit encore une fois et cette fois elle ne peut plus vraiment prétendre qu’elle ne se rend pas compte que j’ai une excellente vue de son anatomie. Elle est trop près de moi et la lumière trop vive pour ça.
Elle se retourne et part dans le couloir que j’ai pu apercevoir en arrivant sur le palier.
Comme je suis super mal installé je me lève et commence à regarder autour de moi. Nous sommes au 20éme étage d’une tour et la vue sur Paris est tout à fait impressionnante. J’entends Sophie qui est visiblement en train de retourner son bureau pour trouver les notes.
Je passe la tête dans le couloir et lui propose mon aide. Elle me répond que tout va bien qu’elle se débrouille et que je n’ai qu’à profiter de la vue.
Le bruit de ses recherches continue et je commence à m’impatienter, je vais donc dans le couloir et vais entrer dans la chambre quand je vois Sophie avec la tête sous le lit et le cul en l’air, sa chatte luisante offerte à mes regards. Pour apprécier la vue, je l’apprécie. Sophie s’agite sous le lit ce qui a pour effet de lui faire remuer le cul d’une façon de plus plus en plus hypnotique pour moi.
Quand je me rend compte que l’intérieur des cuisses de Sophie est luisant mon sang ne fait qu’un tour. On ne vit qu’une fois après tout.
Je défait donc les boutons de ma braguette, sors ma queue turgescente et mes couilles gonflées à l’air libre, m’agenouille derrière ce joli cul et d’un seul mouvement enfile Sophie jusqu’aux couilles.
Elle pousse un cri d’étonnement et pousse ses fesses contre moi ce qui m’incite à lui att****r les hanches et à la baiser avec application.
Elle m’accompagne de son bassin qui ondule en cadence et de ses gémissements. Décidé à pousser mon avantage aussi loin que possible, je me retire et entreprend de lui bouffer le cul avec avidité, léchant ses lèvres, mordillant son clitoris et poussant ma langue dans son joli anus rose.
Le traitement semble tout à fait à son goût puisqu’elle m’agrippe par les cheveux pour s’assurer que je ne vais pas partir en courant mais bien continuer à la lécher. Mon visage est complètement trempé de sa mouille. Je suis au paradis.
Mais toutes les bonnes choses ont une fin alors je me dégage et remplace ma langue sur son petit trou du cul par mon gland prêt à exploser. Avec l’aide de Sophie, ma queue trouve rapidement sa place bien au chaud au fond de son cul délicieusement brûlant et serré.
Ses gémissements deviennent des cris rauques, des feulements quand elle jouit sous mes assauts. Je ne tarde pas à la suivre et éjacule à longs traits au plus profond de son cul. Une fois nos spasmes calmés je me retire doucement.
Sophie s’assied, me souris et me dit qu’elle n’a pas trouvé les notes mais qu’elle pense les avoir ce soir. si je veux bien passer les prendre après le travail elles seront à ma disposition pour que ma femme puisse travailler avec ce soir.
J’accepte bien évidemment cette proposition mais c’est une autre histoire.
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