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Je suis une salope

Je suis une salope



C’est un des fantasmes récurrents de la majorité des hommes qui aiment se travestir. Et j’avoue que l’idée m’a souvent excitée.

Alors que j’étais avec ma femme dans une boutique de lingerie à Pigalle , des dessous très sexy entre les mains, un homme d’un certain âge a surpris notre conversation et s’adressant à moi sèchement et de façon autoritaire devant ma femme :
« Vous aimez vous travestir ? »
– Oui, il est très sexy en lingerie de salope son nom est lopette , coupe mon épouse.
– Je n’en doute pas. est-ce que votre petite lopette est soumise ? sait elle satisfaire un homme ?
– Et bien , …. évidement
– Lopette Avoue a Monsieur que ton grand désir est de te faire baiser par un homme un vrai
– Oui , Monsieur
– C’est vrai, ? demande l’homme ravi ,Je peux le réaliser vous savez !
– Je ne suis pas sûr que ce soit possible,
– Moi j’aimerai que lopette devienne une vraie petite pute soumise à un Maître pervers,
– Oui, imaginons une proposition qui ne peut pas se refuser…
– Vous voulez dire que vous paieriez ?
– Pourquoi pas si je peux profiter d’une salope soumise travesti et cochonne disons, un week-end ?
Ecoutez, j’imagine que vous avez besoin de réfléchir. Appelez-moi Mr Lucky. Voici ma carte. Si ça vous intéresse contactez-moi. A bientôt j’espère.

J’espère que tu vas accepter !
– Fais pas ta mijaurée, c’est ton rêve de faire la pute ! Pas vrai ?
– Oui , ma chérie j en ai trop envie ,je suis une salope fétichiste ,je suis ta putain .
– Mr Lucky est beau, Franchement, après tout ce que tu m’as dit sur ton envie de te faire baiser comme une chienne par un mec et être vêtue en putain
– je veux que tu deviennes une vraie petite salope, la plus vulgaire des putes est bien importante et mieux que toi ! Il est temps que tu te rendes compte de cela…Alors, me retrouver mariée à une vraie pute soumise , m’excite encore plus ! Par contre je veux tout savoir dans les moindres détails. Allez, prend ta guêpière salope , il te faut pleins de dessous
A la maison, dès qu’elle me croisait, elle m’appelait « petite pute » et me glissait à l’oreille des phrases du genre : « Pense à la belle queue que tu vas sucer mon amour, pense à cette bite dure qui va te bourrer tes petites fesses, ça ne te fait pas envie ? » je me goderai à la maison en t attendant .
La vérité, c’est que mon clito était dur comme la pierre depuis la conversation de la boutique de lingerie. Je me branlais sans arrêt en pensant à la bite de Mr Lucky
Je finis tout de même par composer le numéro sur la carte de visite.
Allo, Mr Lucky ? Bonjour c’est… C’est Lopette La pute soumise de la boutique de lingerie
– Bonjour !
– Est-ce que votre proposition tient toujours ?
– Tu veux parler de l’argent ? Pas de doute, t’es une vraie pute !
– Non mais… Enfin, vous comprenez.
– Je passerai te chercher vendredi et si pour une raison ou une autre tu refuses tout ce que je te demande, tu n’auras pas un sou. Entendu ?
– Entendu.
– Fais-toi pute et très salope sexy j exige que tu mettes une mini jupe à carreaux rouge chemisier noir transparent , un porte jarretelle ,une culotte rouge et noire fendue des bas coutures noir par dessus tu mets des soquètes blanche et des talons aiguilles et un imper tu as bien compris espèce de lope !
– Oui Mr Lucky
Ma femme choisit elle même le restant de mes dessous et vêtements pour le week-end.
– J’ai mis dans ton sac deux guêpières, les strings assortis, des bas de rechange, tes escarpins rouges et la nuisette à frous-frous que tu aimes tant. Il y aussi ta petite robe noire de soubrette , et une trousse pour te refaire une beauté.
– Tu m’aides à attacher mon porte-jarretelles et mon soutien gorge ?
– Bien sûr ma petite putain ! Bon allez, file , il est temps d’aller te faire enfiler salope !

20h. La grande voiture noire m’attendait en bas de l’immeuble.
Perchée sur mes talons de 15cm, je descendais l’escalier vêtue d’un imperméable en ciré noir , devant la voiture, se tenait un homme en costume sombre. Il ouvrit la porte , et me fis signe de monter à . J’écartais mon imperméable et relevai exagérément ma mini jupe découvrant l’attache de mes jarretelles et mes jambes gainées de bas coutures noirs.

Mr Lucky me faisait face. Costume noir, chemise blanche.
– Ouvre ton imperméable , ordonna-t-il, sans même dire bonjour.
J’obéis sans un mot, dévoilant délicatement ma mini jupe au ras des bas ,mon chemisier noir transparent et soutien-gorge noir fétiche.ma culotte fendue en dentelle qui laissait sortir mon clito tendu et qui me titillait la raie des fesses
– Tu es très sexy , salope !
– A quoi penses-tu quand tu te branle , qu’est-ce qui t’excite ?
– Je rêve de prendre votre queue dans ma bouche et de sentir votre sperme couler dans ma gorge. Je rêve aussi de la sentir me fourrer ,longtemps et que le plaisir m’emporte.
– Une véritable chiennasse , se félicita Mr Lucky.

Tout en me déshabillant du regard, Mr Lucky portait la main à sa braguette . Il en extirpa une pine épaisse et dure. Sur son gland lisse perlait une goutte de mouille , il recueillit du doigt la goutte à l’extrémité de son sexe et tendit son index en ma direction. Lèche salope !
Sans réfléchir, j’ouvris la bouche et entrepris de lécher le doigt comme une bite ,l’instant d’après, j’avais ma main au dessus de ses couilles, serrant sa queue gonflée entre mes lèvres.

– C’est ça ma salope, c’est bien. Prends-moi tout entier dans ta bouche. Oui vas-y.
Je dégustais ma première pipe avec un bonheur et une excitation jamais ressentie.
Combien de fois avais-je sucé des godes à la maison habillée en chienne ?
J’aimais tellement que je ne pouvais plus m’en passer. Chaque semaine, plusieurs fois, plusieurs heures durant. Jusqu’à me donner des crampes à la mâchoire.

Sucer Mr Lucky était assez différent de mes godes. Aussi dur, aussi long, mais différent. Une vraie bite quoi. Cette fois, elle bougeait, elle frémissait. Je la sentais se contracter sous ma langue. Et je dois l’avouer j’étais comme une folle.

Affalé sur sa banquette, Mr Lucky ne ratait rien du spectacle. La bouche entrouverte, il me regardait tandis que je le pompais Tout en m’activant de plus belle, . Sûre d’être une bonne pipeuse je me parlais intérieurement : « ça y est, je suce une bite. Elle est belle et j’adore sucer cette queue. Je pourrais continuer des heures c’est si bon. Je suis une pute. Une vraie petite pute… »
Maintenant, je voulais son sperme. Je voulais enfin sentir le liquide chaud couler dans ma gorge. Tant de fois, j’avais avalé le mien en essayant péniblement d’imaginer que c’était celui d’un autre. J’allais enfin pouvoir me délecter pour de vrai. Avaler du vrai sperme. Le sperme d’un autre, avec un autre goût, j’étais en transe. J’avais même envie de supplier… Je relevais la tête, branlant la bite avec mes deux mains jointes.
– Donnez-moi votre sperme Maître
– Et bien, tu apprends vite Pouffiasse ! Redis pour voir ?
– Maître J aimerai votre foutre , giclez dans ma bouche !
– Demande poliment ordure !
– Je vous en supplie, Mon Maître donnez moi tout votre foutre dans ma bouche de pute, s’il vous plait !
– Très bien, je vais te faire plaisir sale traînée, poursuivit Mr Lucky en se branlant frénétiquement au dessus de mon visage, allez ouvre bien grand ta bouche que je te jute sur ta gueule de Pouffiasse !

A genoux, j’attendais ma récompense la bouche ouverte Mr Lucky se masturbait de plus en plus vite, je restai là, comme une chienne soumise en attente de foutre. Plus sa jouissance tardait, je mouillai immobile et offerte comme une salope assoiffée.

-Il n’y a qu’une salope comme toi pour rester sans bouger la bouche ouverte à s’en décrocher la mâchoire !
– Maître C’est que je ne voulais pas risquer d’en manquer. la chose que je redoutais plus que tout était probablement que son sperme gicle en dehors de ma bouche et de mon visage . Je voulais tout, jusqu’à la dernière goutte ! je vais boire tout son foutre et ça me fait bander comme une folle dans mon string. Je suis une vraie pédale finalement. j’aime ça . Je ne veux que sa bite. La sucer, la bouffer et sentir déverser son jus en moi. »
– Aaaaaaah, aaaaaaaaah, avale tout salooooooope !
Mr Lucky posa son gland directement sur ma langue et gicla sa semence chaude dans ma gorge. Du sperme coulait Je gardais la bouche ouverte d’autres giclées arriveraient, Sur mon visage . j’avais la bouche remplie et le visage souillé par le foutre .
Tandis qu’il secouait désormais sa queue dure pour faire tomber les dernières gouttes entre mes lèvres, j’étalais le sperme encore chaud sur mes bas noir et branlant mon clito
Comme une bonne chienne, je montrais à mon maître que j’avais encore son sperme en bouche. je l’avalais doucement,
je rêvais déjà de sentir cette belle bite me pénétrer le cul. Tout en me rasseyant sur la banquette en ajustant mon porte-jarretelles, je récupérais de la langue une goutte de sperme qui restait au coin de mes lèvres. Oui, vivement ce soir…
Mon sexe bandait toujours dur dans mon string et pour le coup, je me sentais vraiment comme une pute…
Nous arrivions enfin. La maison de Mr Lucky était une villa moderne et sombre.
– Ta chambre est au 1er, va te changer ,je veux que tu t habille en soubrette soumise Après tu descendras pour dîner
Je redescendais un quart d’heure plus tard vêtue de la petite robe noire et dentelle blanche de soubrette sous laquelle j’avais passé un string, soutien-gorge et porte-jarretelles et bas Carnation noir , mes talons aiguilles .
– Soulève ta robe, ordonna-t-il.
– Tu as aimé me sucer ?
– Oui j’ai aimé.
– Maintenant, je vais baiser ton cul de pute ?
– Merci Maître Lucky
– Cesse de dire merci Dis-moi comment tu veux être prise !
– Je veux sentir votre grosse queue défoncer ma chatte .
– Je vais t’enculer Pouffiasse Je vais t’éclater le cul quand j’aurais fini, je recommencerai j’attends de toi que tu te comportes comme une bonne salope et comme une vide-couilles toute la nuit.
Je me tenais debout devant lui en bas et porte-jarretelles, ma petite robe noire à la main. Compressé dans mon string en dentelle, je sentais mon sexe couler de désir à la seule idée de me faire enfin enculer. « Je vais t’éclater le cul et je recommencerai… » Mr Lucky avait prononcé exactement les mots que je voulais , je me mis immédiatement à quatre pattes et rampais vers lui comme une chienne. Sans un mot, je baissais sa braguette et extirpai de son pantalon son membre déjà dur
– J’espère bien que tu vous allez me défoncer le cul toute la nuit, murmurais-je. Je veux sentir votre grosse queue me limer pendant des heures, je suis venue pour ça !

Je suçai Mr Lucky pour la deuxième fois Cette fois, j’avais toute la nuit.
« Ne me fais pas jouir si tu veux que je t’encule salope ! Allez, tourne-toi et écarte bien ta chatte »
Je restais à quatre pattes sur la moquette épaisse et fis demi-tour pour lui présenter ma fente humide que je caressais avec deux doigts pour l’assouplir. Je voulais tellement sa bite ! La tête contre le sol, je cambrais mes fesses à l’extrême et les écartais avec mes deux mains comme la pire des catins pour ouvrir ma rondelle le plus possible.
– Regardez comme j’écarte mon cul pour vous ! Enfilez-moi j’en crève d’envie. Prenez moi tout de suite !
– Oh putain tu m’excites salope, lâcha Mr Lucky! Je vais te baiser sale pute ! Vas-y écarte bien ton cul ça me fait bander.

Après avoir écarté mon string sur le côté, il cracha sur mon oeillet et présenta son gland à l’entrée. l’épaisse tige de chair s’introduisait en moi me donnant chaque seconde un peu plus de bonheur que la précédente.
Il me traitait de « sale traînée », de « garage à bites », Le membre planté à mi-chemin dans mon corps. Puis le sexe dur comme la pierre repris son chemin pour s’enfoncer lentement jusqu’aux couilles. Je les sentais maintenant contre mes fesses.

Je gémissais, je couinais. Des petits cris de bonheur instantanément suivis de soupirs de déception quand la longue colonne de chair entamait sa marche en arrière. Voyant que je prenais le pied de ma vie, le salaud faisait durer le plaisir et interrompait ses va-et-vient dans le seul but de m’entendre le supplier.
» Je vous prie remettez votre bite, ne la retirez pas ! », je jouis du cul c’est trop bon !
– Alors c’est bon la pute tu aimes ça ?
– Remettez s’il vous plait votre queue .
– Pour que tu souilles ma moquette !? Tu es là pour me faire jouir chienne et non l’inverse !
– Je ferai tout ce que vous voudrez mais je vous en supplie continue de me baiser.
– Très bien, je vais te défoncer salope. Mais tu va récupérer ton foutre dans ta main et l étaler sur tes bas , je ne veux aucune goutte par terre !
– baisez-moi je vous en supplie !

A peine Mr Lucky avait-il recommencé à me bourrer, que je sentais mon corps parcouru par des spasmes violents. Je jouissais du cul, sans même me caresser et déversais de longues giclées de sperme dans ma main, ainsi que Mr Lucky me l’avait ordonné. Ce fût l’orgasme le plus puissant de ma vie et il me semblait qu’il ne s’arrêterait jamais, d’autant que Mr Lucky continuait de m’enculer furieusement en m insultant .

– Je veux que tu étale ton foutre sur tes bas pendant que je te bourre le cul, ça m’excite
– Vas-y , répéta Mr Lucky en faisant claquer ses couilles à nouveau sur mes fesses.
Je jutai dans ma main et j’étalais comme il me l’ordonnait.
Boire mon sperme, je l’avais déjà fait bien des fois. j’avais pris l’habitude de faire le poirier contre le mur pour éjaculer dans ma bouche. Je finissais donc systématiquement le visage recouvert de sperme, Cette fois, pourtant, l’excitation était toujours présente. Car la queue de Mr Lucky me limait profondément, le plaisir ne partait pas. Je me surpris à lécher mon propre sperme dans ma main en poussant des soupirs de plaisir.
« Huuuuum, huuum, c’est bon, baisez-moi encore, hummmm ! »
En quelques secondes, j’avais lapé comme une bonne chienne tout ce que la paume de ma main contenait. Le goût salé de mon sperme remplissait ma gorge

« Ah t’aimes ça le foutre, t’aimes ça la bite, constatait Mr Lucky , tu m’excites salope je vais cracher dans ton cul de pute ! »
– Oh oui,remplissez-moi je veux sentir votre jus dans ma chatte.
– Putain , écarte bien ton cul, je jouiiiiiis, aaaaaaah !
Chacune de ces giclées étaient chaudes et puissantes, Pour la première fois, je me faisais remplir de foutre et j’aimais ça…

-A ma grande surprise, l’expérience s’avérait bien meilleure que mes espérances. Car en enfilant à nouveau mon porte-jarretelles et mes bas que je recouvrais cette fois avec une jolie nuisette violette et noire , je me rendis à l’évidence que j’en voulais encore plus. Je voulais être sa pute pour la nuit. Je voulais qu’il me baise toute la nuit.
Je m’allongeais à côté de lui en laissant mes mules au pied du lit.
– Croyez vous que si je vous suce la bite j’arriverai à vous refaire bander ?
« Tu es ma salope, n’oublie pas. Laisse-toi faire, je sais que tu vas aimer… »
après une journée d’orgasmes, son sexe était à nouveau planté en moi. Et Mr Lucky avait raison. J’aimais toujours autant ça…

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