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Lila, beurette infidèle (5)

Lila, beurette infidèle (5)



C’était décidé, j’allais mettre Lila au pied du mur, elle devra avouer son infidélité. Je ne supportais plus son air innocent et si gentil, alors qu’en réalité ma femme me trompait, elle se donnait entièrement à son amant, lui autorisant toutes les gourmandises possible, alors que j’avais dû batailler pour y avoir droit également. Malgré son infidélité, Lila tient à moi, elle est amoureuse, et si mon plan se passe comme prévu, une liberté sexuelle extraordinaire s’offrira alors à nous. Nos pratiques auront pour seules limites notre imagination. Pour que tout se passe comme prévu, j’avais besoin de rencontrer Carlo, il était à l’origine de l’infidélité de ma femme, et c’était en toute logique avec lui que cela se découvrirait.

Quand Lila rentra du travail ce lundi, je lui annonçai que je sortais prendre un verre avec des collègues du commissariat. En réalité je me rendis dans le XVIème arrondissement, là où quelques jours plus tôt, j’étais venu menacer Carlo. Arrivé en bas du somptueux immeuble, j’aperçus comme la fois dernière, la série 1 garée à son emplacement habituel. Ceci confirmait la présence à son domicile de Carlo. J’approchai devant l’entrée au moment où une dame richement vêtue sortit avec ce qui semblait être un chien au bout d’une laisse, bien que l’a****l en question ressemblait plutôt à un rat … J’accélérai alors le pas et demandai à cette élégante vieille dame de retenir la porte. C’était sans compter que nous nous trouvions dans le quartier le plus chic et le plus bourgeois de Paris. Mais aussi le quartier où les habitants considéraient qu’une personne en jean t-shirt ne valait pas mieux qu’un chien.

– Habitez-vous la résidence monsieur ? Je ne crois pas vous avoir déjà aperçus ici, dit la vieille dame avec un accent très bourgeois.
– Je souhaite entrer afin de rendre visite à un ami madame, dis-je en essayant d’adopter un accent et un langage similaire.
– Vous m’excuserez jeune homme, mais cette résidence est une résidence privée, je ne pense pas que vous ayez quelques amis que ce soit vivant en ces lieux, fit-elle la voix débordante d’un dégoût maîtrisé.
– Ok, Police Nationale, laissez-moi entrer, où alors préféreriez-vous être arrêté pour entrave à la justice ? dis-je brandissant ma carte de police.

La vieille bique ouvrit grand la bouche, mais aucun son n’en sorti. Une fois la porte passée, je cherchai le nom de Carlo sur les boîtes aux lettres, et je me dirigeai vers le 2ème étage. Arrivé devant la porte de son appartement, je sonnai et attendis quelques secondes. Des bruits de pas se firent entendre et la poignée de porte tourna. Quand il me vit, Carlo fit une grimace de peur et recula s’en refermer la porte.

– Qu’est-ce que vous faites là ? Je n’ai plus parlé à votre femme comme vous me l’aviez ordonné, je n’…
– Du calme, du calme !! Je ne suis pas là pour vous faire peur ou ce genre de chose, si je suis ici c’est pour vous présenter mes excuses. Ce que j’ai fait l’autre jour n’est pas correct, et je vous demande de m’excuser.
– Eh bien, je suis surpris, mais si vous regrettez alors oui, j’accepte vos excuses, dit-il sous le choc de ma déclaration.
– Je suis aussi venu pour vous proposer quelque chose, mais je préférerais en parler à l’intérieur si cela ne vous dérange pas, ou alors sortons autour d’un verre.
– Entré je vous en prie, que puis-je faire pour vous ?
– Premièrement, cela vous dérange-t-il si nous nous tutoyons ? Quand on regarde bien les choses, nous sommes assez liés avec tout ce qui s’est passé.
– D’accord, ça ne me pose pas de problème. Alors qu’est-ce qui t’amène ?
– Lila, je veux lui faire payer son adultère. Tu l’as baisé certes, mais si elle voulait elle aurait pu dire non. Donc je veux qu’elle avoue son infidélité.
– Je comprends, mais comment puis-je t’aider ?
– Tu vas venir chez moi et la baiser. Je ferai en sorte d’être absent pour vous laisser le temps de commencer, et ensuite je vous surprendrai. Comme l’autre fois.
– Tu nous as surpris ??? Eh bien, si je m’attendais à ça !
– Oui, deux jours avant que je vienne te voir. Tu étais chez nous, dans notre chambre en pleine action avec Lila.
– Je suis désolé, j’avoue que ce que j’ai fait n’était pas correct vis-à-vis de toi, je vais t’aider à obtenir ta vengeance.
– Merci, si tout se passe bien j’accepterai votre relation, mais j’aurai des conditions, tu sauras tout ça bientôt.
– Tu veux vraiment que je continue de baiser ta femme ?
– Oui, si cela se fait selon mes conditions.
– Ça sera avec plaisirs alors, mais avant ça explique-moi ton plan en détails.

Nous avons passé près d’une heure à échafauder un plan réalisable pour piéger Lila. Cela aura lieu demain soir, je m’absenterai en prétextant mon entrainement de boxe et Carlo en profitera pour venir à la maison. Dans la discussion Carlo m’a aussi raconté son histoire avec Lila. Leur relation durait depuis environ 4 semaines, et ils avaient fait l’amour 3 fois seulement. La première fois ayant été faite sur leur lieu de travail, Carlo avait rencontré Lila au tribunal et elle lui avait plu. Un soir alors qu’elle finissait de classer des documents, Carlo l’avait attrapé et embrasser. La suite vous la connaissez déjà.
Ce matin je me réveillai très excité, mais aussi très angoissé. Je ne savais pas quelle allait être la réaction de Lila, mais l’idée de la revoir sodomisée par son amant m’excitait déjà. La journée passa au ralentie, j’avais l’impression que le temps se figeait et me narguait. Quand arriva enfin l’heure fatidique, je préparai mes affaires et embrassai ma belle salope.

– Je finis à 20h30 chérie, à tout à l’heure et surtout sois sage.
– Bien sûr mon cœur, à ce soir.

Une fois en bas de l’immeuble, je me dirigeai vers un parking à quelques centaines de mètres de mon immeuble. Carlo m’y attendait lui aussi tout excité.

– Salut Carlo ça va, tu es prêt ?
– Ça va et toi Max ? Oui, tu vas l’avoir ta vengeance. J’ai pris de capotes, je sais que vous n’en mettez pas.
– Pas la peine, je veux que tu la prennes sans capotes, qu’elle sente quand tu lui gicleras dans son petit trou. Arrange toi pour qu’elle ne verrouille pas la porte, et faites ça au salon, ça sera mieux.
– Pas de problème, tu arrives dans combien de temps ?
– Une trentaine de minutes ça te va ?
– Impeccable, à tout à l’heure.

Carlo prit le chemin de mon domicile, pendant ce temps, je sorti mon téléphone et j’activai le logiciel espion. Je voulais surprendre ma beurette pile au bon moment. J’entendis Carlo arrivé et Lila se jeter sur lui. Mon complice fut dès le début très entreprenant. Quelques minutes à peine après son arrivée, Lila le suçait déjà, avalant entièrement son sexe. Après s’être donné du plaisir mutuellement, J’entendis Lila hurler, Carlo commençait son travail anal. Il était temps pour moi d’entrer en scène. Je fis rapidement le chemin inverse jusqu’à mon domicile, une fois arrivé devant ma porte d’entrée je me figeai. Ce qui allait se passer maintenant serait irréversible. J’allais enfin savoir si Lila m’aimait réellement, et si je pouvais envisager mon avenir avec. L’excitation était à son paroxysme quand j’actionnai la poignée de la porte. Sans un bruit je refermai dernière moi et me faufilai vers l’embrasure de la porte du salon. Un panorama magnifique se dressait devant moi. Allongé sur le canapé, Carlo se faisait chevaucher par ma chienne de marocaine. Ses cris de jouissance me donnèrent une érection phénoménale. Je m’étais quelque peu voilé la face depuis que j’avais surpris Lila avec Carlo, mais de voir ma femme me tromper, jouir avec un autre était ce que j’avais vécu de plus excitant jusqu’à aujourd’hui.

L’anus de Lila se dilatait sous le pilonnage de Carlo, son engin démesuré la faisait crier à chaque pénétration. Carlo suivait mes instructions à la lettre et s’en donnait à cœur joie. Les joues de Lila étaient d’un rouge intense, elle se mordait la lèvre inférieure elle aussi gorgée de sang. Ses cheveux noirs ondulaient sous le rythme des va-et-vient, et ses seins ballottaient également. Chaque coup de reins de Carlo entraînait chez Lila des gémissements digne des meilleures actrices X. Ma chérie d’habitude si mignonne et délicate se transformait en chienne assoiffée de sexe. Les pénétrations s’accéléraient et Lila s’empoigna les seins en ondulant encore plus frénétiquement du bassin. Il arrivait, puissant et sauvage. L’orgasme qui traversa Lila la plongea dans une sorte de frénésie où tout ce qui l’entourait n’existait plus. Même ses jouissements furent différents de d’habitude. Une fois l’orage orgasmique passé, la femelle s’écroula sur son amant le temps de reprendre ses esprits. Carlo se retira de son anus, et entreprit une longue et lente pénétration vaginale. Cela réveilla Lila, qui était cette fois-ci, placée sous son amant. Je pris alors la décision d’intervenir, Lila avait commis la faute et avait eu un orgasme, elle ne pouvait pas prétendre ne pas avoir pris de plaisir.

– Eh bien, c’est de cette manière que tu occupes ton temps lorsque je m’absente chérie ?
– Max !! Mais qu’est-ce que tu fais là ? Attends je peux tout …
– S’il te plaît, dis-moi tout ce que tu veux mais pas cette phrase débile, pas le classique « je peux tout t’expliquer ».
– Max je suis désolé, pardonne-moi, bébé, s’il te plaît, hurla désespérément Lila.

Elle qui ruisselait de cyprine quelques secondes auparavant, ruisselait maintenant de larmes. Je ne l’avais jamais vu si anéantie, et cela me faisait mal au cœur de la voir dans cet état. Je compris à cet instant que Lila m’aimait réellement. Malgré le fait qu’elle baisait avec un autre homme, Lila était folle amoureuse de moi, et la pensée de me perdre la mettait dans un état de détresse encore jamais vu. Je résistai à l’envie de la réconforter et continuai mon jeu.

– Tu es une sacrée chienne, dis-je sèchement. Te faire sodomiser de la sorte alors que cela fait à peine 30 minutes que je suis parti. Je comprends mieux pourquoi tu acceptes mon sexe dans ton anus si facilement.
– Mais je …
– Tu quoi ? Tu n’es qu’une petite salope Lila, tu trompes l’homme que tu aimes soi-disant.
– Je t’aime, c’est vrai, je t’aime et même si tu en doutes c’est la vérité.
– Tu as de drôles de manière de me le montrer. On fait quoi maintenant ? Je te tue ? Je te chasse de ma vie ?
– Non !! Ne me quitte pas ! Je sais que ce que j’ai fait est impardonnable, mais ordonne-moi ce que tu veux et je m’y soumettrai.
– Ah bon ? Tu feras tout ce que je t’ordonne petite pute ?
– Oui, tout.
– Suce Carlo, alors.
– Comment est-ce que tu…
– Ferme-la !! Et obéis !! Ou dégage de chez moi !!

Lila s’agenouilla et prit alors la queue de Carlo en bouche. Je m’approchai d’elle et m’assis en face. Je distinguais parfaitement les lèvres et la langue de ma chérie s’activer autour du manche de chair. Carlo poussait de graves râles et Lila me regardait tout en suçant cette queue, ne sachant pas s’il fallait continuer ou s’arrêter. Je sortis alors mon sexe et je me caressai devant ma salope de femme. J’étais sur le bord de la jouissance, ma femme, cette chienne, suçait tout en me regardant. Je lui ordonnai alors de s’enfourcher sur cette queue tout en me faisant face. Carlo accéléra la cadence et Lila avait de plus en plus de mal à soutenir mon regard. Tout pendant qu’elle se faisait pénétrer, je lui ordonnais de se caresser le clitoris. Elle n’allait pas tarder à jouir et moi avec.

– Sale pute, tu aimes te faire baiser devant ton mari ?
– Hummmm oui
– Réponds mieux que ça !! Dis-je en lui claquant le sein droit
– Oh oui, j’aime être une pute et que tu me regardes baiser !!
– Voilà, très bien. Tu feras tout ce que je te dis maintenant d’accord ?
– Oui, je suis ta pute, demande moi de me doigter en pleine rue piétonne je le ferai si tel est ton désir !!
– Laisse toi aller et jouis maintenant.

Il ne fallut que quelques secondes pour qu’un deuxième orgasme atteigne Lila qui hurla son plaisir. Carlo se rependit alors à l’intérieur du vagin tout rose de ma femme, et à mon tour j’éjaculai sur les cuisses de Lila. Aucun de nous trois ne bougea pendant quelques minutes. Quand je repris mes esprits, j’ordonnai à Lila de garder en elle le foutre de son amant. J’invitai ensuite Carlo à m’accompagner à l’entrée après qu’il se soit rhabillé.

– Tout s’est passé comme je le voulais, merci de l’aide Carlo.
– Tout le plaisir était pour moi, et si tu veux voir ta femme baiser devant toi, appelle-moi.
– Ne t’en fais pas, tu auras bientôt de mes nouvelles.

Sur ces derniers mots Carlo prit congé. Je retournai au salon où ma beurette toujours nue m’attendait, la chatte pleine de foutre. La voir dans cet état me redonna de la vigueur et je la pris violemment par la chatte. Ne pensant qu’à mon plaisir, je la souillai une nouvelle fois, mêlant ma semence à celle de son amant.

– Ça t’a excité de baiser devant moi Lila ?
– Oui, je n’ai jamais été autant excité, dit-elle honteuse
– N’aie pas honte, tu es une salope, mais je l’accepte. Nous allons en profiter pour nous épanouir sexuellement, qu’en penses-tu ?
– J’en pense que tu peux me demander ce que tu veux, j’obéirai. Je n’ai jamais pris autant de plaisir qu’en t’étant soumise. Et je veux que cela continue.
– Ça continuera alors, mais tu m’as quand même trompé, tu sauras bientôt ce qu’on ressent quand on voit sa moitié faire l’amour avec une autre personne.
– D’accord, mais Max ?
– Oui ?
– Je t’aime.

Sur ces mots, nous nous endormîmes, blottis l’un contre l’autre tendrement. Ce que j’avais voulus c’était produit. Une nouvelle sexualité naissait entre Lila et moi. Ce qui s’était passé ce soir, marquait un tournant décisif dans notre vie. Des idées plus perverses les unes que les autres germaient dans mon esprit. Et la seule envie que j’avais, était de les mettre toutes en pratique.

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