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Jouissance par la Souffrance

Jouissance par la Souffrance



Une petite annonce dans la section « Massage » des annonces classées d’un journal de quartier:
« Détente complète pour hommes seulement » suivi d’un numéro de téléphone.
Ça fait plusieurs fois que je remarque cette annonce sans toutefois y donner suite.
Cette fois-ci, les mots « détente complète pour hommes seulement » frappe mon imagination.
Je suis seul à la maison et je me questionne sur la signification des termes de cette annonce.
Je compose le numéro de téléphone en question; une voix d’homme me répond:
« Oui! »
« Je vous appelle au sujet de votre annonce dans mon journal de quartier. »
« Vous voudriez un massage? »
« Peut-être! »
« Vous avez déjà eu des massages? »
« Oui, à quelques occasions, mais par des femmes, jamais par des hommes. »
« Jamais par un homme? »
« Non, jamais. »
«C’est très différent! »
« Je m’en doute: c’est combien? »
« C’est quarante dollars pour un massage normal et soixante dollars pour un massage avec une détente complète. »
« C’est quoi, la différence? »
« Pour quarante dollars, je vous masse les épaules, le dos, les bras, les mains, les doigts, les fesses, les jambes, les pieds et je termine par le ventre. »
« Et pour soixante dollars? »
« Le même massage mais je termine par une fellation. »
« Le massage à soixante dollars m’intéresserait. »
« Ce serait pour quand? »
« Je serais présentement disponible. »
« Où demeurez-vous? »
« A Repentigny. »
« Je demeure à Terrebonne. »
« Vous pouvez me donner votre adresse? »
Mon interlocuteur me donne ses coordonnés.
« Vous préférez que je prenne une douche avant de me présenter chez vous? »
« Si votre corps est propre, la douche n’est pas nécessaire. »
« Je vais rafraîchir mes parties intimes et je serai chez vous dans une trentaine de minutes. »
« Vous pourrez stationner votre véhicule dans l’entrée du garage de ma maison. »
« Merci! »
« Je vous attend. »
Environ trente minutes plus tard, je sonne à la porte de sa résidence.
Un homme vient m’ouvrir en prenant soin de rester dissimuler derrière le porte..
« Entrez! »
J’entre: je découvre un homme dans la cinquantaine.
Son apparence générale m’inspire confiance et son visage est sympathique.
« Je vous demanderais d’enlever vos souliers. »
Je retire mes souliers.
« Suivez-moi, c’est au sous-sol. »
Je suis l’homme.
Nous descendons l’escalier puis nous entrons dans la pièce qui lui sert de salle de massages.
Au centre de la pièce, se trouve une table recouverte d’une grande serviette.
Deux petits coussins ronds sont disposés sur la serviette, au pied de la table.
Quelques chandelles allumées à différents endroits embaument la pièce tandis qu’une musique douce sert à détendre l’atmosphère.
« Déshabillez-vous: déposez votre linge sur l’une des deux chaises à coté de la table et étendez-vous sur le ventre. »
« Je me déshabille au complet? »
« Oui, au complet. »
« J’enlève même mon caleçon? »
« Bien sur! »
J’enlève ma chemise, mon pantalon, mes bas et mon caleçon et je les dispose sur une chaise.
J’embarque sur la table tout en faisant attention de ne pas déplacer la serviette et je m’allonge sur le ventre.
Je relève mes bras et je m’en sert comme oreiller.
Je pose ma tête sur mes bras de façon à ce que mon regard donne sur le mur.
Je ferme les yeux.
Je me sens très nerveux: les muscles de mon corps sont crispés.
Ça va être la première fois que je vais me faire masser par un homme, et de plus, j’ai accepté qu’il finisse de me masser en me faisant une fellation.
Je suis à penser à tout ce qui va se passer quand je sens que l’homme frôle mon dos de ses mains.
Elles sont douces.
Je le devine à la hauteur de mes hanches.
Je sens un filet d’huile couler sur mes omoplates et sur l’arrière de mes épaules.
Les mains de l’homme massent lentement et pendant de longues minutes, mes épaules, l’arrière et les cotés de mon cou, ainsi que mon dos jusqu’au niveau de mes fesses.
Une douce chaleur m’envahit peu à peu.
« C’est bon! »
Mes muscles se détendent petit à petit.
Je m’abandonne à la douce relaxation que me procure les mains douces et expertes de l’homme.
« Placez vos bras de chaque coté de votre corps. »
J’obtempère.
C’est au tour de mes bras et de mes mains de se faire masser avant que mes doigts se fassent étirer un à un.
Mes muscles continuent à se détendre à un tel point que je n’offre plus aucune résistance aux gestes de l’homme: je suis à sa merci.
C’est ensuite au tour de mes jambes et de mes pieds de se faire masser avant de passer à mes fesses.
Au bout d’un bon vingt minutes de massage, l’homme me dit:
« Tournez-vous sur le dos. »
Je m’agenouille sur la table et en prenant soin de ne pas trop déplacer la serviette, je me couche sur le dos.
Une fois sur le dos, j’ai la tête trop basse pour être confortable. Je demande à l’homme:
« Pourriez-vous me mettre quelque chose sous la tête? »
« Certainement! »
L’homme prend une serviette et il la roule.
Il me relève la tête et glisse la serviette roulée.
Je suis beaucoup plus confortable.
« Ça va comme ça? »
« Oui, c’est parfait! »
Je ferme les yeux.
Je sens couler à nouveau un filet d’huile sur mes pectoraux et sur mon ventre.
Ma respiration s’accélère
L’homme masse le devant de mon cou, mes pectoraux en insistant sur mes mamelons.
Tout en les massant, il les serre légèrement entre ses doigts
Mes mamelons s’hérissent.
Il les serre plus fortement entre ses doigts.
« Vous me faites mal! »
L’homme penche sa tête jusqu’à ce que ses lèvres atteignent mes pectoraux.
Il aspire mon mamelon droit entre ses lèvres et il le suce avec de plus en plus de pression.
« Vous me rendez bien! »
Mon bien-être est de très courte durée.
Je sens ses dents venir en contact avec mon mamelon droit.
Je devine la suite: je bombe mon torse.
L’homme sert les dents et mord mon mamelon droit avec force.
« Aaaaa! »
L’homme desserre les dents et commence à lécher mon mamelon droit.
La douleur s’estompe tranquillement laissant place à une certaine jouissance.
Il passe à mon mamelon gauche: il l’aspire entre ses lèvres et il le suce avec de plus en plus d’avidité.
« Faites le souffrir! »
Je reprend une profonde respiration et je bombe mon torse.
L’homme sert à nouveau ses dents et il mord mon mamelon gauche avec encore plus de force que le mamelon droit.
«Aaaaaaaa! Ça me fait mal! Ouuiiiiii! J’aime ça que vous me fassiez mal. 
L’homme desserre les dents : un très léger filet de sang coule de votre mamelon.
« Je suis peut-être allé un peu fort?»
« Ce n’est pas grave; ça va! »
L’homme essuie le mince filet de sang avec un linge sur lequel il a versé de l’alcool puis il lèche pendant quelques secondes, mon mamelon gauche endolorit.
La douleur s’estompe progressivement.
L’homme commence ensuite à masser mon ventre en descendant très lentement jusqu’à ce qu’il atteigne l’aine.
Les muscles de mon ventre se contractent.
Ma respiration se saccade.
Les mains de l’homme se déplacent vers mon entrejambe.
J’ouvre les yeux: l’homme me regarde.
Tout en fixant mon regard, je vois qu’il tient une bouteille d’huile dans sa main droite.
Je le regarde verser de l’huile dans le creux de sa main gauche puis déposer la bouteille sur la table entre mes jambes.
Je le vois frotter l’intérieur de ses deux mains ensemble pour bien étendre l’huile.
Une main glisse de haut en bas sur la base de mon pénis.
Il commence aussitôt à reprendre de l’ampleur.
Je prends une profonde respiration.
« Ahhh ouiii! »
La main de l’homme entoure mon pénis et le serre avec force provoquant une montée de sang et un gonflement du gland.
« C’est bon? »
Je lui fait le signe « oui » de la tête et je referme mes yeux.
« Je peux te tutoyer? »
« Bien sur! »
D’une main, tout en me masturbant très lentement mais avec force, je sens que du bout des doigts de son autre main, il pince le bout de mon gland pour que les lèvres du méat s’écartent dégageant ainsi le canal de l’urètre.
« Tout en continuant à te masturber, je vais lécher ton gland et forcer le bout de ma langue à entrer dans ton urètre. »
« Ahhh ouiii! Faits-moi ce que tu veux! Mon corps t’appartient. »
L’homme se penche vers mon sexe.
Mon ventre se contracte ainsi que tous les muscles de mes jambes et de mes bras.
J’écarte mes jambes pour que l’homme ait libre accès à mes parties génitales.
Mes mains s’agrippent aux cotés de la table.
Je sens sa langue lécher rapidement le bout de mon gland et s’introduire dans le méat de mon urètre maintenu entre-ouvert par les doigts de son autre main.
« C’est bonnnn! Ne me faits pas éjaculer tout de suite. »
Tout en maintenant fermement mon pénis entre ses doigts et en le masturbant, l’homme relève légèrement la tête:
« Laisses-moi faire; tu n’est pas le premier homme à venir chez moi pour soi-disant, se faire masser.
C’est pour une seule raison que tous les hommes viennent ici; ils veulent que je les masturbe, que je les suce et que je les fasse éjaculer.
Je connais très bien les réactions des hommes et je sais que, quand tu vas être sur le point d’éjaculer, c’est parce que je l’aurai bien voulu.
Donc, ne craint rien: je suis en parfait contrôle de ton corps. »
« Faits-moi connaître les merveilleuses sensations que seul un homme peut faire connaître à un autre homme. »
L’homme tourne son visage vers mon pénis.
Je sens à nouveau sa langue lécher mon gland.
Je ne sens plus ses doigts.
Puis se sont ses lèvres qui se posent sur mon gland et l’entourent.
Il me suce le gland.
« Hhhhhaaaaaaaaa! »
J’écarte mes jambes au maximum tandis que tous les muscles de mon bassin se contractent.
Mon bassin se soulève de la table pendant quelques fractions de secondes et retombe en place.
Mon pénis est en pleine érection.
Tout en continuant à me sucer, l’homme retire la main qui entourait mon pénis et elle va agripper et serrer mon scrotum.
Tout en ressentant une légère douleur, je sens que mon pénis pénètre de plus en plus profondément à l’intérieur de sa bouche.
C’est la première fois que je me fais sucer de la sorte par un homme!
Ma respiration est complètement saccadé.
À chaque mouvement de sa bouche sur mon pénis, mon corps se soulève de la table et y retombe.
La jouissance que je ressent est indescriptible.
« Aaaaaaaaaa! »
La succion exercée sur mon pénis est de plus en plus forte.
Je sens maintenant que ses dents se positionnent sur le dessus et le dessous de mon gland.
« Faites-moi mal, mordez-moi le gland. »
Tout en compressant mon scrotum et serrant fortement mes testicules, ses dents mordent mon gland une fois, deux fois et une troisième fois.
À chaque morsure, mon corps se soulève de la table.
« Aaaaa ouiiiiiii! »
J’ai peine à respirer tellement ça fait mal.
Puis la douleur s’estompe alors que les morsures cessent mais que la fellation se poursuit.
« Je vais jouiiirrrrrrrr! »
L’homme m’ignore: il continu à me sucer tout en augmentant la succion sur mon pénis.
Je crispe les muscles de mes jambes et de mes bras pour me soulever de la table et aussitôt mon sperme gicle dans sa bouche.
« Ouuuiiiiiiiiiii! »
Mon corps s’affaisse sur la table.
Je sens les lèvres de l’homme glisser sur mon pénis jusqu’à ce qu’il soit complètement sorti de sa bouche.
Il se lève.
Je le regarde: sa bouche est fermée.
Je le vois s’approcher de mon visage et de ses doigts, me faire signe d’ouvrir la bouche.
J’ai déjà masturbé des hommes mais jamais je ne leur ai fait des fellations complètes.
Cette fois, je devine que je vais devoir goûter à du sperme, à mon propre sperme et devoir l’avaler.
Je n’offre aucune résistance: j’écarte mes lèvres.
L’homme place ses mains de chaque coté de ma tête.
Il baisse sa tête jusqu’à ce que ses lèvres effleurent les miennes.
À cet instant même, il écarte ses lèvres et les collent aussitôt contre les miennes.
Un liquide visqueux coule de sa bouche dans la mienne: c’est mon propre sperme.
Je le sens: il coule sur ma langue et se répand dans ma bouche.
Nos lèvres demeurent en contact jusqu’à ce que tout mon sperme soit passé de sa bouche dans la mienne.
Je sens même sa langue pénétrer profondément dans ma bouche: il l’a retire ensuite en prenant soin que le dessus de sa langue glisse contre mes dents du haut de ma bouche pour en éliminer toutes les traces de mon sperme.
L’homme relève la tête tout en maintenant toujours la mienne entre ses mains.
En plus de goûter pour la première fois à du sperme, je goutte au mien.
Le goût n’est pas désagréable: c’est légèrement salé.
«Assieds-toi sur la table et avale ton sperme! »
Je m’assied, je laisse couler mon sperme au fond de ma gorge et je l’avale.
« Ce sera tout pour aujourd’hui. Si tu reviens me rencontrer, je te ferai connaître d’autres sensations encore beaucoup plus intenses et douloureuses. »
« Comme quoi? »
« Tube de verre dans l’urètre, aiguilles dans le gland, aiguille au travers du pénis, torture des testicules, chocs électriques contre tes parties génitales
Tu va même devoir subir une sodomie par un de mes amis qui possède un pénis aux dimensions démesurées ou encore être sodomisé à l’aide de différents strap-on dildos gonflables. »
« Au même prix? »
«Si tu acceptes de revenir pour subir les traitements que je viens de te mentionner, tu n’auras pas à payer quoique ce soit. »
Tout en fixant le regard de l’homme, je lui dit:
« Je vais revenir. »
Je me rhabille, je paie l’homme et je retourne chez moi.

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