Chapitre 8 : Chantal, raconte-moi…
Il faut au moins 10 minutes avant que Chantal se calme et puisse s’asseoir. Elle m’attire vers elle et m’embrasse calmement mais profondément.
– Putain tonton ! Quelle baise ! J’ai cru mourir de plaisir. J’adore mon nouveau jouet.
– J’en suis heureux ma chérie, comme ça tu penseras à moi quand je ne serais pas avec toi.
– Maintenant, c’est à ton tour.
Chantal me pousse le dos sur le lit, le drap est humide mais je me laisse faire et je l’averti.
– Houlà ! Pas question que tu mettes cet engin en moi. Dis-moi plutôt comment cette femme beaucoup plus âgée que toi, t’a fait découvrir le plaisir entre femmes.
– Ok tonton, Je vais t’avouer un de mes secrets. Et pour t’exciter encore plus, .je vais jouer avec ta belle queue pendant que je te raconte mon histoire.
Chantal relève ma bite flasque et écarte mes cuisses. Elle met en route le vibro et commence à frotter mes couilles et le dessous de ma bite. Après avoir compris qu’elle pourrait faire mieux sans la fonction ondulante qui est parfaite pour sa chatte, elle titille mon anus et remonte vers mes couilles tout en prenant en bouche le bout de ma bite qui ne tarde pas à se redresser.
– Regarde tonton, ta bite est à peu près de la même longueur que le gode.
Me dit Chantal après m’avoir redonné une belle dureté et en tenant le gode contre ma bite, qui sans compter l’embase contenant les piles est effectivement de la même longueur.
– Mais ta bite est bien plus épaisse, et je l’aime mieux !
Proclame Chantal.
– Et surtout j’aime quand elle crache ton sperme tout chaud. Tonton… ça te fais du bien ? Tu aimes quand je le passe ici ?
Je geins de plaisir quand ma coquine de nièce frotte le vibro sur ma peau entre la base de ma bite et le début de mon scrotum.
– Je suppose que oui…
Dit-elle en continuant sa caresse tout en tenant ma queue raide en l’air entre son pouce et l’index juste sous la crête du gland.
– Tu oublies ton histoire, Chantal. Avec la femme…
– Oh oui ! Mon histoire…
– Dis-moi tout sur ce que u as fait avec cette femme.
– Elle était vieille, presque 50 ans…un peu effrayante…
– Comment ça… (vieux à presque 50 ans…et moi qui en a 55…)
– Elle ressemblait un peu à un homme, avec des cheveux noirs, courts, coupés en brosse. Petite et grosse. En plus elle était musclée et pleine de tatouages.
– Et comment tu as rencontré une femme comme ça ?
– C’est Paul qui m’a dit qu’elle voulait me rencontrer et faire connaissance avec moi.
Me dit Chantal, en déplaçant le vibro de mon prépuce à la tête de mon gland pour s’amuser avec mon pré sperme qui suinte au bout.
Encore ce Paul. Ce petit baiseur commence maintenant à m’agacer. Ce sale gosse doit être un peu pervers.
– Alors il m’a laissé un jour avec elle. Elle fumait des cigarettes et elle portait un sweat-shirt avec les manches découpées et j’avais peur qu’elle me tabasse si je ne faisais pas ce qu’elle disait. Mais elle ne m’a fait rien de mal.
Chantal continue de balader son vibro le long de ma bite de plus en plus dure et sans le vouloir, j’avance mes fesses pour mieux le sentir sur mon trou du cul. De mon méat, le jus de ma bite ne suinte plus il coule carrément.
– Et alors…qu’est-ce qu’elle t’a fait…
– Elle m’a emmenée dans la chambre à coucher et elle a retiré mes vêtements. Après avoir vu mes seins, elle m’a dit qu’elle se demandait pourquoi Paul a toujours des copines avec de drôle de petits seins ! Moi qui croyais être dans la moyenne ! D’autant que si elle avait un gros cul, elle n’avait pas les seins en rapport.
Son histoire m’excite et je gémis sous la pression du vibro sur ma corolle. J’arrive à articuler.
– Euh, quel est son nom ?
– Lucy. Elle enlève son Sweat-shirt et je ne me sens pas très bien en voyant le bandage enroulé autour d’elle et qui compresse sa poitrine. Je suppose que je devais avoir un drôle d’air, car elle dit qu’elle va l’enlever si je préfère. J’espère qu’elle n’a pas des grosses cicatrices ou quoi que ce soit d’autre, mais quand elle déroule le bandage, il s’avère qu’elle a de très gros seins. Moi avec des seins pareils je les laisserais bien en vue !
Moi, je ne suis pas loin de jouir mais Chantal me connaît bien et elle relâche la pression sur mon outil chaque fois qu’elle sent que je vais me lâcher.
– Bon, elle se couche sur moi et elle frotte ses seins contre les miens, et en faisant ça, ses tétons sont devenus énormes et tout durs. Après cela, elle m’a écarté les cuisses et elle s’est mise à me sucer la chatte. J’ai bien aimé mais je n’ai pas ressenti la même chose que lorsque c’est toi qui me le fais.
– Hou, lala ! Dit Chantal tout à coup, s’interrompant. Tu as envie de jouir mon Tonton ?
Et elle me serre la base de ma queue pour m’en empêcher.
– Ensuite elle m’a demandé de sucer sa chatte en écartant bien ses grosses lèvres pour que je pousse ma langue le plus loin possible. Elle couinait drôlement la vieille, et elle a crié.
– Oooohhh, ouiiiiiiii… putain, mets-moi un doigt dans cul ! Bien à fond, petite salope !
– Elle a eu un orgasme lorsque je lui ai enfoncé un deuxième doigt dans son cul.
Elle ne s’est pas contentée de ça cette cochonne. Elle a attrapé ses cuisses pleines de cellulite pour les tirer sur sa poitrine et elle m’a demandé.
– Ferme ta main et enfile ton poing dans ma chatte et baise-moi durement.
J’ai enfoncé ma main et presque tout mon avant-bras et je l’ai pistonnée jusqu’à ce qu’elle hurle de plaisir cette salope !
J’ai serré les seins de Chantal dans mes mains en mendiant pratiquement d’éjaculer et Chantal l’a bien senti.
– T’aurais envie de faire ça avec moi, Tonton ? Coller ton poing à l’intérieur de mon sexe comme j’ai fait avec elle ?
Un doigt de Chantal, caresse la couronne de mon prépuce roulé sous mon gland tandis que son pouce frotte la crête sur le dessus, et le tout combiné avec son joujou qui vibre sur la base de ma bite me fait exploser !
Je gueule comme un veau et mon sperme gicle comme un geyser en éclaboussant le ventre et les poils pubiens de Chantal qui maintient la pression jusqu’à ce que mon sperme cesse de couler et que ma bite devienne toute molle.
– J’adore te voir éjaculer, Tonton. Elle est belle ta bite quand elle crache son sperme.
Me dit Chantal en se blottissant contre moi, en léchant mon sperme sur le dos de ses doigts.
– Chantal, je me demande comment Paul a connu cette femme, cette Lucy ?
– Heeeuuuu, Lucy c’est la maman de Paul.
Et Chantal m’explique que Lucy, la mère de Paul, a rompu avec son père et qu’elle vit maintenant avec une femme. Apparemment, il était un peu alcoolique et parfois violent et elle l’a foutu à la porte
.
– Paul ne me l’a jamais avoué, mais je suis sûre qu’il baise sa mère car c’est une belle salope !
Moi je ne tiens plus et Chantal sentant la pression monter dans ma bite qu’elle branle me crie en plaçant sa bouche devant mon nœud.
– Vas-y, tonton. Soulage-toi ! Crache ton jus !
Cette petite salope gobe mon gland et je vide mes couilles dans son gosier.
Plus tard, je me réveille un peu dans le coltard, comme si je mettais effondre de fatigue après une course de fond.
Chantal est encore avec son téléphone mais elle hurle et pleure en même temps.
– T’es un vrai con et un sale petit baiseur ! Je ne ferais jamais ça ! Je n’ai pas envie de te revoir !
Je la regarde l’air soucieux et elle ajoute.
– Si tu fais ça, je ne te le pardonnerais jamais !
Et de colère elle balance son téléphone dans la pièce.
Je découvre une nièce coléreuse et je me demande si elle n’a pas cassé son téléphone.
Quand elle se retourne face à moi, et que je vois son minois affolé, j’oublie tout et je la prends dans mes bras, nue et tremblante.
– Chantal, que ce passe-t-il ?
Apparemment ce dernier coup de téléphone va mettre fin à sa liaison avec Paul et au fond de moi je ne suis pas mécontent.
– Tonton, je suis désolée. Vraiment désolée. J’ai fait une bêtise…une grosse connerie.
Et elle se met à sangloter dans mes bras. Tout ce je peux faire c’est de la serrer contre ma poitrine, de lui caresser ses cheveux et de lui offrir mes plus sages conseils.
– Ma puce, ma chérie, rien ne peut être aussi grave que ça, dis-moi ce qui se passe.
– Il va venir ici… snif-snif…Paul… il va venir !
– Non de dieu ! Qu’est-ce qu’il veut ce petit con !
Ce coup-ci c’est moi qui ne me sens pas bien. Il ne manquait plus que ça ! Que va-t-il faire ce morveux ?
Ma nièce, étroitement serrée contre moi, sanglote encore et tente de retrouver son calme.
Plus tard, pour lui changer les idées, je l’emmène au centre commercial et je lui achète un t-shirt très décolleté qui lui plaisait avec un mini short qui met bien en valeur son petit cul et en montrant une bonne partie de ses belles fesses
En se promenant dans les allées elle attire le regard de beaucoup d’hommes et du coup ça m’excite aussi. Nous avons fait un arrêt imprévu dans le sex-shop et Chantal a acheté un autre gode tout noir et un film porno.
Ensuite, passage par la superette pour de nouvelles piles et exposition de nichons à la caissière au moment de payer.
Puis, suite à une demande pressante de ma coquine de nièce, passage derrière le magasin pour une belle baise en levrette.
De retour à la maison j’ai quelques heures de repos avant de voir ma Chantal venir se baigner avec moi, avec chacun un gode en main pour donner beaucoup de plaisir à l’un et à l’autre. En fait une journée typique dans la vie d’un Tonton pervers et de sa nièce nymphomane depuis qu’elle est arrivée et qu’elle a jeté son dévolu sur moi.
Le soir, ma jolie nièce entièrement nue dans un fauteuil ne dit rien et je reviens sur ce qui s’est passé entre elle et son petit ami Paul.
– Chantal, peux-tu me dire ce qui s’est exactement passé entre toi et Paul ?
– Tu vas me haïr, fut la réponse de Chantal. Tu te rappelles le soir ou tu es venu dans ma chambre et que j’étais au téléphone ?
– Oui, tu te disputais déjà avec ton copain.
– Et bien… il m’a dit qu’il était sorti avec une de mes amies. J’ai rigolé et je lui ai dit que je m’en foutais car j’avais des relations sexuelles avec un autre homme, un vrai, et qu’il pouvait aller se faire foutre… ensuite tu es entré dans la chambre et j’ai raccroché le téléphone…
– Oui, je me rappelle bien. Tu m’as tellement tripoté que je suis redevenu tout raide. D’autant que tu m’as fait une feuille de rose parce que je ne bandais pas assez vite. Et tu m’as fait jouir sur ta petite gueule d’ange.
– S’il te plaît ne te met pas en colère, Tonton… Plaide Chantal. Tu me le promets…
– Je ne suis pas en colère pour ce que tu m’as fait et je voudrais bien savoir ce qui te bouleverse à ce point. Essais-tu de me dire que ce morveux sait ce que nous avons fait tous les deux cette nuit-là !
– Eh, bien… oui…
– Tu lui as dit que tu as sucé ma bite ! Et peut-être même que tu as léché l’anus de ton Tonton !
– on appelle ça une feuille de rose Tonton. Et je t’en prie, ne crie pas !
– Ne pas crier ? Comment suis-je censé me comporter quand tu fais des choses pareilles ! Ça pourrait être grave si ce con va le crier sur les toits ! Non de dieu…Pourquoi t’as fait ça !
– Je voulais le rendre jaloux, et j’ai même fait pire…
Là, je m’attends au pire.
– Que veux-tu dire !
– Je n’ai pas raccroché le téléphone et il a tout entendu…
– Putain de merde ! T’es complètement folle ! Tu veux dire qu’il a entendu mes gémissements et mes grognements quand je t’ai tout giclé dans ta bouche !
– Oui…et il a même enregistré la communication.
Il y a des moments marquants dans toute notre vie, et en voilà un ! Je m’effondre dans le fauteuil avec devant moi, ma nièce Chantal, cuisses écartées, sans slip comme d’habitude lorsqu’elle est à la maison, et sa toison rouge flamboyante sous mes yeux.
Mais pour une fois, je ne veux pas la lécher. Je suis tellement en colère que je pourrais lui arracher ses poils un à un !
– Il va venir ici parce qu’il veut te parler.
– Je n’ai rien à dire à ce petit con ! Juste lui casser sa gueule. Dis-lui d’aller se faire foutre !
– Il m‘a dit que s’il ne pouvait pas venir et te parler il irait parler à ma mère et mon à père.
Je me lève et je pars vers ma chambre. Chantal essaye de me retenir par le bras mais je la repousse avant de rentrer dans ma chambre et de verrouiller ma porte.
J’entends Chantal sangloter et cogner sur la porte, me priant de la laisser entrer. C’est la dernière chose que je veux faire. C’est de sa faute si nous sommes dans cette merde. Je n’ai pas envie de la voir devant moi avec ses petits nichons sexy et son cul adorable.
Putain ! Qu’est-ce que je vais faire ?
Mais c’est de ma faute. C’est moi qui ai cédé à cette petite salope. Non seulement je suis vieux mais probablement sénile pour avoir cédé à ses avances.
D’un revers de main je balance un cadre photo qui vient s’écraser sur le mur à côté de la porte.
Chantal crie en entendant le bruit et me prie en pleurant de la laisser entrer.
Je me lève et finalement, reconnaissant que je suis le principal coupable dans cette affaire, je vais déverrouiller la porte que j’ouvre pour voir ma nièce sur le plancher du couloir, toujours en train de sangloter et toujours nue.
– je suis vraiment désolée, Tonton.
Elle me fait pitié avec ses yeux rouges et gonflés et sa mine défaite.
Je me penche et je la relève en lui disant.
– Ne pleure plus, ma puce. Tout est de ma faute.
Et je la prends dans mes bras pour la serrer contre moi.
– Non, Tonton, c’est de ma faute. J’ai été stupide et vaniteuse. C’est moi qui t’ai mis dans ce pétrin et je ferais tout ce que je peux pour t’en sortir.
Je l’ai emportée dans mes bras vers mon lit pour la glisser sous les draps et je l’ai maintenue serrée contre moi jusqu’au petit matin.
A suivre
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