Je me rends compte de la chance que j’ai eu avec le cul, en y repensant. Les femmes que j’ai rencontrées étaient certaines de ce qu’elles voulaient et savaient le dire, à des degrés variables. Rendez-vous compte de l’importance que ça a : le sexe décomplexé est une des clés d’une vie heureuse, et quand il n’y a aucune ambiguïté sur les désirs de l’un et de l’autre, tellement de limites peuvent être transcendées.
Je me souviens de mon été chez les parents de Cat, à la fin de notre premier semestre. Ils nous donnaient une marge à proprement parler incroyable, et quinze ans plus tard je m’aperçois de l’effort que ça leur a demandé. Leur fille hébergeait son mec dans sa chambre, sous leur toit. Ils n’avaient même pas à se poser la question : ils savaient que nous nous envoyions en l’air.
C’était excitant tout de même, nous pensions le faire à leur nez et à leur barbe. Nous tentions de faire le moins de bruit possible, tout en nous donnant un maximum de plaisir. On s’explorait, on se disait des choses sales, on se désirait. A ce stade-ci, je me sentais comme un dieu du cul, tellement elle en redemandait.
Je ne m’apercevais pas que ce n’était que partiellement de ma faute. Grand maximum, 50% de sa gourmandise était de ma faute. J’étais un accessoire dans l’exploration de ses sens, et j’avais l’esprit aussi pervers qu’elle, et j’en étais devenu un allié précieux. Un jour, ses parents nous avaient laissé la maison et il allait de soi que nous allions baiser dans toutes les pièces. Je ne comptais plus les orgasmes, je ne comptais plus les sodomies, je me souviens surtout de la chambre de ses parents.
Elle était vêtue de sa robe de chambre, et rien d’autre. Ses seins lourds se dessinaient à travers son peignoir, et alors que nous montions les escaliers vers le dernier endroit à salir de la maison, son cul se dessinait. Je (re) durcissait à l’idée désormais très claire de ce que j’allais voir, et alors que nous poussions la porte ma main était déjà logée entre ses jambes par-derrière, et je jouais de mes doigts sur ses orifices. L’idée me traversa la tête que j’étais en train de l’att****r comme une caisse de bière, et je rigolai doucement alors qu’elle ralentissait face à ce geste, attrapant un des montants du lit pour se stabiliser et m’offrir de nouveau son corps.
« Je me sens comme une salope, » me dit-elle. Je ne savais pas comment lui répondre. Devais-je encourager ça ? « Je suis tellement une grosse pute. » gémit-elle. Son ton contredisait ses propos. Je continuais, muet.
« Traite-moi comme une pute. Baise-moi fort. Utilise mes trous. » Dit-elle sans hésitation. Elle se saisit de mon poignet et le tirait vers son corps, alors qu’elle montait à quatre pattes sur le lit. Je me focalisais sur son cul, et rentrait un doigt en plus. Malgré le nombre de sodomies de la journée, elle était redevenue serrée. Elle gémit à gorge déployée, et fouetta son dos de ses cheveux. Je lui attrapais les cheveux pour les tirer, et elle recula instinctivement contre mes doigts. Elle avait l’air d’adorer. Un troisième doigt. Elle poussait toujours aussi fort.
J’allais la fister. Son corps allait se déformer pour mon plaisir, et j’allais la toucher à l’intérieur. J’en bandais tellement dur que s’en était presque douloureux. Je me mis sur son flanc, tirant ses cheveux et lui mettant à peine mon 4e doigt. Elle serrait la couette dans un poing crispé, et ses bras tremblaient. J’y allais un peu plus doucement, mais son cul m’acceptait. Ces bras cédèrent, et elle s’abaissa, laissant son cul incroyable en l’air. Elle bavait légèrement, son menton était humide. Je poussai ma main, et son cul n’en pouvait presque plus. Je poussais ma main, et elle je la regardai rentrer jusqu’au pouce. J’étais en extase.
« Je veux ta queue là-dedans. » Je m’exécutais. Alors que je retirai ma main (à ma grande surprise, pas plus sale que ça), et que j’y glissai ma queue, je me sentais fort. Je me sentais son maître. C’était purement inconscient, mais je la sodomisais avec une vigueur renouvelée. Elle chevaucha autant ma queue que je la pénétrais, mes yeux braqués sur ma queue turgescente, veineuse, disparaissant dans son corps.
Je n’ai pas tardé à jouir. Je me sentis me vider, et je regardais ma queue pomper mon sperme dans son orifice. Je m’écroulais, à bout de forces. Cet orgasme m’avait tué. J’haletais sur le lit de ses parents, et j’entendais gémir à côté de moi. Je tournais la tête, et je la vis prostrée, ses mains glissant le long de sa peau luisante. Ses mains trouvaient le chemin de sa chatte, et je compris à ce moment-là que le mythe que les hommes en veulent plus que les femmes, était exactement ça : un mythe.
Ravi, je retournai au charbon, une nouvelle érection puissante, un peu plus douloureuse pour la dernière – mais je m’en foutais. J’oubliais tout quand j’avais ma queue dans son cul.
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