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La roue de secours 3

La roue de secours 3



Je suis devenue ce que l’on appelle une femme adultère depuis que j’ai passé l’après-midi d’hier à me faire baiser par Abdou et aussi ses copains, incroyables, j’ai eu cinq bites pour moi toute seule et j’en suis encore toute retournée.

J’y retourne cet après-midi, en emmenant Marie-Chantal, j’espère qu’elle s’éclatera autant que moi hier, j’arrive à l’heure quand elle monte dans ma C1, Georges a fait le plein et il a contrôlé la roue de secours.

• Tu connais, c’est Adrien, ce midi Marc m’a dit que Georges lui avait demandé de l’embaucher, il va devenir son chauffeur et le mien par la même occasion, j’espère que c’est un gars bien.
• Hier, il m’a aidé à changer ma roue de secours, Georges à qui je ne cache rien, a tenu à le récompenser.
Un chauffeur à ta disposition, nous nous en servirons pour porter nos courses Marie.
• Va au fond des choses, me prends-tu pour une gourde, il y a longtemps que je sais que vous m’avez surnommé Marie-Chantal.
• Je m’en excuse.
• Surtout pas, je préfère ce nom au mien, j’ai toujours souffert de m’appeler Roselyne, souviens-toi quand nous étions au cours préparatoire, les garçons se moquaient de moi.

Le parcours se fait dans la bonne humeur, Marie-Chantal est guillerette, j’espère qu’il en sera de même à notre retour après que les garçons se sont occupés de son cas et en est fait une salope comme je le suis devenue.

• Pourquoi passes-tu dans ce quartier, Marc m’a prévenu que si je venais en ville, je l’évite, il est mal famé.
• C’est une bêtise, il suffit d’y avoir des amis.

Nous arrivons rue du Château, les portes du hangar sont ouvertes, j’y engage ma voiture.

• Pourquoi, entres-tu dans ce trou noir, tu es devenue folle, recule, j’ai peur.

Pas le temps, dans mes rétros, je vois les jumeaux refermer les portes.

• Descends, on va s’amuser !

Elle me regarde apeuré, c’est vrai que le cadre est un peu glauque, mais depuis hier, je sais que si nous sommes consentantes, on peut bien s’amuser.

• Bonjour Bénédict, je vois que tu as tenu parole, tu as amené ton amie, j’espère que mes copains seront à la hauteur comme je le pense, nous l’avons été avec toi puisque tu reviens.

Je lui tombe dans les bras et nous nous embrassons, je vois Marie me regarder avec stupeur.

• Tu vois mon amie, hier ce sont ces garçons qui m’ont dépanné, si tu es comme moi compréhensive tu vas passer une après-midi où tu en redemanderas, ne met pas ton mari en balance, tu sais qu’il te trompe chaque fois qu’il le peut.
Je dois t’avouer, il a même essayé avec moi, mais comme tu es mon amie, je me suis refusé néanmoins Abdou, c’est autre chose, fais-moi jouir mon ami.

Je retourne dans ses bras, les jumeaux sont là ainsi que Tony, mais Adrien est absent, je me garde bien de lui parler de celui qui va être son chauffeur.
D’un coup, les trois garçons s’approchent d’elle.

• Que me veulent-ils Bénédict ?
• Que tu leur donnes du plaisir comme ils m’en ont donné hier.
• Tu es folle, ils ressemblent aux voyous dont mon mari m’a mis en garde.
• Mais nous en sommes, des purs, des durs, des tatoués, qui aiment baiser les bourges comme toi, regardent, ma pute, comment elle va faire et aide là.

Ma pute, c’est moi, le coussin est encore là, je m’agenouille, les quatre garçons sortent leur verge et devant les yeux ahuris de ma copine, je commence à les sucer.
Entre deux bites, je lui lâche !

• Viens m’aider, il y en a assez pour deux.

Elle fait comme j’espérais et me montre que contrairement à moi hier qui était novice, elle sait pomper, Marc en hommes à femme contrairement à Georges a dû lui apprendre les bonnes manières que j’ignorais jusqu’à hier.

Nous les suçons sans distinction, je lui prête même ma bite noire, la voir entrer et sortir de la bouche blanche de mon amie me montre, comment nous sommes, noir blanc, blanc noir quand c’est moi qui le pompe.
Abdou semble ne me vouloir rien qu’à lui.

• Viens !

Je me relève, laissant Marie à son labeur qu’elle semble faire avec passion, m’aurait-elle caché des amants, il est vrai que nous sommes loin d’être ensemble 24 heures sur 24.
Il m’entraîne dans un coin du hangar où un matelas pourri a été jeté, dans des circonstances normales de ma vie de femme de notable, j’aurais refusé de mettre le bout d’un doigt de pied dessus, mais là après qu’il est fait tomber la robe, je lui apparais nue.

• Salope, tu es sortie sans ta culotte, dommage, j’avais dans l’idée de la déchirer avec mes dents.
• Tu peux tout autant me déchirer la chatte.
• Mets-toi en levrette, je vais te prendre plus profondément dans cette position.

Je m’exécute sans faire de manières, je suis là pour être prise par sa grosse verge noire et qu’il me remplisse l’utérus de son sperme, mais avant il faut qu’il me fasse jouir.
Ma joue repose sur le matelas au moment où il m’appuie sur les reins pour mieux dégager mon vagin qui le reçoit d’un coup.
Mes yeux voient des traces infâmes certainement du sperme, combien de filles des quartiers ou des bourges du centre-ville sont venues se faire tringler sur ce matelas, je m’en fiche, la verge d’amour me laboure et mon premier orgasme de l’après-midi me dévaste.

Pendant ce temps Marie-Salope est déjà couvert de sperme, les trois garçons la soulèvent et l’emmènent vers la table en fer où hier ils m’ont fait une gorge profonde.
C’est à ce moment que la petite porte dans la grande du hangar s’est ouvert.

• Excusez du retard, j’ai été avec ma mob signer un contrat de travail, merci de m’avoir pistonné ma belle auprès de ton mari et de son copain, mais dis-moi la salope qu’Yvon s’apprête à se mettre sur sa queue, c’est bien Marie-Chantal !
• Oui, Adrien, c’est elle, elle est un peu chiffonnée, tes copains ont commencé à la couvrir de leur sperme, c’est ta patronne.

Avant qu’elle ait le temps de dire le moindre mot, Adrien s’est approché en dégrafant son jean, il bande déjà sans que la moindre personne l’ait touché, il place son sexe sur la chatte et la perfore directement.

• Les copains, ces deux putes sont à moi et à Abdou, je vous prête sa bouche et ses mains comme Abdou vous prête celle de sa chienne.
• Abdou, tu nous avais dit que nous aurions une chatte aujourd’hui.
• La roue tourne, j’ignore ce que vous venez de dire en parlant d’un travail, mais quelquefois des forces plus fortes supérieures deviennent priorité, Adrien à raison, vous avez de la chance qu’il vous permette de lui remplir la bouche.
Bénédict, je peux te sodomiser !
• Tu m’as demandé hier pour me remplir la bouche, je suis entièrement à toi, si tu veux me sodomiser, sodomise-moi.

Incroyable, je suis folle, j’ai eu du mal à le recevoir dans ma chatte, comprenez que j’ai un moment de crainte quand il me replace en levrette et que je sens son gland commencer à écarter les bords de mon anus.
Si vous étiez présent, ce sont deux folles du cul qui baise, se font sodomiser, qui suce, car Tony est venu vers mon matelas où je suis prête à revenir des jours et des jours. Nous avons un orgasme simultané au moment où le hangar est empli des cris de jouissances qui nous dévastent, dans les minutes suivante Adrien semble en vouloir encore, alors qu’Albert vient se déverser dans ma bouche, il retourne Roselyne et l’encule sans qu’elle semble souffrir le moins du monde.
Yvon a compris qu’ils n’auront pour eux que nos bouches et pendant qu’Adrien lui donne de grands coups dans l’anus, il reprend sa place entre ses lèvres.

• Tu es folle Bénédict, mais que c’était bon, j’ai pris un pied pas possible, chaque fois qu’un sexe se déversait en moi, je pensais à Marc et j’étais contente de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Quand revenons-nous ?
• Abdou part pour trois jours, si j’ai bien compris, il a un contrat intéressant à faire en Suisse, nous y retournerons lundi prochain, c’est ton chauffeur qui aura pris ses fonctions qui nous conduiront, nous pourrons joindre l’utile à l’agréable, je sens que je vais souvent baiser dans l’Audi familiale.

Les semaines ont passé, je viens d’annoncer à Gorges qu’il va être papa, Marie-Salope, j’aime l’appeler ainsi depuis que régulièrement nous nous retrouvons sur notre matelas, en fait autant avec Marc.
Neuf mois depuis ma crevaison et mon manque de roue de secours, je viens de perdre les eaux et je suis sur la table de travail.
Merde, j’aime mieux me faire sauter par la verge d’Abdou que de faire sortir mon fil, quand d’un coup, je vois la tête du médecin accoucheur être surpris au-dessus de son masque.
Georges qui me tient la main change de couleur, un dernier effort, l’on pose mon petit sur mon ventre, il est d’un joli noir comme son père.
C’est ma belle-mère qui vient à mon secours, son arrière-grand-père était martiniquais ce qui me donne un alibi, ce genre de chose arrive quelquefois.

Roselyne a eu une fille, nos enfants ont deux ans, j’ai divorcé et nous sommes revenues vivre dans la banlieue au service des garçons qui restent nos amants, le coup du grand-père aurait pu marcher si Georges n’avait pas récupéré l’A.D.N. de mon fils pendant que Marc en faisait de même avec sa femme.
Le verdict est tombé, filiation refusée, en ce moment je suis rue du Château dans le premier immeuble de la rue à 100 mètres du hangar, Abdou et Adrien qui lui aussi a perdu son emploi prend Marie-Salope en double pénétration.
J’y suis passée tout à l’heure, c’est un de nos jeux favoris.

Ensuite, nous allons attendre la baby-sitter pour garder les enfants, nous partons tous les quatre en Suisse, Abdou que je prenais pour un repris de justice à monter une broîte d’import-export avec ce pays, il est deux fois plus riche que nos anciens maris.
Adrien conduit sa voiture et nous avons repris notre shoping, nous sommes redevenus les bourges que nous étions, mais avec le sexe en plus, nous envisageons de donner petit frère et petite sœur à Victor et Victoire.

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