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La maman dévergondée, 2° partie

La maman dévergondée, 2° partie



Seconde partie.

Au cours de la première partie, j’ai surpris ma maman en train de s’adonner au plaisir solitaire sur la table du salon. Comme j’étais, à cette époque, un jeune homme innocent, cela m’a troublé. Ma libertine de mère m’a alors proposé d’être déniaisé par son amie Alicia, peu farouche également. Celle-ci était invitée à un déjeuner qui s’annonçait torride, et venait juste d’arriver.

Maman a défait l’emballage du petit cadeau ; il s’agissait de deux boules de Geisha électriques, grosses comme des noix, avec un boitier de télécommande sans fil. Elle était ravie : cela manquait à sa collection, pourtant déjà fort bien pourvue, de jouets sexuels.
Au cours de l’apéritif, en attendant que les lasagnes qui cuisaient au four soient prêtes, elle a proposé à Alicia de m’initier aux joies charnelles dont j’ignorais encore tout, sinon à travers la pornographie que, plus que souvent, je regardais en secret. Notre invitée a accepté cette proposition avec enthousiasme, friande qu’elle était de ma chair juvénile.

– Allez, mon grand, a dit Alicia en se levant, déshabille-moi vite ! Tu vas découvrir ce qu’est une vraie femme.

J’étais visiblement émoustillé, et rougissais devant cette demande. La belle dame se tenait debout devant moi, frémissante de la perspective d’être touchée, pelotée, tripotée par mes mains malhabiles de presque adolescent qui a grandi trop vite, maigre, pâle et boutonneux d’un acné rebelle à tous les traitements. Pour immortaliser la scène, Maman est allée chercher sa caméra vidéo et a commencé à nous filmer. Bref, ma timidité était mise à l’épreuve, et mon cœur battait à deux cents pulsations par minute.
La fermeture Éclair se trouvait dans le dos de la robe rouge ; j’ai éprouvé quelques difficultés pour défaire Alicia de son vêtement si terriblement féminin que j’entends encore le son de la fermeture métallique : « zip ! » Aujourd’hui encore, lorsque j’entends bruit, quand une belle se déshabille près de moi, ou mieux, me permet de la déshabiller, un frisson parcourt ma colonne vertébrale et ma température monte de deux ou trois degrés. Ce jour-là, la fièvre sexuelle rendait mes doigts malhabiles au point que l’amie de Maman a été obligée de m’aider pour lui soustraire ses habits compliqués,comme le sont toujours ceux d’une maîtresse que l’on effeuille.
Lorsqu’enfin j’ai abaissé la culotte toute noire, le triangle herbu m’est apparu en majesté, brun, déjà tout humide de désir. Le tissu était imbibé d’abondantes glaires odorantes dont le parfum me rendait fou, et que j’ai portées jusqu’à mes lèvres gourmandes.

– Elle te plait, ma culotte, a dit Alicia ? Je te l’offre ! Garde-la en souvenir de ta première fois.

Trente ans après, elle se trouve toujours dans tiroir de ma table de nuit.

J’ai plongé mon visage dans cette chatte offerte et je l’ai sucée avec délectation, mais en prenant mon temps, sans me jeter sur le clitoris, mais en promenant ma langue entre les cuisses, puis au milieu des abondants poils pubiens, du mont de Vénus au pourtour de l’orifice vaginal, pour finir sur la colline des joies que j’ai délicatement extraite de son fourreau. À ce moment, je l’ai entendue pousser un soupir d’aise. Maman a approché l’objectif de sa caméra pour effectuer un gros plan sur la vulve réjouie et ma langue en pleine action. Je tenais les deux globes fessiers à pleines mains, puis j’ai lubrifié mon index de salive avant de l’introduire dans le petit trou anal tout serré. Ma partenaire a tressailli sous cette caresse inattendue de la part d’un jeune puceau, et, constatant qu’elle mouillait encore plus, j’ai enfoui mon doigt profondément dans la gaine rectale, en le joignant au majeur.
L’extrémité de ma langue a balayé le clitoris de haut en bas et de bas en haut, en un rythme constant, et j’entendais Alicia respirer de plus en plus fort. Dans ma vision périphérique, j’ai aperçu ma mère abaisser son pantalon et sa culotte afin d’insérer les boules de Gesha dans son vagin, tout cela sans cesser de filmer.
Alicia avait la jouissance sonore : elle a hurlé sa joie de toute la force de ses jolis poumons, tant pis pour les voisins. Ce chant a inspiré ma mère, qui a joui presque en même temps, stimulée qu’elle était par les boules vibrantes qu’accueillait son vagin.

– Eh bien, a dit finalement Alicia, pour un débutant, tu te débrouilles plutôt bien avec ta langue !
– Merci du compliment, Madame, ai-je répondu. J’étais inspiré, parce que vous êtes belle, comme toutes les femmes qui ont le désir gravé en elles. Est-ce que je peux vous pénétrer ?
– D’abord, mon bel éphèbe, tu vas de déshabiller complètement, pour nous montrer, à ta maman et moi, comme tu es beau lorsque tu n’as aucun habit sur la peau. Elle va continuer à te filmer en même temps, de sorte que nous aurons des images magnifiques à publier sur Internet. Tu es d’accord ?

J’ai fait « oui » de la tête, tout en commençant à retirer ma chemise. Gros plans sur les tablettes de chocolat.

Au cours du prochain épisode, si vos commentaires m’encouragent à l’écrire, vous saurez comment j’ai perdu mon pucelage entre les cuisses d’une dame sous le tendre regard de ma mère.

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