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La promenade de Virginie

La promenade de Virginie



Laissez moi vous conter une aventure qui m’est arrivée il y a peu…
Moi c’est Virginie, j’ai 34 ans et je dois avouer être une jeune femme plutôt attirante, non pas que je sois une bombe mais j’ai des formes placées avantageusement et je suis de nature enjouée. J’aime la marche, principalement en milieu rural, j’habite dans les campagnes et du coup j’ai champs et forêts que je peux parcourir à ma guise, seule ou accompagnée de mon conjoint ou d’amis …
Donc l’aventure en question se déroule justement lors d’une de mes randonnées, cela faisait un moment que je marchais, le soir tombait et la clarté chutait assez rapidement mais l’air était encore doux en cette journée de mai.
D’ailleurs cette marche avait fini par me donner chaud en tous les sens du terme, premièrement parce que j’aime marcher pour brûler mes calories et que le résultat était que mon haut était collé à ma peau par la sueur, moulant ma poitrine généreuse et laissant apparaître mes aréoles par transparence, d’ailleurs le frottement humide et frais du tissu sur mes seins avait réveillé mes pointes qui dardaient insolemment à travers le tissu…
deuxièmement parce que je vous avoue qqch, j’aime terminer mes promenades en solo nue dans un coin tranquille, à parcourir mon corps de mes mains en pensant à mes fantasmes secrets, finissant par jouir bruyamment tant l’idée de me faire surprendre stimule mon plaisir …
Donc comme à mon habitude je m’arrête à l’orée de la forêt dans un sous bois à qques mètres d’un chemin de terre… Je me déshabille lentement faisant glisser lentement les protections de tissu, comme un rituel, comme si je posais pour des voyeurs, d’abord j’ote mon haut en prenant soin de glisser mes mains sur mes seins et en faisant rouler mes pointes entre mes doigts au passage, pas de soutien gorge, je n’aime pas spécialement en porter . Puis je glisse mes mains sous mon short moulant, me penche et cambre mes fesses puis glisse mes mains le long de mes cuisses emmenant le short au passage, enfin je me redresse en remontant main vers mon entrecuisse et l’autre vers ma poitrine… Mon dieu que j’aime cette sensation de l’air frais caressant ma peau tel milles mains convoitant mes chairs…

Ensuite je m’allonge sur le sol et commence à me caresser en fantasmant sur ma situation, mes doigts glissent entre mes cuisses, la sueur facilitant leur passage et cela me procure un premier frisson, je m’imagine un couple ou une personne seule, homme ou femme peu importe, se promenant sur le chemin de terre et approchant de ma position.
En général je commence à gémir à ce moment, comme une invitation à ces inconnus…
Mes doigts glissent maintenant sur ma vulve, leur mouvement facilité par le mélange de sueur et de mouille qui commence à perler au bord de mes lèvres … La seconde main agrippe mes seins l’un après l’autre, les pétrissant, les malaxant, pinçant mes tétons ou les vrillant telle une délicieuse torture perpétrée par l’inconnu(e).
Mon dos inévitablement fini par se cambrer, seules mes talons mes fesses et mes épaules touchent le sol, mes caresses se faisant plus intenses au fur et a mesure du déroulement de mon fantasme…
Toute à mon plaisir je n’entend tout d’abord pas les légers craquements des branches sur le sol ni une ombre s’approcher de moi à seulement qques mètres…

Malgré la fraîcheur de la nuit qui commence à tomber mon corps est couvert de sueur, brûlant d’envie, je gémis de plus en plus fort, je sens l’orgasme proche, le plaisir grondant en moi au fur et à mesure que mes doigts s’insinuent entre mes lèvres, s’enfonçant en moi tel un sexe imaginaire, la paume de ma main caressant délicieusement mon clitoris à chaque aller retour,
Je rêve que qqun m’observe, se caressant peut être également devant le spectacle que mon exhibition lui offre.
Je ne peux m’empêcher de parler seule à la nuit suppliant que qqun vienne, me rejoigne, que qqun réponde à mon envie de sexe, peut importe qui, homme ou femme.
C’est à ce moment que j’entend un bruit à deux ou trois mètres de moi, je me tétanise et mon regard se fixe sur la source du bruit, un a****l peut être, je discerne une ombre juste à côté d’un tronc, mon sang se glace, je ramène mes jambes vers moi et mes bras sur mes seins, bizarrement la réalité est bien moins excitante que le fantasme, je tente de ramasser mes vêtements a côté de moi tout en balbutiant à l’inconnu:
« Qu… Qui êtes v… Vous ? Qu… Que me vou… lez vous je… je »

« Je ne te veux aucun mal, je t’en prie, continue… Je t’observe depuis tout a l’heure, je ne voulais pas t’effrayer… »
La voix est douce et féminine,
ce n’est pas ce qui me rassure mais au moins ce n’est pas un de ces tarés qui vous sautent dessus…
Je n’arrive pas à discerner son visage dans la pénombre, mais sa voix et sa présence commencent à me faire de l’effet…
Finalement pourquoi pas réaliser ce fantasme, depuis le temps que je me donnais du plaisir en y pensant…
Je descend lentement le bras qui cachait ma poitrine…
« Tu es belle, j’aime les belles femmes et je n’ai pu m’empêcher de suivre le bruits de tes gémissements en passant dans le coin »
« Et … Vous vous promenez souvent ici? »
Je vois ses mains commencer à ouvrir ce qui doit être une petite veste de sport tandis qu’elle me répond
« Pas forcément ici mais oui, et je dois avouer que je t’avais déjà vu emprunter ce chemin »
Avant de commencer à ôter son haut elle s’adresse à moi
« Ça te dérange pas si je m’installe aussi? »
Ma peur du départ s’efface et fais maintenant place à une certaine forme d’excitation, je la regarde ôter son haut et exposer ses seins à la lumière de la nuit… Sa peau est blanche, reflétant à merveille la lueur de la lune…
« Ou… Oui » mes doigts se sont mis à remuer à nouveau entre mes cuisses
Je la regarde s’assoir à un mètre tout au plus de moi, elle ôte ses baskets, continuant à se déshabiller, sa peau est vraiment d’une pâleur incroyable, moi qui adore les séries sur les vampires je suis servie. Ce fait ne fait qu’accroître mon excitation retrouvée…
La voilà totalement nue, sans aucune pudeur elle se dévoile et son corps est particulièrement désirable, de belles formes, un peu mon gabarit, une peau au grain qui invite aux caresses, elle me sourit et cela me fait d’autant plus d’effet lorsqu’elle me demande si elle me plaît…
« Oui » je n’hésite plus a répondre, mes doigts s’activent a nouveau et je me plais à penser que cela va aller de plus en plus loin, pour le plus grand plaisir de mon entre jambes qui brûle à présent d’un nouveau désir…
M’adressant a elle: « et moi je te plais? »
Elle me sourit, mord sa lèvre inférieure avec beaucoup de sensualité et répond tout en gémissant « mmmmgnoouiii, j’ai envie de toi depuis tout a l’heure, je t’observais en me caressant et j’avais envie de te rejoindre depuis un moment, écartes plus tes cuisses ma belle » et joignant le geste à la parole la voilà qui pose ses pieds nus et glacés contre les miens qui sont bouillant tant mon jeu de tout a l’heure faisait bouillir mon corps tout entier .
Nous sommes l’une face a l’autre, cuisses mi pliées, largement écartées, nos pieds se caressant mutuellement, nos doigts s’activant sur et dans nos sexes, tantôt jouant avec nos petites perles roses, tantôt disparaissant au plus profond de nos intimités, mon dieu que cela est excitant, encore plus que ce que j’aurais pu imaginer…
Nous gémissons de concert, nous sommes haletantes et je sens que ce petit jeu ne tardera plus à rompre les digues retenant les vagues puissantes de la jouissance, d’ailleurs je l’appelle de tout mon être, je veux me laisser aller devant elle, je veux qu’elle me voit hurler de plaisir, mon corps se brisant sous les ondes successives du plaisir qui gronde…
C’est a ce moment qu’elle se met prestement à genoux et s’approche encore plus de moi.
« Laisse moi t’aider, je te sens venir »
Elle me force a m’allonger sur le dos, cuisses écartées au maximum, sexe béant et dégoulinant de mon nectar intime, elle dépose des baisers sur la face intérieure de mes cuisses, là ou la chair est plus tendre, plus sensible aux caresses, sa bouche remonte vers mon sexe, lentement, déposant mille baisers et coups de langue sur le trajet, je sens que je vais jouir comme jamais, les vagues de plaisir sont tellement fortes que je suis victimes de mini orgasmes annonciateurs de l’apothéose, ses lèvres délicates et fraîches se posent finalement sur mon pubis, se referment autour de mon clitoris, l’aspirent afin que ma langue puisse le caresser sur toute sa longueur, je vais mourir de plaisir, mon corps convulse, mes halètements se sont transformés en râles, je grogne de plaisir, saisissant ses cheveux je l’attire davantage à moi , les images les plus dépravées inondent mon esprit qui se noie dans la vague de plaisir immense qui fracasse toute résistance de ma part, sa bouche est toujours plaquée contre mon sexe, et tout en suçant mon clito elle réussit a glisser sa langue entre mes lèvres, et tente de l’introduire dans mon sexe, cette sensation nouvelle détruit le reste de mes remparts et mes yeux se révulsent, je hurle de plaisir dans la nuit, mon corps se raidit puis tressaute et mon corps finit par se tétaniser, les muscles à la limite de la rupture, je meurs et ressuscite successivement plusieurs fois jusqu’à une déconnexion totale de mon esprit et de mon corps, je disparais dans le néant…

Je ne sais pas combien de temps je suis restée dans cet état catatonique, mais je reprends enfin mes esprits, en ouvrant les yeux mon regard l’apercoit, toujours nue et aussi belle que les rayons de la lune. Elle est a genoux et à posé ma tête sur ses cuisses, que merveilleux coussin, ses mains me caressent les cheveux et le visage avec infiniment de tendresse, elle me sourit…
« Alors la belle, enfin de retour? Je me demandais si je n’allais pas devoir te porter, tu t’étais presque endormie… »
« Je… C’était divin, je me souviens juste d’un plaisir inouï et puis c’est le trou »
Ses mains glissent a présent dans mon cou, toujours aussi fraîches, je sais pas pour vous mais pour moi c’est un pur délice que de se faire cajoler de la sorte après un orgasme, je me laisse aller, totalement en confiance.

Poursuivant ses caresses elle s’adresse à moi et me dis qu’elle va devoir me laisser, qu’il est l’heure pour elle de rentrer mais que si je le souhaite nous pourrons nous recroiser au détour d’un chemin en forêt et que son homme serait ravi de se joindre à nous si j’étais partante, mais que cela n’était nullement une obligation, on pourrait aussi se voir seules… Qu’elle rêvait de continuer à découvrir et baiser mon corps. Puis elle se pencha vers moi pour déposer un baiser sur mes lèvres, d’une douceur absolue.
« Au revoir ma belle, j’espère te revoir »
Je tentais de connaître son téléphone, son nom, mais elle se contenta de sourire, déposa a nouveau un baiser sur mes lèvres alors que nous étions a nouveau debout toutes les deux, ramassa ses vêtements et reparti dans la nuit me laissant seule avec mes interrogations et l’odeur de son parfum.
Je me penchais et ramassait mon haut puis jetais un dernier regard dans sa direction, pour me rendre compte qu’elle avait disparu

Je ramassais le reste de mes affaires en souriant, puis restais un instant debout et nue, serrant mes vêtements contre moi comme pour la serrer elle, repensais une dernière fois à ma belle inconnue puis me rhabillait avant de reprendre le chemin du retour…
Fin

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