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Week-End à trois chapitre 3

Week-End à trois chapitre 3



Chapitre 3 : Petit Dej

Le matin et sa folle lumière nous réveille, c’est malin j’avais oublié de fermé les rideaux. Nous émergeons et réalisons dans quel situation nous sommes.
Je me souviens que je ne faisais pas le fier la première fois que je me suis réveillé contre une barbe.
Mais là ça n’a rien à voir, nous nous regardons et nous n’avons pas honte, c’était bon et nous n’avons plus peur.
Je suis heureux comme un pape d’être si bien entouré, on avait bien raison de choisir cette largeur de lit, c’est pile la bonne taille pour trois coquins déchaînés. Une belle gaule du matin le prouve à tout le monde. Mais pas le temps de jouer. De petits cris résonnent à coté, elle a été très sage cette nuit, un ange, maintenant c’est à moi de gérer. Je vous laisse vous prélasser et monte le drap histoire de ne pas bloquer sur vos jolis corps.

Je ne saurais jamais pourquoi vous avez mis tant de temps à descendre (quoique?). Nous ont a prit notre temps pour la routine du matin et dans je ne sais quel élan, nous avons même cherché des petits pains.
Une table garnie, du café fumant et du lait d’avoine vous attendent.
-Vous êtes radieuses ce matin, Bien dormis ?
-Comme un bébé, j’avais de bons doudous, dit Sophie dans son beau peignoir en soie blanche
-Tiens tu m’as piqué un tee-shirt Iris,
-Oui c’est juste ce qu’il faut pour cacher l’essentiel
Vous êtes parfaitement indécente, j’apprécie beaucoup. Nous sommes au présent, la petite nous invite au rire et à savourer les choses simples, c’est délicieux.
Ayant pris de l’avance je passe à la douche et cache une petite caméra dans la salle de bain. Vous passerez ensuite sans vous en douter.

A l’heure de la sieste nous pouvons retourner en haut.
-Toi tu montes mais d’abord tu couches la petite et tu attends qu’on t’ouvres. M’annonce Sophie
-Oui maîtresses dis je avec intérêt.
-J’adore, je crois que je vais vite me faire à ce statu.
-Je te le souhaite, il m’épuise quand il est comme ça,
-Bah pourquoi ? Demande Iris
-Il peux pas s’arrêter.
-C’est vrai maîtresse, j’aime quand tu t’occupe bien de moi.
-Bon on monte et on te cherche
-Embrasse moi d’abord

Je comprend pourquoi vous m’avez retenu, je ne regrette pas du tout au contraire. J’ai envie de me jeter sur vous. Sophie porte une bodysuite transparente ultra sexy, et tient un gode.
Tu es merveilleuse, je me mets à tes pieds. Mais toi aussi avec tes bas noirs tu m’ouvres les bras. Je ne résiste pas et te prend dans les bras. Tu te colles à nous et me voilà dans un sandwich de rêve. J’accepte la situation et vous me déshabillez à quatre mains. J’accepte vos hommages, vous m’embrasses sur toutes les zones que vous mettez à nue. Puis chacune s’occupe précieusement de sa face, je suis un saint Nicolas en chocolat, je coule entre vous et mon sceptre se dresse.
Le kiff de dingue ! Pourvu que je n’ai pas Alzheimer.
Des seins me chatouillent le dos, une main me serre et me décalotte fermement, vous me pincez les tétons, que du bonheur. Je sens quelque chose s’insinuer dans mes fesses. Un doigt entre mais je ne suis pas prêt. Sophie me mets ses doigts dans la bouche, je bave de tout mon cœur pour mieux supporter la suite. Tu arrives finalement à m’en mettre deux sans trop forcer.
-Tu aimes ce qu’on te fait mon chéri ?
-Je bredouille un Oui
-Tu vas encore plus aimer la suite, mais interdiction de jouir avant qu’on te le dise. OK ?
-Oui maîtresse ! Cette expression vous fait marrer. Vous me mettez au lit. Je suis votre jouet docile, a****l prit au piège volontaire j’attends vos ordre.

Iris se glisse sur moi pour entamer un 69. Enfin je profite de la vue, elle se presse fort et je ne peux pas respirer tout le temps. L’odeur de son cul m’enivre, je crois qu’elle aime sentir mon nez contre sa petite porte. Je retrouve les saveurs de la veille, le mélange de sueur et de mouille me font tourner la tête. Je ne la suce pas, je la dévore directement ; mâche ses lèvres et ne me prive pas de lui donner mes meilleurs coups de langues.
Elle me happe aussi vite, on ne fait plus dans la réserve comme cette nuit. Elle aspire mon sucre d’orge en grande gourmande et je sens souvent des dents aussi. Elle est super énergique, comme si elle n’avait rien avalé depuis des jours. Ce 69 démarre en trombe mais je sens quelque chose de dur dans mon dos. Sophie est clémente, le gode est bien lubrifié et il entre petit à petit. Le gland passé je sens mon bas ventre irradié. Il est déjà à la prostate. Je résiste pour ne pas jouir d’un coup. Pris en étaux entre ses jambes je n’entend que les bruits de sa chatte salée et de mon souffle, je ne sais pas si j’arriverai à tenir, j’ai tellement bon. Tu le sens et le gode s’enfonce fort. J’ai mal, il est bien enfoncé mais je ne lâche pas, je suis contracté. Mes gémissements sont étouffé et mes mouvements de culs les encouragent plus qu’ils les calmes. Je me prends de grands va et viens, les 10 premiers sont terribles, je crois que je vais me fendre en deux. Heureusement la nature est bien faite. Après une certaine quantité de mouvements la frustration de la douleur laisse place à une chaleur irradiante et aux instincts primaires. J’ai débandé mais j’ai toujours la tête dans son cul et il commence à sérieusement bouger. Elle se redresse et cherche à mieux sentir ma bouche. Je me délecte de ce con juteux, le goût est moins fort et je peux enfoncer toute ma langue dedans. Ce dont je ne prive pas. Quand la langue tire trop je repasse à la sucion de sa friandise.

Sophie arrête les va et viens et me fourre le gode jusqu’à la garde. Je sens le matelas bouger et une nouvelle chaleur autour de ma mi-molle. Je suis violé dans cet état. Des griffure s’enchaîne partout sur mon torse puis des décharges électriques lancent mes tétons. Je rebande illico, je n’ai plus de secret pour ma femme. Elle tourne ses ongles dans mes tétines et je me mets à couiner. Mon bassin bouge tout seul contre sa chatte, je veux mieux la sentir, aller tout au fond. Bien plantée, elle s’immobilise puis entame un balancement en arrière. Je crois qu’Iris jouit, ses fesses s’amollisse sur mon visage et je sens encore mieux son poids. Elle m’étouffe, j’ai un peu peur.
Ah la lumière revient, je suis éblouie et c’est le visage de Sophie que je distingue en premier. Mes tempes résonnent et ma mâchoire est en compote mais on se sourit. Ma queue toujours serrée et étirée dans son antre bouillante je sens une pression contre elle, un doigt doit être passé de l’autre coté. Elle se branle pour profiter encore un peu et vient brusquement. Sa chatte palpite et se serre autour de moi. La tête en arrière je me régale de sa poitrine, l’avale, la tord et de son petit ventre qui est tout saccadé. Tu tombes sur moi et m’autorise à jouir, l’effet est quasi immédiat. La chaleur remonte de mon cul, le long de ma colonne et les contractions que tu m’offres me dépassent. Je ne cherches plus à résister, je profite de tes charmes et sans le sperme couler. J’ai l’impression que je jouis en continus tel un torrent. Tu me vide complètement avec ce traitement.

Je n’ai pas bougé mais vous m’avez crevé les filles, je suis en miettes.
Sophie se déchausse et on se remet doucement de nos émotions. De toute façon je ne peux pas bouger les jambes, vous me les avez coupé.
La sieste sera courte mais je ferme les yeux et me laisse aller. Elles s’emmellent contre moi comme hier à la différence que j’ai un bon gode et un genoux collé contre les couilles pour le bloquer.

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