Suite à une blessure survenue lors de la visite d’un château le médecin que j’ai consulté m’a donné des séances de kiné.
En grande partie à cause du plaisir que je ressens lors des séances j’ai allumé Serge le pratricien, un bel homme, et il a fini par céder à mon harcèlement sexuel et est devenu mon amant.
Je me rends à un nouveau rendez-vous dans le cabinet de Serge le kiné qui soigne un traumatisme que je me suis fait à la cuisse au niveau de l’aine.
Celui-ci ne me fait plus souffrir grace aux anti-inflammatoires et je pense qu’il n’était pas si grave que ça mais quand on vient de se faire mal c’est douloureux et gênant.
La première fois que je suis allée à une séance de soins j’ai allumé le pratricien, la deuxième fois il n’a pas résisté à mes provocations et nous avons fait l’amour.
Aujourd’hui je constate en regardant la plaque apposée sur le mur de son cabinet que c’est son jour de fermeture, m’aurait il posé un lapin.
Je sonne, je suis soulagée quand il m’ouvre et me fait entrer, il est tout sourire.
Je veux m’assurer qu’il est toujours dans de bonnes dispositions et bien décidé à continuer la relation sexuelle qu’il a commencée avec moi.
Sans lui laisser le temps de réfléchir je me colle contre lui.
Je passe mes bras autour de son cou, lui les siens autour de ma taille, je sens contre mon vente sa queue déjà bien grosse.
Mes lèvres sont contre les siennes, ma langue pénètre dans sa bouche et va à la rencontre de la sienne, à mon initiative elles se mêlent dans de longs baisers.
J’essaie de caresser son pénis mais il repousse ma main en disant qu’avant de penser au plaisir il doit faire son travail.
Après nous être embrassés nous parlons un peu.
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Après avoir ri il me dit:
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Pendant que son regard est toujours fixé sur moi je déboutonne le bouton qui maintient ma jupe au niveau de ma taille, elle glisse et tombe à mes pieds.
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je n’ai pas mis de culotte, elle est dans mon sac à main.
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Je m’allonge sur la table et écarte les jambes.
Pendant qu’il installe les électrodes et branche son appareil il ne peut pas s’empêcher de regarder mon intimité que je lui montre sans pudeur, quand on est une salope on ne se refait pas et l’allumer fait partie de mon plaisir.
Avec du mal il se concentre sur son travail qui consiste à soigner mon traumatisme à l’aine avec du courant électrique et un massage.
Je constate que pendant le massage ses mains n’hésitent pas à s’égarer sur mon sexe.
De temps en temps il observe mon visage, je pense qu’à mon expression il s’aperçoit de la montée du désir en moi.
Quand la séance est terminée mon intimité, comme les fois précédentes, est bien humide et j’ai envie de sa queue.
Pendant que je descends de la table et retire mes vêtements il sort une couverture d’un placard et l’étale sur le sol.
Je ne perds pas de temps, je m’approche de lui.
Je l’aide à retirer son maillot puis je déboutonne son pantalon et fais coulisser le zip, ensuite je baisse en même temps le pantalon et le caleçon, il se prète au jeu et soulève ses jambes chacune leur tour pour que je le débarrasse des vêtements que je jette dans la pièce.
Je peux apprécier son corps musclé et surtout sa queue aux très belles dimensions qui se dresse fièrement.
Installés à genoux sur la couverture nous nous embrassons longuement puis pendant un moment ce sont les caresses sur tout le corps sans se fixer sur un point précis ce qui a pour effet de nous exciter encore plus.
A genoux, les fesses tournées vers Serge qui s’est allongé je caresse son entre-jambes, ses testicules et sa queue imposante bien gonflée par l’envie.
Je lèche consciencieusement le pénis pendant un moment en m’acharnant sur le gland que je me mets à suçoter et aspirer histoire de l’énerver encore un peu plus.
Après s’être déplacé un peu pour être en meilleure position il en profite pour caresser mes fesses et mes cuisses pendant un moment avant de s’en prendre à mon sexe qu’il doigte et puis il masturbe mon clitoris et doigte mon anus.
La bouche bien ouverte j’enfonce le maximum que je peux du gros membre dans ma bouche et je lui fais une fellation. Pendant les va-et-vient dans ma cavité bucale le pénis tape au fond de ma gorge et j’essaie d’éviter les haut-le coeur.
Excité il me masturbe de plus en plus vigoureusement et des doigts s’acharnent dans mon anus dans le but de l’élargir.
Le plaisir devient de plus en plus fort dans mon ventre et les aller-retour de ma bouche sur la verge sont de plus en plus rapides.
Il ne peut pas se retenir, avec les soubresauts annonciateurs de la jouissance sa verge envoie des giclées de sperme au fond de ma gorge.
Après un bref temps d’arrêt et pendant que j’avale la semence puis continue à sucer il s’acharne de plus en plus vite avec ses doigts sur mon clitoris jusqu’à ce que mon corps se raidisse et se soulève, j’atteins l’orgasme et suis prise de spasmes pendant que le liquide qui s’échappe de mon vagin arrose sa main.
Serge qui n’a pas débandé me couche sur le dos et s’allonge sur moi, avec mes mains j’écarte les lèvres de mon intimité puis son pénis bute à l’entrée avant de s’enfoncer lentement à l’intérieur en repoussant les chairs pour y faire sa place puis le gland bute au fond de mon vagin.
Il reste un moment sans bouger avant de commencer à donner des coups de reins.
Au fur et à mesure qu’il accélère les va-et-vient je ressens fortement les déplacements du membre en moi.
Je bouge en même temps que lui essayant de rythmer mes mouvements avec les siens.
Le plaisir augmente toujours dans mon ventre, je replie mes jambes.
En plus de nos respirations les clapotis dus à ma mouillure et le claquement de ses testicules contre mes fesses sont les uniques bruits que l’on entend dans la pièce.
Au bout d’un moment mon corps se tend et de nouveau prise de spasmes je jouis, des jets de cyprine qui sortent de mon vagin arrosent son ventre et son sexe.
Il sourit et donne de grands coups de reins.
Ce n’est pas long avant qu’il ne se crispe et que je ne ressente les tremblements de sa verge en moi pendant que son sperme se répand dans mon vagin.
Il se retire et nous nous essuyons.
Je ne suis pas décidée à en rester là.
Positionnée à genoux entre ses jambes je caresse sa queue gluante puis je la masturbe vigoureusement jusqu’à ce qu’elle reprenne vie, ensuite je lui fais une fellation avec des aller-retour rapides de ma bouche.
Son gros gourdin est maintenant de nouveau bien raide.
Sans réfléchir et au risque de réveiller la douleur au niveau de ma cuisse, je me positionne à genoux au dessus de lui, mes jambes de chaque côté de son corps.
Avec une main je place sa queue à l’entrée de ma grotte gluante puis en me baissant je la fais pénétrer à l’intérieur jusqu’à ce qu’elle bute au fond de mon vagin.
Je fais bouger mon corps pour faire aller et venir la verge en moi pendant que Serge caresse mes seins et martyrise les tétons.
Je ferme les yeux car j’éprouve beaucoup de plaisir pendant le coït.
C’est fou le bien que me fait la grosse queue qui remplit bien mon intimité et je mouille beaucoup.
Je ne peux éviter une nouvelle jouissance puis Serge se met à bouger en même temps que moi avant de m’étreindre de ses bras, de me retourner et sans que sa verge quitte mon vagin il se retrouve sur moi.
Il donne des grands coups de reins rapides, le plaisir reste fort dans mon ventre mais il jouit dans mon corps avant que cela m’arrive à moi aussi.
Petit temps de repos.
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Evidemment je ne me fais pas prier.
Penchée sur lui je l’embrasse pendant qu’une de mes mains caresse et triture sa queue ramollie.
Lui ses doigts fouillent ma chatte puis pénètrent dans mon anus dans lequel ils s’agitent. Je comprends qu’en plus d’élargir cet orifice il le lubrifie avec un mélange de mouillure et de sperme.
Je le masturbe d’abord doucement puis vigoureusement, il faut quand même un peu de temps avant que la verge ne recommence à grossir.
Je continue la masturbation puis satisfaite du résultat je remplace ma main par ma bouche et je lui fais une nouvelle fellation pendant qu’il continue à me doigter sans ménagement l’anus.
Ma bouche s’active sur la verge pendant un bon moment jusqu’à ce qu’il soit bien excité et veuille passer à autre chose.
Il me demande de me mettre à genoux, ce que je fais posant ma tête sur mes bras repliés posés eux sur le sol.
Lui se positionne derrière moi car il veut me prendre en levrette.
Sa verge se déplace entre mes fesses, sans mon aide il arrive à pénétrer ma chatte dans laquelle il la fait aller et venir pendant quelques instants.
Il estime qu’elle est maintenant assez gluante, il se recule et de nouveau le membre frotte dans la raie de mes fesses, je l’aide à se positionner contre mon anus.
Il pousse s’aidant du poids de son corps et le pénis imposant s’enfonce doucement mais inéxorablement dans mon corps en repoussant les chairs aidé par la lubrification due à ma mouillure et à son sperme.
Il se met à me défoncer d’abord doucement puis de plus en plus vite, pendant ce temps je passe une main entre mes jambes et je triture ses testicules.
Les sensations de cette queue qui s’active dans mon cul pas encore bien ouvert sont fortes et je ferme les yeux pour bien les ressentir.
Bien excitée je commence à me masturber violemment le clitoris ce qui fait monter encore le plaisir dans mon ventre.
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Il repousse ma main et tout en me défonçant le cul il me masturbe vigoureusement le clitoris.
Il arrive au résultat espéré, j’atteins l’orgasme et sous l’effet de la jouissance j’ai tendance à m’écrouler sur lui.
Du coup il me demande de nouveau de changer de position.
Je me couche sur le dos, il remonte et replie mes jambes en les écartant, allongé sur moi sa queue cherche un orifice que je l’aide à trouver.
Je saisis son pénis avec une main et je le positionne contre mon anus.
La pénétration est devenue plus facile, il donne des coups de reins pour faire aller et venir sa queue dans mon fondement pendant un moment.
Il change d’orifice et sa verge se retrouve dans ma chatte dans laquelle elle s’active pendant quelques minutes avant de retourner dans mon anus.
Il me défonce longtemps avec ardeur passant d’un orifice à l’autre au gré de ses envies jusqu’au moment ou ne pouvant plus se retenir sa queue s’agite dans mon corps et l’arrose de sperme.
Chacun notre tour ous nous nettoyons en utilisant le lavabo qui se trouve dans le cabinet.
Une fois rhabillés nous parlons pendant qu’il me donne les dâtes et heures des prochains rendez-vous.
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<<ça fait encore pas mal de parties de jambes en l'air avec toi, du plaisir en perspective>>.
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Il est content que je reste dans la ville jusqu’à la fin des soins et compte bien continuer à profiter du corps que je lui offre.
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Pouvoir continuer la relation sexuelle que j’ai commencée avec lui me plait bien.
Dans l’histoire il ne perd pas tout: une mi-temps pour les soins qu’en tant que personne honnète je paie et qui me seront remboursés par mes assurances santé puis une deuxième mi-temps agréable (nettement plus longue quand c’est son jour de fermeture) pour nous donner mutuellement du plaisir.
Je compte bien profiter de tous les moments que je vais passer dans son cabinet surtout qu’il a envie de continuer à profiter de mon corps et n’est pas pressé de me voir quitter le région.
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