Je vous écris pour vous raconter une rencontre extraordinaire. Ce n’est pas une histoire spécialement gaie, mais j’avais envie de vous en parler. J’ai rencontré Fouzia dans un cours du soir d’anglais, au centre culturel américain, à Paris. Nous étions une dizaine d’élèves de tous âges en cours. J’ai 35 ans, et je suis cadre commercial. Ma carrière est un peu au point mort, j’ai envie d’aller bosser à l’international, mais je suis trop faiblard en anglais. Donc, la trentaine passée, j’ai décidé de retourner à l’école. Fouzia, elle, avait à peine plus de 18 ans. Très sérieuse et appliquée en cours, elle était assez douée. Plusieurs fois, à la sortie, j’avais tenté de l’aborder, mais elle partait toujours précipitamment, comme si on l’attendait ailleurs.
Les cours d’anglais avaient lieu deux fois par semaine, de 19 heures à 21 heures. Le prof était plutôt jeune, très sympa, un peu tête en l’air. Un soir, je me suis retrouvé, aux côtés de Fouzia, face à une salle de classe fermée. On est allés se renseigner auprès du type de permanence à l’accueil, qui nous a dit que le cours avait été annulé aujourd’hui. Bien sûr, le prof avait prévenu tout le monde, sauf nous deux. Je partais quand Fouzia m’a rattrapé : « Attends, on ne vient pas me chercher avant 21 heures, tu veux qu’on discute un peu ? » Ça faisait longtemps que j’attendais ça. On est allés s’asseoir sur des marches entre deux étages, le centre était plutôt désert à cette heure-là et peu mieux compris Fouzia. Elle avait 19 ans et cinq petits frères. Ses parents plaçaient beaucoup d’espoir en elle, ils voulaient absolument qu’elle fasse une grande école. Du coup, ils lui payaient plein de cours en plus, pour qu’elle soit la meilleure. À côté de ça, elle n’avait pas vraiment de loisirs. Elle aidait pas mal sa mère, et elle ne sortait jamais avec des copines faire du shopping, encore moins en boîte. J’entendais, au ton de sa voix, qu’elle le regrettait beaucoup.
Une heure était passée. Je lui ai demandé comment elle faisait pour ses petits amis. Elle a ri et m’a répondu avec aplomb : « Tu rigoles ? Je n’en ai jamais eu, mon père me tuerait si j’en avais un. » Je lui ai dit qu’elle ne savait pas ce qu’elle manquait. Que l’amour charnel, c’était quelque chose de très beau. On commençait à fatiguer, Fouzia avait posé sa tête sur mon épaule, mes mains ne se décrochaient pas de mes genoux, mais mes yeux se portaient souvent sur la lourde poitrine que dissimulait entièrement un pull à col roulé marron. Elle m’a confié que si ça se trouvait, elle n’aurait jamais l’occasion de connaître l’orgasme, si le mari qu’on lui imposait était impuissant, ou égoïste. Nos regards se sont croisés. Sa main est venue se balader sur mon torse, puis sur ma braguette. Fouzia n’osait plus me regarder. J’ai bandé.
J’avais très envie d’elle. On n’a pas parlé, on est allés directement dans les toilettes du deuxième étage. Elles étaient fermées. On est montés au troisième et dernier étage. Cette fois, les toilettes des femmes étaient ouvertes. Dans l’étroite cabine, Fouzia m’a plaqué contre la paroi et m’a embrassé fougueusement.
Elle m’a glissé dans un soupir qu’elle s’était entraînée avec une de ses meilleures amies. Le contact de sa petite langue chaude m’a enflammé, je l’ai déshabillée sauvagement et enfin, j’ai découvert cette belle poitrine fière et ronde, à peine bronzée, ces mamelons épais, ce ventre plat. J’ai descendu la main, et j’ai constaté que le pubis de Fouzia était complètement imberbe. Mon pénis me tirait à m’en faire mal. Je me suis agenouillé devant elle, qui restait bras ballants. Elle ne savait, à l’évidence, pas trop quoi faire… J’ai fourré mon nez dans sa fente. Je l’ai longuement humée, elle avait une odeur fleurie et forte. Mes doigts se sont aventurés sur son petit mont, et lentement, j’ai écarté sa fente pour découvrir son bouton de rose encapuchonné. Le bout de mes lèvres l’a embrassé. Puis, tout en lui malaxant doucement les fesses, je l’ai léchée de haut en bas, partout sur son sexe mignon à croquer.
Elle m’a demandé de la pénétrer. Ce n’était pas chose facile dans cet endroit. Je lui ai enlevé sa jupe et ses collants, sa culotte blanche, et je lui ai fait poser un pied sur le rebord des cabinets. J’ai déboutonné ma braguette, elle a fixé mon pénis d’un air curieux, quoiqu’un peu effrayé. Je lui ai chuchoté dans l’oreille que j’allais entrer le plus gentiment possible, que je n’allais pas lui faire mal. Ça a eu l’air de la détendre. Puis, j’ai frotté mon gland contre sa chatte, et je l’ai placé à l’entrée de son vagin. « Tu en es bien sûre ? C’est ce que tu veux ? » Elle a fait oui de la tête, les lèvres pincées. Alors, j’y suis allé. Déflorer une jeune femme est la meilleure chose qui puisse arriver à un homme, selon moi. À l’intérieur, elle était douce et chaude, extrêmement serrée. J’ai progressé très lentement, centimètre après centimètre. À chaque fois que mon pénis s’enfonçait un peu, je faisais faire à mon bassin des petits mouvements circulaires pour l’élargir, puis je me remettais à pousser doucement. Son fourreau semblait s’agripper à ma bite comme pour une sodomie.
A un moment, j’ai donné un grand coup, et j’ai enfin senti son pubis contre le mien. J’étais au fond. Fouzia ne faisait aucun bruit. Ses ongles s’enfonçaient légèrement dans mes bras nus, j’ai encore croisé son regard, il était doux, comme si elle était dans un demi-sommeil. Je l’ai embrassée dans le cou, je lui ai léché l’oreille, puis je me suis mis à la pistonner, d’abord doucement, puis de plus en plus violemment. Dans mes bras, elle plus en plus fort, avec régularité, et mon pouce s’est glissé entre nos deux ventres pour aller lui masturber le clitoris. Ses gémissements sont devenus continus, et je l’ai sentie se crisper contre moi. Elle s’est à moitié étranglée dans un petit cri suraigu, et son vagin s’est refermé sur ma bite plusieurs fois d’affilée. Je suis vite ressorti d’elle et j’ai tout lâché dans les toilettes.
Nous n’avons plus jamais eu d’autres occasions que ce cours annulé. Sauf une fois. Arrivée devant la porte de la salle de classe, elle m’a glissé, surexcitée, avant que nous n’entrions : « Il n’y a personne chez moi ce soir. Viens, je t’en prie. » On n’est pas allés en cours. Ce soir-là, elle m’a fait un strip-tease et une danse du ventre, elle s’est même prêtée à une petite séance photo, et nous avons fait l’amour très tendrement. Elle n’avait plus peur du tout, et c’était presque encore mieux que la première fois. Malheureusement, j’ai dû partir au bout d’une heure.
J’étais fou d’elle. Un jour, en cours, je lui ai demandé à voix basse si notre relation pouvait évoluer. Elle a éclaté d’un rire apitoyé et elle m’a répondu que, si elle avait à choisir entre sa famille et moi, ce serait vite fait. Ça m’a fait très mal. J’ai arrêté d’assister aux cours, trouvé un bon job, une nana. L’histoire que je vous raconte aujourd’hui date d’il y a moins d’un an et, avec le temps, je n’en garde qu’un souvenir merveilleux et attendri, plus trop douloureux. Merci de m’avoir lu
Ajouter un commentaire