Histoires de sexe en français Histoires de sexe lesbiennes Histoires érotiques au travail

Chap 21 : Escapade bucolique

Chap 21 : Escapade bucolique



Par cette belle journée de mi-septembre, j’ai envie de faire une surprise à Sophie. Cela fait quelques semaines que nous sortons ensemble et je me sens super bien avec elle. En même temps si vous aviez pu rencontrer Sophie, vous vous seriez sûrement dit : « Quel veinard ce type. »
Sophie et moi, on se connaissait déjà, nous étions ensemble au collège et c’est par le plus grand des hasards que je l’ai retrouvé 9 ans plus tard.
Un samedi après-midi, je suis allé faire du VTT. En passant près d’un étang, il m’a semblé reconnaître ces deux filles qui bronzaient en maillot au bord du point d’eau. Je me suis rapproché, c’était bien Sophie, en compagnie de Magalie. Elles étaient toujours amies, déjà à l’époque elles étaient inséparables. J’étais tout emoustillé en revoyant mon ancienne camarade dans son petit deux pièces, elle n’avait presque pas changé, elle était toujours aussi belle. Il faut dire que pour bon nombre des mecs du collège, Sophie était le fantasme suprême. Elle était plus âgée, elle avait redoublé sa quatrième, c’est comme ça qu’elle a atterri dans ma classe. Elle était notre fantasme car elle avait déjà une grosse poitrine. À 13-14 ans, ça nous excitait tous lorsqu’elle portait des trucs moulants. En plus elle a des lèvres pulpeuses, une vraie bouche à pipes, qu’elle mettait en valeur avec un beau rouge à lèvres. La bande de puceaux qu’on était,rêvait tous d’elle car on savait qu’elle n’était plus vierge. Bref à l’époque, Sophie et moi, on était juste bons copains, elle ne s’intéressait pas à moi, trop jeune pour elle, trop chétif aussi.
Mais aujourd’hui c’est différent, j’ai grandi, je la dépasse d’une demi-tête, mon corps a évolué. Mes 3 ans de fac de sports, mes interminables séances de pompes et d’abdos ont forgé ma masse musculaire et j’ai bien vu dans le regard de Sophie, assise près du rivage, qu’elle ne me considère plus comme ce gamin qu’elle intimidait. Je l’ai même grillé à loucher sur mon entrejambe, mon cycliste moulant laissait apparaître mon anatomie.
Enfin voilà, on a échangé nos numéros, je l’ai invité au restaurant et aujourd’hui nous sortons ensemble.

Comme je vous le disais en préambule, aujourd’hui, j’ai envie de lui faire plaisir. Je sais qu’elle aime la nature. Alors j’ai organisé un pique-nique champêtre dans un petit coin de paradis. Un petit endroit isolé que j’ai découvert lorsque j’allais pêcher avec mon père étant plus jeune.
Je suis allé la chercher chez elle. Quel ravissement en la voyant sortir de sa maison. Si certains d’entre vous me suivent, vous devez avoir compris que je suis très attiré par les femmes très féminine, aux cheveux longs et aux poitrines généreuses. C’est le cas de Sophie. Elle porte une belle robe légère jaune aux motifs floraux, des lunettes de soleil surmontent sa longue crinière châtain clair et elle est chaussée de jolies petits sandalettes de type spartiate. Elle est belle comme un cœur.
Après la demie heure de route, je me gare sur un petit parking. Il nous reste un bon quart d’heure de marche pour accéder à ce petit havre de paix.
Main dans la main, nous nous promenons le long du halage, nous traversons la rivière par un étroit pont de fer qui servait autrefois d’écluse. De l’autre côté de la berge, nous passons dans un petit bois par des sentiers battus. Sophie observe la végétation aux couleurs naissantes de l’automne, lorsqu’une envie pressante se fait sentir. Sans aucune gêne, elle s’arrête au bord du chemin, remonte sa robe, baisse son string et s’accroupie pour uriner. Cela me trouble de voir sa petite chatte déverser ce liquide doré devant moi. Je lui tends un paquet de mouchoir et pendant qu’elle s’essuie, elle aperçoit une bosse sous mon short.
– Mais tu bandes mon salaud, ça t’excites de me voir pisser?
J’ose à peine lui avouer ma satisfaction de la voir dans cette posture, qu’elle me caresse par dessus le textile, l’œil lubrique.
Elle défait le nœud, tire sur mon short, puis mon boxer. Elle empoigne ma matraque gonflée et la gobe d’une traite. Toujours accroupie, une main sur ma queue, l’autre entre ses cuisses pour se tripoter l’abricot. Elle me suce avec fougue en me branlant méchamment. Je vénère sa façon de faire, sans chichi, rapide et efficace. En moins de 5 minutes, j’expulse mon sirop de gland sur les feuilles qui se trouvent au sol.

Après cette agréable petite pause, durant laquelle Sophie n’a même pas pris la peine de remettre son string, nous reprenons la route. À la sortie du bois, nous avons coupé à travers un champ pour enfin arriver dans une petite clairière, au bord de laquelle coule un ruisseau.
Sophie est conquise par cet endroit qui dégage une atmosphère de sérénité, de liberté et surtout de tranquillité. Je l’ai amené là pour lui faire plaisir, mais aussi parce que j’ai des arrières pensées.
Depuis que j’ai eu cette idée, j’ai imaginé plusieurs scénarios érotiques. Mais je ne suis pas le seul à rêver à une possible relation sexuelle.
– Tu es sûr que personne ne viendra ici?
– Je ne peux pas te le garantir à 100%, mais regardes, en face, c’est inaccessible.
– Oui, mais il peux y avoir des randonneurs ou des pêcheurs qui connaissent le secteur.
– Franchement, à mon avis on n’a pas la moindre chance de tomber sur quelqu’un. Je suis venu plusieurs fois avec mon père, et on n’a jamais croisé personne. Je ne sais même pas comment lui a réussi à débusquer cet endroit. On ne sera pas déranger, fais-moi confiance.
– Formidable, on va être trop bien ici.

A l’ombre d’un immense châtaigner, j’installe la nappe de pique-nique, y dépose les quelques victuailles que j’ai dans mon sac à dos et une bouteille de rosé d’anjou.
En relevant la tête, j’aperçois Sophie qui se déshabille, dos à moi. La beauté de sa croupe me galvanise. Elle n’a pas un cul parfait, ni rond, ni ferme, ni bombé. Ses fesses ne sont ni plates, ni trop grosses, pas de graisse, pas de cellulite ou de vergeture. Elle a juste deux belles pommes légèrement écartées l’une de l’autre, qui tombent un peu, mais je les adore car elles sont moelleuses à souhait.
En les regardant, une odieuse envie de sodomie s’empare de moi.
– Que fais-tu ma chérie?
– Je vais me baigner, tu me rejoins?
– Avec plaisir.
Je me dénude prestement, att**** la bouteille de rosé que je cale entre deux pierres dans le ruisseau pour la rafraîchir et je m’avance dans le ruisseau.
Ce n’est pas très profond et l’eau est assez froide. A chaque pas que je fais, je sens mes testicules se compresser et mon sexe qui réduit de volume. Les hommes savent de quoi je parle, dans ce moment-là notre fierté en prend un coup.
L’eau est au dessus de mes genoux et je sais déjà que je vais vivre un supplice à l’immersion de mes bourses.
Sophie nage vers moi en se moquant:
– Bah alors, le frileux, on rétrécit?
– Oui, tu vas devoir employer les grands moyens si tu veux un câlin.
– Tu me mets au défi?
Elle se met à genoux, ses deux gros flotteurs hors de l’eau. Elle empoigne mon manche et le dorlote avec véhémence en bisoutant mes couilles à moitié congelées. Ma queue reprend vie dans le creux de sa main. Cela me fait beaucoup de bien.
– Bah tu vois, ce n’était pas bien compliqué.
– Oui, mais je crois qu’elle veut que tu la réchauffes encore un peu, avec un air malicieux.
Cela l’amuse, elle me sourit, puis commence à me sucer. D’où je suis, j’admire ses lèvres coulisser le long de mon cylindre tendu. Je râle en pétrissant ses deux gros obus. Sophie fait du 95D, ils sont pleins en forme de poire. Ils tombent un peu, mais ils sont extras, surtout pour la branlette espagnole. D’ailleurs, nous en arrivons à ce stade. Quelle jubilation de se faire branler par les deux grosses mamelles d’une femme aussi belle, en pleine nature au milieu de nulle part. Jamais je n’aurais penser que cela puisse être possible, que cela puisse être aussi jouissif.
Je suis surexcité, j’ai trop envie de la prendre dans tous les sens.
Je l’aide à se mettre debout pour l’adosser sur un gros rocher qui sort de l’eau. Je m’accroupie, elle écarte les cuisses, de sa minette coule goutte à goutte l’eau de la rivière. J’approche mon visage et lape avec délectation sa petite moule bien fraîche. Ses gémissements se font entendre alors que ma langue la fouille de plus en plus vite.
Je la retourne et embrasse ses fesses que j’aime tant. Sophie se penche en avant, les bras tendus en appui sur la roche, fléchit sa jambe droite et pose son pied sur le gros caillou. Son arrière-train tendu vers moi, je l’honore d’une feuille de rose en massant ses fesses, dont je devine qu’elle apprécie grandement aux bruits de ses vociférations:
– Hummmm, hummm, tu m’excites trop, prends-moi.
Ni une, ni deux, je dirige ma verge à l’entrée de sa fente et d’un coup de bassin, je la pénètre entièrement. Une main sur la hanche, l’autre sur son épaule, je la besogne en rythme.
A l’écart du monde, nous vivons un moment de parfaite harmonie. Nous en profitons pour nous lâcher un peu plus qu’à l’accoutumé. Ma petite amie s’exclame par des « continues, c’est bon, encore » pendant que je débite des  » Oh oui, Oh putttaiinn ».
Et alors que nous faisons l’amour dans ce cours d’eau, c’est avec un grand bonheur que nous jouissons ensemble à quelques secondes d’intervalle.

A la suite de nos ébats aquatiques, nous nous restaurons pour reprendre des forces. Nus comme des vers, nous discutons en savourant les mets délicieux. Salades composées, un peu de charcuterie, fruits de saison. On se dévore du regard, on a encore envie l’un de l’autre. C’est souvent comme ça en début de relation, on a toujours plein de désir pour sa ou son partenaire. Surtout que Sophie commence à être pompette, on a vidé les trois quarts de la bouteille de rosé. Cette dernière vidée de son contenu, la femme plantureuse commence à me chauffer en mimant une fellation sur le goulot. Elle me nargue:
– Tu aimerais bien que je te fasse la même chose hein?
Je la taquine à mon tour.
– Non, merci ça ne m’intéresse pas.
– Tu n’as pas envie de moi?
– Non pas maintenant.
– Pas grave, je vais me satisfaire de cette bouteille, elle au moins, elle arrivera à me faire jouir.
– T’oserais quand-même pas faire ça.
– Bien sûr que si, regardes.
Sophie écarte ses cuisses et s’enfonce le goulot dans la schneck. Cela m’excite de la voir si perverse. Elle se baise de plus en plus vite et simule bruyamment pour me faire croire, que c’est meilleur avec ce récipient en verre, qu’avec moi. C’est peut-être le cas. Toujours est-il qu’elle a réussi son coup. Je bande atrocement. Face à moi, je la regarde s’éclater toute seule en m’astiquant le phallus.
– Ca t’excite on dirait?
– Han oui, mets-la dans ton cul.
Elle se retourne en se mettant à quatre pattes et se l’enfile dans le fion. Cet instant obscène me rend complètement dingue. N’y tenant plus, je me lève, chope la bouteille que je balance parterre et sans forcer j’introduis mon pieu dans son rectum. Au milieu des herbes hautes, je la sodomise copieusement. Cette fois, elle crie sa jouissance pour de bon. Je grogne aussi mon plaisir.
– Alors tu préfères quoi? Ma queue ou la bouteille?
– Hum ta queue mon chéri, ta queue, hum qu’est ce qu’elle est bonne.
Cela m’encourage à la faire jouir encore plus. Je l’encule de plus en plus vite, ses gros seins remuent dans tous les sens, les bruits de claquements de mon bas-ventre contre ses fesses résonnent dans le paysage.
La conclusion se fait sentir, j’accélère mes va-et-vient, Sophie beugle sa jouissance. Pour moi, c’est l’apothéose lorsque je gicle en gueulant dans le fond de son petit trou.

Repus de sexe et vidés de notre énergie, nous avons fait une sieste, en dormant nus l’un contre l’autre.
Nous nous sommes rhabillés et au moment de partir, Sophie m’a dit quelque chose qui allait m’intriguer pendant plusieurs jours.
– Merci pour cette journée, c’était vraiment génial, il faudra que je fasse découvrir cet endroit à Magalie…
Seraient-elles toutes les deux plus que de simples copines?

FIN

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire