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Inventaire des objets pour le BDSM

Inventaire des objets pour le BDSM



Entre le paddle, la canne anglaise, les martinets, fouet et autres objets de torture en tout genre, il est facile de s’y perdre.
Moi-même, j’ai vite pris conscience qu’il y en avait plein que je ne connaissais pas. Dans cet article j’ai envie de vous répertorier un panel d’objets utilisés en BDSM.
Les martinets
À ne pas confondre avec les fouets, ils sont constitués de deux parties. Le manche pour la prise en main est toujours rigide et parfois en forme de Gode. Il peut être en bois, en métal ou en caoutchouc. La seconde partie est constituée de lanières dont la largeur le nombre et la matière est déterminante dans l’effet cherché sur le corps de la soumise.
Les martinets à lanières de daim sont plutôt douces. La sensation est vraiment très agréable, elle permet une approche très soft, idéal pour les préliminaires lors d’un début de séance.
Les martinets à lanières de latex très souples permettent de frapper avec une certaine forme de délicatesse. La douleur reste modérée mais l’effet visuel est admirable, surtout sur les fesses.
Les martinets à lanières de cuir . Les plus classiques, d’une efficacité incontesté, utilisé dés l’enfance pour les corrections infantiles, ce sont les martinets incontournable du BDSM. Ils s’utilisent seuls où en duo pour des mains expertes.
Les flogers sont des martinets légers qui permettent de s’échauffer au même titre que les martinets daim et s’utilisent par deux, un dans chaque mains.
Les martinets appelés « Chat à neuf queues » sont des martinets avec 9 lanières généralement en corde ou en cuir dont les bout se terminent par des nœuds. Les sensations avec ce types de martinets sont extrêmes et peuvent laisser de vilaine marque si ils sont mal utilisés.
Pour conclure avec les martinets et autre ustensiles de ce genre, le ressenti sur la soumise dépendra toujours de la force d’application. Il n’y aura jamais deux ressentis identiques d’une personne à l’autre. Tout est question de perception et d’attitude. Jouer avec ces martinets requiert une dextérité et de l’expérience pour obtenir sur la soumise les meilleures sensations. Pour en avoir goûté par le biais de mains expertes et d’autres beaucoup moins, les sensations sont juste radicalement différente.
Les fouets
Les fouets sont les instruments les plus complexes à manipuler. Il faut un certain coup de main pour en faire l’usage.
Le fouet s’utilise de deux façons différentes, soit il s’enroule autour du corps de la soumise, soit il frappe la peau avec son extrémité seulement.
Il existe deux types de fouet.
Ceux avec un cracker qui comporte en son bout un nœud qui permet de claquer la peau et ceux sans. Cracker.
Attention c’est un outil d’expert car il peut faire des marques irréversibles.
La langue du dragon
C’est un fouet de forme très particulière, qui, comme son nom le présage, procure une sensation de brûlure instantanée. À très forte allure, on pourrait penser que la peau s’arrache à chacun des coups donné. Ce fut pour moi une sensation assez grandiose.

Les Paddles
Les paddles sont des objets d’impact. Contrairement aux fouets et aux martinets, les paddles sont le plus souvent rigides ou parfois légèrement souples.
Il se constitue d’un manche et d’une surface plus ou moins large pour l’impact. Elle peut aussi venir d’un objet détourné du quotidien du style, planche à découper, dos de la brosse à cheveux, tue-muche électrique, etc….
Parfois, elle peut être cloutée ou agrémentée de tout ce que votre imagination pourrait permettre.
Les paddles sont très efficaces pour faire rougir la peau sans y laisser de trace au long terme. La zone d’impact étant très large, la douleur est plutôt diffuse et beaucoup moins cinglante qu’un martinet ou un fouet..
Les cravaches
Utilisée principalement en équitation, les cravache sont dotées d’un manche rigide et d’une tige plus ou moins longue très souple. Leurs extrémités sont doté d’embout de cuir de formes différentes.
Il y a dans cette catégorie également, les chambrière qui sont de longues cravaches terminées par une longue cordelette avec un cracker à son extrémité, mi fouet, mi cravache.
Les cravaches procures des douleurs cinglantes. La zone d’impact étant assez limitée, la douleur est incisive. Lorsqu’elle fend l’air, la cravache fait un bruit très particulier, qui entre parfaitement dans le scénario des séances de dressage et jouent sur l’excitation et la psychologie de la soumise.
Personnellement, j’aime beaucoup cet outil quand il est manié de main de Maître. Mon mari et Christian sont des expert en la matière.
La ceinture
Objet terriblement érotique pour moi, la ceinture de cuir peut devenir un superbe objet de douleur. Alain l’utilise régulièrement pour mon bonheur.

Roulette de wartenberg
Tout droit tiré du domaine médical, cette roulette est un objet de douleur qui peut rentrer dans le cadre de jeux softs. Elle est facile à utiliser, sans avoir besoin d’une connaissance particulière.
Le BDSM s’est approprié l’objet, car il permet de stimuler des zones de façon plus ou moins douloureuse.
En effet, la roulette peut chatouiller si vous l’a faite passer avec délicatesse sur le corps, mais si vous appuyez un peu sur les parties les plus sensibles, la douleur peut devenir intense. Bien utilisé, aux bons endroits, elle procure beaucoup de plaisir à celle qui la reçoit.

Canne anglaise
Tout bonnement, c’est une canne, au manche arrondi. Le point d’impact étant très limité, la douleur infligée est très intense et risque de laisser des marques.

La badine
Dans la même veine que la canne anglaise, mais en beaucoup plus fine et souple,vous pouvez en trouver en jardinerie dans le rayon des tuteurs. La badine est un objet redoutable et très efficace.
Mais attention, la prise en main est affaire d’expert.. Elle peut provoquer des hématomes et fendre la peau. Perso, je n’aime pas au même titre que la canne Anglaise et nécessite une main très experte pour l’utiliser sur une soumise.
Les pinces
Qu’elles soient étudiées pour le BDSM ou achetés en grande surface pour étendre son linge, les pinces peuvent être redoutable. Elles peuvent se mettre partout où vous le souhaitez, à des endroits stratégiques, telle que la langue, le clitoris, les tétons. Selon la matière des pinces, et selon leur puissances de pincement, celles-ci peuvent avoir un effet très variable.
J’adore leurs effets sur mes tétons.
Les poids
En association aux pinces, les poids exercent une force sur la partie du corps rattachée. Ils sont très souvent utilisés sur les tétons et les grandes lèvres.

Les aiguilles
Initialement à usage médical, elles sont détournées dans le BDSM.. Cela va du simple perçage de la peau jusqu’au perçage de tétons, voire même de clitoris. A proscrire totalement à mon avis.
La cire
Les jeux de cire sont très répandus dans le BDSM. Tantôt esthétique, tantôt SM, j’apprécie ces jeux. Avec une bougie, il est possible d’apprécier la douleur tantôt légère, tantôt mordante. L’espace entre la bougie et la peau est déterminante pour ne pas brûler de façon irréversible la peau. Utilisée avec précaution, c’est une sensation merveilleuse.
Violet wand
C’est un objet, une fois de plus, détourné du domaine médical. Il est utilisé dans la médecine pour traiter un certain nombre de maladies psychiatrique. Le principe est simple, il s’agit d’une machine sur lequel on adapte des embout de verre conducteur par lequel passe des influx électriques. Lorsqu’il s’approche de la peau, il s’y connecte par de petits éclairs violets. Dans le cas des violet wand, l’électricité ne reste qu’en surface de la peau et ne représente que peu de danger, contrairement à l’électrostimulation.

L’électrostimulation
Elle doit s’utiliser avec beaucoup de précaution. L’électrostimulation est un jeu très dangereux. Seuls les experts en la matière peuvent le pratiquer. Exercé avec des patches, des pinces, et même d’autres objets tels que paddle et même godes, envoie des décharges électriques à travers le corps. Selon l’intensité et la zone concernée, il est possible d’aller de la simple chatouille à la brûlure électrique et peut procurer des douleurs hors du commun et extrêmes. A surtout pas utiliser.
Fil barbelé
Nous approchons des pratiques les plus douloureuses. Le fil barbelé est utilisé enroulé autour de la soumise, suffisamment fort pour que les pics s’enfoncent dans les chairs. Parfois même, cela transperce. C’est du grand n’importe quoi. J’ai déjà vu une femme suspendu dans du fil barbelé. C’est horrible.

Les objets détournés du quotidien
Brosse à cheveux, brosse à récurer, culières en bois, planche à découper, baguettes japonaises…etc… Une mention pour les baguettes Japonaises géniales pour pincer les tétons ou la langue. Bref seule votre imagination trouvera les limite.
Les Cordes de chanvre
Les cordes de coco sont très rugueuses et irritantes. Sur la peau, elle brûle très rapidement et lorsqu’elle passe sur toute sa longueur contre la peau, les sensations peuvent être assez intenses.

Scotch Américain
Utiliser sur toutes les partie du corps, retiré violemment il donne des sensations très particulières. Un achat impératif selon moi, car c’est toujours fort utile.

Orties
Passée tout contre la peau, soit en fouettant, soit en caressant. Cela réveil des sensations douloureuses intences. Cela pique et se transforme rapidement en démangeaison. L’effet est quasi immédiat et s’intensifie progressivement pour durer de 30 minutes à parfois beaucoup plus. Sur les muqueuses et le clitoris l’effet est terriblement douloureux. Je déteste ça.
Pompes à seins
Les seins aspirés comme on trait une vache laitiére. La douleur ne tarde jamais, selon la puissance de la pression exercée. Il en existe de toutes formes, toutes tailles et j’adore ça.
Les grains de riz
sous les mains, sous les pieds, mais surtout sous les genoux, le riz ou tout objets ou aliments s’y rapprochant est un excellent moyen pour punir votre soumise. J’ai déjà testé cela sur mes genoux pendant plusieurs dizaines de minutes, les grains s’enfoncent dans les chairs petit à petit pour un effet douloureux assez extrême. Un très bon moyen de me punir.
Petit rappel, la douleur dépend surtout de la façon dont le Maître l’administre et non de l’objet en soit.. Selon la force exercée, la surface d’impact et la zone concernée. Il existe des zones du corps beaucoup plus sensibles que d’autres.
Cette liste est bien évidemment non exhaustive, mais j’espère qu’elle vous permettra d’y voir plus clair dans la foultitude d’objets BDSM qu’il est possible d’utiliser lors d’une séance. J’espère aussi vous avoir permis de prendre conscience qu’avec un peu d’imagination, il n’est pas toujours nécessaire d’investir beaucoup d’argent pour se divertir en la matière .

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