Mon chéri joue toutes les semaines au poker avec ses copains, misant parfois tout un salaire mensuel, pour flamber devant ses potes. Parmi eux, il y a un black d’une trentaine d’années qui est plutôt mignon, Omar, un collègue de bureau de mon mari. Grand, musclé, toujours bien habillé, et surtout célibataire, j’avais remarqué qu’il me matait durant les parties. Je ne joue pas pour ma part, je ne fais que regarder.
Lors de ces soirées, je suis toujours habillé de façon provocante, avec un décolleté profond et une robe qui met en valeur mon cul. J’adore quand on me mate, surtout lorsque le gars me plaît. Et là, Omar me plaisait vraiment, je fantasmais rien qu’en le voyant, j’en mouillais même ma culotte lorsque je rêvais de lui la nuit, lui me prenant dans toutes les positions et dans toutes les pièces de la maison. J’imaginais sa grosse queue ramonait ma petite chatte pendant des heures, cette bite que j’essayais d’avaler jusqu’à en pleurer. J’ai même pensé à son membre veineux en train de m’enculer et me défoncer ma petite rondelle, et çà, au plus profond de moi même j’en avais vraiment envie, mais mon homme a malheureusement un sexe pas assez gros pour me faire jouir. Eh oui, je simule car il m’en faudrait plus pour me faire monter aux rideaux et en plus, il jouit trop rapidement. Pourquoi je suis encore avec lui, me direz-vous ? Car je l’aime tout simplement mais il ne me satisfait pas sexuellement.
Bon, je reviens à cette soirée. Mon mari a, comme la plupart du temps, perd ces parties mais là, il a misé tout le salaire du mois avant cette dernière partie. Et voilà qu’il n’a plus de sous pour faire la mise, et ses potes se foutaient de lui en disant : « Comment tu vas faire pour payer ? Tu vas devoir te prostituer si çà continue ! » et là, il dit à la grande surprise de tout le monde : « Je mise une nuit avec ma femme ! ». Incrédule, j’avais cru mal comprendre et les autres le regardaient comme des poupées aux yeux de faïence, qui lui demandaient « Tu rigoles, Marc ? » et lui répondait « Non, non ! Allez on joue ! ». J’avais honte mais en même temps je voulais qu’Omar gagne cette partie, je croisais les doigts et je commençais à mouiller comme jamais rien qu’en pensant à ce qu’il allait me faire subir.
La partie se termina rapidement, à mon grand bonheur, et Omar voulut avoir tout de suite sa récompense. Je feignais de ne pas vouloir aller avec lui, mimant une femme prude et qui doit malgré tout obéir à son mari. Mais je voulais aller avec lui, j’en étais ravie d’être avec lui. Mon mari me fit la bise et me dit d’être sage, et de bien faire ce qu’Omar veut. Mon chéri, je t’aime malgré ta petite queue ! Pendant le trajet, Omar me regardait et me donnait des ordres : « Enlève ta robe ! », « Caresse mon sexe à travers mon jean ! », « Pelote toi les seins ! », je me soumettais à ce qu’il me disait au bonheur de tous les deux, ma petite chatte ruisselait à travers ma culotte, et Omar l’avait remarqué et faisait tout pour que je prenne du plaisir. Il osait de temps en temps me touchait la cuisse gauche et écartait un peu ma jambe pour voir les traces de mouille sur son siège auto. Il m’engueulait, mais je savais qu’il pensait le contraire. « Tu aimes çà en fait ! Tu fais la mijaurée dans la vie mais j’ai remarqué ton petit jeu d’allumeuse, salope ! Surtout envers moi ! ». Il riait et je me regardais dans le miroir côté passager, et je me disais : « C’est vrai que je suis une putain ! ».
Soudain, alors que nous n’étions pas encore arrivé chez lui (je connaissais son adresse, car on avait déjà mangé chez lui), il arrêta sa bagnole. Il me dit de sortir, et là, il me demanda que j’enlève mes sous-vêtements, dans la rue. J’étais choquée d’entendre çà et surtout cet ordre : « Mais quelqu’un va me voir ! Et si la police arrivait ? », j’étais vraiment inquiète. Mais Omar disait : « Arrête de pleurnicher, il y a personne ici ! Allez dépêche toi de te déshabiller ! ». Même si j’étais apeurée, mes fantasmes s’en trouvaient réalisés et mes pensées secrètes étaient révélées au grand jour et il l’avait remarqué !!! « , et à ce moment là, il mit sa main dans mon entrejambe, et j’ai crié ! C’est la première fois que je criais de plaisir, alors qu’il avait juste toucher mon clito avec un doigt. Je haletais, alors qu’il prenait entre son pouce et son index mon petit clitoris, excité par ce jeu ; il commença à m’embrasser goulûment, en me palpant les seins. Que c’était bon ! Sa langue chaude pénétrait dans ma bouche alors qu’il me pinçait les tétons. Han ! Han ! Des décharges électriques secouaient mon corps en transe juste par ses caresses, ses pincements et cette pelle baveuse. Mon rêve est devenu réalité. Ma main a commencé à descendre vers son bassin, et je sentis une bosse si énorme que j’en fus surprise et j’arrêtais d’embrasser Omar. Il me dit : « Gourmande ! Attend un peu, tu auras ta petite gourmandise tout à l’heure chez moi ! ». J’en souris de plaisir et il me fit un clin d’œil : « Tu seras ravi de voir ce qui t’attend après. ». Il me retourna sur son capot, et plongea son majeur dans mon vagin : « Oh mon dieu ! Comme c’est bon ! » pensais-je. Je jouissais au rythme des va-et-vient du doigt à travers mon être, et il s’amusa à enfoncer ensuite deux doigts puis trois et enfin quatre. Il me traita de salope et de pute après avoir vu çà, « Je te fais vraiment de l’effet, çà se voit, petite pute ! ». Il me lécha la chatte tout en me doigtant et il alla même me léchait mon trou du cul. C’est ce qu’il voulait, le salaud, m’enculer ! Et çà je le voulais aussi.
Il mit fin à ce préliminaire du tonnerre comme lorsqu’il s’était arrêté en voiture auparavant, de façon soudaine. Comment un homme peut-il faire plaisir à une femme ? Notre sexe se pose très souvent la question et là j’ai eu la réponse : les préliminaires dans une bonne ambiance permet d’atteindre un niveau de plaisir ultime. Je ne pouvais m’empêcher de regarder au niveau de son membre, et je voyais la bosse aller de son bassin jusqu’à la mi-cuisse. Je me faisais des films sur ce que pouvait se cacher sous se pantalon, et ce que je voyais dans ce rêve me faisait ruisseler encore plus. Omar le voyait et je le sentais sourire ; il devait s’imaginer ce qu’il pouvait me faire par la suite, voyant que j’étais une vraie salope dans l’âme. Nous arrivâmes chez lui, et il me prit dans ses bras pour m’embrasser et me palper les fesses en même temps. Il sentait l’homme, le vrai, cette odeur de musc qui caractérise les vrais mâles. Pendant deux ou trois minutes, il me roulait une pelle en me caressant devant, derrière, me doigtant la chatte et même ma rondelle. Il voulait vraiment me pénétrer par derrière, c’était une idée fixe chez lui.
Il m’ordonna de me mettre sur les genoux, il dégrafa son jean et révéla à mon plus grand bonheur un sexe gigantesque, plus gros que dans les films X que je regarde sur Internet. Cette bite était ruisselante de sueur et d’un début de liquide spermique, il avait aimé ce qu’il avait vu avant. Sans attendre un de ses ordres, je léchais ses boules comme si je prenais un glace italienne, je faisais des roulais ma langue sur ses burnes et il émettait des grognements. « Comme çà tu aimes qu’on te suce les boules ? Et ta verge, elle en dit quoi ? ». Je me mis à avaler sa grosse queue, j’avais du mal à l’enfoncer jusqu’à ma glotte, je pleurais en le suçant et il me disait : « Regarde moi, salope ! Tu aimes les grosses queues, qui aurait pu dire çà ? », « Quand je pense que ton mari ne t’a pas baisée depuis 2 mois ! » – « Quoi, il raconte sa vie sexuelle à ses potes ? » pensais-je. Il prit ma tête entre ses deux mains géantes et me baisa la bouche rapidement, j’avais du mal à respirer, j’avais mal mais qu’est-ce que j’adorais çà ! Je ne pensais que j’étais aussi salope que çà. Il grognait de plus en plus fort, je croyais même qu’il allait jouir dans ma bouche et je ne voulais pas çà, je voulais qu’il me défonce les autres trous !!!
Il enleva sa bite, et me balança sur son lit. Je me mis en levrette pour qu’il me prenne directement par derrière mais il me dit « Je veux te voir jouir les yeux dans le yeux ! ». Il me retourna, et je me retrouvais sur le dos, il mit une capote et d’un coup il me pénétra. Comme lorsqu’il m’avait mis le doigt dans la chatte sur le capot, j’ai crié de plaisir. Il en rigola, et il se mit à littéralement me défoncer la chatte. Il m’embrassait pendant l’acte et je voyais son machin disparaître et réapparaître rapidement. Il me traitait « Sale putain, tu veux encore plus ! ». Je jouissais comme une chienne et je lui répondais « Oui, vas-y ! Défonce-moi ! ». Il continuait à me défoncer, souriant toujours. C’était pour lui véritablement jouissif dans tous les sens du terme. Il tenait mes jambes en l’air, se redressait et prenait une posture de harder en me triturant le clito et les lèvres alors qu’il continuait à me baiser. J’avais l’impression de tourner un film pour Marc Dorcel.
Il me mit en position de missionnaire, celle que je voulais et me pénétra de nouveau. Cela fait déjà plusieurs fois qu’il sort et rentre de mon intérieur mais la grosseur de son sexe m’électrise à chaque fois. Il me pris les cheveux et tira dessus, « Ça fait mal » l’engueulais-je. Il me foutait une baffe, je ne m’y attendais pas. « Tu la fermes ! C’est moi qui commandes ! » répondit-il. A part pour émettre mes jouissements et quelques « Oui », je ne dis plus rien par la suite. Voyant que je ne disais plus rien, il mit des claques sur mes fesses, j’en émettais des cris aigus, je kiffais ce genre de soumission. Ses yeux devenaient noires, comme s’il arrivait à ce qu’il voulait. Mes fesses étaient rouges et à mesure qu’il me ramonait ma chatte, les fessées me dilataient le trou du cul. Il mit un doigt et la décharge électrique habituelle arriva, il continua à augmenter le nombre de doigts : un début de double pénétration ! Encore un de mes fantasmes, je crois que le prochain rêve sera une triple pénétration. « Oh mon Dieu ! » répétait-il lorsqu’il regardait la facilité de dilatation de ma rondelle, et ce qui devait arriver arriva, il sortit son membre veineux de ma chatte pour perforer encore plus le trou que laissait mon anus.
« Ah ! Oui, vas-y, encule moi plus profondément ! » lui demandai-je. « Tu auras ce que tu veux, ne t’inquiètes pas ! », et pour çà il ne mentit pas. A chaque fois qu’il allait au plus loi dans le conduit, je jouissais, encore un orgasme, j’expirais, je meuglais même ^^ ! Il me foutait encore des fessées de plus en plus violentes, je lui étais soumise, mon corps ne m’appartenait plus. C’est à lui que ce corps sans défense appartenait, il pouvait en faire ce qu’il en voulait, il pouvait me culbuter pendant des heures. Je le regardais du coin de l’œil, il suait mais cette sueur mettait en valeur ses muscles, ses tablettes de chocolat, je me disais pourquoi il était célibataire, mais avec un physique de rêve comme çà, il pouvait se permettre d’être un casanova en puissance. Je voulais qu’il se vide en moi, comme lors des creampies, mais il voulait autre chose, je le voyais dans son regard.
Il accéléra pour de bon, c’était presque la fin. Il me prit les fesses entre ses mains, et me culbuta de plus en plus rapidement. Le lit craquait tellement que la vitesse était grande. Je voyais double, j’avais tellement eu d’orgasmes que mon esprit était dans le vague, mes sens étaient totalement annihilés, tout était flou. Il sortit, et me prit la tête avec sa main gauche. « Avale ! », et son gland entra dans ma bouche, il sperma directement dans l’entrée mais je ne pus avaler sa chaude semence. Ce n’était pas ce qu’il avait voulu, je l’ai vu à sa réaction. Mais il me caressa le menton et me dit : « Tu as été très gentille ! Tu mérites de savoir la vérité ! ». La vérité ? J’étais étonnée, ébahie. « Eh oui ! » dit-il en faisant un sourire machiavélique, « Ton homme me devait des sous depuis un bail. Je lui dis que s’il ne payait pas, soit je le tabassais, soit je me tapais sa femme. Et il a choisi la deuxième solution, le cocu ! ». Il riait, et moi, je me retrouvais comme un objet que l’on passe de main en main. « Mais ne t’inquiète pas ma chérie ! Tu auras toujours le plaisir de me voir, car ton mari a accepté que tu payes ses dettes en nature ! ».
Effectivement, c’est ce qui arrive encore. Et quand nous faisons l’amour avec Marc, je pense toujours à la sodomie que m’a fait mon dominateur. Malgré ce problème, mon mari continue à jouer. Et souvent c’est Omar qui gagne, à mon plus grand plaisir ! ^^
Histoire pour Sabrina4m
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