Tout seul pour le carnaval, ma compagne a du voyager dans un autre pays.
Je suis maussade et triste mais je m’anime pour sortir avec une bonne amie qui elle aussi est un peu déprimée. On va donc à un petit défilé prêt de la maison, nous deux. Évidemment on picole pas mal : il fait chaud, la bière coule à flot, et on a besoin de ça pour se relâcher.
Alors que le défilé entame ses derniers mètres un orage tropical s’abat sur nous… Sans abri proche, sans parapluie, on se réfugie tant bien que mal dans l’entrée d’un magasin. L’orage est tel que, peu à peu, même le trottoir est sous les eaux : il faut bouger de là.
Je lui propose de venir à la maison, mouillés pour mouillés, pour s’abriter et se sécher, et de manger quelque chose – il est près de 18h30 alors. Tant bien que mal nous parcourons le petit kilomètre pour rallier la maison.
Rapidement je lui indique la salle de bain, je retire mon t-shirt avant d’aller lui chercher une serviette propre.
Elle m’appelle à la rescousse… Entre alcool et t-shirt totalement trempé, elle n’arrive pas à se dégager de son haut de sirène. Malgré nos rires, je lui viens en aide, et elle se sort de son carcan. Mais soudainement elle se retourne avec une tête triste…
« Tu pourrais m’aimer, toi, si t’étais libre ? ». Joana, est une femme svelte, avec un superbe regard et une bouche qui ne demande qu’à être embrassée. Elle me plaît depuis qu’elle est arrivée un jour au bras d’un pote à nous. Quelques semaines de ça, son mec l’a largué. Même si elle essayait de le cacher, une de ces photos avec un regard abattu avait parlé pour elle, et je m’en étais préoccupé.
« Je suis marié Joana. Tu le sais bien… » Balbutiais-je comme réponse.
« Je suis pas aveugle. Je sais qu’elle ne te rend pas complétement heureux. Pour se préoccuper des jeunes femmes tristes c’est que toi même tu es triste. » Touché.
« Oui Joana, tu me plais, mais…. »
Elle esquisse un sourire, et sa main agrippe mes cheveux, un truc qui m’a toujours excité… Le sait-elle ?
Je pose ma main dans sa nuque. « C’est le Carnaval… Tout ce qui se passe pendant le carnaval… » me dit-elle alors qu’on s’apprête à s’embrasser.
Aussitôt nos corps s’électrisent. Comme toucher par la foudre. En lui tenant la main je l’emmène dans la chambre d’amis, et une fois assis, lui retire son soutien-gorge. J’att**** sa poitrine et embrasse son sein droit. Elle s’assoit sur moi, et n’interrompt.
« Tu es différent. Différent des autres. Tu me respectes. »
« Je te respecte parce que tu me plais. Si ça devait être notre seule nuit, je voudrais que tu en gardes un bon souvenir. Je veux t’aimer cette nuit. » Émue, elle sourit.
« Mais avant je pense qu’on a besoin tous les deux d’une bonne douche et de vêtements propres, ma petite sirène. »
« Tu prendrais ta douche avec moi, comme un vrai couple ? » Me dit-elle les yeux remplis de malice.
En vrai, ça n’arrive plus dans mon couple. Mais j’acquiesce, et je l’aide à retirer son collant bien mouillé lui aussi.
Peu après on se retrouve dans la salle de bain quand j’ôte mon caleçon. « C’est une bite de français ça… Oh mon dieu. Si j’avais su plus tôt… » Dit-elle en esquissant un nouveau sourire malicieux.
L’eau réchauffe rapidement nos corps et nos envies, je le vois à son regard… « J’ai envie de voir ce sexe bien dur… » Dit-elle avant de commencer à me masturber… « Alors c’est comme ça ! Tu vas voir… » Dis-je avant de moi aussi commencer une caresse intime. « Oh… Hummmm… ».
Joana me fait jouir sous la douche, et elle me fait éjaculer sur sa chatte…
« J’ai l’impression que quelqu’un va devoir être savonnée » dis-je en prenant la savonnette… Je m’applique alors à autant frotter son pubis que son clitoris. Rapidement, elle faiblit, ses jambes sont molles, et je m’arrête.
Elle se colle contre moi. Je la prends dans mes bras. « Tu me trouves belle ? ».
« Belle, c’est peu dire, Joana. Tu es le genre de femmes dont j’ai toujours rêvé, mais au final, en dehors de toi, elles ne s’intéressent jamais à moi. Comme une étoile dans la nuit, on peut la voir, mais pas la toucher… Aujourd’hui, je suis gâté. »
« Quelle poésie, quel homme surprenant. Mais aujourd’hui, je te le jure, je suis rien qu’à toi. Le jour est venu de toucher ton rêve. » Dit-elle en reculant d’un pas, et montrant son corps sur lequel coulait encore l’eau de la douche. Aussitôt, mon sexe se redressa, comme encouragé par ses mots.
On sort de la douche, on se sèche mutuellement, et on regagne la chambre d’amis, elle se glisse sous les droits, et je la rejoins. On s’embrasse, et alors que mon sexe a durci, je monte sur elle et la pénètre. Elle gémit. Nos yeux se croisent… et je vois qu’une larme coule de son œil. « Tu pleures ? » dis-je en ralentissant…
« Ça fait des mois que je te veux en secret… Oui, toi aussi t’étais comme un rêve… Laisse-moi venir sur toi. »
On change de position… Elle donne tout, mais, je résiste… et c’est elle qui jouit la première. Elle s’effondre sur moi.
Je la laisse récupérer. Puis, je la mets à 4 pattes, et la repénètre. Cette fois, elle ne gémit plus, mais elle crie, fort. Cette fois, elle se crispe sur mon sexe et veut me faire gicler. Pourtant, c’est à nouveau elle qui jouit. « Tu ne jouis donc jamais ? Tu vas voir… » Elle se retourne pour désormais mettre sa bouche à portée de ma bite.
Elle va me sucer, comme on ne m’avait sucé auparavant, ma bite est un esquimau dans sa bouche, une sucette avec laquelle elle joue. Rapidement elle me fait gicler.
Je m’allonge sur le lit à ses côtés. Il est presque 20h.
Je lui demande : « Tu dors ici ce soir ? On pourrait commander un truc à manger… »
« Un Japonais, j’aime le gingembre… »
Fin de la partie 1
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