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Aurélie 12

Aurélie 12



Elle s’empara d’une caméra, qu’elle mit sur pied et me demanda de me mettre à genoux devant l’objectif. Là, elle cadra les images sur mes seins percés, en gros plans, comme en plan large. Puis, elle me fit changer de position. Je dus alors offrir ma chatte harnachée à l’objectif. Lorsqu’elle fut contente de la prise de vue, elle me fit changer de modèle. Je dus m’exhiber devant elle et la caméra, avec tous mes harnachements : anneaux, tiges et autres engins achetés, aux seins et à la chatte, en tout, six vidéos. Lorsque cette partie fut terminée, elle dit :

Maintenant, Cybèle, tu vas t’agenouiller et lire le texte qui défilera sur l’écran. Tu le vois bien ?

Oui maîtresse !

Alors, vas-y ! Lis-le d’abord, pour t’imprégner de sa teneur. Lorsque tu seras prête, dis-le-moi. Je commencerai à filmer. Ensuite, mets-y tout ton cœur !

Je lus lentement le texte. Par celui-ci, j’offrais mon corps à toute personne le désirant, moyennant finance. Je devenais une prostituée. Pas n’importe laquelle, une pute masochiste, qui plus est. En cours de lecture, je m’aperçus que je mouillais. Je devenais vraiment une salope finie. Je finis de lire le texte et déclarai :

Je suis prête, maîtresse !

Alors, allons-y ! Trois, deux, un …

Je m’appelle Cybèle, j’ai vingt-cinq ans, et je suis saine de corps et d’esprit. Je suis soumise et masochiste, ce qui explique les nombreux harnachements, sur les photos jointes à l’annonce. Pour l’amour de ma maîtresse, j’accepte qu’elle me loue, à homme, groupes d’hommes, femme, groupe de femmes, couples, afin de leur être soumise, en toute connaissance de cause. J’accepte toute pénétration, même triple. Recherche liens, immobilisation, fessée, fouet. Suis disponible en permanence. Peut être louée, à l’heure, demi-journée, journée, week-end, voire plus, si entente avec ma maîtresse. Si vous êtes intéressé, vous pouvez contacter ma maîtresse, au 07 65 23 32. A bientôt, j’espère !

Je venais de sceller mon sort. A compter de ce moment, dès que ma maîtresse appuierait sur la touche envoi, je serais une pute, soumise et masochiste, destinée à rencontrer des inconnus et à en passer par toutes leurs turpitudes. Rien qu’à cette pensée, j’en étais trempée.

Je relevai les yeux et regardai Solène, agenouillée près de moi, mains sur la tête. Serait-elle comme moi ? Véronique parviendrait-elle à en faire une prostituée comme moi ? J’en doutais un peu. Comme je doutais qu’elle reste après ce weekend. Sa première fouettée et sa première saillie semblaient l’avoir quelque peu éprouvée. Alors, le reste : l’épilation intégrale, la coupe de cheveux, la saillie par des hommes, la pose d’anneaux, la prostitution, tout cela me semblait trop pour elle. Pourtant, la suite allait me prouver le contraire et je fus heureuse d’avoir une compagne de débauche.

Pour l’instant, elle était là, près de moi, agenouillée. Ma maîtresse lui fit signe de venir à elle. Ayant compris la situation, elle avança, à quatre pattes. Je voyais son cul, rougi par la fessée, onduler sous mes yeux. Arrivée aux pieds de Véronique, elle reprit la position. Avait-elle une idée de ce que voulait notre maîtresse ? Je ne le crois pas !

Véronique retroussa doucement sa jupe, sous l’œil étonné de Solène. Lentement, elle exposa sa culotte, mouillée entre ses cuisses. Solène semblait fascinée par le pubis recouvert d’un fin tissu translucide. Ensuite, Véronique écarta largement les cuisses et fit signe à Iluna de s’approcher, ce qu’elle fit doucement, jusqu’à ce que son visage touche le sous-vêtement. Je savais ce que devait ressentir, et sentir ma compagne. L’odeur de notre maîtresse devait envahir ses narines. Cela me rendait jalouse, de prime abord, mais aussi heureuse de voir Iluna commencer son éducation de soumise.

Lentement, notre maîtresse fit glisser son slip sur le côté, dévoilant sa chatte imberbe. Puis, elle ordonna :

Lèche-moi, salope ! Fais-moi jouir !

Sans hésiter, Solène se pencha et sortit la langue, commençant à lécher sa maîtresse. Jamais je n’avais pensé qu’elle se laisserait aller aussi facilement. Comme moi, elle avait des talents de lesbienne refoulée. Bien vite, je vis notre maîtresse se tendre, puis quitter sa culotte. Il ne fallut guère que cinq minutes pour amener sa maîtresse à la jouissance.

Lorsqu’elle eut fait jouir Véronique, Iluna, comme j’allais devoir l’appeler désormais, se redressa, reprenant sa position initiale. Notre maîtresse la fixa un instant, puis dit, d’une voix altérée par le plaisir :

Tu m’as bien fait jouir. Je suis sûre que tu seras une aussi bonne salope que Cybèle !

Merci maîtresse, répondit-elle, en rougissant.

Maintenant, rejoint Cybèle !

Toujours à quatre pattes, elle vint se placer à côté de moi. Notre maîtresse nous fixa un instant, puis déclara :

Bien ! Maintenant, j’ai deux esclaves à ma disposition ! Enfin, au moins jusqu’à dimanche soir, pour l’une d’entre elles. Sachez que je ne tolérerai aucun écart. Toute faute sera punie. Est-ce clair ?

Oui maîtresse !

Maintenant, je vais appeler quelqu’un. Il va falloir aménager la pièce. Vous y serez à deux ! attendez-moi là !

Et elle sortit. Nous entendîmes la porte se fermer et ce fut le silence. Solène tourna son regard vers moi et me demanda :

Où notre maîtresse est-elle partie ?

Chez le concierge. C’est lui qui a aménagé mon local. Mais …

Mais ?

Il ne le fait pas gratuitement !

Qu’est-ce que tu veux dire ?

A chaque fois qu’il a fait quelque chose dans mon local, il s’est fait sucer ou m’a baisée. Es-tu prête à cela ?

Je … Je ne sais pas !

Tu n’as jamais été prise ? Par un homme, je veux dire !

Si ! Mais si peu souvent !

Là, tu n’auras pas le choix ! Ce sera à lui de choisir. Et tu devras obéir ! A moins qu’il ne me choisisse, moi !

Le bruit de la clé dans la serrure nous fit faire silence. Notre maîtresse entra, suivie du pas lourd du concierge. Il s’arrêta un instant derrière nous, évaluant nos appâts, enfin, plus particulièrement ceux de Solène, car il connaissait les miens, puis ils se rendirent dans notre local. Nous les entendîmes discuter quelques instants, puis l’homme repartit, ce qui ne manqua pas de m’étonner. A chaque fois qu’il était venu, j’étais passée à la casserole. Et là, rien !

Notre maîtresse revint vers nous, après avoir raccompagné l’homme. Elle s’assit devant nous et demanda :

Iluna, acceptes-tu de te soumettre à mes désirs, durant tout ce weekend ?

Oui maîtresse !

Es-tu vierge ?

Non, maîtresse ! Peu expérimentée !

Comment cela ?

Je … Je n’ai connu qu’un homme !

Ah ! Qu’as-tu fait, avec ?

Il m’a juste dépucelée !

C’est tout ? Jamais sucer ?

Non, maîtresse !

Pas de sodomie ?

Non maîtresse !

Tu es consciente, que je peux t’imposer ces épreuves ?

Oui maîtresse !

Et alors ?

J’obéirai, maîtresse.

Tu en es sûre ?

Oui maîtresse !

Bien ! Nous allons voir ça ! suis-moi, Cybèle !

Elle me conduisit à mon local et m’y entrava. Avant de quitter la pièce, elle me dit :

Je vais m’occuper d’Iluna. A tout à l’heure. Lorsque nous rentrerons, je pense qu’elle saura si elle reste ou part.

Sur ses paroles, elle me quitta et j’entendis bientôt la porte d’entrée se fermer.

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