Ce soir, pendant l’absence de ma femme Nadia, j’ai très envie de me faire jouir, je n’en peux plus ! Je ne pense qu’à cela. Je m’allonge sur notre lit et j’enfile un de ses petits shorts en dentelle qui lui vont à ravir. Mon sexe déforme le short, et je me caresse doucement au travers du tissu. La vision me trouble beaucoup. Avec l’autre main, je pince mes tétons comme ma femme me le fait de plus en plus souvent, et pas seulement pendant les câlins, à tel point qu’ils sont douloureux et sensibles, mais très érogènes. J’imagine le cul de ma femme, envie de m’engouffrer dedans. Sans même réaliser ce que je fais, mes doigts quittent mes tétons pour aller presser mes couilles et les écraser violemment, c’est trop bon ! Je n’arrive plus à me retenir et je jouis dans la dentelle ! C’est délicieux, je m’assoupis ainsi, mon zizi recouvert de mon sperme qui commence à sécher sur le shorty.
Une gigantesque gifle me réveille. Nadia est debout à côté du lit et me regarde avec une mine dégoutée. Je m’effondre en imaginant la scène qu’elle découvre : son mari s’étant masturbé dans son slip en son absence, alors qu’elle déteste l’idée que je jouisse !
— Tu peux m’expliquer ? Sa voix est glaciale.
— Mon Amour, je suis désolé, je ne sais pas ce qui m’a pris.
— Moi je sais, tu es un gros porc comme les autres, voilà tout. Dans mon slip en plus, qu’est-ce que c’est répugnant !
— Je… je suis désolé mon Amour, pardonne-moi, je suis trop désolé.
— Et moi donc comme je suis désolée ! Ce n’est pas hier que tu m’as promis que tu ne te masturbais jamais ?
— C’est la première fois je t’assure.
— Prends-moi pour une conne !
— Je ferais tout ce que tu veux, s’il te plaît, ne m’en veux pas. (Je ne sais quoi faire, j’ai l’air tellement ridicule, mais je n’ose pas bouger).
— Je pensais que tu faisais tout ce que je voulais, mais tu parles ! Tu vas voir, tu ne vas plus me prendre pour une débile.
— Mais je ne te prends pas pour une débile !
— Enlève le slip et va te nettoyer ! Pas le slip, ton corps est tout dégueulasse !
— D’accord, j’arrive tout de suite
— Et le slip, tu ne le mets pas dans le linge sale, je ne vais plus le remettre. Tiens d’ailleurs, puisque tu l’aimes tant, tu vas le mettre pour aller travailler toute la semaine, sans le nettoyer, pour bien te souvenir de tes bêtises !
— Mais, je… d’accord.
Je n’ai pas envie de la contrarier. Et pourquoi cet ordre m’excite-t-il alors que je me sens mal en même temps ? J’ai souvent rêvassé de porter des sous-vêtements de ma femme au travail, et là, c’est elle qui m’y oblige ! Cependant, je ne pensais pas à une culotte ainsi souillée.
En fait, ma femme est revenue bien plus tôt que je ne pensais, je n’ai pas eu de chance. Je ne sais pas trop comment la calmer, je pense que le mieux est de faire ce qu’elle demande, et d’espérer que cela s’apaise tout seul. Après m’être nettoyé dans ma salle de bain, je reviens dans notre chambre, elle est assise sur le lit.
— Je suis furieuse et déçue contre toi. J’ai pris plusieurs décisions et de toute façon, tu vas faire ce que je veux. Nous sommes bien d’accord ?
— Oui mon Amour. Tout ce que tu veux.
— Très bien, reste dans cet état, tu es pathétique avec ton besoin de sexe. Ma première décision, c’est que je vais te punir. Maman dit souvent que les hommes restent toute leur vie des petits garçons, et je découvre qu’elle a raison.
— Tu vas me punir comment ?
— Eh bien, as-tu une idée ?
— Non pas du tout. Je sais que je t’ai déçue. Mais je te promets que je ne recommencerai pas sans ton autorisation.
— Vraiment ? Comment puis-je te croire puisque tu m’as promis cela hier ? C’est important dans le couple de se faire confiance. Va me chercher au sous-sol les cravaches qui sont avec mes affaires d’équitation.
Son ton est très déterminé, elle ne badine pas, je le sens bien. Je me souviens aussi qu’elle m’a parlé de plusieurs décisions et Nadia est quelqu’un de très méthodique, je ne doute pas qu’il y ait d’autres décisions. Sans réfléchir, je descends à la cave, nu, et je trouve les cravaches dont elle me parle.
— Penche-toi sur le bureau, je veux voir tes fesses bien sorties. Si tu bouges, je recommence, tu as compris ?
J’obéis, assez réticent, mais si cela peut effacer ma honte. Nadia me prévient qu’elle va me donner 10 coups de cravache pour mon erreur. Je devrais pouvoir supporter. Le premier coup est doux, je ne sursaute même pas. La punition ne sera pas trop dure. Elle n’est pas trop habile, et plusieurs coups glissent sur mes fesses. Au dixième, je me redresse.
— Tu fais quoi ?
— Tu m’as dit 10 coups de cravache.
— Ils n’ont pas compté, je n’ai pas l’habitude. Je voulais te les faire plus fort, mais comme tu t’es permis de te redresser, ce sera bien plus fort. Et n’oublie pas, si tu te redresses, je recommence à 0 !
Résigné je me remets en position, un peu tendu quand même. Le premier coup siffle avant de s’abattre sur mes deux fesses, je hurle et je sursaute. Sans me contrôler, je mets mes mains aux fesses pour calmer la brûlure, ma femme me laisse faire. De moi-même, je me remets en position.
— Ce coup-là ne compte pas puisque tu as bougé. Je recommence à 0.
Le coup n’est pas moins fort, mais je bloque ma respiration tandis que la brûlure se propage dans mes fesses, c’est très difficile. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits, un deuxième puis un troisième coup s’abattent. Je ne me contrôle plus, je tombe aux pieds de Nadia et je la supplie de me pardonner et de me faire moins mal, c’est trop difficile. Une fois encore, elle me laisse pleurer, ne dit rien et attend que je reprenne ma position. J’espère de la pitié de sa part.
— On recommence à zéro !
Je ne tiens plus le compte ni des séries, ni du nombre de coups. J’arrive à un moment à passer par-dessus la douleur, mais je n’ai pas le choix…et en calmant ma respiration, je tiens les 10 coups, malgré le fait qu’elle tape encore plus fort les derniers. Mes fesses sont en feu. Au dernier coup, je ne bouge pas, j’ai compris la leçon. Je jette un regard en arrière et sidéré, je vois ma femme allongée sur le lit en train de se caresser comme une démente. Je n’avais pas fait attention mais les derniers coups assénés l’étaient avec sa main gauche enfoncée entre ses lèvres. Je suis très excité de la voir ainsi et malgré la douleur et l’humiliation, mon sexe a une formidable érection.
— Viens là mon petit branleur, viens lécher ta femme ! Mets un doigt dans mon sexe comme tu sais que j’aime cela ! Oh oui, n’arrête pas, encore, encore !!!
Dans un hurlement strident, elle jouit follement et je reçois un jet chaud sur ma main, je crois que c’est de l’urine, mais j’apprendrai plus tard qu’il n’en est rien. Son orgasme n’en finit pas, je guette sa réaction, ce qu’elle attend de moi.
— Lève-toi, tourne toi, montre-moi tes fesses ! Tu dois avoir sacrément mal mon petit branleur, je pense que tu te souviendras de ta bêtise, tu ne crois pas ?
— Oui Mon Amour, je suis vraiment désolé, est-ce que tu me pardonnes ?
— Presque, je t’ai dit qu’il y avait d’autres décisions, tu verras, mais tu as été courageux et tu t’es bien abandonné, et surtout tu m’as fait jouir comme un roi. Tu es vraiment très doué !
— Tu sais j’ai eu très, très mal.
— Mumm, tu m’excites en disant cela, j’ai encore envie de te battre un peu.
— Pitié non !!!
— Tu as tout le temps envie de jouir, c’est terrible ! Tu sais que je n’aime pas et que je trouve cela sale ?
— Tu es vraiment dure avec moi, tu sais.
— C’est ton choix mon petit mari, je t’ai dit qu’il y aurait plein de contraintes à te marier avec moi. Ce n’est pas vrai ? Je ne t’ai pas dit qu’il y aurait plein de choses que je déciderai ?
— Oui c’est vrai, mais je ne savais pas.
— Tu veux dire que tu regrettes ?
— Non, je suis très heureux d’être ton mari. Cela pourrait être tellement parfait si nous faisions l’amour.
— Mais nous faisons l’amour ! Pas de ta façon et comme tu veux, mais nous faisons l’amour plus que n’importe quel couple.
— Tu sais ce que je veux dire
— Oui, tu parles de ton plaisir égoïste que je n’aime pas. C’est un petit compromis, tu ne trouves pas ? Et moi, je te veux ainsi toujours en attente, et que tu fasses tout ce que je veux, et surtout ne pas te branler vicieusement dans mes culottes. Tu es un gros dégueulasse et un bon à rien !
Elle a récupéré de son orgasme et je la sais à nouveau inaccessible. Je comprends que je n’arrive pas à la convaincre, et que je me suis fait de toute façon une raison. Je ne sais pas comment je vais faire, si même ces plaisirs volés me sont interdits. Mon sexe est si dur à la voir si belle et magnifique ainsi. C’est aussi paradoxal comme elle prend plaisir à m’humilier de ne pas la satisfaire, cela la fait vraiment jouir. Et maintenant, ces marques sur mes fesses qui me brulent. Elle me fait tourner et retourner sur moi-même pour admirer son œuvre et se moquer de moi. J’apprends qu’elle a décidé de me battre ainsi quand je ne serais pas assez serviable. Mais je le suis toujours, naturellement, car j’aime lui faire plaisir !
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