Il m’envoie un SMS : il est dans la rue et ne trouve pas le numéro. Je lui décris le portail. Le temps de descendre pour ouvrir, il est déjà là. Hum, plutôt mignon, ce jeune Black. Ce plan Q commence bien.
Nous traversons le jardin pour rentrer dans la maison. Il n’a pas l’habitude de ce genre de rendez-vous. Moi non plus. Il préfère la chambre au salon pour notre baise. Nous allons rapidement dans la chambre où il se déshabille. Je garde mes bas, ma culotte et mon soutien gorge. J’enlève tout le reste.
Il s’assoit sur l’angle du lit, jambes écartées. Il n’a pas menti sur la taille de sa queue. Bien qu’il ne soit pas en érection complète, je sens qu’elle fera bien 19 x 5 cm une fois bien raide. Je m’agenouille et commence à le sucer. Elle finit de durcir dans ma bouche. Je n’essaie même pas une gorge profonde : je n’y arriverai pas. Je lui suce le gland en va et vient. Ma langue tourne autour de la base de son gland. Je regarde la bête : le gland est bien formé et proportionné, pas aplati ni très gros. Je distingue un beau méat, bien ouvert. Un régal. Je lui avale les boules. Je sens des poils courts, récemment raséss mais drus. Ca m’excite d’autant plus. Je lèche la hampe avant d’enfourner son gland. Si je fais des mouvements de va et vient avec ma bouche, je prends bien soin de ne pas le branler : ma main ne fait que soutenir sa queue qui n’a pas besoin de ça pour être bien raide. Je sens les petits mouvements incontrôlables de sa queue quand je le suce. Plutôt un signe d’excitation quand la queue réagit toute seule sous l’effet de la pipe. Après 5 à 10 minutes, il me propose de me prendre.
Ma culotte tombe à mes pieds et il me fait mettre dans la position habituelle des sissys : à quatre pattes sur le lit. Je retire le rosebud de ma chatte pendant qu’il enfile une capote. Je sens son gland juste au dessus de ma chatte : il appuie un peu et le gland glisse à hauteur de ma chatte et rentre dedans facilement. Je craignais que cela ne soit plus difficile, mais ma chatte a été distendue par 2 heures de rosebud ! Il enfonce délicatement sa queue en moi jusqu’à la garde. Je pousse de petits cris et des soupirs. Que c’est bon de se sentir ainsi ouverte à la queue d’un homme. Il fait quelques mouvements de va-et-viens puis se retire. Je sens de nouveau son gland au dessus de ma chatte. De nouveau, il glisse et force ma chatte légèrement au dessus. Comme la première fois, il s’enfonce en moi en m’arrachant des râles de plaisir. Puis il donne de grands coups de queue à plusieurs reprises. Je ressens à la fois un plaisir et une douleur car sa queue s’enfonce de toute sa longueur en moi, brutalement. Après quelques minutes, il se retire. A-t-il joui ? Non il fait le tour du lit et prend le rosebud que j’ai posé sur la table de chevet. Il se replace derrière moi et m’enfonce le rosebud dans la chatte. Il aime forcer ma chatte. Il retire le rosebud d’un coup, ce qui me fait geindre de plaisir. Puis il renfonce le rosebud et le retire plus ou moins vite. Ah quel pied ! Je sens que je mouille sous l’effet de ses pénétrations répétitives. Il me pénètre de nouveau, mais cette fois, je comprends que c’est sa queue. Il effectue des mouvements plus ou moins brusques et rapides, m’arrachant régulièrement des gémissements de plaisir.
Il me demande si j’avale. Je lui dis que non. Il se remet en moi et joui au fond de ma chatte. Il se retire et demande où se laver. Je le guide vers la salle de bain et retourne m’étendre sur le lit. Cela faisait longtemps que je n’avais pas pris un tel pied, même si je n’ai pas déchargé. Je suis en pâmoison.
Une fois que nous sommes rhabillés, je le raccompagne jusqu’au portail de la maison. Nous n’avons pratiquement échanger aucun mot pendant ce rapide moment de plaisir, mais il sait qu’il peut revenir quand il veut.
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