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Moi Marylin 2 le cambrioleur

Moi Marylin 2 le cambrioleur



J’ai commencé je dirai, presque par hasard à me masturber. Je devais avoir quinze ou seize ans et n’ayant pas grand-chose à lire j’avais été piocher dans la bibliothèque de mes parents et j’avais découvert dans le plus haut des rayonnages, (papa lisait beaucoup et de tout) un livre dont le titre excita ma curiosité. Il se nommait Histoire d’O.
Retournée dans ma chambre je me mis à le lire et compris très vite qu’il n’était pas vraiment issu de la bibliothèque rose. C’était trop tard, j’en avais trop lu pour ne pas continuer et je l’avoue un trouble me pris dès les premières scènes. Ce livre écrit en 1954, avait vingt ou trente ans d’avances surement et à ma connaissance c’est le premier livre vraiment pornographique qui sera diffusé à grand tirage et dont on fera plusieurs films et BD, donnant à ce genre des lettres de noblesses.
Dès le début j’ai été prise dans l’ambiance si je puis dire. O et René son amant se promènent dans le parc Montsouris, comme le font tant d’amoureux, puis il la conduit en voiture dans un manoir à Roissy, ou elle est déshabillée attachée puis offerte à tous les désirs de nombreux hommes masqués qui vont la pénétrer par tous ses orifices et lui faire subir toutes les perversions.
Sans m’en rendre vraiment compte (oui je le jure presque) ma main a glissé sous les draps et s’est posée sur ma chatte qui à l’époque ne recevait pas de soins particuliers et laisser s’étaler mes poils tout aussi sauvages que ma chevelure.
Je commençais par la masser lentement, appréciant le moelleux de ce mont de Venus (et moi c’est un vrai mon bien bombé), frottant la fente entre les grandes lèvres et découvrant tout en haut que mon clitoris comme un petit sexe de mal était érectile et très sensible. Je commençais à ressentir des papillons dans tout le bas ventre et j’abandonnais le livre pour ne m’occuper que de ma chatte. Mes doigts allaient et venaient à l’intérieur ou roulaient mon clito qui sortait de 3 ou 4 bons millimètres et je ressentais comme de petites décharges électriques à chaque fois que je le touchais. N’ayant jamais pratiqué je ne pus pas me retenir et mes doigts étant devenus frénétiques, j’eu mon premier orgasme et le corps arqué tendu vers le ciel je jouis déversant ma cyprine sur ma main et entre mes cuisses tout en poussant un feulement sauvage.
Epuisée je retombais sur le lit, heureusement toujours couverte par le drap et la couverture car ma mère entendant le cri que j’avais poussé entra dans ma chambre, me trouvant pantelante la respiration sifflante et saccadée. Inquiète, elle me demanda ce qui m’arrivait et ayant repris quelques peu mon souffle, je lui désignais mon verre d’eau qui est toujours à portée de main sur mon chevet et lui dit,
– J’ai juste avalé de travers, maman, ne t’inquiètes pas c’est passé.
Ma mère eut un drôle de regard, comme en ont les mamans à qui on ne dit pas mais qui savent.
Me souhaitant bonne nuit, elle s’éloigna et avant de passer la porte me dit,
– Essaye de ne pas t’étouffer à nouveau, il faut faire attention et faire doucement.
Je n’ai jamais su s’il y avait un double sens dans ses mots, je pense que oui, d’autant qu’elle eut ensuite des regards différents à mon égard, qui avaient l’air de dire, « ma petite puce a bien grandit ».
Oui j’ai grandi, mais seule sans jamais avoir de flirt ou de petit ami et par la suite, l’intermède avec Ferdinand, sera ma seule expérience du sexe jusqu’à mes 41 ans.
Mes jeux ont cependant évolué, j’ai lu de plus en plus de livres sur le sexe, qui m’ont fait découvrir qu’il revêt mille formes différentes. J’ai appris, toujours dans mes lectures qu’il existe des amours saphiques (vous êtes en train de vous dire, « mais quelle dinde ! et vous avez raison). Je ne m’intéressais en fait au monde à l’amour et au sexe que bien à l’abri dans ma chambre et jamais je n’aurais imaginé avant de le lire que deux femmes puissent se brouter le minou.
Un soir, je tenais d’une main un livre dans lequel une femme du monde se déguisait en pute pour la nuit aller se faire baiser sauvagement sur les quais d’un port en Bretagne, dans l’autre main j’avais une carotte de belle taille que j’avais soigneusement épluchée et lavée, puis enduite de gel et je la frottais sur ma vulve lentement, faisant doucement monter le plaisir dans ma chatte. Parfois le bout de la carotte glissait plus bas, à la rencontre de ma rosette. Il faut dire que non seulement j’ai lu beaucoup, mais n’ayant pas de mâle sous la main, j’ai essayé divers objets, godes et autres légumes dans mes orifices au gré de mes désirs. Ce soir donc c’était carotte et elle était de très belle taille, longue, large de trois bons centimètres et je m’étais amusée avec mon couteau à lui façonner un gland. Tout en la frottant sur mon clitoris et en lisant, je me demandais si j’allais me baiser avec ou m’enculer, voir les deux selon l’excitation, encore que pour les deux je préfère avoir deux objets sous la main pour prendre mes deux trous à la fois, surtout que la pratique aidant je peux facilement m’enfoncer une belle courgette. Mon langage aussi a évolué, j’aime dans mes moments intimes être une pute, une salope, une chienne en chaleur qui s’offre sans pudeur et mouille comme une fontaine. Donc ce soir-là, plongée dans ma lecture, ma carotte en main, encore indécise au jeu que j’allais choisir, j’entendis un bruit, comme un frottement ténu dans le couloir. Je n’ai pas d’a****l de compagnie et le sol en carrelage n’émet aucun bruit. Paniquée, j’éteignis la lumière et comme une autruche, je glissais ma tête sous les draps (je dois être née sous le signe des gallinacées) et tenais de ne pas respirer. J’entendis distinctement la porte s’ouvrir bien que l’intrus prenne mille précautions. Je sentais mon cœur battre à tout rompre, envahie par l’effroi. Brutalement le drap fut arraché et je sentis des mains brutales qui me semblaient géantes se poser l’une sur ma bouche pour que je ne crie pas et l’autre entre mes cuisses ou il découvrit que je tenais toujours ma carotte crispée dans une main entre mes cuisses. J’entendis alors son éclat de rire, je ne le voyais pas gardant obstinément les yeux fermés. Il finit par cesser de rire et dit d’un ton qui ne souffrait aucune revendication de ma part,
-En voilà une jolie salope ! Tu voulais te faire plaisir ? Moi je voulais juste ton fric, mais puisque je vois que tu aimes ça, tu vas avoir ce que tu voulais. Je vais enlever ma main et si tu cries je te jure, je t’assomme.
Il enleva sa main et je le suppliais de prendre l’argent que j’avais dans mon sac et de partir promettant de ne rien dire, ni d’appeler à l’aide.
Je reçu en réponse une gifle monumentale qui laissa la marque de ses doigts sur ma joue dans une brûlure énorme. Là encore, comme avec Ferdinand, j’ai eu comme un déclic, j’ai ouvert grand les yeux, j’ai fixé son regard perçant, la seule chose visible de son visage, puisqu’il portait une cagoule et je lui ai dit,
– Baise-moi, encule-moi, défonce-moi !
L’homme marque un temps d’arrêt, ne s’attendant pas du tout à une telle réaction, puis avec des gestes fébriles, il enlève ses vêtements et son boxer libérant un pieu de belle taille qui aurait complexé Ferdinand. Je vois le manche majestueux dressé qui tape contre son ventre velu et je ne résiste pas à l’envie de le saisir dans une main, tout en avançant ma bouche pour venir l’honorer entre mes lèvres humides de désir. L’homme me saisit lui aussi par les cheveux (c’est une manie qu’ils ont de me prendre la tignasse, mais bon j’aime ça !) sa main plaque mes lèvres qui s’ouvrent au maximum pour pouvoir absorber le monstre. J’ai toujours le souvenir du goût de Ferdinand et suis surprise de constater que celui-ci n’a pas du tout la même saveur. Il est plus a****l, plus sauvage et ne sent surement pas le bébé Cadum. Cependant, loin de me rebuter, cela m’excite encore plus et c’est avec vigueur que je l’astique. Sans prévenir et me tenant toujours par les cheveux l’homme me fait lâcher prise et m’ordonne,
– A quatre pattes je vais régaler ton cul, tu t’en souviendras longtemps.
J’essaye de lui dire que j’ai du gel dans le tiroir de ma table de nuit, mais je n’ai pour réponse qu’une violente gifle sur mon fessier rebondi. L’homme continue d’ailleurs avec ses battoirs et très vite ma croupe est brulante. Malgré tout je me cambre encore plus et l’encourage à continuer la punition qui commence à me faire mouiller très fort. Parfois la fessée s’interrompt et il se met à pétrir ma chatte comme le ferait le mitron d’une pâte à pain pour la faire lever. J’aime sa brutalité, et je l’accompagne même, pinçant mes gros tétons et les tirant sauvagement. Mon cul doit ressembler à celui d’un babouin quand il arrête la magistrale correction et c’est avec soulagement même si j’ai beaucoup mouillé, que je sens son gland énorme se presser contre ma rondelle. Je ne m’avise plus de lui proposer du gel, craignant qu’il se remette à me fesser et contrôlant ma respiration pour me détendre, je lui offre mon cul, qui ho surprise, l’accueil sans difficulté majeur. Il faut croire que mes pratiques culinaires y sont pour quelque chose et que mes jeux assez fréquents avec mes carottes et courgettes de toutes tailles ont fini par bien assouplir mon petit trou.
Voyant combien la pénétration est facile, ce bucheron du sexe se met à me pilonner le fondement à grands coups de son vit énorme dont je sens avec délice la forme coulisser dans mon fourreau que je contracte avec délice pour augmenter le plaisir. D’une main j’arrive à enfoncer deux doigts dans ma chatte que j’enfonce avec la même v******e que mon cul est pris par l’homme. A ce rythme effréné, je sens monter en moi un orgasme démentiel et je hurle,
-Défonce mon cul de salope vas-y fort je vais jouir !
L’homme obtempère me secouant de ses coups de bélier et je sens alors que je suis submergée par la jouissance, ses mains se crisper sur mes hanches, tandis qu’un jet puissant, tel une coulée de lave, rempli mon cul.
Mon voyou reste ainsi tétanisé un temps interminable finissant par petites saccades de jouir dans mon cul. Enfin, il se recule, je reste pantelante, sentant aux bruits qu’il se rhabille.
A nouveau une claque d’une v******e extrême s’abat sur mes fesses toujours cambrées et il dit,
– Tu es une bonne salope, alors je vais être cool, je ne te volerai rien. Tu attends mon départ et tu ne t’avises pas de hurler sinon je reviens et tu comprendras ta douleur.
L’homme quitte la pièce, presque sans bruit. J’entends à peine la porte d’entrée se refermer et je reste là, pantoise, le sperme débordant de mon cul et coulant sur ma chatte et mes cuisses. J’en prend quelques gouttes sur mes doigts que je suce avec délectation. Peut -être aurai-je du hurler pour qu’il revienne ? J’espère en tout cas que ses fric fracs le conduiront un jour à nouveau chez moi.

Le lendemain Matin, mes pensées sont plutôt mitigées. Je n’ai eu que deux hommes dans ma vie (en fait c’est eux qui m’ont prise), l’un avec une mini bite, l’autre une énorme queue et dans les deux cas, je n’ai été que « le coup » occasionnel d’une seule fois. C’est frustrant, il faut l’avouer, d’autant que là j’y ai pris goût. Il y a pourtant quelque chose qui m’inquiète, cet homme est entré chez moi pour me voler et est parti après m’avoir pénétrée sans me voler, (ni me violer, j’ai trop aimé ça), mais quand serait-t-il d’un voleur moins gentleman, qui me laisserait peut-être sur le carreau, sans me baiser et en me volant ? je devrais, mettre une alarme pour ma sécurité, je dois y réfléchir.

Si mes deux premières histoires vous ont plu, n’hésitez pas à commenter. Je posterai régulièrement la suite de cette histoire. Je cherche une muse qui puisse avoir des échanges chauds avec moi en mail, de toute façon en virtuel, pour continuer de m’inspirer. Je répondrai à toutes.
A bientôt

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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