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Le loup-garou – 2

Le loup-garou – 2



Mardi matin – 10h46 – En route pour le bout du monde

L’Abitibi-Témiscamingue a une superficie de 2 fois la Belgique et on allait se perdre la bas. Le royaume des mines, des pêcheurs et des bûcherons. Un jour un gars m’avait dit en riant que la bas les maringouins se mettait a genoux pour nous piquer dans le dos. Ben oui ! Heureusement la saison des mouches était terminer.
Marie me faisait déjà une pipe baveuse. Une main sur le volant l’autre sur sa tête j’en savourais chaque instant en écoutant de la musique arabe a la radio. Il ne faut jamais manquer une occasion d’enrichir sa culture.
Sa bouche chaude et humide allait et venait et laissait s’écouler pas mal de salive jusque sur mes couilles. Génial. J’adore conduire en grimaçant comme ça.
J’étais entrain de lui peser sur la tête quand une grosse oie sauvage sortit du bois en volant en rase motte au-dessus de la route. Paniquer j’agripper le volant a deux mains, j’allais la frapper de plein fouet, pas moyen de l’éviter. Je m’y étais résigner en souriant tristement mais pas trop quand elle remonta au dernier moment et me fit de gros yeux en passant à deux pouces du pare-brise comme un avion de chasse. Je fit une petite embardée en rentrant la tête dans les épaules mais le gros Hummer de l’armé que j’avais acheter usager l’an dernier quand j’avais connu Marie et gagner à la loto tenait bien la route. On y avait apposer des autocollants sur les côtés. Le nom de l’émission et le visage de Marie. Ma conception.
Marie fut secouer d’un coté pis de l’autre. Hum !
-Seigneur, fit telle en levant la tête laissant de gros filament de salive s’étirer entre mon gland rougit et ses lèvres pleine et humide couvertes de rouge, c’était quoi l’ombre qui est passé ?
-Une outarde.
-Jésus-Christ on aurait dit une vache avec des ailes.
-Moins fort Marie, a pas l’air commode.
Elle rit prenant un petit air décourager.
-Suce ma belle, j’allais venir. Ordonnai-je en lui pesant sur la nuque. Elle c’était faite des petites lulu, je trouvais sa extrêmement bandant comme toujours et elle le savait. Marie ne se faisait jamais prier pour me sucer ni moi pour lui donner un bon coup de langue. On aimait se faire plaisir et le plus souvent possible. Le couple parfait c’était nous. Pas une seul chicane en un an de vie commune. Des petites sautes d’humeur parfois mais rien de grave.
-Hum ! Fit-elle avant de ravaler ma queue.
Oufff… !
La reine des pipes baveuse y mit le paquet en agitant la langue, au point ou je fit quelques nouvelles embardées avant de décharger abondamment dans sa jolie bouche en la sentant avaler aussitôt écrasant mon gland contre son palais.
Petit Jésus que c’était bon.
Je lâcher 7 ou 8 jets de spermes les yeux pleins d’eau et complètement crisper.
Elle me suça encore un peut pour bien me vider les couilles et se redressa en s’essuyant la bouche du dos de la main, la face toute rouge et tout sourire.
-Encore un 10/10 ? Me demanda telle toute joyeuse. Drôle de fille ma grande soeur.
-Wais ! Fis-je la voix enrouer en me la pressant.
-Pis, les résulta d’analyse t’en pense quoi ! Demanda telle en m’essuyant la bitte avec des kleenex.
-Chit ! A nous suit. Lâchai-je.
-Quoi ?
Par le rétroviseur je voyais l’oie sauvage qui volait derrière nous comme une enrager.
Marie regarda et sourit.
-Et ben, déjà une admiratrice, sa promets !
-Ou toi un admirateur ! Ta du sperme sur le menton minou.
-Oups. Elle se l’essuya et jeta le kleenex dans le sac poubelle derrière mon siège puis se refit une beauté.
-Une griffe qui appartient à aucun a****l connu. Pas de doute ces un loup-garou Marie.
Elle rit.
-Wais y me semble, on verra bien. Et si…
Elle plissa la bouche figée, signe quelle réfléchissait.
-Et si… Miss Pipe.
-Sa me fait mouiller quand tu me donne des petits noms pervers. Dit-elle en agitant la tête drôlement.
-Et si… Miss beau cul.
-Et si c’était un Sasquash.
Je soulever les sourcils, j’avais pas penser à sa. Ah les femmes, qu’est-ce qu’on ferait sans elle.
-Ben oui, j’y avais pas penser Miss neurones.
J’eu droit a une jolie grimace avant quelle se remette du rouge.
L’oie derrière semblait me fixer pis deux autres apparurent derrière elle, pis trois et encore d’autre. Toute une envolé d’oie sauvage qui nous suivait. Et ben ! Je roulais pourtant a 110 km h, la limite permise ni plus ni moins. C’était ma devise. Mais comme l’outarde avait dieu seul sait comment appeler du renfort j’appuyer sur le champignon. Mais elle volait, alors elle coupait dans les détours, pas moyen de les distancer. Shit ! Je voyais déjà les petits os d’une outarde dans un bac en métal sur le comptoir de Dorine.

12h 10 – Pause pipi.

Je stopper a une petite halte routière pour pisser, manger quelque chose et boire un café.
Les oies continuèrent en criant. Ouf ! J’avais tourner au dernier moment sur les chapeaux de roues pendant que Marie hurlait cramponner au tableau de bord. On put sortir du camion rapidement et se réfugier dans le restau sous le regard étonner des clients.
Mais une fois sortit des toilettes et assit à une petit table de la cafétéria avec Marie occuper à signé des autographes tandis que la plèbe m’ignorait comme toujours, je vis mon beau Hummer couvert d’oies sauvages avec plein de gens qui filmait l’étrange phénomène. L’une d’elle semblait me fixer en déféquant sur mon beau camion.
-Merde ! Me dis-je en prenant une gorgé de café brûlant.
Outch !
-Monsieur ?
-Hein ! Fis-je en tournant la tête.
Je vis une petite fille de cinq ans environ qui me regardait tandis que sa mère se faisait poser avec Marie.
-Ouiii ! Fis-je heureux certain qu’elle m’avait reconnue car je participais à l’émission.
-Je vous aime pas !
Je lui fit mon plus beau sourire a la Clint Eastwood histoire de l’effrayer.
Elle partit en riant avec sa mère.
-On aurait du prendre l’avion. Se plaignit Marie enfin seul avec moi en se brûlant à son tour avec le café. On y serait depuis longtemps.
On mangea un hamburger fade avec des frites surgeler presque encore surgeler.
J’avais troquer ma pipe trop dangereuse contre des cigarillos comme mon idole. Je m’en mit un dans la bouche distraitement en cherchant mes allumettes de bois dans mes poches.
-Non, fit Marie, interdit de fumée ici.
Je soupirer me contentant de le mâchouiller en fixant la maudite outarde qui donnait de furieux coup de bec sur mes gros phares a brume tout neuf sur le toit.
-On a acheter quec chose pour le souper de Noël, grommelai-je les dents serrer.
-Quoi ?
-Rien ! Y vende des armes ici ?
-Dans une halte routière, m’étonnerait Paul. Seigneur cé juste des gros oiseaux. Hum, ça fait viril le petit cigare, j’aime sa !

Un gros camionneur barbu comme on les imagine et ben sympathique trop heureux de rendre service a ma belle grande rousse hyper sexy en jeans noir moulant et cote de cuir ajuster à la taille comme sur les posters de l’émission effraya les gros oiseaux avec une barre de fer pour qu’on puisse rembarquer dans mon 4×4. On fila à toute allure filmer et photographier de toute part. Elle suivirent, Marie était morte de rire au téléphone avec sa tante. Mon Hummer avait une longue cabine fermer et Marie était à l’arrière et filmait le cortège de volatile pour le montrer à Pierrette. Touts les véhicules que l’on croisait nous klaxonnaient. Je passer sur une grosse bosse, Marie vola dans les air et tomba sur le cul.
-Câlice ! On se rappelle ma tante by ! Paul, ralentis tu vas nous tuer.
J’allumer mon cigare les yeux mauvais et fixe avec l’allume cigarette et me brûler une narine en repassant sur une bosse. Marie cria et boum…
-Tabarnak Paul.
-Hum ! Fis-je mauvais en prenant un détour a 140 km h.
-C’est déjà sur Youtube. Me dit-elle en se frottant le cul avant de se rasseoir et de se rattacher.
-Quoi !
-Notre escorte a plume.
Gros soupir.
-Je me suis brûler une narine. Lui dis-je distrait.
-Moué la langue pis j’ai mal au derrière. Ralentis ciboire !
Mais je continuer un moment en fixant la route comme un enrager. Gros soupir de ma blonde.
La connaissant bien maintenant je savait que la, elle allait se fâcher et sa, c’était pas bon.
Je lever le pieds en jetant un coup d’oeil a mon ennemie qui suivait l’oeil mauvais. Pas croyable.
Je me forcer a penser a quelque chose de zen en tirant sur mon cigare.
AK 47… Outarde rôtie pleine de trous. Hi ! Hi !
Shit !
Deux cerise sur une fesses. Oh !
-Hum, ce soir je vais te faire un petit massage de fesses après un bon bain chaud, pis des petits baisés chatouilles tout partout. Dis-je finalement pour la calmer et me calmer.
Elle sourit, ouf !
-Hummm… ! Té fin mon homme.
-Et encore merci minou pour mon cadeau de fête !
Gros sourire.
-Pis, tu la essayer ?
-Wais, des que j’ai voulu l’enculer elle a exploser.
Marie rit comme une folle un bon moment les yeux pleins d’eau.
-Sérieux ? Non, tu me niaise. Sa explose pas cé affaires la franchement.
-Hum… Dans mon bureau. Sa tête a toucher ma pipe encore allumée.
Son rire couvrit un moment le piaillement des maudites outardes et son téléphone se mit a sonner et sonner…
Maudit YouTube.

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