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VU SUR LE NET: Dégradation d’un soumi

VU SUR LE NET:  Dégradation d’un soumi



Je dormis très mal cette nuit là. Le lendemain très tôt, je fus réveillé par ma femme d’une gifle magistrale.

– Alors mon petit déjeuner…ça vient? Ne crois pas que tu vas paresser. Caroline vient à 9h. et il faut que je sois prête. Toi aussi d’ailleurs car tu nous accompagneras faire des courses.

Je me hâtai de satisfaire son désir et je m’habillai rapidement car je savais que Maîtresse Caroline était ponctuelle.

– Où va-t-on faire des courses Brigitte?

– Il n’y a pas de Brigitte pour un esclave. Tu m’appelleras « Madame » ici et en public.

– Bien Madame.

Cela me faisait tout drôle d’appeler ma femme « Madame » mais puisqu’elle l’avait décidé ainsi je ne pouvais qu’obéir. Caroline et Madame m’emmenèrent dans une boutique de lingerie. C’était une boutique de lingerie sexy, à mi-chemin d’un sex shop.

– Nous voulons des vêtements de pute pour notre esclave; panoplie complète du soutien-gorge aux chaussures.

L’homme derrière le comptoir avait dû en voir beaucoup mais là il fut étonné. Il appela sa collègue, une jolie blonde.

– Ces dames voudraient habiller ce mec en pute. tu dois t’y connaître mieux que moi dans ce domaine dit-il en ricanant.

La vendeuse m’emmena au fond de la boutique. Elle sortit un assortiment de soutiens, de corsets de porte-jarretelles et me demanda mon avis.

– Ce n’est pas lui qui décide intervint Maîtresse Caroline. On va essayer ceux-ci. Déshabilles-toi.

J’avais honte de me déshabiller devant cette vendeuse et son collègue qui se marrait derrière son comptoir. Heureusement, il n’y avait personne dans la boutique. Après quelques essais, Maîtresse et Madame se décidèrent pour une panoplie complète. L’achat comprenait plusieurs soutiens, deux corsets colorés, trois porte-jarretelles, une série de bas résilles, des strings divers, deux paires de chaussures à très hauts-talons, un chemisier blanc et deux jupes étroites et courtes dont l’une en cuir blanc.
La visite suivante fut chez un coiffeur où ces dames firent l’acquisition de deux perruques, l’un blonde, l’autre brune.
Puis ce fut un salon de maquillage où durant plus d’une heure j’appris à faire un make-up, à poser des faux-cils et à appliquer du rouge à lèvres.

Très excitées, les deux femmes me ramenèrent à la maison. On me mit nu et je revêtis les atours nouveaux pour moi.
Le plus difficile fut de marcher avec les talons hauts perchés. Maîtresse et Madame se moquaient de moi.

– On devrait l’emmener au Bois; quel succès il aurait. Tu as vraiment l’air d’une pute; mais après tout, c’est ce que tu es désormais. Tu sais Caroline un jour on ramènera quelqu’un pour le baiser devant nous. Est-ce tu crois qu’il gueulera de plaisir quand il sentira une grosse queue dans son cul?

J’étais abasourdi; ma femme, fille de bonne famille, tenait un langage pareil et en parlant de moi en plus. Mais c’était vrai j’étais devenu une salope. Je ne me sentais pas mal dans ces vêtements féminins, même si le corset serrait un peu trop, et les chaussures me faisaient trébucher.

Quelle dégradation j’avais subi en quelques jours. De cadre dynamique j’étais devenu un travesti soumis; de mâle triomphant j’étais transformé en loque rampante devant deux femmes qui n’arrêtaient pas de m’humilier, de me traiter en putain.

Je sentais confusément que je n’étais qu’au début de ma descente aux enfers et que le pire était à venir mais le plus étonnant, c’est que j’aimais cela. Je me sentais enfin moi-même à genoux devant ses deux femmes, léchant leurs chaussures ou rampant devant leurs exigences.

La semaine m’apporta un répit, mais je me demandais ce que le week end me réserverait.

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