Mes voyages de Spermissions
(Première partie)
En cette fin d’après-midi du mois de juin 1965, je suis sur le quai de la gare en tenue militaire. J’attends mon train qui doit m’emporter à la caserne. Je sais que j’en ai pour 9 heures de voyage.
J’aime bien ces trains qui disposent de compartiments à six places avec sa grande fenêtre où défile le paysage, sa porte et petites fenêtres protégées par des rideaux qui donnent sur un long couloir très étroit avec les portes d’accès et des toilettes à chaque extrémités.
Je sens quelqu’un qui me tape sur l’épaule, je me retourne et voit un gars. Il me dit :
– Salut ! je vois que tu es en costume de marin, et je dois être incorporé dans la marine. Où vas-tu ?
– Salut, je vais à Toulon.
– Moi aussi. On peut faire le voyage ensembles.
Nous avons fait le voyage ensembles, bien que j’eusse préféré voyager seul, ce qui me permet de rencontrer du monde.
La suite de l’histoire ne m’a pas fait regretter de voyager avec lui.
Bien que nous ne soyons pas dans le même régiment, nous nous voyions de temps en temps et fait quelques voyages de permissions ensembles, ce qui nous avait mis en confiance et nous raconter nos voyages indépendamment l’un de l’autre.
J’ai commencé par lui raconter les avantages de l’étroitesse du couloir. J’ai découvert cela, alors que j’étais accoudé à regarder le paysage défiler. Les voyageurs qui voulaient aller à un bout du couloir devaient croiser ceux qui ne bougeaient pas. Bien que m’écrasant pour faciliter le passage, les corps se touchaient. Je pouvais sentir parfois les braguettes sur mes fesses, les seins sur mon dos, ou bien en me plaquant côté compartiment, sentir les fesses des autres, voire, si nous étions face à face braguettes contre braguettes. J’eus parfois l’impression que certaines étaient bien remplies, gonflées.
Me rendant compte des avantages que je pouvais en retirer, je décidais de ne plus mettre de slip sous mon pantalon. Le copain me dit :
– en ce moment tu ne portes rien sous ton pantalon ?
– non rien du tout.
– putain, tu es gonflé !
– non pas encore.
En effet, mon stratagème marchait bien. Lorsqu’un voyageur passait juste, que je sentais son paquet sur mes fesses, cela me faisait bander, et selon le passager qui devait me croiser, je le laissais passer devant ou derrière. Il y en a qui mettaient du temps à passer lorsqu’ils sentaient ma bite bandée glisser sur leur braguette.
Mon copain écoutait avec attention mon récit.
Je lui racontais une aventure qui m’est arrivée lors d’un voyage. J’étais dans le couloir qui était désespérément désert, lorsque sortit d’un compartiment un gars que je dévisageais immédiatement comme sportif vu comme son polo épousait son torse dessinant ses pectoraux et ses tétons. Le col ouvert découvrait une toison blonde et importante. Son pantalon blanc était parfaitement ajusté.
Je commençais à imaginer, ses poils recouvrant son poitrail, un filet de poils descendant vers le nombril avant d’atteindre le pubis pour entourer – peut-être – un pénis recouvert de son prépuce, reposant sur des boules. Cette vision fit son effet. Ma queue se redressait dans mon pantalon.
Nos regards se sont croisés avec de plus en plus d’insistance, à savoir celui qui oserait croiser l’autre. Comme il n’avait pas décidé de bouger, j’ai pris l’initiative d’aller au bout du couloir. Il me laissa passer derrière lui sans trop se coller contre la paroi. Il ne pouvait pas ne pas sentir mon sexe.
Je suis resté dans les toilettes le temps de remonter ma queue. Lorsque je suis revenu dans le couloir, il était toujours là. Pour le croiser, il s’est collé sur la paroi du compartiment. De ce fait, ce sont nos sexes qui se sont touchés. Il n’a pas bronché.
Je suis retourné à ma place un peu déçu. Puis il est venu vers moi, m’a demandé le passage. Je me suis avancé afin qu’il puisse passer. Il est resté quelques secondes contre moi. Je sentais son sexe contre mes fesses. Au retour, je me suis mis face à lui. Il s’est arrêté plus longtemps, pour me caresser. J’ai fait de même. J’ai constaté que son anatomie était de bonne facture.
Nous sommes restés côte à côte comme si nous discutions. Ayant compris que je ne portais pas de slip, il glissa sa main dans mon pantalon pour explorer son contenu. Il ne fut pas déçu lorsqu’il prit en main mon sexe très raide, faisant glisser la peau de mon prépuce, arrivant à tripoter mes boules. J’essayais de faire la même chose. Comme il portait un slip, l’opération était plus complexe, et je ne pus que constater qu’il avait une queue et des boules plus grosses que les miennes. Dès que quelqu’un apparaissait, il retirait vivement sa main.
Nous arrivions à une gare. Le wagon se remplit. Il se retira dans son compartiment.
– Tu l’as revu ? me demande mon pote.
– Jamais.
– N’empêche que ton histoire m’a donné la gaule.
– qu’est-ce que ce sera lorsque je te raconterai un autre voyage !
Mes voyages de Spermissions – 2ème partie
J’ai retrouvé mon compagnon de voyage pour un nouveau trajet vers la caserne. Pour ce voyage, nous avons trouvé un compartiment presque vide. Après avoir posé nos sacs dans le filet à bagages au dessus de nos têtes, nous sommes allés dans le couloir pour discuter.
Lui aussi était presque désert. Il me dit :
– J’ai repensé à ton histoire que tu m’as racontée, et j’ai aussi testé les croisements dans le couloir. Cela était super surtout à poil sous le pantalon. D’ailleurs, je l’ai adopté.
– je vois que tu t’es mis en tenue.
– au fait, tu devais me raconter un autre voyage.
Ce voyage s’est passé la nuit, ce que je fais souvent pour rester le plus longtemps possible chez moi, et d’arriver à la caserne juste pour la levée des couleurs.
Nous étions quatre dans le compartiment. Un couple assez jeune, en face de moi un type assez gras, mal fringué, une veste trop étroite, un pantalon trop serré. Je ne suis pas resté longtemps dans le compartiment, pour aller dans le couloir. Décidemment, personne ce soir. Je suis retourné dans le compartiment en face du gros monsieur qui lisait son livre, les cuisses écartées.
J’ai pu remarquer sur l’intérieur de sa cuisse une énorme bosse. Son pantalon trop ajusté moulait parfaitement ce qui avait entre les jambes. Je commençais à fantasmer sur ce à quoi pouvait ressembler ce qui se cachait la dessous. Il m’en fallait pas plus pour sentir gonfler mon sexe dans mon pantalon de marin. J’essayais de me positionner de manière à cacher la bosse trop voyante de mon pantalon.
Alors que la nuit tombait, les lumières du compartiment s’allumèrent. Le couple est descendu à la gare suivante. Je n’étais plus qu’avec le gros monsieur dont j’évaluais avoir la quarantaine ou plus.
D’être seul avec lui m’impressionnait, et pourtant, je bandais toujours un peu à regarder son entre jambes. Il a cessé de lire, s’est positionné pour piquer un roupillon. Il a passé sa main entre ses cuisses pour mettre en place son paquet et allonger les jambes.
Cette nouvelle position permettait encore mieux de dessiner ses couilles et sa bite. Il s’est mis en sommeil. Je ne sais pas s’il faisait un rêve coquin, mais j’ai eu l’impression de voir gonfler son pantalon au niveau de sa bite. J’étais très absorbé sur ce renflement. Je ne rêvais pas, il bandait dans son rêve.
A mon tour, j’ai glissé ma main dans mon pantalon pour me tripoter, ce qui était facile, puisque j’étais à poil dessous. Sa bite avait encore grossi, la mienne aussi. Certain qu’il dormait profondément, j’avais remonté ma queue le long de mon pubis pour mieux me décalotter. Parfois, le bout de mon gland dépassait de la ceinture. La grosseur du pantalon du type avait doublé.
Soudain, il se lève brusquement, se dirige vers la porte. Je pensais qu’il allait sortir. A ce moment, il verrouille la porte, revient vers moi et me dit d’une voix forte :
– Alors, on se branle en matant ma braguette ?
Stupéfait, je n’ai pu dire
– heu, non.
– menteur je t’ai vu ! Cela me fait même bander. C’est ça que tu veux voir ? et bien regarde.
En moins de temps qu’il faut le dire, il défait son pantalon d’où jaillit une énorme queue bandée, sur des boules toutes aussi grosses dans une forêt de poils. Je suis tétanisé. Il bloque ma tête sur le dossier, puis avance son manche de pioche au gland à fleur de prépuce vers ma bouche. Je serre les lèvres, mais je sens quand même le gout salé de son lubrifiant.
– Moi aussi je veux voir.
Il me soulève, me met debout sur la banquette, tire sur mon pantalon qui sans résistance tombe sur mes chaussures.
– Putain, que joli petit cul !
Ses grosses mains le pétrirent sans ménagement, puis ses mains boudinées écartent au maximum mes fesses dans lesquelles il plonge son visage poupin. Le terme « se faire bouffer le cul » est exactement le cas. Il salive beaucoup, sa bouche atteint ma rosette qu’il lèche goulûment. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. Après s’être repu de mon anus, il me retourne. Ma queue est au summum de sa raideur, au point que mes boules sont tellement remontées qu’on ne les voit presque plus. Il engouffre sans ménagement ma bite jusqu’à ce que sa tête se colle sur mon ventre. Le mot « se faire pomper » n’est là aussi pas galvaudé. Il avait posé ses mains sur mes fesses rythmant les mouvements de va et vient. Ma queue entièrement dans sa bouche, il la pompait. J’avais l’impression qu’il voulait l’avaler, tout comme il s’occupait de mon gland qu’il aspirait comme avec une paille comme s’il voulait boire mon sirop de corps d’homme. Avec un tel traitement, je ne pouvais résister longtemps. Je veux me retire pour jouir. Il s’en rend compte. Ses mains appuient sur mes fesses pour m’empêcher de reculer. Je ne gâche pas mon plaisir de lâcher plusieurs jets de sperme dans sa gorge qu’il avale comme un goinfre. Il n’en perd pas une goutte, nettoie parfaitement ma bite. Une fois terminé, il regagne sa place, s’endort pour de bon. En me rhabillant, je constate au sol qu’il s’était branlé. A mon tour je m’endors apaisé. En me réveillant au petit matin, il avait disparu.
– tu es sur de ne pas avoir rêvé ?
– J’en suis sur, avec l’état de ma bite et le cul encore humide !
– putain ! quel voyage ! je n’ai jamais fait un tel parcours. Tu l’as revu une autre fois ?
– oui, mais je ne suis pas entré dans son compartiment.
– J’ai une telle gaule qu’il faut que je me branle.
Mon pote est rentré dans le compartiment. Je l’ai suivi pour en faire autant. Le temps que je verrouille la porte, il avait déjà ôté sa marinière, descendu son fute. Sa bite était semblable à la mienne, bien droite, ni trop longue, ni trop grosse, avec une toison pubienne plus fournie que la mienne.
Je baisse mon pantalon, enlève aussi ma marinière, m’assoies à ses côtés. Nous nous masturbons de concert. Après quelques minutes de branle, je propose de se branler mutuellement. Je saisis sa queue, commence lentement un va et vient, décalottant avec délicatesse le plus possible son gland très esthétique, avec cette collerette bien dessiné. Ma prestation le détend, il repose sa tête sur le dossier, ferme les yeux pour mieux apprécier. J’approche ma bouche, touche son gland de mes lèvres. Il se raidit, sans me refuser. J’enfourne sa verge avec délectation. Je monte, et descends le long de ce délicieux sucre d’orge. Je le quitte quelques instants pour m’occuper de ses bourses qui au contraire des miennes sont pendantes. Je les gobe une par une, je remonte le long de sa verge, fait le tour de son gland avec ma langue que je durcis pour la pointer dans son urètre, le remettre en bouche pour le téter, engloutir entièrement cette queue aussi dur qu’un bâton, le pomper comme l’a fait le gros type. Lui non plus ne résiste pas longtemps. Il se raidit, me cri :
– vite je vais jouir !
Il a juste le temps de se retirer, je reçois en plein visage plusieurs jets de son foutre tiède et visqueux. Il s’excuse de m’avoir laissé seul pour me branler, de m’avoir aspergé de son sperme. Après m’avoir essuyé avec sa serviette, il a déposé un baiser sur mes lèvres comme pour se faire pardonner.
Je l’ai rassuré en lui disant que j’avais pris beaucoup de plaisir aussi.
A suivre ……………..
Mes voyages de Spermissions
3ème partie
Voilà, je vais faire mon dernier voyage vers la caserne avant la quille. J’avais demandé à mon comparse de faire ce voyage avec moi. Il s’était arrangé pour que cela se fasse.
Nous nous sommes retrouvés à la gare en tenue de marin qui fait toujours son effet, surtout le pompon que tous veulent toucher. Même si j’acceptais pour la gente féminine, je préférai de loin que ce soit un garçon qui me touche « le pompon ».
Ce voyage comme presque tous se faisait de nuit. Nous trouvons un compartiment vide. Nous posons nos sacs dans le filet à bagages, nous nous asseyons l’un en face de l’autre.
Une fois le train parti, nous décidons d’aller dans le couloir. Accoudés à la fenêtre, je demande à mon pote s’il est bien à poil sous son pantalon au cas d’un croisement intéressant.
– bien sur ! comme d’habitude et toi ?
– Vérifie par toi-même.
Il ne s’est pas fait prier pour att****r ma braguette et saisir ce qui se trouvait derrière. Surpris, j’en fis de même avec lui. Cette mise en condition n’était pas pour me déplaire me mettant en condition favorable à un croisement.
Pas grand monde ne méritait de passer devant nous à part un type en jean. Pour le laisser passer, nous nous sommes plaqués contre le compartiment, espérant qu’il passe face à nous. Hélas, il est passé côté pile. Malgré cela il a du sentir que nos braguettes étaient plus dures que la normale. A son retour, cette fois, il est passé très très lentement face à nous, frottant la protubérance de sa braguette sur les notre avec un sourire complice, puis est rentré dans son compartiment. Curieux de savoir si nous pouvions poursuivre nos investigations, nous somme allés voir comment il était installé. Il était accompagné de sa femme et sa fille. Nous savions que l’affaire était tombée à l’eau.
Toujours appuyés sur la barre de la fenêtre, nous entendons :
– mesdames, messieurs, contrôle des billets
Nous allons chercher nos titres de transport dans notre sac. En ressortant, nous voyons le contrôleur. Un gars dans son costume bleu marine, sa chemise blanche, sa cravate, sa casquette à galon étoilé portés par un gars à peine plus âgé que moi, pas d’une beauté qui fixe le regard, mais un charme fou avec son regard gris bleu, son visage régulier, un sourire ravageur.
Arrivé à notre hauteur, nous nous appuyons sur la cloison, sûr qu’il serait face à nous pour poinçonner nos billets. Effectivement, il se place face à nos braguettes encore plus tendues à frôler la sienne qui semble ne pas être insensible à ce contact. Comme pour profiter de cet instant, il nous dit :
– Alors les bidasses en permission ?
– Non, nous allons à la caserne.
– Toulon ?
– Exact ! pour moi, c’est le dernier aller, je suis libéré après demain.
– Il faut fêter la quille. Je finis mes contrôles et je reviens vous voir.
Le regard que nous avons échangé promettait un super voyage. Après une heure d’attente interminable, il apparait au bout du wagon toujours le sourire aux lèvres.
Arrivé à nous, il dit :
– Je vais vous faire un cadeau, suivez-moi.
Nous prenons nos sacs, suivons le beau contrôleur. Nous arrivons dans un wagon lits de première classe. Il ouvre la porte d’un compartiment. Nous sommes ébahis devant le spectacle d’une petite chambre capitonnée, un petit lit à deux places, un lavabo.
– Pour ton dernier voyage et la quille, je vous offre ce petit plaisir. J’adore les uniformes. Vous ne serez dérangés que par moi pour vous prévenir de votre arrivée.
–
Comme deux gamins, nous sautons sur le lit, nous commençons à nous bagarrer, ce qui amène à nous dessaper l’un l’autre. C’est à poils que nous apprécions encore plus ce petit nid douillet. L’état d’excitation dans lequel nous étions n’a pu que continuer par des caresses, des baisers fougueux. Soudain, dans l’entrebâillement de la porte la tête du contrôleur qui me surprend avec la bite de mon pote dans la bouche, et nous dire :
– je venais m’assurer que vous étiez bien installés. Je vois que cela se passe bien.
– super bien, mais vous pouvez entrer si vous voulez. (1)
Il n’attendait que ça. Mon pote et moi marquons une pause pour le regarder retirer son déguisement, je voyais un gars un peu trapu, des cuisses de footballeur, un torse avec deux gros mamelons comme deux clairières au milieu d’une forêt de poils noirs descendant sur son ventre jusqu’au pubis, et sa queue dans le même gabarit que la mienne, déjà bien raide. Il s’assit à côté de nous, commence à m’embrasser, puis attirer la bouche de mon pote pour en faire autant. Nos trois langues se caressent, s’entrelacent, explore les bouches à tour de rôle, nos corps serrés les uns contre les autres. Nos mains caressent tantôt les têtes, tantôt les dos jusqu’aux fesses.
Les préliminaires étant faits, bien synchronisés, nous explorons le torse de chacun. Je reste plus longtemps sur les superbes tétons du contrôleur. Il n’a pas l’air de s’en plaindre, je dirai même qu’il apprécie, mais cela ne convient pas à mon pote, qui nous écarte pour atteindre nos sexes dont le gland est entièrement découvert. Allongés sur le lit, nous nous mettons en triangle afin que chacun puisse profiter de la bite de l’autre. Nous arrivons à changer de position, chacun voulant goûter la queue de l’autre. Un vrai ballet aquatique.
La figure suivante, je suis tête bêche avec mon pote. Il est sous moi. Nous nous suçons mutuellement. Dans cette position, mes fesses sont relevées, ce qui inspire le contrôleur qui commence à me lécher la raie, écarte mes fesses pour atteindre ma rosette qu’il humidifie de sa salive. Je sens qu’il enfonce son pouce doucement. Malgré mes frasques, jamais je n’avais autorisé personne à pénétrer cette zone de mon corps, et là, je le laisse faire. J’essaye toujours de me concentrer sur la queue de mon pote, mais lorsque je sens que le gland du contrôleur pousse à la porte de mon anus, pénètre doucement, le fait une pause fellation. La douleur est supportable jusqu’à ce que sa queue soit totalement en moi. Le contrôleur marque un temps d’arrêt. La douleur se dissipe, le contrôleur est allongé sur mon dos, sa bouche embrasse ma nuque. Je me détends. Il commence son mouvement de va et vient. Le plaisir a laissé place à la douleur. Il accélère le mouvement. J’ai abandonné le sexe de mon pote pour profiter de cette nouvelle sensation, alors que lui continue à me sucer. Lorsque le contrôleur s’enfonçait en moi, ma queue s’enfonçait au même rythme dans la bouche de mon pote. Je sentais les poils du contrôleur sur mes fesses, ceux de mon pote sur mon visage. Chacun prenait son plaisir, mais je dois reconnaître que j’en recevais deux fois plus que les autres. Notre entente était telle, que nous avons joui presque en même temps. Le drap était maculé de notre semence.
Ayant repris notre souffle, le contrôleur se rhabille, prend dans sa poche une clé spéciale, ouvre un placard, sort des draps tout propres et nous dit :
– il va y avoir du travail pour les nettoyeurs. Je viendrai vous réveiller avant l’arrivée à destination.
–
En nous quittant, il dépose sur nos lèvres un doux baiser.
Dans ces draps tout propres, nous nous endormons serrés l’un contre l’autre. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi, lorsque je suis réveillé par une forte érection. La main de mon pote me branle. Je ne sais pas si il dort et vit son rêve. Je ne peu résister. Je me pose sur le derrière de mon pote. Avec une telle érection, je crains lui faire mal, alors je mets un maximum de salive sur ma queue. Je la présente sur son anus, l’enfonce doucement. Je suis surpris de la facilité avec laquelle elle pénètre. Je pense que je n’étais pas le premier. Je le fourre bestialement, il gémit du plaisir qu’il reçoit. Ma main saisit son sexe aussi raide que le mien. Je le branle en même temps que je lui défonce la rondelle. Lorsque je jouis en lui, je sens ma main remplie de son sperme chaud et visqueux. Il se retourne, nos bouches se collent, nous nous embrassons tendrement.
La porte s’ouvre, le contrôleur entre pour nous dire que notre petit déjeuner nous attendait et d’ajouter en voyant que nous bandions encore :
– quelle santé !
– C’est sûr ! Le service de nettoyage aura encore du travail supplémentaire.
Nous avons retrouvé le contrôleur au wagon restaurant. Il avait préparé un super petit déjeuner de quoi nous revigorer après la nuit que nous avons passée.
Après avoir terminé mes obligations militaires, j’ai passé examens et concours pour trouver du travail. Comme par hasard, j’ai réussi un concours pour entrer à la SNCF. C’est un poste de cadre responsable au siège. J’habite un agréable appartement à Paris avec Tom le contrôleur. Je l’avais retrouvé avec plaisir lors de réunions. Nous nous sommes revus souvent. Après avoir découvert tous nos points d’attirance, nous avons décider de vivre ensembles. Lorsque Thierry, mon pote de voyage vient à Paris pour quelques raisons que ce soient, il sait qu’il a le gîte, le couvert et le plaisir partagé.
Parfois, je suis un peu jaloux lorsque Tom part en mission et qu’il ne rencontre d’autres militaires.
(1) – Il n’est pas poli, ni facile de parler la bouche pleine
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