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Le loup-garou 1

Le loup-garou   1



Dimanche soir – 20h34 – Mon bureau

-Je l’ai vue personnellement c’est un loup-garou comme au cinéma je vous jure.
-Pardon !
-On est une dizaine a l’avoir vue Monsieur Lemieux.
-Tremblay. Fis-je en soupirant.
-Ah ! Pardon !
Tu me parle d’un crétin me dis-je en écoutant l’homme assit de l’autre côté de mon bureau. Dans la jeune trentaine, bien mis pourtant. Un Loup-garou pis quoi encore ? Tout sa ces du folklore rien de plus comme les vampires, les zombis, les bigfoots, les golems ou les politiciens honnête.
Enfin, pensai-je décourager en sortant de ma poche la pipe hy-tech en aluminium que je venais de m’acheter par internet. Un vieux rêve, fumer la pipe, sa donne un genre cool et sa aide a réfléchir. Hum !
-C’est une bête immense et…
Bla ! Bla ! Bla… Doux Jésus, il en rajoutait en plus le cave. Pensai-je en sortant ma blague a tabac d’un tiroir.
Moi et Marie on faisait dans le paranormal, les maisons hantées, les esprits frappeurs, les phénomènes inexpliquées, du sérieux quoi, pas ces conneries la et c’était clairement indiquer sur notre site web et au début de chaque émissions ( Les chasseur d’entités ). J’allais lui dire à quel point il était stupide, idiot et lui raconter comment avait débuter ses histoires abracadabrantes d’homme loup au moyen âge, même avant dans l’antiquité quand il rajouta…
-En temps que maire de la place on vous invite aux frais de la ville le temps que dureras votre enquête si vous accepter en plus des honoraires dont on a parler. On vous fournira les chambres avec repas gratuit a l’auberge du village et des voitures. On va même vous payer l’avion.
-L’avion !
-Absolument ! Y as rien de trop beau pour Mme. Lemieux.. Eh.. Et vous bien sur. Il se racla la gorge main sur la bouche.
Je frémis en grimaçant tout en vidant ma pipe dans le magnifique cendrier Chasseur d’entités fabriquer en chine avant de la bourré à nouveau de tabac aromatiser au bleuet et au rhum des Antilles.
-Non merci sa tombe ses engins la.
-Peur de l’avion ?
-Non mais sa tombe monsieur.
Je sortis mes précieuses allumettes de bois du tiroir et en cassé 3ou 4 avant de réussir à en allumer une me brûlant le bout du doigt. Outch !
-Eh, Ok. Bon ! Enfin si vous venez, venez en 4×4, continua le maire, la route est mauvaise. C’est un pays de montagnes de lacs et de rivières magnifiques chez nous vous savez, au pire sa vous feras des vacances et ces l’automne en plus. Est-ce que Mme Lemieux participe à toutes les enquêtes ?
La il regardait le poster de Marie grandeur nature accrocher derrière moi conçut pour vendre les DVD de l’émissions. Elle posait tout sourire debout bras croiser en jeans noir et veste de cuir noir ajuster à la taille sur un fond de maison hanté. Ma conception et j’en étais fier. Surtout de la petite chauve souris au-dessus de sa tête que j’avais dessiner moi-même.
J’allumer ma pipe finalement, la fumée bleue du tabac embauma la pièce mais le maire grimaça.
Pas de culture, pas de goût. Navrant !
L’allumette éteinte je mit aussitôt le bout de mon doigt dans mon verre d’eau pour soulager la douleur ! Ouf !
Le maire prit une gorgé du sien.
Je tirer sur ma pipe l’air relax et m’étouffer complètement.
-Sa vas Monsieur Lemieux ? Il se leva pour me taper dans le dos mais je lever la main pour l’arrêter.
Je tousser à m’en cracher les poumons et reprit mon souffle les yeux pleins d’eau. J’allais m’habituer.
-Wais… Monsieur Tremblay !
-Ah désoler. Il agitait sa main devant son visage pendant que je reprenais mon souffle et que je buvait une bonne gorgée d’eau sans sortir mon doigt du verre et je me crue bon de lui spécifier…
-Sa n’existe pas monsieur les loups-ga…
Il déposa une longue, très longue griffe brune, presque noire sur mon bureau. Je la prit pour l’observer, j’en avais jamais vu d’aussi longue. Une griffe de grizzly me dis-je ou de lion. Le maire veut un coup de publicité pour attirer des touristes dans son petit village surtout a l’approche de l’halloween. Pour le prix qu’il nous offrait sa valait la peine de jouer le jeu. Les coûts de production de l’émission étant astronomiques. Heureusement Marie savait nous dégotter de bons commanditaires.
-Faite la analyser par qui vous voudrez et rappeler moi si vous accepter. Personne ne nous croix et la population ne sort plus le soir. Tout le monde a peur. Aider nous sil vous plaît.
-Et vos chasseurs, y font rien ?
-On en a pas, on est une communauté qui prône le retour a la nature, la non v******e, vous voyez, y a pas d’arme chez nous. Mais la bête n’as tuer ou blesser personne jusqua maintenant elle est juste la, a roder. Mais sa peut changer avec l’hiver qui s’en vient. La Sûreté du Québec nous rit au nez, les agents de la faune aussi, les journalistes, on en parle même pas. On a voulu engager des gars mais personne n’est intéresser, personne n’y croît. Mais si vous, vous prouvez qu’il existe la se seras différant surtout Mme Lemieux, elle est si… Eh… Si crédible. Coup d’oeil a l’affiche. On nous écoutera M. Lemieux.
Je me contenter de soupirer. Pas de culture, pas de goût et pas de mémoire et maire. Seigneur !
-Vous ne l’avez pas filmer, ou photographier, même pas des empreintes de pas. Tout le monde a des caméras sur soit maintenant ?
-On est pas tellement techno non plus.
Je me gratter un sourcil songeur mais… avec mon doigt brûler. Outch ! Je le remit dans le verre et vite.
Le pire ces qu’il avait l’air a y croire ou c’était un bon vendeur, d’un autre coté des vacances tout frais payer avec ma blonde me ferait du bien. On adore la nature et notre émission nous forçaient à rester à Montréal plus souvent qu’a Sacré-Choeur. On aurait qu’a se promener et faire semblant de chercher la bête en filmant le cul de Marie en gros plan une bonne semaine. Simple, efficace et grosse cote d’écoute…
-Ok, je vais en parler a Marie, mais d’après moi elle va accepter. Ces même assurer M. L’maire.
-J’aurais aimer la…
-Je sais ! Dis-je en me levant pour l’expédier.
Moi les pas de goût sans culture, bref…
Il se leva tout sourire et on se serras la main. C’était celle avec mon doigt brûler. Je grimacer en lui souriant platement.
-Merci, merci bien Monsieur Lemieux, par la route il vous faudra 12h ou 14h au moins vous savez.
Chit.
-Cé pas grave. Je vous rappelle.
-C’est parfait, merci encore. Mme. Lemieux vas venir hein ?
Je lui fermer la porte au nez et retourner m’asseoir pieds sur mon beau bureau.
Je rallumer ma pipe rapidement puis remit mon doigt dans l’eau et prit un air songeur en regardant cette griffe tout en tirant une bonne poffe au bluet et au rhum et recracher mes poumons un bon 5 minutes avant de pouvoir appeler Marie.

-Non !
-Mais…
-Pas question !
-Mais…
-J’ai dit non Paul. Les maisons hantées, les fantômes, les esprits frappeur, ok ! Loup-garou non ! On va tomber dans le ridicule mon beau !
-Mais…
-Je suis une journaliste professionnel mon amour, je veux pas perdre ma crédibilité.
La je pensé à sa collection de pantoufles représentant toutes des étranges bestioles japonaises.
-Tout frais payer et le double du tarif habituelle, pour le tournage équipe réduite, toi moi, pas cameraman, une semaine de vacance tout frais payer dans un petit village de rêve dans le nord. Je te filme entrain de chercher des indices et de questionner des villageois et je m’occupe des recherches historique pis le soir on baise… Bingo minou !
Mes deux pieds ankyloser toujours sur le bureau je rallumer ma pipe pendant quelle réfléchissait.
-On par quand ?


-Paul… Paul, ta pogner la grippe ?
-Non ! Ehhh… Mardi matin avec le camion de popa.
-Non !
-Mais…
-On prend l’avion.
-Pas question !
-Mais…
-Popa prend son camion, pas l’affaire qui tombe de haut.
Gros soupir…
-Ok, bon… a ce soir mon amour… Oups…
-Sa vas chérie !
-Hum, oui j’ai… Non sa vas…
Le détecteur de fumée connecter directement sur la caserne des pompiers décolla.
-Paul… Paul …

Dimanche soir – 22h 15 – université du Québec a Montréal

Je besognais Dorine dans son labo a l’université. Debout, ses petites jambes écartées pencher sur son comptoir de travail elle criait son plaisir sans retenue. Je n’avais que relever sa courte jupe noire sur ses reins et écarter ses mini slip pour la prendre en vitesses avant qu’un gardien de sécurité ne débarque à cette heure tardive ou son assistant de laboratoire partit en pause pour 30 minutes.
Je fixais ses belles gosses fesses blanche un peut molle et ma bite qui allait et venait en lui demandant déjà essouffler tout en regardant la lune presque pleine au-dessus de Montréal.
-Pis, c’est pour quand les résultats pour la griffe belle fesses ?
-Ouf… Demain midi au plus tard… Ah que cé bon… Continue Paul…
-Christ que t’a un beau cul ! Dis-je en lui tapant les fesses rudement avant de lui chatouiller l’anus rose et plisser avec un pouce.
-Hummm !
Dorine avait 43 ans, neuf de moins que moi et avait de sacré beau seins, énorme et encore pas mal dure.
On se connaissait depuis 3 mois seulement et on baisait à chaque demande d’analyse que je lui faisais pour l’émission. Une femme brillante, une chimiste qui enseignait à l’université du Québec, très cultivé et curieuse et qui n’hésitait jamais a se conduire comme la dernière des putes. Bandante a mort.
Marie aussi avait ses petites aventures et c’était bien comme ça.
-Je peux te venir dans la bouche ?
-Pas le temps ! Oufff… Cé bon… !
Mes couilles valsaient et la frappaient de plus en plus durement, ses fesses rebondissaient merveilleusement tandis que je ramenais mes mains sur ses hanches.
Son comptoir de travail, a laquelle elle s’agrippait à deux mains, était rempli de pots, d’éprouvettes et de contenants de toute sorte qui menaçait de se renverser et qui sait, d’exploser ou de nous asphyxier. C’était des produits chimiques plus ou moins toxique sans parler des ossements qui roulait dans un plat en inox. On aurait dit ceux d’un tigre miniature ou d’un gros rats avec des dents de sabre.
Tant pis ce serait une belle mort, me dis-je en sentant mes testicules rentrer par en dedans.
-Je peux te la mettre dans le cul ?
-Pas le temps ! Ouf…
Le bruit de mon ventre heurtant ses fesses devait s’entendre du couloir, même de la rue St-Denis, trois étages plus bas. Tant pis.
Flack ! Flack ! Flack !
-Ah oui, ca ces un beau petit cul ! Entendis-je soudainement de la porte d’entré du labo. Tout mon petit poil se dressa.
Merde me dis-je en tournant la tête en stoppant ma bite bien enfoncer dans la dame toute pâmer. C’était son assistant, Sébastien en sarrau blanc mains dans les poches, gai jusqu’au oreille et ben sympathique, mais la, j’avais fait la gaffe de descendre mes pantalons au genou au lieu de sortir juste ma bite et il avait une sacré vue et en profitait pleinement.
-Wash ! Les fesses de la patronne… Rajouta t-il amuser en penchant la tête un peut.
-Vas au café Sébast. Lui ordonna telle les yeux révulser et les lunettes toute croche.
-Ok boss, mais juste 5 minutes on a du travail. Son quand même pas trop molle tes fesses pour ton age Dodo mais ton copain… Ouuuu… Et le petit tattoo d’Homer sa fesse droite, cool…
-Fou le camp salaud. Lâcha telle en souriant.
Il s’en alla en riant et moi je conclus en grognant. Je remplis son vagin détremper de sperme en lui donnant quelques coups puissants avant de me retirer à bout de souffle et le coeur battant à tout rompre.
Je secouer ma bitte au-dessus de la poubelle juste a côté et remonter mon pantalon, soulager.
-Ouf… Merci belle fesses. Dis-je en la regardant s’essuyer le sexe avec du papier brun. Je te rappelle demain pour les résultats.
-Ok ! Fit-elle la voie enrouer en replaçant ses slip, sa jupe pis ses lunettes. Mais j’aimerais mieux que tu viennes les chercher.
-Good !
-Sébastien aussi ! Dit-elle en riant et remettant son sarrau.
-Chit ! Cé quoi l’a****l dans le plat un squelette de Grimlins ?
-Une chatte. La police veut savoir si elle a goûter à sa maîtresses.
-Pardon !
-C’est plus fréquent qu’on pense. Nos petits animaux nous aiment bien même après notre morts. La dame prenait une quantité astronomique de médicament, si le minou a manger de la dame il va en avoir des traces dans ses os ou ses dents.
-Tien, la belles fesses d’Omer a fini ça petite affaire.
Sébastien, déjà, avec deux cafés pis son percing de narine me faisant un clin d’oeil.
Je filer comme un démon devant un prêtre bien armé.

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