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Piégé 2

Piégé 2



Méticuleusement, la lame du rasoir enleva tous les poils, en faisant attention à ma partie de corps la plus précieuse. Rasé de près, je me contemplais dans le miroir, surprenant un sexe d’homme imberbe, il allait aussi falloir trouver une explication pour ma femme.
Je retrouvais Manon toujours nue dans le salon, à mon arrivée, elle jeta un coup d’œil à mon travail, sourit et me dit
– C’est bien, viens avec moi.
Elle se leva, et se dirigea vers sa chambre. Je la suivais tel un petit chien, matant ses fesses tout au long du trajet.
Dans sa chambre, elle me fit allonger sur le lit et elle s’asseyait à côté de moi. Avoir une nymphette à côté de moi ne me laissait pas insensible, ma queue semi rigide lui montrait l’effet qu’elle avait sur moi. Manon prit mon sexe dans ses mains, délicatement, elle me caressait tout l’entrejambe pour faire monter mon désir.
Assise nue contre moi, jouant avec mon sexe glabre, elle me souriait. Ma main la plus proche se posa sur sa cuisse, j’avais envie d’elle, elle jouait avec mon excitation.
– Alors, ça te plait ce que je te fais…
Empoignant son sein, je lui répondis un oui dans un soupir.
– Tu as aimé me lécher ? me demanda-t-elle tout en amplifiant les caresses de ses mains sur ma queue.
Un soupir de plaisir fut ma réponse. Ses caresses me rendaient fou, je sentais que ma jouissance n’allait pas tarder.
– Tu voudras bien relécher ma chatte pleine de sperme ? continua-t-elle en accentuant la masturbation de mon sexe.
Je lui écrasais littéralement le sein et lui lâchais : « Ahhh, oui, je te lécherai tout…..ahhh. »
Elle s’arrêta et enleva ma main de son sein.
– Tu me fais mal, arrête et laisse toi faire.
Ma jouissance était quasiment arrivée, ma queue se dressait dans tous les sens, elle ne pouvait pas m’abandonner comme cela, il fallait que je me vide.
Redressant la tête, je la voyais se lever, aller fouiller dans son sac et en sortir des liens.
– Je veux que tu restes tranquille, laisse toi faire, ça va être mieux comme cela.
Un sexe au bord de l’explosion empêche de réfléchir, seule ma jouissance m’importait, si je la laissais faire, elle allait me faire jouir.
Elle lia une jambe à un pied du lit, puis la seconde à l’autre pied. Elle prodigua une caresse furtive sur mon sexe lui disant : «patience, je viens m’occuper de toi…. »
Très sûre d’elle, elle lia solidement chacun de mes poignets à un côté du lit, je gisais allongé nu, immobilisé les bras et les jambes écartés. Seul mon bassin avait encore une petite latitude de mouvement, se soulevant de quelques centimètres, suppliant se faire att****r la queue pour une jouissance espérée.
Manon se rassit à côté de moi, elle reprit les caresses sur ma queue.
– Retiens toi, ne jouit pas tout de suite, dis-moi quand tu sens que ça vient, je vais te faire un truc que tu n’oublieras pas.
Ma queue dure à éclater, mon gland violet, je n’en pouvais plus, à chaque fois que je m’approchais de moment de délivrance, Manon s’arrêtait et laissait tomber la pression. Jouir était une obsession.
– Allez on y est, encore une fois tu me dis quand ça vient, je te fais le final…. Me dit-elle avec un grand sourire charmeur.
La tension était telle dans mon sexe que je m’imaginais éjaculer jusqu’au plafond. La masturbation de Manon m’arrachait des gémissements de plaisir, sentant que j’allais atteindre le point de non-retour, je lui dis.
Elle cessa instantanément de me toucher, se leva et sortit de la chambre. J’ondulais du bassin, à la recherche de l’impossible jouissance. Un homme excité ne réfléchit plus, seule ma queue pleine m’obsédait. Jouir, jouir par tous les moyens mais comment faire en étant immobilisé ligoté sur un lit.
Manon revint rapidement, elle plaça un bandeau sur mes yeux, la sensation de dureté était décuplée par cette perte de sensation visuelle.
– Du calme, ça va aller, je m’occupe de ta queue bien dure.
Elle avait à peine fini sa phrase qu’une sensation de froid intense enveloppait complètement mon sexe. Je hurlais d’arrêter, elle comprima encore plus la glace sur mon sexe qui perdit toute vigueur.
Passer d’une excitation extrême à un sexe tout mou et recroquevillé par le froid, c’est comme un freinage d’urgence qui vous fait passer de 200 km/h à 0 en 10 secondes. Les yeux bandés, le sexe réfrigéré, j’avais perdu mes repères, mes sensations. Je sentais que Manon triturait son sexe mais je n’avais aucune idée de ce qu’elle faisait.
Clic.
– Voilà, c’est fait, ça va aller mieux maintenant.
Manon enleva mon bandeau, je soulevais la tête et aperçu mon sexe prisonnier d’un truc en métal fermé par un cadenas.
– C’est quoi ça ?
– Ça c’est une cage de chasteté, ça garde ta queue au chaud à ma disposition.
– Quoi ?! non, enlève-moi ça tout de suite…
Manon prit des photos avec son mobile et pianota en souriant.
– Tu veux que je les envois à Sophie ?
Répondre ne servait à rien, je laissais retomber ma tête en arrière sur le lit en signe de soumission.
Manon défit mes liens un à un sans un mot, elle me tendit un string en dentelle rose en me disant : « pour toi »
Me sentant ridicule, je l’enfilais sans discuter, essayant de faire entrer ma cage de chasteté au mieux dedans. Manon reprit des photos, au point où j’en étais, je ne disais plus rien.
– Viens voir…. Me dit Manon qui s’était assise sur le lit.
Je restais immobile.
– Allez viens, que je te montre comme tu es beau.
Assis à côté de Manon, elle faisait défiler les photos sur son téléphone, toutes plus choquantes les unes que les autres. Moi ligoté nu sur un lit, moi avec une cage de chasteté, moi en string féminin rose, moi en suçant la bite d’un gars, sur la suivante, Manon avait bougé l’angle de vue pour qu’on voit bien mon sexe bandé pendant que j’en avais une dans la bouche….
– Tu vois, si Sophie tombait sur ces photos ou sur la vidéo, ça ne serait pas terrible pour toi.
Je sentais qu’elle n’attendait même pas une réponse de ma part, tellement elle était évidente.
– Tu veux quoi Manon?
– M’amuser…. pas toi ?
Pas certain que nous ayons la même vision des amusements, je baissais la tête et répondit tout bas un petit « si »
– J’ai rencontré des gars en ville, je vais leurs proposer de passer boire l’apéro ce soir…en toute simplicité….
Manon pianota sur son téléphone, je me levais et partit vers ma chambre pensant m’habiller.
– Tu vas où ?
– Je vais passer une chemise et un pantalon
– Ok, et tu peux aller faire quelques courses, histoire qu’on puisse recevoir mes potes correctement.
Habillé, je partis au supermarché du coin pour ravitailler le frigo en boisson et nourriture.
A mon retour, Manon n’est plus là, je filais en vitesse dans sa chambre essayant de trouver une clé USB ou un support sur lequel elle aurait pu copier le film et les photos ainsi que la clé de ma ceinture de chasteté. Dans mes deux quêtes, je fis chou blanc.
Où était-elle partit, que faisait elle encore ? La fin de l’après-midi, un flot de questions sans réponse me tourmentaient mais surtout que raconter à Sophie quand elle s’apercevra que j’avais rasé mon sexe. La cage de chasteté n’était pas un problème, il était évident que Manon me l’enlèverait avant le retour de Sophie. Toutes les réponses que j’imaginais ne me satisfaisaient pas au final mais le retour de ma femme était encore loin, ça me laissait du temps.
Le temps passait, toujours pas de nouvelles de Manon, où était-elle ? Un coup de fil, messagerie, un sms, pas de réponse.
Surprenante cette jeune femme à qui on donnerait le bon dieu au premier abord et qui se révèle être le diable.
Le carillon de la porte d’entrée me tira de mes pensées, qui était ce ? Surement Manon qui avait oublié ses clés. J’ouvris la porte et me retrouva en face de deux grands black.
A mon air surpris, ils me dirent un peu gêné que Manon les avait invité pour l’apéro ce soir. Je les fis entrer en leurs précisant qu’elle était sorti et qu’elle ne devrait plus tarder. Poliment, je proposais aux deux gars de se poser dans le canapé en attendant son retour.
Tant bien que mal, j’essayais de leurs faire la conversation mais ils se fichaient royalement de ce que je leurs racontais.
– T’es le gars de la petite ?
– Non, je suis le mari de sa sœur, je l’héberge pour les vacances.
– Tu la baises ?
– Non, non…., ça pourrait être ma fille et c’est la sœur de ma femme.
– Ah… les deux gars ne semblaient pas convaincus de ma réponse.
Le temps passait lentement, toujours pas de nouvelles de Manon, que faisait-elle, où était-elle encore ?
Un des gars pianotait sur son mobile, il s’arrêta, me fixa et me dit qu’il avait soif.
– Oh oui, bien sûr, vous voulez une bière peut être ? …. Un soda ?
Le gars sourit
– Manon, elle a dit que tu allais nous servir du champagne….et du bon….
Je marquais un temps d’arrêt, qu’avait-elle dit à ces deux gars.
– Oui, bien sûr, je vais en chercher
Je partis dans la cuisine, maudissant Manon pour l’ensemble de son œuvre et je revins avec une bouteille de champagne et trois flutes.
J’ouvris la bouteille, alors que je voulais commencer à remplir une flute, le gars me lança une pique.
– Manon, elle a dit que toi tu n’avais pas le droit au champagne.
Quel jeu jouait-elle, même en son absence, j’obéissais à ses ordres.
– Ah ok, alors je vais ramener la coupe en trop dans la cuisine.
Les deux gars rigolaient entre eux, quand je revins de la cuisine pour servir, l’autre gars me lança
– Hé, Manon elle a dit que tu aimais faire le service juste en string….
L’autre enchaîna :
– Elle a même dit que tu aimais beaucoup montrer ton string rose…..
Foudroyé sur place, je marquais un temps d’arrêt. Je déglutis, reposai lentement la bouteille et les regardai.
– Fais-toi plaisir mec, nous ça ne nous gêne pas.
Salope ! Je la maudissais intérieurement de plus belle. Lentement, je déboutonnai ma chemise, espérant qu’ils me diraient d’arrêter mais non, en silence ils m’observaient.
La chemise tomba au sol, suivi de mon pantalon. Je me tenais en string rose, le sexe dans son écrin de fer devant deux blacks inconnus qui se marraient de plus belle.
Je repris la bouteille doucement, m’attendant à avoir une nouvelle consigne encore plus humiliante, je servis les deux flutes restantes et leurs tendis. Ils trinquèrent et burent une gorgée.
– Il est pas mal ton champagne et t’es un gars vraiment cool.
– Si on peut te faire plaisir, tu le dis, nous on aime bien rendre servir aux potes.
Je demeurais immobile et muet devant eux, attendant tel un condamné la suite du supplice.
Un des gars se leva, fit tomber son pantalon, il n’avait rien dessous, son sexe pendant lourd entre ses jambes, il se rassit en me toisant.
– Manon, elle a dit que tu aimais sucer des bites, je en suis pas PD mais comme tu es un pote, vas-y, fais toi plaisir.
Les deux gars trinquèrent à nouveau en rigolant puis ils me fixèrent du regard. Je tombais à genou devant le gars. Je m’approchais lentement mais inévitablement de ce sexe noir tout flasque. Quand je voulus le saisir avec mes mains, il m’arrêta.
– Non, pas les mains, juste la bouche, c’est mieux.
En même temps, il s’avança un peu pour rendre son sexe plus accessible. Je me penchais et en jouant avec mes lèvres, j’attrapais le boudin noir pour le faire entrer dans ma bouche. L’autre gars pianotait sur son portable, prenait il des photos, envoyait il des messages ? Cette salope de Manon était derrière tout cela, si je n’avais pas cédé à cette nymphette, je n’en serais pas là à sucer la queue de cet inconnu pendant qu’il se régalait de mon champagne.
Je m’appliquais à sucer au mieux sa queue qui durcissait régulièrement. Les deux compères ne se privaient pas de faire des commentaires.
– Alors c’est comment ?
– Pas mal, il suce aussi bien qu’une gonzesse, tu devrais essayer.
– Tu crois qu’il avale aussi
– Bien sûr, une salope comme lui, ça se faire gicler dans la bouche.
La porte d’entrée s’ouvrit, l’arrivée de Manon interrompu la conversation entre les deux compères. Elle jeta ses affaires sur un fauteuil et vint les embrasser.
– Ben dis donc Thomas, on peut pas te laisser 5 minutes avec quelqu’un sans que tu lui sautes dessus ! T’es un affamé toi !
Je m’arrêtais, la regardais mais le gars me dit d’y revenir. Je me remis à pomper sa queue bien dure maintenant.
L’autre gars s’était levé, il avait empoigné Manon pour l’embrasser à nouveau, passant ses mains sur ses fesses, sous son chemisier pour lui caresser les seins. En un rien de temps, il l’avait débarrassée de son chemisier puis de son pantalon. Il coucha la jeune femme sur l’autre canapé puis tirant sur sa culotte, il finit de la déshabiller.
Le gars que je suçais me repoussa, il se mit complètement nu et plaça son sexe complètement dur sur celui de Manon. Sans aucun préliminaire, il s’introduit entièrement en Manon.
– Putain, tu es gros et dur.
– Ouaih, c’est ton pote, il m’a bien préparé.
A chaque coup de hanche, Manon faisait un commentaire. L’autre gars s’était également déshabillé, le sexe pendant, il se plaça devant moi.
– Suce ! m’ordonna-t-il.
J’ouvris la bouche et je m’appliquais pour le satisfaire. A côté de nouveau, Manon soupirait de plus belle à chaque mouvement de la bite en elle, une vrai tigresse, demandant à son amant d’y aller plus fort, de la défoncer car elle aimait les bites, les vraies, pas comme la mienne.
Voir cette nymphette blanche se faire littéralement pilonner par ce colosse noir était un spectacle hypnotisant, ma queue essayait d’approuver cette vision mais sa cage en fer lui interdisait de se déployer, m’obligeant à me calmer si je ne voulais pas souffrir de cet emprisonnement.
Les deux amants se lâchaient, lui grognant telle une bête, elle criant son plaisir. Dans un coup de boutoir, le black embrocha profondément Manon et se vida en elle en la traitant de salope, de garage à foutre.
La tension retombée, celui que je suçais me repoussa, à peine l’autre sorti de Manon, qu’il s’engouffra à son tour dans la fente crémeuse de la nymphette.
Je restais à genou, contemplant le second accouplement, chaque passage de la grosse bite noire refoulait des coulées blanches du précédent black.
Celui qui venait de se vider dans Manon me présenta sa queue semi rigide maculée de sécrétion des deux amants devant mon visage.
– Y en a pour toi ! Nettoie la bien.
Sans un mot, j’ouvris la bouche soumis. Ma langue et mes lèvres recueillirent consciencieusement toutes les traces de sperme et de cyprine et quand du sperme s’écoula du gland, je l’avalais aussi.
Le sexe nettoyé, le gars se rassit et se resservit du champagne, j’en profitais pour regarder le coït bestial entre Manon et l’autre gars, elle semblait une poupée dans les mains d’un géant, sa fente rougie par les frottements paraissait écartée au maximum, prête à se déchirer. Manon cria à nouveau son plaisir en suppliant son amant de jouir aussi. L’homme ne tarda pas à l’exaucer et se vida en elle. Quand il se retira, des coulées abondantes de liqueur s’échappèrent du sexe de Manon, l’homme se présenta à son tour devant moi. Il n’eut rien à dire, j’avais compris ce qu’on attendait de moi.
– Quand tu auras fini, tu viendras me lécher moi aussi.
La petite voix fluette de Manon avait brisé le silence de la pièce. Je lâchais le sexe du black, restant à genou, je me déplaçais jusqu’au canapé. Son sexe dégoulinait de toute part, il y en avait partout, dedans, à côté, sur son ventre, entre ses fesses et même sur mon très beau canapé en cuir. Régulièrement, centimètre par centimètre, j’ai tout léché, enlevé, aspiré, écartant ses fesses pour récupérer jusque sur son anus.
Le premier black s’était rapproché de Manon, il bandait à nouveau. Manon lui fit non de la tête.
– Vous m’avez défoncé, ce soir c’est fini pour moi, ma chatte ne peut plus accueillir de bite.
– Allez soit sympa, j’ai encore envie moi….je te promets d’aller doucement….
– Non vraiment je ne peux plus
– Et ton cul, je peux le prendre ?
Manon se redressa en souriant.
– Mon cul non, je le donne pas…par contre si tu veux le sien, tu peux….
A quatre pattes, les fesses en l’air, la ficelle d’un string rose dans la raie, ma position était scabreuse. Je regardais Manon lui faisant non de la tête, elle me fixait.
– Si tu veux j’ai du lubrifiant dans mon sac… dit-elle au black
Il alla fouiller dans le sac.
– Toi continue de lécher.
La tête dans la chatte de Manon, je sentis couler du frais sur mon anus, deux doigts étalant au mieux le gel, autour et poussant le sphincter pour faire pénétrer à l’intérieur. Un bruit de tube qu’on presse, le black devait se badigeonner la queue, je continuais d’implorer non de la tête, en réponse Manon me souriait.
Une main avait tiré la ficelle du string sur le côté, un doigt s’enfonça d’un coup en moi, me faisant sursauter. Une dernière supplique à Manon qui me susurra que ça irait bien, que j’allais aimer et je sentis le gros gland contre ma rosette. A la première petite poussée, le gland s’écrasa, à la seconde je sentis une douleur intense, le gland avait forcé le passage. Le black se retira, mon sphincter n’avait pas fini de se resserrer que la troisième poussée permit l’introduction de la moitié de son sexe. Mon dernier rempart avait cédé complètement, emmanché à moitié en moi, il me saisit par les hanches et s’enfila entièrement en moi. Le souffle coupé par la soudaineté de cette introduction, des larmes coulaient sur mes joues.
– Détend toi, ça y est, il est passé. Tu vas t’habituer.
Le black se retira en partie et revint d’un coup au fond de mon cul, m’arrachant un gémissement de douleur.
– Ca va, tu veux que j’arrête me questionna le black.
– Je suis sûre qu’il veut que tu continues lui répondit Manon en me regardant dans les yeux.
– Vraiment ? redemanda le black en refaisant coulisser à nouveau sa queue dans mon cul.
Manon me prit le menton dans sa main, me forçant à la regarder.
– Alors…il attend que tu lui dises….. son regard ne souffrait aucune discussion
– Oui……continue….
Je finis par lâcher la phrase que Manon attendait, elle me sourit encore une fois et m’embrassa sur les lèvres en me disant qu’elle m’adorait.
Tenu par les hanches, le black me baisait le cul méthodiquement, jamais je n’avais été enculé et j’avais l’impression d’être déchiré par chaque passage de sa queue.
– Putain t’as le cul serré, je ne vais pas tenir longtemps
Ses mains tenaient plus fermement mes hanches, mettant plus de vigueur et de vitesse dans ses mouvements, il finit par se coller à moi en grognant.
– Putain, t’es une sacrée salope toi, je te rebaise le cul quand tu veux.
Bien qu’il s’était retiré, j’avais l’impression de l’avoir encore en moi.
Je me laissais tomber recroquevillé au sol, observant les deux compères qui se rhabillaient et finirent par partir de la maison. Je n’en finissais plus de sentir le passage de cette queue, du sperme d’écoulait de mon anus pas entièrement refermé.
Manon se leva et partit prendre une douche, je restais seul prostré dans le salon.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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