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Mon voisin

Mon voisin



Voici l’histoire de la rencontre avec un voisin. Cela se passait il y plus ou moins 35 ans. Ce voisin était un vieux jeune homme vivant seul dans la petite maison que sa maman lui avait léguée. Il devait avoir la bonne cinquantaine. Il était connu des jeunes du village comme étant homosexuel ce qu’il ne cachait d’ailleurs pas. Il ne se gênait toutefois pas d’essayer d’engager la conversation avec les plus jeunes afin de les amener à venir chez lui, probablement pour essayer d’avoir des relations plus intime. D’après l’un ou l’autre jeune âgé d’une vingtaine d’année qui avait probablement tenté l’aventure, notre célibataire n’allait pas beaucoup plus loin que de tenter l’une ou l’autre branlette ou touchette sur la braguette. D’après ces jeunes gens l’intéressé semblait être nettement bien nanti par la nature d’après ce qu’ils avaient pu sentir lors de certaines caresses à l’improviste. D’autre part les jeunes aimaient sa compagnie car lors de sa présence dans les bistrots notre célibataire s’efforçait de leur payer nombre de verres espérant pouvoir amener l’un ou l’autre à avoir des relations plus intime avec lui. D’autre part pour les gens du village, il n’était pas dangereux car de plus il était serviable au possible et tout qui lui demandait un coup de main pour un travail l’obtenais sans grand problème.
Donc à cette époque, je construisais tout seul ma maison. Dans une des caves de cette maison juste derrière le garage, j’avais aménagé et équipée celle-ci afin de pouvoir me déshabiller et mettre mes vêtements de travail.
Un jour, ce voisin qui habitait dans la même rue que moi me proposa de venir m’aider le soir à mettre trois grosses poutres en place. Ce soir-là vers 17:00, nous nous sommes retrouvés tous les deux à ma maison en construction. Nous sommes descendus dans la cave comme j’étais habitué, pour mettre nos vêtements de travail. Nous nous déshabillons tous les deux et voilà que nous nous trouvons là dans nos seul sous-vêtements, lui en slip kangourou et moi en slip de sport bleu clair. Mais à ma grande surprise, le slip orange de mon voisin arbore un vrai chapiteau dans le bonnet du sous vêtement. Une bosse énorme déformée par la pointe d’un vit de forme ovale voulait percer le tissu. Voyant que je l’observe, il a commence à rire et s’excuse pour son érection qui est vraiment énorme. Et il me dit : cela fait déjà quelque temps que j’ai un œil sur toi et à te voir comme ca dans ton slip ca m’a excité, J’ai la bite toute raide dans mon calebar, et disant cela il s’est rapproché de moi. Il a mis sa main sur le devant de mon slip pour y rencontrer et peloter doucement ma bite. Pour ma part je sens nettement qu’il essaye de deviner la forme et la grandeur de ma queue. Me voila donc là me laissant peloter. Tout naturellement ma queue ne reste pas insensible aux caresses et je commence à bander. Comme cela ne me gêne pas et surtout aussi espérant par curiosité de voir également son engin, je laisse l’homme continuer son jeu, je mets à bander comme il faut. Ma trique s’étant totalement durcie provoquant dans mon slip de sport une véritable tente, je suis obligé de la faire pivoter pour la mettre sur biais dans une position plus confortable. Faisant cela mon voisin à maintenant une vue globale sur les dimensions de ma queue.
A ce moment-là je regarde vers son caleçon et je vois la tête de sa bite sa bite qui sort par sa braguette. Quelques instants plus tard le corps de sa trique suit. Une queue comme je n’en ai jamais vue au paravent, bien 20 à 21 cm et d’un diamètre conséquent. Sans le vouloir j’avance automatiquement ma main vers cette verge tendue et la prend dans ma main. Elle est douce mais très dure. Il me dit ainsi je m’en rappelle très bien « Vas-y branle moi ». Ma main commence alors un lent va et vient sur sa bite. Par ce mouvement le gland d’un rose foncé se décalotte. Je sens à ce moment que sa main ne reste pas inactive et comme je n’ai pas de braguette dans mon slip, je sens sa main passer l’élastique du sous-vêtement et englober ma virilité. Pendant que je continuais doucement mon mouvement de va et vient je sentis ma bite sortir de mon slip. Il commença directement à m’astiquer le chibre de haut en bas. Je lui dit de ne pas aller trop vite pour éviter de jouir directement.
Comme je mouille assez rapidement mon gland commença à suinter de gouttes de liquide transparent. Chez lui l’effet fut à ce moment le même car une grosse goute transparente perla sur son gland. Je me trouve à ce moment-là le slip baissé à mi-fesses la queue toute raide pointant vers l’avant manipulée par une main assez énergique. Lui par contre à la bite qui sort de la braguette de son slip et je n’ai pas encore vu ses couilles. Mais je n’en ai pas le temps de lui baisser le slip, je sens que sa main se relâche un peu sur ma queue et voilà qu’il se met à respirer plus fort, je sens sous mes doigts sa bite se gonfler et un premier jet sort du prépuce bien ouvert. Je n’avais pas encore vus un gars juter de cette façon, 7 à 8 jets énormes de jus épais et gluants. Qu’est ce que ce mec avait comme jus.
De voir cela ma bite commence à durcir à fond et je sens la montée de ma sève dans la tige, je commence également à lâcher toute ma sauce qui se répand sur le sol à côté de la flaque de mon voisin. Il regarde les jets sortir de mon gland et me dit : je n’aurai pas pensé que j’aurai pu te branler aujourd’hui. Je lui réponds : moi non plus. Nos bites entretemps se sont totalement dégonflées. Je remonte mon slip et lui entre sa bite dans son slip kangourou.
Après cette jouissance de pleine puissance nous décidons d’effectuer ce pour quoi nous sommes présents. Après cet intermède délicieux donc nous commençons rapidement notre travail.
Durant notre travail il m’expliqua qu’il m’observait depuis un certain temps et qu’il se branlait régulièrement en pensant à moi. Je lui posais des questions afin de l’amener à me révéler si d’autre jeunes gens du village se sont déjà laissé approcher par lui. Et effectivement il me cita deux ou trois autres prénoms. Cela me permit ainsi de pouvoir peut être un jour ou l’autre d’approcher l’un ou l’autre de ceux-ci.
A la fin de notre ouvrage nous sommes descendus dans la cave afin de boire un soft et discuter un peu. Nous enlevons notre tenue de travail et nous voilà à nouveau lui dans son slip kangourou orange et moi en slip de sport. Regardant de biais vers lui afin de ne pas trop le choquer et lui tournant le dos, je vois qu’il est de nouveau en érection avec une bosse à nouveau énorme dans le bonnet de son slip kangourou. Etant de dos par rapport à lui, je sens tout à coup une main contre le bord de mon slip près de l’élastique. La sensation e sa main sur l’arrière de mon dos me fait me retourner. Sa main s’étant légèrement introduite sous l’élastique, mon slip s’abaisse entièrement et tombe sur mes talons. Me voilà donc là en face de lui avec ma bite à moitié bandée et légèrement décalottée. Me regardant bien en face, il prit l’élastique de son caleçon et abaissa celui-ci me dévoilant cette fois tout son chibre et ses couilles qu’il avait à première vue bien remplies malgré sa première éjaculation avant le travail. Quel engin je n’avais encore jamais vu de pareils bien que j’en avais déjà vus quelques uns de fort beau calibre. Sa queue était raide comme un piquet et légèrement décalottée, le gland sortant à moitié de son prépuce. Il avança sa main vers ma bite qui devint immédiatement raide et dure. Mon gland sortant à moitié de son étui. Il prit son temps pour tâter, puis examiner ma bite, décalotta totalement mon gland dans un mouvement doux et lent d’aller retour me faisant bander encore plus fort. Ma main n’était pas restée inactive et faisait de même chez lui. Je palpais la tige dur comme du bois, ensuite, je décalottais de même façon que lui son gland. Il était du même calibre que sa tige. Ma bite se mit à perler de gouttes transparentes démontrant par là que sa manipulation était tout a fait adéquate. Nous nous caressions ainsi lentement et jouions avec nos engins, je me mis à le décalotter à fond, quel beau gland a peu près du même diamètre que sa queue bien que j’aurai cru que celui-aurait été plus large. Il commença également à distiller des gouttes de liquide pré-séminal par son méat assez étroit. Cette fois, c’étais vraiment presque un flot constant de mouille qui sortait de son gland et coulait sur ma main. Nous sommes à ce moment très prêt à lâcher notre charge et je lui demande s’il ne veut pas que je lui fasse autre chose tel que lui sucer la queue, mais il me répond de continuer ma branlette, que cela lui suffit. Dommage j’aurai tant voulu mettre cette queue dans ma bouche et gouter son sperme. Donc on continue et quelques instants plus tard, il lâche encore une fois 6 à 7 grosses giclées de foutre blanc et épais. La vue de ces jets de forte puissances sortant par son méat étroit ont sur moi un effet d’excitation, aussi je me laisse aller et lâche mon foutre, mais nettement moins abondant que lui. La jouissance a été terrible pour moi. Je crois ne pas avoir lâché mon foutre avec autant de force et de plaisir. Nous soufflons quelques instants pour récupérer de cet effort. Nous remontons chacun notre sous-vêtement, lui son slip kangourou moi mon slip de sport et nous rhabillons afin de pouvoir retourner chez nous.
En chemin il m’avoue qu’il se branle au moins 4 à 5 fois par jour rien qu’en pensant à la dernière bite qu’il a vue. Chaque branlette étant accompagnée d’une éjaculation abondante. Après ce premier intermède nous nous rencontrons régulièrement principalement sur mon chantier, endroit idéal ou personne ne pouvait nous déranger. Ceci c’est vraiment passé de cette façon et est absolument véridique.

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