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Des vacances fatales

Des vacances fatales



Il suffit parfois d’un rien, d’unévénement insignifiant pour faire basculer une situation. Une scènepourtant commune, qui pour une fois fera changer les choses. C’estd’autant plus violent, quand cela est inattendu, les surprises nesont pas toujours bonnes à prendre. C’est ce que doit se dire Paul àl’heure actuelle, assis seul sur le canapé du mobile-home, les yeuxécarquillés, mais vide de toute sensation, fixant le sol sans unbruit.
Seulement ce qu’il vivait n’était pasaussi soudain que ce qu’il pensait lui. Des années à fermer lesyeux, n’acceptant pas la réalité, se cachant derrière descertitudes auxquelles lui seul croyait. D’ailleurs n’avait-il pasquelque part lui-même provoqué ces événements ?
La vie de Paul est plutôt calme ettranquille, la routine rythme sa vie, sa situation toute tracé. Encouple depuis plus de 4 ans avec Lara, un CDI stable dans une boitede comptabilité avec des possibilités d’évolution, lui permettantchaque mois de mettre des économies pour devenir bientôtpropriétaire. Quelques disputes dans son couple, à l’instar de toutle monde, aimait-il à se dire. Ces dernières étaient pourtantrécurrentes.
La confiance qu’il portait en soncouple, était quasi absolue. Comme si les années passées avec Laraavait mis un sceau définitif à leur relation. Les signes étaientprésents, autour de lui, les gens voyaient que le couple étaitfragile. Silencieusement évidemment. Son entourage se gardant biende dire ostensiblement son avis.
Il y avait régulièrement desdisputes, pour être exact Lara criait souvent. Non pas qu’elle soitcolérique, bien que doté d’un certain caractère, simplement uneattitude de Paul qu’elle ne supportait plus. Son effacement. Elleavait besoin de se sentir avec un homme, de se sentir rassuré, de sesentir séduite. Paul, qui avait certes d’autres qualités, necorrespondait pas vraiment aux critères.
Que ce soit dans la rue, dans des barsou à des soirées Paul ne s’imposait pas, Lara devant se défaireelle-même des lourdauds la draguant sans retenue. Cela a toujoursreprésenté un manque d’amour pour Lara, comme si Paul ne serait pastouché s’il la perdait.
Quand une bagarre se déclenchait dansla rue, des gens qui parlaient un peu fort dans les transports Paulprenait rapidement Lara avec elle pour prendre la poudred’escampette, dans une attitude laissant présager le pire en cas deconfrontation directe.
Lara savait cependant reconnaître lesqualités de son compagnon, chacun ses défauts et ses qualités.Pourtant tout cela additionné à la routine du couple les amener àse disputer de plus en plus régulièrement. Paul ne faisait plusvraiment attention à lui, ne portait plus spécialement le regardsur Lara, ne lui faisant quasiment plus l’amour. D’autant que depuisqu’il s’était mis ensemble seul lui avait changé que ce soit dansl’attitude ou le physique.
Elle a toujours sa chevelure blondvénitien avec des reflets roux bouclées, 1m71 pour 65 kilos. Desseins magnifiques en poire de taille B, et des vrais hanches defemme. Une silhouette légèrement en forme de bouteille d’Orangina,avec pour sublimer le tout, des fesses qui faisait se tourner lesregards dans la rue. Large comme il faut, bombé comme il faut, ellesétaient comme une invitation pour les regards qui se posaientdessus.
Lara était tombée amoureuse de luialors qu’il était plutôt mince, une musculature en devenir, biencoiffé et rasé. Aujourd’hui, même s’il n’est pas devenu gros, leventre plat est devenu une légère brioche, il ne se coiffe plus, sabarbe est devenu vraiment sauvage et surtout sa garde-robe n’aquasiment pas évolué depuis leur rencontre.
Lara a l’impression d’avoir quaranteans et vingt ans de mariage derrière elle, pourtant ils n’ont que 26ans. L’impression d’être en train de faire du stop, alors que lajeunesse voisine est sur l’autoroute. La situation du point de vue deLara est plus que tendue. Heureusement qu’elle a sa meilleure amie,Sophie, sur qui elle pouvait compter quoi qu’il arrive. Même si celan’est pas d’un grand bienfait pour leur couple. Sophie ne supportantpas Paul.
Demandant systématiquement à sonamie, ce qu’elle fait avec lui, qu’elle mérite mieux. Elle ne s’encache d’ailleurs pas devant Paul, ne laissant passer aucune erreur dece dernier. Prenant soin de le rabaisser à la moindre occasion. Lepire étant qu’il n’est pas touché par cette situation. Son egoétant quasiment inexistant, et la confiance dans son coupleinébranlable il n’avait que faire de ce qu’elle pensait de lui.
Preuve en est, ils sont partis tous lestrois en vacances. Lara n’imaginant pas partir sans sa meilleureamie, et Paul n’ayant pas pléthore de relations amicales tout ceconcordait bien. Le trajet se déroulait bien, tout comme l’arrivéedans le mobile-home. Une agréable surprise pour couronner le tout,leur mobile-home se trouve au bout du camping à côté de laclôture, collée à la forêt, dans un virage donc au calme etquasiment personne ayant une vue sur leur emplacement.
Pourtant tout allait dégénérer trèsrapidement. À peine le temps de s’installer et de ranger lesaffaires, que le petit groupe se décidait à se mettre en maillotpour aller essayer les toboggans du parc accolé au camping. D’autantqu’il était midi et qu’ils se disaient qu’à cette heure-ci il yaurait moins de queue, les gens partant déjeuner.
C’était raté, il y avait encore dumonde. Après avoir fait deux tours de toboggans, le moment étaitvenu de tester le plus grand toboggan, celui-étant avec des bouées.L’attraction étant pour deux personnes, les deux filles prenaientune bouée, Paul suivant derrière avec la sienne. Une remarque deSophie, sur la non-galanterie de Paul de ne pas porter leur bouée,enclencha une dispute dans le couple.
Des remarques sèches etcondescendantes de Lara, dont l’énervement s’amplifiait devant lanon-réaction de Paul, préférant se taire plutôt que de réagir.Les 10 minutes de queues se déroulant ainsi.Ni les filles, ni Paul n’avait faitattention aux deux garçons qui se trouvaient juste derrière dans laqueue, ne manquant pas une miette de cette dispute. D’abord attirépar la vue arrière des deux filles. Sophie ayant un physiquesimilaire à Lara, exception faite d’une chevelure brune et lisse, etd’une poitrine plus opulente.
La vue qu’avait les deux garçons ayantrendu leur attente bien agréable. Surtout que se retournantrégulièrement ils avaient pu aussi disséquer l’intégralité deleurs physiques, visages et surtout poitrines comprises.
Les deux jeunes, avaient eux aussi unphysique assez similaire. Les deux étant militaires, portant leurmédaillon militaire autour du cou, ils avaient les muscles secs etdessinés, les cheveux à ras, foncés. Ils avaient aussi laparticularité d’avoir un tatouage au même endroit, sur leur brasdroit, avec leur prénom inscrit. Julien, pour le plus grand desdeux, et Arthur. Tandis que les deux personnes devant les filles,mettaient leur bouée pour pouvoir enfin descendre le toboggan, lesdeux garçons passaient sur le côté de Paul, sans lui prêterattention. Arthur prit la parole :
« Salut les filles, dites-moi, ceserait dommage que vous descendiez toutes les deux seules sans un mecpour vous aider en cas de besoin !
– Non c’est gentil ça va merci,répondait instinctivement Lara- Allez, c’est les vacances, on est làpour s’éclater, faire des rencontres

Sophie, étant célibataire et pasinsensible aux physiques des deux militaires, surtout Julien, donnaitun coup de coude maladroitement discret à Lara, ses yeux disantallez pense à moi. Lara jetait un coup d’œil vers Paul, la têteposée sur sa bouée, attendant comme à son habitude que sa compagnese débrouille seul. Ce qui l’énervait au plus haut point.
– Pourquoi pas après tout, ça n’al’air de gêner personne, répondait-elle en lançant un regardhaineux à Paul »
Les deux garçons sautant surl’occasion, posent les deux bouées les unes derrières les autres,histoire de partir tous les 4. Les binômes se formant presquenaturellement. Julien se trouvant dans la bouée de devant avecSophie, Lara s’installant dans celle de derrière, Arthur étantencore debout.
Paul avait été très brièvementinterpellé par la scène, comme à son habitude laisse courir,persuadé que Lara avait simplement trouvé par cette occasion uneoccasion pour se venger de leur dispute. Au moment du départ Julienpris soin de se saisir de la bouée de Paul, l’empêchant ainsi deles suivre, avant de sauter à côté de Lara et de descendrel’attraction, la bouée vide de Paul derrière eux.
Paul avait eu le temps de voir Lararigoler à la blague d’Arthur. Paul, plus dépité qu’énervé,devait donc rebrousser chemin par les marches. Il descendaitmollement, comme blasé de devoir marcher pour les rejoindre. Unefois en bas impossible de les retrouver, il venait de réaliserqu’ils ne l’avaient pas attendu. Il avait raison. Une foisl’attraction finit, les deux garçons, sans avoir eu beaucoup àinsister, convinrent les filles de continuer à faire desattractions, Paul allait les retrouver.
Sans portable, Arthur savaitpertinemment que c’était quasi-impossible. Finalement Paul ne fitrien de l’après-midi passant son temps à marcher, scruter lesattractions pour les chercher. De part le monde présent et la tailledu parc il ne parvenait pas à mener à bien sa recherche.
Pendant ce temps-là les deux garçonsse rapprochaient doucement mais sûrement des filles. Multipliant lesblagues, les contacts physiques, les rapprochements, tournée au bar.
Les filles bien décidées à voirjusqu’où cela allait les mener, proposent alors aux garçons devenir manger chez eux le soir, quitte à venir tout de suite pourboire un coup. Sophie ayant laissé des affaires personnelles dans uncasier, les deux duos se séparaient temporairement. Cette dernièrequi avait visiblement fait un choix, partait tout en tirant par lamain, Julien pour qu’il l’accompagne.
Arthur et Lara était arrivée aumobile-home, ce dernier ayant passé le trajet à la complimenter, etla main autour de sa taille. Lara faisant une visite rapide dumobile-home à Arthur, finissant par sa chambre. Elle lui dit alorsqu’elle allait juste en profiter pour se changer, Arthur luirépondant qu’il n’y avait aucun souci, refermant la porte. Saufqu’il reste à l’intérieur de la pièce.
Au moment où il saisit doucement lebras de Lara, elle a un léger sursaut, se retourne et se faitplaquer contre le mur par Arthur. Sans aucune hésitation, il colleses lèvres à celle de Lara, l’embrassant tendrement, maisfermement. Très vite leurs langues se mélangent. Lara se laissantcomplètement aller dans les bras d’Arthur, un sentiment deplénitude l’envahissant. Les mains d’Arthur parcourant sansménagement le corps de Lara. Cela ne présageait rien de bon pourPaul.

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