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Premier Trio

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Premier Trio

J’ai rencontré Mado en accompagnant Pierre mon mari sur un congrès. Si cette rencontre m’a permis, enfin ! à 40 ans, d’assouvir un vieux fantasme (lire Appétences lesbiennes). Elle fut également une révélation pour moi. Sans tirer un trait sur les hommes, surtout le mien ! J’aimais les femmes, j’étais devenue Bi-sexuelle !

Je revois Mado. Notre entente est parfaite, tant au lit que dans la vie courante. Je n’en oublie pas pour autant mon mari, avec qui, depuis « ma curiosité lesbienne » j’ai retrouvé une deuxième jeunesse au lit. À croire que mes ébats extra-conjugaux, dont je lui raconte toujours tout en détail, ont un effet érotique sur notre couple.

Pierre me remet très souvent en mémoire son fantasme : un plan a trois avec une autre nana. Cette idée fixe de mon mari à fait son chemin dans ma tête. D’autant plus que je suis décidée à le réaliser. D’une part pour lui faire plaisir. D’autre part pour vivre, cette fois-ci « en famille » une nouvelle expérience sexuelle, qui peut nous ouvrir de nouveaux horizons luxurieux. Notre anniversaire de mariage approchant, je sais que c’est le meilleur cadeau que je peux lui offrir. Mais avec qui ?

J’en parle un jour à Mado. C’est elle qui trouve la solution. Elle me propose de l’inviter ce jour-là, elle servira de « cadeau » ! Si je suis d’accord de la partager avec mon époux bien entendu !

Avec son aide, je prépare un week-end loin de la famille, et me protège d’éventuelles demandes de sortie entre amis qui pourrait venir perturber notre plan. Bien sûr, il m’a fallu convaincre Pierre de passer un week-end en amoureux pour cet évènement. Sur ce point, ce ne fut pas difficile. Plus compliqué, fut de lui faire accepter, cette nuit là, de se soumettre à toutes mes fantaisies et désirs, sans poser de questions. Mais il a fini par promettre. Ensuite avec Mado, mettre « une stratégie » en place. Faire toutes mes réservations. Car si je voulais que ce week-end-là soit très coquin, je le voulais également festif …

Puis le grand jour est arrivé ! …

« Les festivités » commence le samedi soir par un souper aux chandelles. Tête à tête dans un salon privé d’un restaurant chic pour un souper aux chandelles. Face à Pierre, sous une table nappée de long (à croire que le restaurateur avait prévu mes coquineries !) la mise en condition de mon époux commence.

Sorti de mon escarpin, mon pied gainé de nylon est remonté jusqu’à son « paquet ». Mes orteils frottent et pétrissent son entrejambe. Sous ce contact, la virilité « de Monsieur » a vite fait de se mettre en croissance rapide. Pierre bouge sur son siège pour obtenir une position confortable, écarte plus ses jambes. Le coquin ne se défile pas et veut profiter au mieux de la caresse !

Mais le maitre d’hotêl qui se rapproche pour nous servir, m’oblige à interrompre ce petit jeu. Un pied, néanmoins, qui reviendra plusieurs fois pendant le repas pour poursuivre ses taquineries et provoquer « Monsieur ».

Le repas terminé, nous sortons pour un spectacle dans un cabaret (Pierre doit d’ailleurs penser que c’est le clou de la soirée, hormis les polissonneries qu’il compte subir et me faire subir en chambre) je jubile ! Car il est « à cent lieux » de se douter de ce qui l’attend dans cette chambre réservée dans un hôtel de charme, ou Mado doit déjà patienter.

Pendant que Pierre nous conduits vers le cabaret, je me fais chatte tout contre lui. Petits baisers dans le cou, l’oreille. Petits murmures érotiques. Ma main posée sur sa braguette caresse « sa chose » à travers le tissu. Gêné par sa ceinture de sécurité, je la déboucle et baisse la fermeture éclair de son pantalon. Un renflement engorgé apparait. Je fais jaillir de son caleçon sa bistouquette. La cajole un peu, puis ma tête descend pour prendre son dard en bouche et le sucer avidement, jusqu’à ce qu’il explose au fond de ma gorge. J’avale sa crème puis ma langue le nettoie, jusqu’à ce qu’il soit complètement propre.

Sur le parking du cabaret, juste avant de descendre, avant qu’il se rebraguette, il m’ embrasse passionnément pour me remercier de ma gâterie. J’en profite pour me livrer à une petite branlette sur son zizi. Manière de lui redonner un peu d’allure. Pour ronronner à son oreille que ce ne sont que des « amuses gueules », la « vraie « soirée n’a pas encore débuté !
Et sur ce, main dans la main comme deux jeunes amoureux, nous entrons dans le cabaret. Sous les lumières tamisées, pendant tout le spectacle au demeurant très bon, ainsi que le champagne, l’on s’embrasse et se caresse furtivement entretenant ainsi notre envie de l’autre.

Sur le chemin de notre hôtel. Blottie contre lui, mon excitation devient croissante, ma culotte est poisseuse en pensant a ce qui va venir. Je le bécote, le touche de manière très sensuelle. Dans l’ascenseur qui nous conduit à notre étage notre impatience se manifeste par des baisers enflammés. Les mains de Pierre sont passées sous ma robe, pétrissent mes fesses, les écartent, passent dans ma raie. Moi, je m’abandonne pendu a son cou, me frottant sur sa cuisse en gémissant.

Il est dans la salle de bains, sous la douche. J’en profite pour mettre en place, rapidement, le décor du scénario prévu avec Mado. Éteindre les lumières que je remplace par des bougies décoratives et parfumées qui donnent une ambiance et moins de clarté. Mettre une musique douce. Et le plus important : vérifier que la porte (j’ai réservé 2 chambres qui communiquent) soit déverrouillée, pour que Mado nous rejoigne incognito, au moment choisi ensemble. Je sais qu’elle nous a entendu rentrer (j’ai fait le pourquoi, comme convenu lors de la préparation de « l’évènement ») et qu’elle est prête et impatiente d’intervenir.

Pierre sort de la salle de bains avec une verge en demie érection et une envie qui se lit sur son visage. Je viens me coller à lui pour l’exciter encore plus. Murmurant à son oreille à quel point je l’aime et combien j’ai envie de son chibre ! Je l’embrasse fiévreusement. Un baiser de femelle affamée ! Le tout provoque chez lui une érection instantanée, et chez moi un frisson voluptueux qui court le long de ma colonne vertébrale pour finir dans mon entrejambe déjà bien mouillé et qui gargouille de plaisir.

Je lui bande les yeux, Pierre bougonne un peu, par principe, mais accepte le jeu comme promis. Sa bestiole atteint maintenant le plafond ! Je prends son pieu dans ma main et doucement joue avec, pendant que mon autre main caresse ses boules. Je m’assure qu’il ne voit rien et le guide vers le lit. Une fois qu’il est couché, j’attache ses poignées et ses jambes que j’ai pris soin d’écarter aux montants.

Puis je m’applique à le rendre fou d’envie, de désir. Avec une attention particulière pour ses tétons, que je sais très sensibles chez mon homme. Toutes ses zones érogènes y passent … Sauf sa quéquette que je fais semblant d’oublier et qui palpite d’envie de trouver au plus vite un fourreau. Très excité, il en est à me supplier de m’occuper « d’elle » au moment ou je stoppe mes préliminaires.

C’est le moment convenu pour me retirer du lit et entrouvrir rapidement la porte communicative. Mado entre toute nue. Elle exhale mon parfum pour dérouter Pierre. Qu’elle est belle mon amante ! Avec ses yeux bleus, ses cheveux blonds qui lui tombent sur les épaules. Ses jolis seins ni trop gros, ni trop petits. Sa toison blonde bien taillée sur laquelle perle déjà des gouttes de mouille.

Mado se positionne de suite entre ses jambes, sans un mot bien entendu (je pense que maintenant vous avez compris la stratégie que nous avons mise en place) caresse son membre avec les seins. Puis pose ses lèvres sur le gland, l’aspire, joue dessus avec sa langue.
Lentement, sa bouche descend de plus en plus serrant bien la queue entre ses lèvres, pour finir par l’engloutir jusqu’au fond de sa gorge. Recommence « son manège » plusieurs fois, s’arrête parfois pour lécher les bonbons avec la bite serré dans sa main qu’elle branle avec douceur.

Je me suis déshabillée dans la chambre voisine. Nue auprès de Mado, je profite de cette scène torride. Nouvelle pour moi. C’est la première fois que je vois mon homme prendre du plaisir avec une autre. Loin d’être jalouse la situation m’excite ! Je suis trempe ! Ma respiration s’est raccourcie, j’ai peur d’attirer l’attention de Pierre. Mais je ne peux résister à me caresser seins et chatte et haleter. Une chatte qui laisse dégouliner son nectar sur mes cuisses à la vue de ce spectacle accompagné des bruits de succion de l’une, et des soupirs d’extase de l’autre.

J’ai aussi, un petit peu, « fait minette » à Mado. Puis comprenant que Pierre est au bord de l’explosion, je touche l’épaule de ma complice (signe convenu pour suspendre la fellation) et demander à Pierre s’il veut que je continue ou me baiser. Il grogne :

– Comment ? Mais !? … Tu me fais trop bon ! T’arrête pas ! Je veux venir dans ta bouche !

Je retire ma main de l’épaule de Mado qui sans se faire prier reprend sa caresse buccale. C’est
le moment que je choisis pour dévoiler, a l’oreille de Pierre, que son cadeau d’anniversaire est ici à satisfaire son fantasme.

Surpris, Pierre, il l’est ! …

Le moment de stupéfaction passé, quand il a compris que je ne pouvais pas à la fois embrasser et sucer ! Il s’inquiète de savoir qui est avec nous dans la chambre.

Sans lui répondre, je le débarrasse du bandeau et lui présente Mado dont je lui ai tant parlé ! Que ce soir, elle est là pour notre plaisir et réaliser son fantasme ! Mado « le cadeau » n’a pas arrêté de s’occuper de Pierre malgré cet intermède verbal !

À ma demande Mado me fait un peu de place pour que nous profitions, ensemble, de la colonne et des grelots de mon bonhomme. L’excitation de Pierre est à son comble, il est au bout du bout, il va « tout lâcher » !

Je laisse Mado le finir. Il vient dans sa bouche avec un hurlement à réveiller l’hôtel ! Puis Mado m’offre sa bouche pour que nos langues se partagent la semence de mon époux.

Couchez tous les trois. Pierre (que nous avons détaché) au milieu, une main baladeuse sur chacune de nous, joue avec nos minous poilus et souillés de mouille. Mado l’embrasse goulument. Moi « sa Marie » cajole « son appareillage » pour lui redonner de l’allure.

Par-dessus le torse de mon homme, je bécote Mado. Lèvres contre lèvres, langues qui jouent. J’abandonne le sexe de Pierre à ses mains expertes pour m’occuper de ses seins, faire durcir et tourner les tétons entre mes doigts. Pierre, lui, à ses doigts dans mes plis humides. Il masturbe mon clitoris serré entre pouce et index. Mes gémissements remplissent la chambre.

Mado s’est mise à califourchon sur Pierre et bosse sa chatte ouverte et mouillée sur son vit. La chambre est emplie de cris de plaisirs, et sent le sexe ! Elle va et vient sur le bâton tendu de son amant, laissant des trainées humides sur son ventre.

Mado à 4 pattes sur Pierre se penche pour m’embrasser. Pierre dont l’envie de « fourrer » Mado est à son comble, m’abandonne pour la saisir par les hanches et positionne son gland à l’entrée de son antre gluante.

Mado en position d’andromaque c’est empalée sur ce braquemart, et baise mon époux. Ses mains en appui de chaque côté de sa tête, dans une position proche du missionnaire, varient les mouvements de bas en haut. Alterne les impulsions , lentes, rapides. Tantôt penchée en arrière, en avant. Fait des cercles et des 8 avec son bassin. Incontestablement Mado est une reine ! connait « son affaire » Du grand art ! Pierre « aux anges » soupire, ahane, gémis…

Je ne veux pas être en reste ! Alors à mon tour, face à Mado, je chevauche le visage de Pierre. J’écrase ma chatte juteuse sur sa bouche. Je sens sa langue venir s’agiter sur mon bouton. Avec mes hanches, j’écrase encore plus mes nymphes sur sa figure barbouillé de mes sucs. Je l’étouffe presque ! Tout en embrassant et pelotant ma belle maitresse qui se masturbant d’une main, s’occupe de mes nénés de l’autre.

Je vais jouir ! Je ne peux plus me retenir ! Mado est au même point que moi. Alors elle joue de ses muscles intimes sur le joujou de Pierre. L’homme est également vaincu ! Il est à son apogée ! Il n’ira pas plus loin ! De toute façon, il ne sait plus ou il est, ce qu’il fait ! Il n’est plus qu’un objet sexuel pour le plaisir de ces dames !

Mon homme explose dans le con de Mado, qui dans le même temps part dans un orgasme bruyant ! Suffisant pour déclencher chez moi, une explosion extraordinaire ! Un tsunami ! Un feu d’artifice à mille étoiles ! Incroyable ! Nous jouissons et crions notre plaisir en trio ! Pierre est noyé par nos jus qui coulent dans sa bouche, son visage, ses cuisses … Et « son service trois pièces ».

La fin de nuit fut très agitée. Pierre s’est surpassé pour nous combler. Chacun, de nous a eu sa part de pine, de cunnilingus, de sucette. Les orgasmes se sont enchainés, bruyants. Au point d’être gênés en quittant l’hôtel en fin de matinée sous de larges lunettes de soleil pour cacher nos cernes et notre fatigue.

Un merveilleux anniversaire de mariage ! Le fantasme de Pierre devenu réalité grâce à Mado, qui aime le sexe, et a donner une autre dimension au nôtre.

Il ne me surprendrait pas qu’elle devienne la meilleure amie de notre couple. D’autant plus qu’elle doit nous inviter pour faire la connaissance de son compagnon …

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