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Un Amour 5

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APITRE 5 – SOUMISSION

Je croisais le regard de ma mère, éprouvant beaucoup de plaisir à fouiller son intimité. De son côté, elle me suppliait de continuer. Et bien sûr, je ne me faisais pas prier. Au final, je me blottissais contre elle, lui prodiguant un baiser qui paraissait durer une éternité. Je sentais sa langue frotter contre mon palais puis se confondre avec la mienne. J’aimais cela. Beaucoup.

– Je ne devrais pas… hasarda-t-elle d’une voix gémissante. Tu es ma fille.

Oh, sa conscience disait non. Mais la chaleur qui émanait de son corps semblait fournir une autre version. En effet, je pouvais sentir le désir la consumer de l‘intérieur.

– Et moi, je te parais gênée ? bien sûr que non… nous sommes deux adultes consentantes, parfaitement conscientes de nos agissements et de notre attirance mutuelle. Pas de quoi faire un esclandre. Tu devrais plutôt savourer l’instant présent.

Elle baissait les yeux, soumise, attendant la suite des évènements.

Je laissais mes doigts masser sa jolie poitrine, saisissant un mamelon entre le pouce et l’index pour la faire crier très fort. Elle décollait du lit à chaque fois que je pinçais ses tétons tendus à l’extrême. Je pouvais sentir son souffle s’accélérer tout du long de mes caresses.

– Tu aimes ça, pas vrai ?

Elle secouait la tête, produisant un râle de plaisir lorsque je mordillais sa grosse paire de seins. Je continuais mon petit jeu quelques minutes supplémentaires, bien décidée à la faire vibrer sous mes coups de langue répétés. Ensuite, je descendais vers son bas-ventre pour explorer son jardin secret.

– J’apprécie ce que tu me fais, lança ma mère entre deux frissons. Vas-y, fais-moi jouir avec ta langue, ma fille.

Je plongeais mon visage entre ses cuisses pour apprécier l’arôme qui s’en échappait, posant mes lèvres sur sa chatte humide et léchant son clitoris qui grossissait à n’en plus finir. Par la suite, je regardais ma mère creuser les reins et bomber le torse, le visage imprégné de mouille tandis que j’aspirais son petit bouton d’amour.

– Je vais te faire jouir comme jamais, maman.

A mon tour, je me déshabillais pour coller ma fente contre la sienne, fixant ma partenaire droit dans les yeux. Elle laissait exploser un profond soupir lorsque nos deux corps entamèrent des mouvements circulaires lents, exécutant des rotations avec nos bassins.

– Aaaah ! Je vais jouir ! Continue comme ça… disait-elle, tremblante de la tête aux pieds.

– C’est trop bon, maman. Je sens ta mouille couler sur ma chatte.

Nous avons joui ensemble, lâchant des râles satisfaits qui se répandirent dans toute la pièce. Ah, quel moment fantastique ! Mon ventre était complètement noué. Et la seule chose que je souhaitais, c’est que nous remettions cela très rapidement. Je restais à ses côtés durant un moment, savourant chaque seconde de ce merveilleux instant. Au bout du compte, elle se rendormait… Je lui adressais un dernier baiser sur la bouche avant de quitter la pièce pour rejoindre les bras de Morphée.

Quelques heures plus tard, je me réveillais avec le sourire aux lèvres. Je venais de passer une excellente nuit, me repassant en boucle les images de la veille. Ah, quelle nuit ! J’en tremblais encore de plaisir. Une heure après, je descendais les marches pour rejoindre la cuisine.

– Bonjour, maman.

Elle se trouvait là, tournée vers le poste de travail afin de préparer le petit déjeuner. Pas de réponse.

– Tu es sûre que tout va bien ? demandais-je, intriguée. En ce qui me concerne, j’ai vraiment bien dormi. J’ai fait des rêves très étranges. Tu étais dedans.

– Et qu’est-ce que je faisais dans ce rêve ? demanda-t-elle, troublée.

Elle venait de cesser son activité.

– Tu me faisais l’amour. Et tu aimais ça.

Je me rapprochais doucement afin de la saisir par la taille, glissant mes mains sur son ventre avant de remonter vers ses seins qui durcissaient sous l’effet des caresses.

– Non céline, je t’en prie, dit-elle enfin, sortant de sa léthargie. Ce que nous avons fait cette nuit… mon dieu ! Je suis ta mère, bordel. J’avais bu aussi. Et puis, je ne suis pas comme toi. Je ne suis pas une…

– Une lesbienne, tu veux dire ?

Elle hochait la tête, partagée par les émotions qui affluaient en même temps. Pour ma part, je savourais chaque seconde, sachant que le piège se refermait lentement autour de ma proie.

– Il n’y a rien de mal à faire l’amour avec une autre femme. D‘ailleurs, tu es mal placée pour me faire des réflexions à propos de mes tendances sexuelles.

Je sortais mon téléphone portable. Il y avait cette vidéo où ma mère prenait du bon temps avec Caramel…

– j’ai tout vu.

– Tu étais là ? demanda-t-elle en fixant l’écran d’un air horrifié. Que… que veux-tu de moi ?

J’arborais un sourire qui en disait long sur mes intentions, la débarrassant de son peignoir avant de la plaquer contre le lavabo. Elle n’offrit aucune résistance quand j’écartais ses jambes pour plonger ma main dans sa grotte humide.

– Tout d’abord, tu vas me lécher la chatte. Dans le cas contraire, je dirais à tout le monde quel genre de salope tu es. Je ne plaisante pas.

– Je… d’accord, je vais le faire. Ne dis rien, s’il te plaît.

– Cela va dépendre de ton obéissance, maman.

Elle s‘agenouillait devant moi, fuyant mon regard. De mon côté, je me débarrassais de ma culotte pour lui faciliter la tâche.

– Tu attends une invitation ? bouge ton cul ou le voisinage aura bientôt un nouveau sujet de discussion…

Je la voyais tressaillir. Finalement, elle glissait deux doigts dans ma fente, entamant un mouvement de va-et-vient tandis que j’écartais les cuisses afin de sentir les vagues de plaisir prendre possession de mon corps. Quelle sensation extraordinaire !

– Hummm, tu es douée. Et maintenant la langue.

Elle approchait sa bouche de ma vulve, écartant les lèvres intimes pour sucer mon clitoris comme une confiserie. Je manquais de perdre l’équilibre, pliée en deux à cause des décharges qui traversaient mon bas-ventre. C’en était trop pour moi. Je gémissais encore plus fort, faisant onduler mon bassin au rythme des caresses buccales de ma mère.

– Oh oui, baise-moi fort ! Je vais bientôt jouir !

Au bout d’un moment, un feu intérieur éclatait dans mes entrailles, me faisant hurler à la mort. Quel plaisir ! quel bonheur ! Je tremblais comme une feuille, particulièrement allègre.

Il me fallut quelques secondes pour me remettre de mes émotions, tâchant de reprendre mon souffle alors que ma tête continuait de tourner dans tous les sens. Je baissais les yeux pour voir mon esclave avaler un torrent de mouille au plus profond de sa bouche, me renvoyant un sourire plutôt vorace.

– Je vois… il est évident que tu apprécies la domination. A présent, tu exécuteras chacun de mes ordres. Au moindre écart de ta part, tu seras sévèrement puni.

– Oui, dit-il en nettoyant le menton du revers de la main, faisant s’écouler un filet de cyprine assez épais. Je ferais selon ta volonté.

Je lui adressais un regard autoritaire, bien décidée à lui montrer qui commandait. Et je lui dévoilais une seconde fois la vidéo la mettant en scène avec le cheval. J’étais aux anges. Je venais de soumettre ma mère. Elle allait être mon jouet sexuel… et je comptais bien repousser les limites de ma perversion aussi loin que possible.

– Voilà qui est très satisfaisant. Tu es une grande salope, tu le sais, ça ?

Je la voyais se jeter à mes pieds, la tête rentrée dans les épaules. Parfaitement docile.

– C’est vrai, je suis une grande salope. Ne montre surtout pas la vidéo, s’il-te-plaît.

Je la refoulais d‘un coup de pied, lui remettant les idées en place. Elle atterrit sur les fesses sans opposer la moindre résistance.

– Tu n’es pas en position de me demander quoique ce soit. Tu ne parles que lorsque je t’adresse la parole, est-ce bien compris ?

– Oui. Je ne le ferais plus.

Par la suite, je la faisais s’allonger sur la table de la cuisine. Couchée sur le dos, la pointe de ses seins tendue vers le plafonds, les jambes galbées légèrement entrouvertes… c’était vraiment une scène incroyable. Je regardais ma mère devenir rouge comme une pivoine, devenue obéissante en très peu de temps. A ma façon, j’étais assez fière d’elle.

– Que vais-je bien pouvoir te faire subir…

Je jetais un coup d’œil autour de moi, saisissant le premier objet à portée de main. Il s’agissait d’une bouteille de vinaigre balsamique. Je plongeais de manière précipitée le goulot de la bouteille dans son orifice, peu disposée à lui faire des cadeaux. Et les cris de mon esclave m’excitait énormément. Je ne comptais pas m’arrêter là… Je poursuivrais jusqu’à la jouissance totale. Pour ma part, je sentais déjà le plaisir monter en moi. Une vague de chaleur semblait couler le long de mes cuisses. Il me fallu un moment pour réaliser que je me pissais dessus. Mince… cette salope me rendait tellement folle que je m’oubliais complètement !

– Tu aimes ça, hein ! Dis-le !

– Oh oui, j’aime beaucoup. Aaaah !

Je dirigeais le jet d’urine vers son ventre, baignant son joli corps dans une mare odorante et brûlante. Et je m’extasiais lorsqu’elle poussait des gémissements qui traînaient en longueur, devenant de plus en plus expressifs. Elle semblait en vouloir davantage. Par conséquent, je multipliais les coups de butoir avec mon Sex Toy improvisé pour l‘occasion, toujours plus vite. Quelques minutes plus tard, elle laissait échapper un cri de jouissance particulièrement audible.

Je m’affalais sur son ventre, essoufflée. Il fallut un moment avant de nous remettre de nos émotions, échangeant encore quelques baisers. Et puis, dans un soupir, je lâchais :

– Dorénavant, je suis ta maîtresse.

Maman secouait la tête en guise de confirmation.

Toc Toc Toc !

J’enfilais un peignoir puis alla voir de qui il s’agissait, jetant un coup d’œil à travers le judas de la porte. Je laissais échapper un grand sourire avant de tourner la poignée.

– Bonjour, Julie.

– Bonjour, Céline.

Julie se trouvait sur le palier, trépidante. Elle portait des habits encore plus courts qu’à l’accoutumée. Une jupe qui ne cachait absolument rien de ses fesses. Et un tee-shirt qui dévoilait son ventre et comprimait sa poitrine aux formes généreuses. Et puis, il y avait Rex… le chien se tenait aux pieds de la jeune femme, aboyant après avoir reniflé les effluves qui devaient probablement provenir de la maison.

– Elle est dans la cuisine.

Julie me renvoya mon sourire, franchissant le seuil de la porte avec son compagnon à quatre pattes.

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