Lorsque JF m’a parlé de ce fantasme, j’ai souri sans penser qu’il en viendrait à me le proposer.
Lorsqu’il me l’a proposé, j’ai d’abord été inquiète, puis nous avons parlé et j’ai accepté. Oui c’était aussi mon fantasme mais je n’osais l’avouer, même à moi-même.
Ensuite, l’heure du choix. JF a eu beaucoup de contacts, j’ai chaté avec quelques-uns, on a décidé. Je faisais cela par amour pour lui et l’excitation d’oser pour moi.
Jusqu’au jour fixé, l’angoisse et aussi l’excitation m’occupaient l’esprit. On parlait avec mon mari de scénario, j’imaginais des scènes, et je dois dire que ma libido a été débridée.
Lorsqu’IL a sonné, ma peur, mon angoisse étaient terribles. On avait convenu que je déciderais de tout et que donc je pouvais tout refuser, ce qui me rassurait.
J’avais aussi très envie de séduire ces Messieurs et qu’ils me désirent.
J’ai séduit, ils m’ont désirée, ils m’ont comblée.
J’ai finalement perdu toute réserve, au contraire, et je me suis totalement libérée des tabous. J’ai osé toutes leurs demandes, j’ai même suggéré….J’ai eu des jouissances inouïes, inoubliables qui nourrissent encore aujourd’hui ma libido et dont ils ont profité.
Pour notre couple déjà fusionnel avant, notre amour est encore plus fort et nos moments physiques plus intenses.
J’aime le sexe oui, j’aime l’excitation, le trouble des désirs ; j’adore ces moments intenses ou l’on ne contrôle plus rien. Je peux aussi me laisser aller sous les caresses des mains, des doigts, des langues et d’un membre allant et venant en moi. Me mettre sur le ventre, offrir ma chatte jambes relevées sur les genoux, écartées pour sentir au fond de mon corps le désir de l’homme. Je n’ai pas encore osé la sodomie …pourtant j’aime quand mon mari me visite avec son doigt tout en me pénétrant, peut être oserai-je bientôt….l’idée de m’offrir ainsi à son regard me comble d’excitation.
Notre partenaire m’a prise ainsi pendant que JF face à moi caressait ou plutôt pétrissait mes seins et me regardait. J’ai eu un orgasme inégalé ! Non pas que l’ami fut plus expert, mais par l’imagination que j’avais de la situation. Je jouissais d’un autre devant mon mari qui était fou de désir ! Je me suis ensuite offerte à lui comme jamais je crois….
J´ai adoré leurs désirs, leur dévouement à combler les miens.
Bien sûr les premières minutes ont été un peu hésitantes…ces messieurs n´ont pas trouvé immédiatement la forme… je suis tellement impressionnante (sourire) que ma séduction les a ramenés dans le droit chemin…
Oui je crois que je peux être « gourmande ». Dans les moments d´orgasmes, je peux demander toujours plus jusqu’à l’explosion finale.
Il faut tout oublier, j’en ai envie. Je peux dans certains moments…devenir «chienne » je crois.
Voilà, il me reste encore des choses à découvrir… La sodomie, la fellation que je pratique du bout des lèvres …et quelques fantasmes….
Voici donc le menu de cette divine soirée.
Je portais une jupe courte grise et noire avec quelques dentelles sur des dim up sombres, un string noir, des chaussures à légers talons et en haut un chemisier blanc transparent dont les dentelles ne dissimulaient pas un soutien gorge noir, tenu par de minuscules cordelettes. Une veste noire masquait l’ensemble ou s’ouvrait subrepticement, pour dévoiler à peine. Je porte cette tenue sexy sur certaines photos. Elle peut paraître presque sérieuse, une vraie« working girl », mais laisse entendre d’autres possibilités…
Bises sages, le papotage s’installe autour de quelques bulles. Je mets les fleurs dans un vase et en profite pour que ma jupe attire les regards sur le haut de mes cuisses. Assise, je croise les jambes et ma veste s’ouvre un peu. Pierre élégamment me déshabille du regard et croise mes yeux avec un léger sourire courtois, en vrai gentleman dont on pourrait croire qu’il n’a rien vu et qui pourtant fait un compliment. L’atmosphère est détendue et amicale et ne sous-entend pas ce qui va se passer ici, dans mes sens et ma libido.
Je me détends. Pierre est discret, élégant, séduisant en fait. Il observe avec courtoisie et pourtant il me détaille. Je sais trop bien qu’il me connaît beaucoup. Il revient avec finesse sur nos chats, me félicite, complimente « l’artiste » et sa plastique. Un vrai charmeur, en finesse sans exagération. JF est apaisé aussi ; il a compris la tranquille séduction de Pierre et je ressens son désir d’aller vers le franchissement de nos fantasmes. Il a lu dans mes yeux mon acceptation, mes envies peut-être d’oser. Alors il m’invite à danser. Lentement je me colle à son corps ; ses mains, son sourire et son visage me posent comme une question : « ca va ? On continue ? » Il comprend mon accord. Ses caresses sont alors plus orientées vers ma jupette qu’il relève pour caresser mes fesses sous le regard de Pierre qui ose un « quelles jolies jambes, jolies fesses aussi. Muse est vraiment très séduisante, chanceux JF » Mon mari descend ma veste, la pose sur un fauteuil et continue de me faire danser langoureusement, cette fois en se plaçant derrière moi. Toujours sous le regard de Pierre, il défait les quelques boutons de mon chemisier qui tombe lui aussi sur le fauteuil. « Muse vous êtes très désirable » ose Pierre. JF dénoue les cordelettes du soutien gorge et prend mes seins comme pour les présenter a Pierre. « Viens m’aider s’il te plaît » demande JF, dont je sens le cœur battre et la moiteur des mains. Tout en continuant de chalouper sur les notes brésiliennes, les doigts de Pierre frôlent mes hanches et ma jupe tombe alors que ses cheveux passent sur mon ventre. Les mains de JF caresses mes seins, le rythme de son cœur est déjà celui du désir, la raideur de son membre dans mes reins le confirme. Pierre sans attendre a retiré mes chaussures et ses doigts glissent maintenant sur mes cuisses pour rouler les bas ; je ne retiens pas un léger tressaillement. Pour la première fois de ma vie deux hommes, quatre mains, me touchent, me caressent en même temps.
JF me retourne et me dépose dans les bras de Pierre. Ses mains sur mes hanches n’ont pas encore osé mes seins. JF fait glisser mon string. Je suis maintenant nue, dos collé à Pierre sous le regard de mon mari. Il fait descendre la lumière. Pierre suit le rythme musical en me balançant discrètement et je sens son membre raide dans mes reins. Fébrilité, émotion, JF m’embrasse un sein, puis les deux, les lèche tout le tour jusqu’au petit bout. Ils durcissent et je gémis un peu, je caresse ses cheveux d’une main, je pose l’autre sur celle de Pierre. La bouche, la langue de JF descendent le long de mon ventre jusqu’à l’ouverture de mon sillon. Il s’appuie sur mes cuisses avant de commencer les baisers ardents sur mon minou. Pierre alors s’enhardit et prend mes seins, son souffle est court dans ma nuque, ses caresses agréables déjà. Je gémi sous la langue de JF. D’une main je force sa tête à s’appuyer sur ma foufoune, et de l’autre j’ose déjà attirer les fesses de Pierre pour sentir son membre dur. Mes cuisses sont trempées de mes liqueurs mélangées à la salive de mon mari, je geins et m’agite sans contrôle, mes seins sont fermes dans les paumes de Pierre qui a déposé quelques baisers sur mon cou. Tremblante, gémissante, incontrôlée, je profite de ces moments les yeux fermés. JF qui me connaît si bien agite ses doigts sur mon clito et boit mon vagin. Appuyée sur Pierre je suis arc-boutée pour tendre mon ventre, le corps tendu dédié à mon mari, et je joui debout, nue face a JF et dans les bras de Pierre, situation extravagante, inouïe. Et, je l’avoue, terriblement excitante aussi. Des plaisirs nouveaux, deux bouches en plus des quatre mains.
Après mon cri de jouissance et que mes muscles se soient détendus, JF se relève et me tend la main pour m’inviter à m’allonger sur le lit. Je suis offerte, frémissante encore de mon orgasme, nue sous le regard de deux hommes encore habillés. J’ai envie encore… Ils ôtent leurs vêtements et apparaissent, à leur tour, nus aussi. Leur virilité a disparu. Pas si évidente cette situation, le désir pour une dame et la pudeur sans doute, la timidité peut être…Situation cocasse ; rester sérieuse, ne pas les déconcentrer…ce n’est rien. Juste… plaisant….
Ils s’allongent l’un après l’autre de chaque coté de moi, appuyés sur un bras et de l’autre commencent les caresses de haut en bas. Je reçois leurs mains avec envie. J’en profite, j’ose, je dois, prendre dans mes paumes leurs membres qui retrouvent finalement la vigueur masculine. J’ai dans chaque mains un membre érigé par moi, que j’ai senti se métamorphoser sous mes doigts, je sais que ces deux hommes me désirent. Les caresses continuent. Mon mari m’embrasse. Pierre, débridé, s’attarde sur mes cuisses et leur centre. Il s’occupe maintenant de fouiller mon clitoris avec sa langue, ses lèvres sur celles de ma chatte. Il n’a pas demandé, je n’ai pas refusé.
Je m’agite et gémis, mon regard planté dans les yeux de JF. Cette fois la langue de Pierre me pénètre et tourne dans l’entrée de ma caverne ouverte en grand, son nez écrase mon bouton. Je ferme les yeux, je cris de plaisir, j’embrasse goulûment JF dont je sens le dard gonflé au maximum. J’implore Pierre de continuer, j’en veux encore, j’en veux encore… Je suis arc-boutée sur les talons, chatte offerte à la bouche de Pierre. Il a ajouté ses doigts à sa langue et me fouille avec vigueur ; je veux jouir ! J’écrase à son tour la tête de JF sur mes seins, et de l’autre j’agite mon clitounet pour jouir pendant que les doigts de Pierre entre et sorte de moi en cadences effrénées. Je joui encore en tremblements extrêmes, je bave et je cris de plaisir, je suis abandonnée par la raison, soumise aux vigueurs sexuelles de l’orgasme, aux spasmes de la jouissance, multipliés par le regard de mon JF qui me voit dans l’extase, quand je peux à nouveau ouvrir les yeux. Moment de communion totale du couple, la connivence des plaisirs. Je me suis masturbée devant deux hommes sous les caresses de leurs doigts et de leur bouche.
Oui il fallait vivre ces moments !
Je ne réfléchis plus. Le cul appelle le cul, le désir appelle d’autres envies, je suis sans retenue, j’ai tout simplement envie de plus encore, je sais leur désir et mon envie de les combler.
Quelques souffles et tendres caresses plus tard, je prends l’initiative pour la première fois, et invite JF à s’allonger au bord du lit. Je me retrouve ainsi assise sur le dard de mon mari, face au regard de Pierre. Comment puis-je oser cette situation ?! J’imprime une lente cadence pour ne pas terminer le jeu trop rapidement, je sais son envie et je la contiens, je sais son désir et le mien et je les maîtrise. Pierre nous observe sans oser approcher. Je l’invite à peine, il comprend et me tend son chibre que j’embrasse tout en le masturbant avec mes doigts. J’entends les râles de ces Messieurs, je sens la crispation des mains de mon mari sur mes cuisses, mes hanches, son souffle haletant. L’odeur du sexe, celle de nos sécrétions, envahissent la chambre et ne font qu’exacerber la fragilité de nos sens, tous à fleur de peau. Je mène la danse maintenant, suffisamment lucide pour proposer une alternance avant qu’il ne soit trop tard. Pierre s’est préservé et peut donc prendre la place de JF qui prend celle de Pierre. L’ami me pénètre pour la première fois pendant que mon mari dessine mon visage avec son chibre tendu et humide. Je m’accroche à ses fesses alors que Pierre, fou de plaisir et d’envie, m’agrippe les hanches pour mieux m’entreprendre, plus fort plus loin. Il a lâché prise. Il me veut. Je lâche JF pour me cambrer en arrière, mains posées sur le lit ou j’enfonce mes doigts. Je ressens le dard de Pierre sur l’avant de mon minou juste là ou l’excitation est la plus éminente. Pierre le vit en même temps que moi. Je me rejette en avant pour qu’il ne jouisse pas, pas maintenant, encore un peu… Je ne peux plus m’occuper de JF et ne peux que le regarder quand je sais, quand je sens que l’envie de Pierre sera à son instant de non retour, que mon désir d’être prise est à son paroxysme… Je veux mon plaisir, je veux celui de Pierre et les yeux de mon mari. Mes cris, mes larmes je crois, mon hurlement et mes tremblements mêlés aux secousses haletantes de Pierre font comprendre à JF nos orgasmes partagés. Ma jouissance est extrême, inégalée. Etre prise et jouir sous son regard ont décuplé le ressenti, je le sers contre moi comme une folle. Quand il s’éloigne, un filament d’amour relit ma bouche et sa bite. Je comprends sa soif de moi, il veut me pénétrer à son tour, et j’en ai tellement le désir. .. Pierre s’est éloigné dans la salle de bain ; JF s’allonge sur moi, me pénètre vigoureusement et plus fort que jamais je crois. Mon corps est trempé de mes jouissances répétées, mon vagin largement ouvert, mais j’ai encore envie. Je sers mes muscles comme pour l’engloutir en moi, je m’accroche à ses fesses dures, je vais jouir encore, je veux qu’il éclabousse mon antre et je veux sentir les jets de son foutre au fond de moi, oui ! Prend moi ! La maintenant ! Orgasme hors du commun simultané et énorme, je me détends. Assouvi il s’écroule épuisé de bonheur….Que suis-je devenue ? Je viens de recevoir la jouissance de deux hommes en quelques minutes, j’ai offert et pris leur plaisirs, mon mari s’est enfoncé dans mon trou d’amour réjoui par Pierre, nos sueurs mélangées.
La soirée a continué…encore un peu…un peu plus tard…après quelques bulles et des échanges insensés sur nos ressentis, leur louanges tellement douces… Après les bêtes de sexe, des gentlemen…autre bizarrerie que d’entendre les compliments de mon mari et de Pierre sur ma libido. Les envies sont revenues, les ébats ont repris… soirée de délires.
J’ai pris conscience à ce moment de mon comportement. Je dépassais des limites que je n’avais même pas imaginées ! J’aime le cul, j’aime les sensations qu’il procure. Je ne sais pas le traduire en mots. Avoir osé des actes insensés, jouer avec mon corps, l’offrir aux jouissances de deux hommes ; mon mari m’a vu jouir d’un autre et il en était ravi ; nos liens sexuels et d’amour sont plus intenses encore. Vu de l’extérieur, cela peut paraître malsain : comment un mari peut-il partager sa femme ? Comment une épouse peut-elle offrir son corps à deux hommes simultanément ? Je ne l’ai pas vécu ainsi, juste comme un partage de plaisir, une offrande à mon mari, des plaisirs à Pierre.
Couverte de mon kimono j’ai rejoint le lit, ces messieurs aussi. L’invitation n’était que trop évidente et le regard de mon JF me l’avait fait comprendre. Je savais ce qu’il souhaitait. Je n’avais pas promis mais j’allais lui offrir….
Il a glissé son visage entre mes cuisses et a passé sa langue tout le long de mon sillon jusqu’à mon petit trou, puis est remonté jusqu’à mon clitoris, lentement. Mon plaisir revenait. Pierre, lui, regardait tout en caressant mes seins. Je masturbais son membre avec volupté. Yeux fermés je m’abandonnais. JF augmentait sa pression sur mes lèvres, jusqu’à entrouvrir mon antre et y glisser sa langue. Il dégageait mon clito jusqu’à mes gémissements et Pierre accompagnait mes mouvements en continuant de dessiner ma poitrine tendue, pointue. Il était dur et ferme dans ma main qui le pressait alternativement. JF suçait maintenant mon clito tout en plongeant deux doigts en moi ; mes liqueurs coulaient. Il plonge alors sa bouche pour boire à ma fontaine frémissante. Je ne retenais pas les tressaillements de mon corps. Pierre gobait mes seins. JF en profite pour à nouveau mouiller mon petit trou, comme tenté d’y introduire sa langue. Quelle sensation d’envie ! Il s’arrête à la porte entrouverte. Il me retourne sur le dos et propose à Pierre de prendre sa place avant de déposer un bisou sur chacune de mes fesses. J’ose alors relever mes jambes pour prendre appui sur mes genoux et donner à Pierre la vue sur toute mon intimité. Je savais ce souhait de mon mari, je m’offrais à notre ami. Avec la même douceur que mon mari, il glisse sa langue sur toute la longueur de mon entre jambe et déclenche mes gémissement, mes envies. Il ne dépassera pas la limite convenue et n’embrassera pas mon petit trou, juste tout près…JF glisse ses mains sur mon dos et mes seins posés au raz du lit. Quand les plaisirs que m’offre Pierre me le permettent, j’entreprends le dard de mon mari avec mes deux mains. L’une pour sa verge, l’autre pour ses boules dont j’adore sentir les mouvements. Mon corps reçoit avec envie ces moments de plaisir si près de jouir. JF me tire un peu vers lui pour que mon corps remonte un peu sur le lit et fait ainsi comprendre à Pierre de me prendre en levrette. Il se couvre et me pénètre enfin. Lentement, profondément, je sens son membre dont je veux sentir encore les va-et-vient. JF me regarde maintenant, nous regarde. Les sensations sont extrêmes, le corps et l’esprit électrisés. Pour plus, pour moins, pour encore, mes gémissements créent aux hommes l’envie exacerbée de leur désir, me prendre pour l’un, voir mon orgasme pour l’autre. J’entends et reçois les claquements du ventre et des boules de Pierre sur mes cuisses écartelées et trempées. JF passe un doigt humide sur mon petit trou, je le veux un peu plus, il y entre…Je sens que Pierre est proche de sa limite et qu’il va jouir, je me cambre pour l’attirer au fond de moi, je veux être prise ! Je colle mes cuisses à son corps et je plonge les doigts de ma main droite dans sa peau pour qu’il ne parte plus, qu’il s’enfonce en moi. JF me regarde et tient mon autre main crispée accrochée à lui. Je ferme les yeux sur mon orgasme quand je sens le phallus de Pierre se libérer en saccades jouissives. J’ai crié et bavé, tressailli et grimacé du visage de l’orgasme, yeux fermés. Quand je les ouvre, JF me sourit et pose un baiser sur mes lèvres. Pierre nous laisse en amoureux…au petit matin, bien après le départ de Pierre, nous referons l’amour en couple, plus jamais comme avant, des images, des sensations en plus.
J’ai osé, j’ai donné, j’ai reçu, je suis contente. Contente de moi, contente d’avoir offert à mon mari ce qu’il voulait. Contente que notre libido de couple en sorte plus puissante encore. Contente des plaisirs extrêmes reçus. Contente d’avoir été désirée par deux hommes et d’avoir assouvi leurs envies. Contente de cette chance d’avoir osée.
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