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Le Store

Le Store



Après ma séparation, je décidais de quitter ma région natale pour aller tenter ma chance personnelle et professionnelle dans le Sud de la France. La décision n’a pas été simple et finalement, je suis revenue dans le Nord-Est. Cette région du Sud n’est finalement pas aussi jolie que bon nombre de récits, chansons et poèmes veulent bien le laisser prétendre. Bref.
Lors de mon arrivée là-bas, près de Narbonne, je trouve un emploi équivalent à celui de mon départ, les jours passent et je me lie d’amitié avec le responsable informatique de la boîte. Un homme simple, charmant, silencieux et paisible, ce que j’aspirai à trouver après mes tumultes sentimentaux. L’amitié allant un peu plus loin aux fils des semaines et des mois, nous faisons chemin ensemble et je m’installais avec lui.
Il possède une maison typique de cette région, en pierre, fraîche à l’intérieur en été, sans chanlatte, ce qui m’a toujours amusé, dans un petit hameau au milieu de la garrigue. Je découvre aussi les risques des feux de forêts, les canadairs rasant se ravitaillant dans le golfe distant de quelques kilomètres. La chaleur y est agréable et le soleil généreux. Je suis gâtée et le vaste jardin me permet de vaquer à mes occupations habituelles : sieste, bronzage et lecture.
Arnaud a peu d’amis, il est discret, c’est reposant. C’est un bon amant, que je qualifierai d’agréable, il me fait jouir, nos relations sexuelles sont dans la mouvance habituelle d’un couple planplan. Il sait assouvir mes besoins. Quand il le faut.

Les mois passent et il entreprend d’aménager une terrasse sur le côté de sa bâtisse. Nous voilà tous les deux en mode maçon, bleu de chauffe, bétonnière et pelle. La terrasse étant terminée, il faut maintenant nous protéger du soleil lorsque nous déjeunons. Il existe plusieurs solutions et commençons nos analyses : pergola, pergola bio climatique, store, avant toi ou véranda couverte/découverte. Plusieurs représentants passent à la maison, nous informent, tentent de nous vendre ce dont nous n’avons pas besoin… Notre choix se dirige donc vers un store électrique de 4m par 6m.

Le devis est signé et les travaux d’installation doivent prendre une journée. Nous patientons et fin Juin arrive le rendez-vous avec une équipe de 3 techniciens chargés de la pose. Je prends une journée de repos afin de superviser le chantier et pour être présente. A 10h00 toujours personne, je vaque à mes occupations, préparation du déjeuner, lessive, rangement, puis à 13h00, personne. Je contacte l’entreprise qui me signale que l’équipe a eu un contretemps sur un autre chantier et qu’ils arriveront vers 15h00 et feront des heures supplémentaires. Bien. Je m’installe donc près de notre petite baraque de jardin, topless avec un livre.

Soudain, je me réveille en sursaut, une ombre me masque du soleil :
« Bonjour Madame, nous venons pour le store ».
Je bredouille, bafouille, cache juvénilement mes seins et me lève rapidement en enfilant mon t-shirt. Un petit gros me fait face avec un accent bien du coin tandis que deux autres jeunes me reluquent depuis la terrasse.
« Excusez-moi, je vous attends depuis ce matin et me suis endormie »
« Pas de problème, nous pouvons commencer les travaux, où puis-je prendre du courant s’il vous plaît ? »
« Ici », dis-je en lui indiquant la prise extérieure.
« Merci »

Je rentre fissa à la maison, je sens de lourd regard à mon endroit. Je me retourne subitement faisant semblant de retourner à mon havre de repos, et les surprends à me toiser.

Cela me fait sourire et réveille quelques choses en moi.

Je monte à la chambre afin d’enfiler des vêtements plus décents. Machinalement, j’enfile un short sans culotte et un top sans soutif. Une pulsion, une envie peut être. Puis je m’affaire à d’autres choses.

Vers 18 heures, je m’enquiers de mes ouvriers du jour et leur demande s’ils désirent un rafraîchissement. Comme une chorale d’enfants de chœurs, le « oui » fut général. Je prends un plateau, pose quelques bières et softs dessus puis pose ceci sur la table au milieu des outils. Ils abandonnent leurs tâches et me rejoignent plus rapidement que des oiseaux posés sur une branche et effrayés. Je pense que s’ils étaient spécialistes en la matière, ils pourraient me vendre au détail. Je suis analysée de haut en bas, de bas en haut, de long en large entre les levées de bière. Des papillons apparaissent. Natacha ressaisit toi, les démons réapparaissent.

Arnaud arrive, ouf, et les discussions de chantier s’ensuivent, les regards sont tournés vers d’autres horizons. Mais les papillons volent toujours.

Je salue nos ouvriers, prétextant la nécessité de quelques tâches ménagères. Je rentre à la maison et la fraîcheur, appuyée par mon état d’excitation, met en exergue tous mes sens, mes poils et mes tétons. J’ai envie de baiser. Le monstre de la chaire est revenu. Je file aux toilettes, baisse mon short, un fil de mouille joint la couture et mon minou. Ma chatte est trempée, presque ouverte. Alors que ces hommes n’ont rien d’attirant.
Je m’essuie et monte à la salle de bain, Arnaud est rentré à l’intérieur, les hommes partis.
« Tu es là ? »
« Oui en haut, je vais prendre une douche. »
« D’accord, on débrief après ».
J’ouvre l’eau fraîche à fond, me fond dessous. Je me rase proprement partout, cette nouvelle vie ayant laissé la place à quelques poils que je trouve aujourd’hui disgracieux. Mon doigt entre les lèvres pour éviter les blessures électrise mon clito. Retiens-toi ma fille. Ma peau est satin, la douche fut agréable et me voilà apaisée. Mais les arrières pensés sont bien présents…

Je descends et Arnaud m’expose la situation. La partie mécanique est terminée, il reste la partie électrique et seul le chef de chantier repassera demain en début d’après-midi. José s’occupera du branchement et de la mise en service. Arnaud doit mettre en place de nouvelles fonctions dans l’ERP je dois donc m’y coller.

Je pose donc ce coup-ci une demi-journée, il n’est pas nécessaire de perdre plus de temps. 13h10 me voici rentrée et pas de José. Je monte me changer, le plus simplement du monde, culotte short t-shirt et petit soutif.
14h45, la camionnette arrive et José fait le tour, je l’observe guetter mon petit coin de repos, et non je ne suis pas là. Il est tout seul. J’ouvre la porte et lui signale que je suis là.
« Ah bonjour Madame, je ne vous avais pas vu » ben oui mon con joli, pas deux fois.
« Vous pouvez commencer, de quoi avez-vous besoin ? »
« D’électricité comme hier, puis de couper le disjoncteur quand je vous solliciterai »
« Bien, je suis à l’intérieur »

Je m’affaire en entendant différents sons de divers travaux. En prenant mon short d’hier, je vois ces traces blanches et le démon arrive, à 300 kilomètres par heure dans ma tête. J’ai envie. Me voici nue au milieu de la buanderie. Une robe qui est au sale se retrouve sur mes épaules, uniquement cette robe. Ma chatte commence à s’épancher. Mes tétons sont durs. Je m’affaire. La lessive est prête mais je ne mets pas en route car je vais devoir basculer le disjoncteur.
16h15 environ. « Vous pouvez couper Madame » entends-je crier.
« Venez me montrer »

Alors je fais entrer José. Le tableau électrique est dans le garage, et il me montre le bouton à basculer. Dans le même temps, je lui propose un rafraîchissement qu’il accepte bien volontiers.
Je prends une bière fraîche et un soft et nous sortons sur la terrasse. Je lui propose de s’assoir sur un banc, et j’en fais de même. Mais en l’escaladant, le gros malin n’en a pas perdu une miette, la robe s’est levée, laissant entrevoir ma minette. Je n’ai pas rougi, ce qui est exceptionnel ! Lui non plus étrangement. Il me fixe. Et j’en fais de même, la conversation n’existe pas. Puis il se lève, s’approche de moi, ouvre son pantalon et me présente une bite flasque et trapue. Je suis toute à lui. Elle pue un peu l’urine, mais je la veux. Le cinquantenaire est bien campé. Je le gobe, et elle grossit.

« Déjà hier tu nous allumais salope, tu aimes la bite, ça se voit… »

Mes yeux se lèvent vers lui, ma bouche est difforme, j’acquiesce. Et je le pompe. Quel beau chibre. Puis en quelques minutes, je sens des soubresauts, puis il appuie ma tête sur sa bite et je sens la chaleur au fond de ma gorge. Il me tient comme ceci quelques instants. J’avale, les yeux révulsés, et je tousse, du sperme sort par mon nez. Ça pique.
Je le regarde. « Déjà ? »
« Salope ! tu en veux encore ? »
« Nous venons de commencer il me semble »
Que sais-je ? Je ne sais pas, mais un peu de bestialité, une autre bite, un beau morceau, me font du bien… Arnaud ne va pas tarder, il est 16h30.
José se rhabille comme gêné.
« Je suis marié… » dit-il.
« Et alors, ce n’est pas moi qui sort ma bite comme cela » rétorquais-je !
« Pour sûr non, mais vous trimbaler comme ça devant des mâles c’est dérangeant »
« Dérangeant ? qui matte ? »

Il bredouille je ne sais quoi, je me lève et m’essuie. Il retourne à sa besogne. Mais moi j’ai besoin qu’on me finisse ! Une aubergine sur la table. Je la toise. Me voici assise dans la cuisine et je m’enfile doucement ce légume du soleil, ça rentre tout seul, je me retiens de gueuler, mais ne peut m’empêcher de jouir.
« Tout va bien »

Et je l’entends qui accourt. « Oui merci » et je reste ainsi, un pied sur la table, ma robe retroussée, ma chatte encore ouverte du ramonage en règle que je viens de lui admettre. Le José est déconfit.

« Salope » entends-je. « Tu veux vraiment ta cartouche » dit-il.
« Oui… »
« Et bien il me manque une pièce, nous reprendrons rendez-vous » dit-il avec un air pernicieux.
« D’accord, quand ? »
« Lundi prochain matin »
« Parfait » finissais-je avec un sourire mesquin. Je me levais, glissais deux doigts dans ma fente et lui tendit. Il les suça heureux.

Un crissement dans les gravillons. Arnaud ! Je commence par quoi… l’aubergine luit sur la table, José à l’intérieur ne sait quoi faire, je me rajuste, je suis rouge. Une portière. Des pas dans les gravillons…

« Donc lundi pour donner suite au manque de votre pièce. »
« Oui bien sûr, mon chef vous rappellera »
« Bien c’est noté, ah Arnaud, te voilà, ça tombe bien, il faut que nous reprenions rendez-vous pour lundi prochain »
« Ah OK, bonjour José, bonjour Chérie, ben je m’y colle, tu as déjà cramé deux jours. »
« Non, t’inquiètes je m’en charge »
« Du moment qu’il y ait quelqu’un » renchérit José.
« Oui oui » fis-je.

Ouf j’ai eu chaud, nous avons eu chaud, mais Lundi c’est à moi.

Ce soir-là, il est évident que j’avais besoin d’amour, Arnaud a rempli sa tâche mais il me manquait quelque chose, l’aubergine a repris du service, mais ce n’est pas pareil. Les jours passent et nous voici Dimanche soir.
Je passe à la douche et me fais la plus belle possible, épilation, onguents, crème et huile de douche.
Les draps sont propres, et moi aussi. Arnaud s’endort. Pas moi. J’ai hâte d’être à demain. Un essaim de papillon est en moi. Je suis trempée, j’ai chaud. Je ne dors pas. Je vais marcher nue dehors. C’est agréable, la nature émet des sons splendides. J’ère ainsi entièrement nue, les tétons dressés, à l’affût du moindre bruit. 1 coup de cloche, 1h du matin. Je rentre, la glace de l’entrée reflète cette envie de baise. Je passe aux toilettes, je joue avec mon urine et mes lèvres. Mon œillet. Tout est ouvert, en alerte. J’ai besoin de défonce intense.
Mon plug ?!?!! pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt. Je fouille quelques cartons non déballés, et le voici, le diamant rose. Je vais le nettoyer et le présente. Pop. Il rentre sans problème, je suis littéralement dilatée d’envie.
Je me recouche, remplie de cet artifice. Arnaud se retourne. Je m’endors.

6h30, le réveil sonne, pour lui.
« Bonne journée mon Chéri »
« À toi aussi ma Puce » il m’embrasse, un sentiment de honte m’envahit. Lui si gentil, s’il savait. Je l’entends s’affairer. 8h00, il part. Je me lève.
Nouvelle douche, nouveaux soins. Robe échancrée, tongs. Point barre.
Si je me baisse, mes petits seins vous sont offerts, si je me baisse plus, vous savez tout de moi, au plus profond. Mon anus va bien, un petit lavement, beau tout propre, pas une ride.
Ma minette est bien rosée. La journée s’annonce belle. 9h00 personne, je commence à m’inquiéter. 9h15 toujours rien, 9h30 encore moins…
9h35, les gravillons crissent, mon envie s’amenuisait. Je vais à la porte en me pressant sans me presser. C’est le facteur. Les d****aux commencent à être en berne.
10h25, les gravillons crissent à nouveau.
« Madame » José !
« Oui » la voix éraillée.

J’ouvre la porte, il me contemple littéralement. Et deux ombres surgissent, il n’est pas seul. Je suis un peu triste.
« J’ai amené du renfort pour la pièce » dit-il le sourcil circonflexe qui me rappelle quelqu’un du Nord-Est.
« Ah bien, ils se débrouillent tout seuls ? »
« Non, nous allons nous occuper de ça » et il soulève ma robe. Mon cœur vient de passer de 80bpm à 300bpm.
Il me prend par la main, me dirige vers la table, m’allonge dessus et commence à me déguster.
« Les doigts dans le port de confiture… c’est bien meilleur quand on a le nez dans le pot »
Il me lèche, les deux autres jeunes me regardent. J’en att**** un et descends sa braguette. Standard. Bof. Le second, moyen, bof. Je m’en contenterai. José se redresse. Me regarde. Toise ces hommes.
« Elle est à vous ».
Sans saveur, avec des grognements de films pornos, des tentatives d’acrobaties, l’un débande même en mettant sa capote, ils essaient d’assouvir mon feu. José campe la pièce et s’approche.
« Vous avez fini les gosses ? elle est prête ? » Ils se reculent et se branlent, sans répondre.
« Y’a rien de prêt là » gueule-t-il.
Alors il me soulève, ouvre ma robe, l’ôte et m’installe à 4 pattes sur la table. M’observe. Deux doigts, trois doigts, la main, je gueule, je jouis, je dégouline. Je jute. Eclaboussant José.
« Là elle est prête »

Il ôte son pantalon, il bande, sa bite est belle, veineuse, droite, joufflue, il crache sur mon œillet, présente son gland et me pénètre, je sens l’air dans ma chatte ouverte, je suis dégoulinante. Il me prend sans capote, me lime.
Puis m’allonge, met mes mollets sur ses larges épaules, me pénètre et fait des vas et viens jusqu’à la garde.
Je me sens partir. Je jouis à nouveau, cela ne s’arrête plus, José est trempé de sueur, les deux garçons regardent médusés, le pantalon en bas des jambes.
Je sens que cela vient à nouveau, oh oui, je coule, la pression est intense. José se retire et le robinet est ouvert, je ne m’arrête plus. Je descends de la table, m’agenouille devant lui pour le sucer. Il tient bon aujourd’hui, tant mieux. Sa bite a mon goût, a****l, vinaigré, bestial. Je me mets à 4 pattes par terre, lui présente mon fondement et lui debout me pénètre, oh que c’est bon, et quelques minutes après ce pilonnage, je sens un liquide chaud dans mon antre. Il grogne. Puis se retire, je reste ainsi quelques minutes. Il me regarde, écarte avec ses doigts mon cul ouvert, et pisse dedans. Que c’est délicieux. Les jeunes sont médusés et l’un bande à nouveau. Je lui fais signe de venir. Il s’approche et je le suce. Il jouit en 2 minutes, son sperme est sucré. J’avale. Le second ne bouge pas. Traumatisé peut être. Puis il s’approche et finalement me pisse dessus. Salaud.
Je me lève, mon œillet déglutit toutes ces substances, cela me dégouline le long des cuisses. Il est 12h30, j’ai faim. José est heureux. Moi aussi.
« merci »
« de rien Madame, Service compris ! »
« vous restez déjeuner ? »
« avec plaisir ».
Et ainsi, nous avons déjeuné ensemble, moi dégoulinante dans ma robe collée, tripotée par José pendant le repas. J’ai branlé mon voisin de table et me suis enfilé sous leurs yeux l’aubergine suite à la demande de José.
A 15h00 tout le monde repartait et je saluais mes ouvriers à ma manière, tous finirent dans ma bouche à nouveau. Je pris une douche.
Arnaud arriva à 17h00, le store fonctionne. Je suis fatiguée, je vais me couche. Ça fait du bien.

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