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STRIP POKER (2ÈME PARTIE)

STRIP POKER (2ÈME PARTIE)



— Maintenant, il est temps de passer à la deuxième partie du jeu, déclara Susan.
Chuck la regarda avec curiosité, impatient de savoir à quelle sauce il allait être mangé.
— Jusqu’à présent, le perdant n’avait qu’à retirer un vêtement. Mais que se passera-t-il si nous sommes déjà nus et que nous perdons à nouveau ?
En l’écoutant, il laissa son regard errer de ses larges seins aux tétons pointés vers lui, jusqu’au petit triangle encore dérobé à sa vue entre les jambes de la jeune femme, pour enfin venir à nouveau se poser sur sa poitrine.
« Voici les nouvelles règles. Celui qui perd tirera une carte et en fonction du chiffre indiqué sur la carte, comptera dans le sens inverse des aiguilles d’une montre jusqu’à la personne au numéro correspondant.
S’il s’agit de sa première pénalité, alors la personne devra embrasser celle qui est assise à cet endroit pendant exactement une minute. Embrasser seulement, pas de caresses.
Mais à la deuxième pénalité, alors la personne désignée pourra vous toucher n’importe où avec ses mains mais vous devrez rester complètement passif.
La troisième fois, on pourra utiliser la langue et la bouche.
Enfin, au bout de la quatrième pénalité – elle regarda Chuck droit dans les yeux – vous pourrez choisir votre partenaire et vous lui ferez tout ce qu’il ou elle exigera de vous.
— Et que se passera-t-il si je perds encore, demanda Chuck ?
Susan resta silencieuse pendant quelques secondes et ébaucha un sourire:
— Alors nous te sauterons toutes dessus et nous ne partirons pas tant que tu ne nous auras pas toutes fait jouir. »
Chuck sentait monter une sourde excitation en lui alors qu’il distribuait les cartes pour la partie suivante. Il regarda, tour à tour, chacune des quatre filles. Jennifer était totalement nue est déjà très chaude, Susan, un sourire coquin aux lèvres ne portait que sa minuscule culotte rouge, Lori n’était plus vêtue que de son caraco rose et de son string.
Quant à Renée, en petite culotte noire, elle était un peu plus timide, plus jeune et certainement moins expérimentée que les autres. Leurs regards se croisèrent et il lui sourit d’un air engageant ce qui la fit rougir. Elle ne put soutenir son regard.
Le caraco rose de Lori fut le suivant à valser. Lori se plaça face à Chuck, croisa les bras sur sa poitrine, retira langoureusement le caraco et le lança à la figure de Check. Elle jeta la tête en arrière et ses mèches blondes caressèrent le torse de Chuck. Elle se colla à lui et lui décocha un sourire torride.
Ce fut ensuite au tour de Chuck de perdre son boxer. Jennifer fut désignée pour en profiter. Elle plongea les deux mains dedans et attrapa sa bite pour la libérer de sa captivité. Elle baissa le boxer, et s’agenouillant devant lui, fit glisser le membre viril entre ses deux seins, pour finalement le prendre dans sa bouche.
« Ooooh, regardez-moi ça, s’exclama Susan, qu’est-ce que j’ai envie de toucher cette bite moi aussi !
— Vraiment Susan, seulement toucher ?», lui demanda Lori pour la narguer.
Mais Chuck ne faisait pas attention à elle, il regardait Renée qui fixait son sexe en érection, complètement subjuguée, dans un mélange de désir et d’appréhension.
Elle ne put détacher son regard de la bite de Chuck pendant tout le tour suivant et ne leva les yeux que lorsque Jennifer lui dit : « Réveille-toi Renée, tu as perdu. C’est le moment de nous faire un strip tease torride ! ».
Renée hésita, elle s’apprêtait à retirer sa culotte en satin noir, mais changea d’avis et se dirigea vers Chuck. Elle se tenait devant lui tout tremblante, sans oser le regarder dans les yeux. Il s’approcha d’elle avec douceur, mit ses mains sur sa taille et retira sa petite culotte en prenant tout son temps.
Elle se tenait nue devant lui, ses longs cheveux d’ébène comme simple parure.
Une toute petite bande de poils noirs couvrait sa chatte, soulignant ses lèvres roses.
Sans le regarder, elle toucha son pénis avec hésitation mais retira vite sa main et se rassit.
Chuck tenta de contrôler sa respiration devenue haletante. La peau dorée de Renée combinée à sa touchante timidité formaient un mélange explosif. Il fallait qu’il la prenne d’ici la fin de la soirée. Mais pour l’instant, il devait se contenter de regarder en espérant que le hasard des cartes lui offre cette opportunité.
La paire de dix de Susan ne lui permit pas de gagner la partie suivante et elle se leva, vêtue uniquement de sa toute petite culotte rouge. Elle la retira d’un mouvement brusque et la laissa choir à ses pieds, offrant à la vue de tous sa toison pubienne, brune et soyeuse.
Lori fut la prochaine à perdre. Plantée devant Chuck, elle retira son string, centimètre par centimètre, la chatte au niveau du visage de Chuck, presque à portée de langue.
Il pouvait sentir son odeur. Cette fille était vraiment canon et complètement excitée ! Elle balança ses hanches vers lui, le laissant att****r ses fesses pleines et rondes et l’invita à enfoncer sa langue bien profondément en elle.
« Ah non, vous ne respectez pas les règles », s’exclama Susan, « contrôlez-vous ! ».
Lori se retira et s’assit, mais Chuck pouvait entendre sa respiration accélérée et il avait toujours le goût de son intimité sur sa langue.
Susan perdit au tour suivant.
« Et bien», dit-elle en tirant une carte du paquet. C’est un deux. Elle compta « Chuck un, Jennifer deux… approche toi Jennifer ».
Les deux filles se penchèrent pour s’embrasser langoureusement. Deux paires de seins se balançaient à quelques centimètres seulement de Chuck, l’effleurant de temps à autre. Mais la règle était stricte, « pas de caresse », et il dut se retenir de ne pas tripoter ces appétissantes paires de seins.
Les filles interrompirent leur baiser au bout d’une minute, légèrement essoufflées.
Au tour suivant, Chuck fut le perdant, mais est-on vraiment perdant à ce stade du jeu ?
Il tira un huit qui désigna Lori comme partenaire. Elle se dressa et le rejoignit pour mêler sa langue à celle de Chuck, pressant son ventre lisse contre son membre bandé.
Susan fut la suivante. Elle était tout excitée lorsqu’elle tira sa carte mais son expression se figea lorsqu’elle vit un dix :
« Mince, je tombe sur moi-même. Que dois-je faire ?
— Tu respectes la règle, c’est tout, répondit Jennifer, tu dois toucher et caresser la personne désignée par la carte. Donc vas-y Susan, touche-toi, donne-toi du plaisir. »
Susan rougit, de toute évidence, elle n’avait pas l’habitude de se masturber en public. Mais lorsqu’elle s’allongea sur le dos et commença à se caresser le ventre et les seins, elle ne put contenir son plaisir. Chuck la regardait, fasciné, glisser sa main entre ses jambes, lui montrant par là-même sa chatte entrouverte. Elle gémit bruyamment lorsque ses doigts caressèrent les parties les plus sensibles de son alcôve. La minute s’était écoulée, mais Jennifer dût intervenir pour qu’elle veuille bien s’interrompre :
« Nos plaisirs sont rationnés très chère, c’est le jeu. »
Après un dernier cri de plaisir lié à de la frustration, Susan se rassit et tenta de redonner contenance à son visage encore rouge et perlant de sueur.
Ensuite, ce fut au tour de Lori d’embrasser Susan avec ardeur, et Jennifer put embrasser Chuck.
Cette fois-ci, elle prit soin de respecter les règles. Elle lui toucha à peine les lèvres mais lui susurra des mots doux, promesse de jeux beaucoup plus dévergondés.
Pour sa deuxième pénalité, Lori tomba sur Chuck.
Il lui dit de se tenir face à lui et appuya sa bite contre ses fesses rondes, tandis que ses mains pétrissaient ses seins. Il sentit la respiration de Lori s’accélérer lorsqu’il approcha une main de son sexe, l’autre main jouant avec un téton.
Il caressa sa toison blonde, se délecta de la douceur de sa peau entre ses cuisses, lui intima d’ouvrir ses jambes et posa sa main brûlante contre ses lèvres. Il sentait la moiteur de Lori, caressait ses petites lèvres d’un doigt, l’introduisait puis le retirait dans un mouvement de va et vient. Mais tous deux furent contraints de mettre fin à leur petit jeu lorsque Jennifer annonça que la minute était écoulée.
Renée dut ensuite embrasser Susan. Elle était clairement déçue, compta à nouveau et finit par lui faire un petit bisou, lèvres fermées. Puis elle perdit à nouveau et apprécia sa chance cette fois-ci.
Elle se tint fièrement face à Chuck qui lui donna le baiser qu’elle espérait tant, caressant son dos puis son petit cul si agréable à malaxer. Elle se laissa aller dans une étreinte torride, se lova et se frotta contre lui. Il la tint ainsi quelques instants, puis recula d’un pas, et posant ses mains sur les épaules de Renée, se délecta de son époustouflante beauté. Il caressa ensuite chaque centimètre carré de sa peau dorée, ses seins, son ventre, des hanches, ses cuisses, ses jambes de gazelle, jusqu’à ses pieds.
Elle tremblait de tout son être lorsqu’il eut fini mais reprit sa place en silence.
Chuck avait beaucoup de mal à se calmer et il était pris d’une trique énorme.
Ce jeu était certes très excitant, mais que de frustration !
Il était entouré de jeunes femmes magnifiques mais ne pouvait les goûter qu’avec parcimonie. Cela l’excitait terriblement et son excitation monta encore d’un cran lorsqu’il perdit et tomba sur Jennifer pour son prochain « supplice ».
Elle lui ordonna de s’allonger sur le dos et il se retint à peine de hurler de plaisir lorsqu’elle caressa en experte ses boules et sa bite.
Les rôles s’inversèrent au tour suivant et Chuck entreprit de faire honneur à Jennifer. Il caressa sa motte, puis joua avec son clitoris, lui arrachant au passage un grognement rauque. Puis il enfonça, un puis deux doigts dans sa fente trempée. Elle s’agitait sous ces caresses, se cambra, haletait et son excitation perdura bien au-delà de la minute règlementaire de caresses.
Puis Renée tomba à nouveau sur Susan et exprima clairement son mécontentement. Mais Susan lui dit gentiment de s’allonger, fermer les yeux et l’invita à se détendre.
Susan déposa de doux baisers sur la chatte de Renée, puis elle lécha et aspira son clito. Renée n’en pouvait plus et laissa s’échapper des gémissements de plaisir.
Ce fut ensuite au tour de Susan de profiter d’un cunni donné avec soin par Lori. Susan était beaucoup plus libérée que Renée et elle criait au point de s’étrangler à chaque fois que la langue de Lori caressait l’entrée de son vagin.
« Pourvu que Renée perde maintenant…, pensa Chuck, comme ça, je pourrai lui faire l’amour. Bon, si Susan perd, je pourrai la baiser et si c’est moi qui perds, l’une de ces filles me sucera comme une chienne. Au final, quoi qu’il arrive, je suis gagnant, et si tout se déroule bien, on finira par tous se baiser les uns les autres d’ici la fin du jeu. »
Jennifer fut la suivante à perdre et Lori la lécha longuement.
Au tour suivant, Chuck perdit et Susan s’assit à l’envers sur sa poitrine pour mieux le sucer. Elle enfonça sa bite dans sa bouche et excita le gland de Chuck du bout de sa langue. Alors qu’elle le suçait, elle approcha son cul du visage de Chuck pour l’inviter à lui rendre la pareille. Irrésistiblement attiré par sa chatte chaude et mouillée, il n’hésita pas un instant et l’attrapant par les hanches, il enfonça bien profondément sa langue entre ses lèvres. Quelques secondes plus tard, elle eut un orgasme. Elle tremblait violemment et ses cris n’étaient étouffés que par la bite de Chuck encore dans sa bouche.
Puis, enfin, vint le moment tant attendu : Renée. Lorsqu’elle prit conscience de ce qui allait se passer, elle poussa un léger soupir de soulagement, s’allongea à même le sol et ferma les yeux. Il se leva, la bite dressée comme un étendard. Il admira son beau corps de sylphide, si nu, si vulnérable… Il lui écarta doucement les jambes, s’agenouilla face à elle et se pencha pour la lécher.
Puis il approcha sa bite de sa chatte, effleura son duvet du bout de son sexe, puis s’enfonça légèrement entre ses lèvres et suivi la ligne de sa fente. Elle commença alors à presser ses hanches contre les siennes ; il sentit qu’elle mouillait à n’en plus pouvoir. Alors, d’un mouvement déterminé, il la pénétra.
Elle cria et enroulant ses bras autour de son cou, l’attira vers elle, en elle. Elle tenait son sexe fermement dans son vagin et alors qu’il entrait et ressortait d’elle, elle accorda ses mouvements aux siens et gémit à chaque coup de bite. Il accéléra, lui arrachant des gémissements de plus en plus forts, qui se transformèrent en cris de pure joie et plaisir lorsqu’elle fut traversée d’un intense orgasme. Lorsqu’il se retira, elle était encore secouée de spasmes, pantelantes. Il regarda autour de lui et remarqua que les trois autres filles les regardaient attentivement.
« Vous vous êtes bien amusés ? demanda Jennifer qui se caressait, retiens-toi s’il te plaît, nous aussi on en veut… » ajouta-t-elle en désignant son sexe brillant de la liqueur de Renée.
Au tour suivant, le souhait de Jennifer fut exaucé puisqu’elle perdit et désigna bien sûr Chuck pour la faire jouir. « Prends-moi par derrière », lui dit-elle en se mettant à quatre pattes et en lui présentant ses fesses. Il n’hésita pas une seconde, saisit ses hanches et d’un coup violent s’enfonça en elle. Elle laissa s’échapper un long cri de plaisir alors qu’il la défonçait et l’excitation de Jennifer atteint des sommets lorsqu’il la prit plus violemment encore. Il fallut moins d’une minute à Chuck pour amener Jennifer à l’orgasme, mais il se retint de jouir à son tour car il avait encore d’autres chattes à satisfaire.
Lorsque Chuck perdit la fois suivante, les paroles de Jennifer lui revinrent en mémoire : « Alors nous te sauterons toutes dessus et nous ne partirons pas tant que tu ne nous auras pas toutes fait jouir… »
Il vit alors les quatre filles s’avancer vers lui. Elles le jetèrent contre le sol. Susan, la première, s’assit sur lui en s’empala sur son membre en érection jusqu’à ce qu’il baigne dans sa chaude moiteur. Lori approcha sa chatte de son visage. Il ne voyait plus que ses boucles blondes et introduisit sa langue entre ses lèvres implorantes.
Mais il sentit également des mains caresser son corps et comprit que les autres filles n’étaient pas restées passives. Susan le montait de plus en plus rapidement et le frottement de sa chatte contre sa bite le rendait fou.
Aveugle, il étendit ses mains et rencontra deux corps de femme. D’une main, il caressa une cuisse musclée, la remonta jusqu’à une chatte aux poils frisés qu’il massa avec plaisir. De son autre main, il attrapa une main plus petite. Il la serra pendant quelque temps, puis fit glisser ses doigts le long de son bras, pour enfin atteindre un gros sein plein dont il titilla le téton en érection.
Les filles changèrent de place plusieurs fois, en prenant soin de ne jamais laisser son sexe ou sa langue inoccupés pendant plus de quelques secondes. Au bout d’un moment, il perdit le compte des orgasmes féminins qu’il avait sentis ou entendus, et les images des filles se superposaient les unes sur les autres, le laissant dans un épais brouillard. Il se faisait baiser par une créature à quatre chattes, huit mains, quatre bouches et huit seins.

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