Après ma rencontre avec mon nouveau copain, je n’ai cessé d’y penser. Tellement d’envies germent en moi. Malheureusement, marié, il m’est difficile de me libérer. Aussi, quelle ne fût pas ma déception lorsque j’ai appris qu’elle ne travaillait pas le lundi 21 août ! La veille, je m’étais rasé de près, devant et derrière, m’appliquant particulièrement à ne laisser aucune pilosité disgracieuse. Le matin suivant, dans la douche, discrètement, plusieurs lavements virent terminer ma préparation… Mes affaires étaient prêtes, mes dessous sexy bien pliés, les piles de l’appareil photo chargées à bloc et j’avais même eu le culot de mettre mon godemiché dans le sac… J’attendais son départ avec impatience quand elle m’a annoncé s’être fait remplacer. C’est comme si le monde s’écroulait !
J’ai profité d’un instant seul pour téléphoner à mon ami en m’excusant. J’avais peur qu’il me prenne pour un rigolo et ne désire plus me recevoir. Par chance, le lundi suivant, prétextant des courses à faire, j’ai pu retourner chez lui, presque un mois après notre rencontre. La veille, dans les mêmes conditions que la semaine précédente, je m’étais préparé et avais évidemment garni mon petit sac de ces accessoires si « coquins ».
En début d’après midi, je sonnais donc à sa porte et cette fois, sans trop de gène. Il était assis devant son PC, sans pantalon. Impudique, je me déshabillais alors devant lui, lui demandant de bien vouloir me prêter des bas… Rapidement, la cochonne renaissait.
Le string me fendait les fesses que les bas soulignaient comme deux hémisphères en quête de caresses. Puisqu’il trouve que j’ai un beau cul, autant lui en faire profiter ! J’aime tellement porter des dessous féminins, sentir ma poitrine serrée dans mon bustier et la douceur des bas sur mes jambes.
Nous sommes allés sans plus attendre dans la chambre ou il s’est installé sur le lit. Je me suis agenouillé, face à lui, le caressant timidement. J’espérais bien qu’il prenne les « rennes ». D’une main experte, il me caressait les couilles, les tirait vers le bas comme pour m’émasculer. Il se levait alors pour revenir avec une lanière de nylon, du genre de celle que l’on met autour du cou pour porter un appareil photo. C’est ainsi que je me retrouvais les bourses attachées… Je revis l’instant avec délice… Il fait ce dont il a envie ! Ne suis-je pas la soumise ? Mon éducation passe donc par l’acceptation de ses désirs.
Il est passé derrière moi, tirant la lanière entre les lobes de mes fesses tout en entraînant mes couilles entre ses dernières. Je suis maintenant à quatre pattes devant lui tandis qu’il admire le résultat de ce jeu. Il récupère alors rapidement quelque chose dans son armoire ; ses mains se posent sur mes épaules et me fait me redresser. Il me passe un collier autour du cou qu’il serre en prenant soin de ne pas m’étouffer. Encore une première pour moi ! Ainsi parée, le surnom de chienne n’en prend que plus de valeur. Une autre façon pour moi d’assurer ma servitude à son égard ce qui est si excitant. Son emprise se renforce…
Il prend alors une laisse qu’il attache à mon collier, att**** le lien qui entrave mes parties pour venir l’attacher à cette dernière. C’est une chaîne qui lui permet de tendre l’ensemble en la bloquant avec un cadenas. Il s’y prend en deux fois pour régler la tension car il dit qu’ainsi, je resterai bien cambrée. Effectivement, je dois rester la tête tirée vers l’arrière pour ne pas que la traction sur mes bourses soit trop forte. C’est ainsi qu’il me prend en photo plusieurs fois. Je n’hésite pas à m’afficher ainsi sans pudeur et c’est avec un plaisir subtil que j’expose les plus intimes parties de mon corps dans la pose la plus avilissante.
Il se saisit, dans mon sac du godemiché que j’ai eu l’audace d’emporter avec moi en remarquant qu’il est bien gros. Il écarte légèrement mon string et la laisse pour dégager le trou. Un peu de gel sur ma rondelle comme succincte préparation et je sens le froid du gland de silicone presser l’entrée de mon fondement. Il ne lui faut pas longtemps pour faire disparaître presque entièrement le jouet en moi. J’ai tendance à m’ouvrir facilement ! Remettant en place mon string, il bloque et enferme le membre lui interdisant de s’échapper. Empalée, enchaînée, assouvie à ses volontés, entravée dans mes mouvements, je suis à lui, je suis aux anges !
Se plaçant sur le coté du lit, il présente a ma bouche, sa queue qu’il vient de couvrir d’un préservatif ; je m’assieds sur le coté, enfonçant encore plus le gode dans mes entrailles, et sans hésiter, avale sa queue. Je pompe son membre avec application… Les photos reprennent.
Je suce, lèche, branle sous le crépitement du flash. J’essaye de l’avaler entièrement à m’en étouffer. Son gland frappe le fond de ma gorge. Chaque mouvement de ma tête tire sur la laisse entraînant mes bijoux de famille plus haut entre mes cuisses. J’ai les deux trous remplis, un collier comme une chienne, il me traite de salope… Il ne manque que des pinces sur les tétons qui me feraient ressentir ma poitrine pour n’être plus que femelle dans ma tête et dans mon corps.
Nous restons ainsi un moment ; j’essaye de le faire bander le plus dur possible pour lui donner envie de me mettre. Il a compris, retire l’obstacle qui lui bouche l’entrée et prévenant, libère mes bourses devenues presque douloureuses. J’ai honte de moi quand je vois l’état du gode malgré le soin que j’avais apporté aux lavements le matin même. Je suppose que je dois avoir le cul aussi sale. Qu’à cela ne tienne, un nettoyage avec du papier essuie-tout, un petit peu de gel pour faciliter la pénétration et le voilà qui m’enfile en levrette. J’attendais ce moment avec patience ! Ses coups de pilon répétés me procurent alors un plaisir sans limites. Passant ma main entre mes cuisses, je lui caresse les couilles. Elles sont si près des miennes ! Je me tends, creuse les reins, des petits cris de plaisir s’étouffent dans ma gorge. Il me dit que je suis une vraie salope … J’aime ça !
La laisse est tombée sur mon flan, j’essaie maladroitement de la remettre dans mon dos, espérant secrètement qu’il s’en saisira pour me tirer vers lui mais me dit alors de la laisser ainsi, croyant peut-être que je voulais l’enlever. J’ai maintenant une envie folle de sucer le pieu qui me laboure. Dans ma tête, vicieuse, je l’imagine sortant de ma chatte de mec et venir me la planter aussitôt dans la bouche. Lui ai-je demandé ou l’a-t-il deviné ? Il s’extrait du creux de mes reins pour venir me la proposer après s’être sommairement ressuyé. C’est ainsi, que pour la première fois, je suce la queue qui vient de sortir de mon cul. Après tout, le goût est le mien. Je m’applique à lui faire une pipe que je voudrais mémorable, avalant le maximum de son membre, léchant avec application son gland, passant la langue sur ses couilles… J’aimerais sentir ses mains me donner son propre rythme, le faire jouir ainsi, même si la capote me privera de son jus. J’ai bien faillit m’étouffer plusieurs fois. Il s’en aperçoit et me donne ses tétons à sucer.
Un peu plus tard, il me repousse sur le lit, m’écarte les jambes pour venir se blottir entre elles. Sa queue entre à nouveau dans le trou accueillant que je lui propose ainsi. Il s’offre une pute gratuite ! Quelques claques sur les fesses les font rougir… De plaisir. Je tends encore plus ma croupe comme pour mériter ses tapes. Je me surprends à avoir envie d’une vraie fessée, de celle qui marque la peau de l’empreinte de la main. Il continue à me pilonner, espaçant chaque série de coups de boutoir de tapes sur mon derrière. Je le laisse faire avec délice, il peut faire ce qu’il veut de moi ! J’aimerai que ça dure éternellement, qu’il continue à m’utiliser comme l’instrument de son plaisir, qu’il me soumette à ses envies.
Il se retire, me fait m’allonger sur le dos, jambes écartées et s’installe sur mon visage, m’ordonnant de le lécher. Une autre photo vient ponctuer l’événement. Il se branle sur moi tandis que je tente de gober ses bourses. Il presse tellement sur mon visage que l’air me manque. Il se dégage pour que je puisse reprendre mon souffle en se mettant à genoux au bord du lit. Il n’a pas encore jouis, j’ai peur de ne pas m’y prendre assez bien. Ma tête posée sur sa cuisse, très près de sa queue, je le regarde se masturber. La vue qu’il a de la salope, couchée en chien de fusil à ses pieds doit l’aider car bientôt sa semence se répand dans sa main. Je maudis la maladie du siècle de me priver de son goût !!!
Nous restons ensuite longuement à discuter, allongés sur le lit. Je tiens encore dans ma main le godemiché que je viens de nettoyer. Il semble s’endormir alors que je sens l’excitation remonter en moi. Je me masturbe doucement et finis par lui demander l’autorisation de me faire jouir devant lui. Il accepte et contemple le spectacle de ce mec en dessous sexy, qui passe sa main entre ses cuisses. J’avoue alors que j’ai envie de m’empaler sur le jouet en joignant le geste à la parole. Sans pudeur, je redresse le ventre pour venir placer le membre fictif au bord de mon anus et me laisse m’enfoncer dessus. J’aime sentir son regard sur moi, m’exhiber sans retenues, jouer la salope qui se sodomise seule. Il ne me faudra pas longtemps pour jouir, conscient que la scène à pour spectateur l’homme qui vient de me baiser.
Je revis tous ces moments avec délectation, m’excitant à chaque fois que j’y pense ce qui conditionne mon envie de faire partager cette histoire avec d’éventuels lecteurs choisis. Rien de tel, donc, que de prendre la plume, ou plutôt le clavier, pour raconter mes aventures. Je fais confiance à… Appelons le Roger, par exemple, pour me faire découvrir de nouvelles aventures et parfaire à mon éducation . D’autres histoires encore plus torrides en perspective…
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