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Quand j’ai offert ma nana à un pote

Quand j’ai offert ma nana à un pote



Ce soir-là, en quittant ce bar, je n’avais qu’une seule envie : sauter Léa. Mais mon pote Thomas était encore là, aussi ivre que nous. C’était à l’issue d’une soirée passée avec d’autres amis qui avaient tous capitulé entre temps. Il était une heure du matin et j’ai fini par proposer à Thomas de venir boire un dernier verre chez moi. Il a accepté.
Sur le trajet, il a tenu à acheter une bouteille de vin blanc dans une épicerie de nuit. J’étais un peu en rogne, mais c’était trop tard, je l’avais invité à nous suivre. Une bouteille, cela faisait environ six verres. Deux chacun, puis Thomas s’en irait et je pourrais enfin sauter Léa.
Elle me tenait par le bras dans la rue. Elle riait pour n’importe quoi et titubait sur le trottoir. Si je l’avais lâchée, elle aurait piqué du nez, c’est sûr. Elle portait une robe en tissu marron, ce soir-là, assez courte. Une chemise beige et des petites bottines noires en daim. Nous étions ensemble depuis moins de trois mois et elle dormait plus ou moins trois nuits par semaine chez moi. On baisait à chaque fois.
C’était l’été.
Je connaissais Thomas depuis plus longtemps que Léa. Il était étudiant en archéologie et aimait le cinéma. Une connaissance commune nous avait présentés, un soir, et le courant était passé. On avait bu un paquet de bouteilles chez moi et dans des bars. Puis Léa était arrivée dans ma vie et on s’était vus un peu moins souvent, lui et moi. Une ou deux fois par semaine.

J’ai eu du mal à enfoncer la clé dans ma serrure, je me souviens. Puis on est entrés. Léa en premier, suivie de Thomas. J’ai refermé la porte et on s’est installés dans le salon. Léa dans le canapé, près de moi, et Thomas dans un fauteuil situé pile en face Léa. Ce détail est loin d’en être un, car quand elle était ivre, Léa avait tendance à ne surveiller ni les gestes qu’elle faisait, ni les positions qu’elle prenait.
Aussi, je ne fus pas vraiment surpris de remarquer au cours du premier verre que Thomas avait les yeux rivés aux cuisses de ma nana. Tantôt elle les gardait serrées, tantôt elle faisait cogner ses genoux après les avoir écartées un peu. Je connaissais ce geste. Elle l’avait fait maintes fois le soir où elle était venue chez moi pour la première fois. J’avais ainsi eu tout le loisir de mater sa culotte.
De plus, sa chemise était un peu déboutonnée, et Thomas dut s’en rendre compte aussi, j’imagine. Elle avait des petits seins, fermes et pointus. Pas de soutif. Et, dans mon ivresse, à la seule pensée que mon pote puisse voir ses tétons et sa culotte, ne me demandez pas pourquoi je me suis mis à bander. Ce fut ainsi, un point c’est tout.

Mes pensées étaient floues. J’avais mis de la musique et nous parlions de tout et de n’importe quoi, sans cohérence. Léa continuait de rire pour rien et Thomas ne la quittait presque pas des yeux. J’avais toujours autant envie de la sauter. J’adorais son corps, ses seins, son cul.
Nous n’avions pas de projets ensemble. On baisait quand elle venait chez moi, voilà tout. On discutait, on allait au ciné et on sortait avec des amis. Puis on rentrait et on baisait de nouveau. Elle aimait ça autant que moi.
Au cours du dernier verre, j’ai posé ma main sur la cuisse de Léa. Elle n’a même pas réagi, contrairement à Thomas qui releva le geste et sembla étonné. J’ai fait glisser ma main jusqu’à son genou, puis je l’ai faite remonter jusqu’en lisière de sa jupe.
La cuisse, le genou, la lisière, ainsi de suite.
Jusqu’à ce que l’envie me pousse à retrousser un peu la jupe. Léa n’a rien dit. Elle était en train de raconter je ne sais plus quoi à Thomas.
J’ai répété plusieurs fois encore le geste, puis mes doigts ont fini par atteindre le niveau de sa culotte. Là, elle s’est tournée vers moi et m’a fait un sourire en disant :
« Ben alors… ? »
« Ben alors quoi ? ai-je répondu. »
Elle a éclaté de rire et s’est penchée en avant en disant :
« Rien… »
Thomas voyait sa culotte.

Je suppose qu’il voyait aussi ses seins à chaque fois qu’elle s’approchait de la table basse pour att****r son verre et pour le reposer. A chaque fois qu’elle cognait sa cigarette au bord du cendrier. Puis quand elle se leva pour aller aux toilettes, en titubant.
J’attendis qu’elle sorte du salon pour dire à Thomas :
« Elle te plait ? »
Ses yeux brillaient, autant que les miens j’imagine. Il souriait et sa tête dodelinait tandis qu’il rassemblait les mots de sa réponse :
« Putain… bredouilla-t-il, elle est… trop bonne… »
Il semblait légèrement plus ivre que moi, car je crois que j’articulais mieux que lui.
J’ai ajouté :
« Tu as vu… ses nichons ? »
Il secoua la tête et dit :
« Ouais… putain… »
« Et sa culotte ? »
« Ouais… putain… elle est… trop bonne… »
« Ça t’embête, dis-je, si je la touche… devant toi ? »
Il a remué la tête en disant :
« Non… putain… »
Puis Léa a tiré la chasse d’eau et nous a rejoint. Elle s’est rassise près de moi en disant :
« Il reste du vin ? »
Je me suis aussitôt levé pour aller chercher une bouteille à la cuisine.
A mon retour, Léa et Thomas ne se parlaient pas, ils se regardaient juste. Elle avait les cuisses légèrement écartées et elle souriait à mon pote en balançant la tête d’avant en arrière, un peu comme une autiste, à cause de l’alcool qu’elle avait dans le sang. Ses idées étaient aussi floues que les nôtres, alors j’ai refait le service en essayant de ne rien renverser sur la table. On a tous pris nos verres et on a trinqué sans dire un mot.
Ensuite, j’ai reposé ma main sur sa cuisse.
On ne se parlait plus, il n’y avait que des regards. Mes gestes et des regards qui se croisaient, qui se quittaient, qui se recroisaient. Le regard de Thomas qui voyait la culotte de ma nana, puis ses tétons dès qu’elle se penchait en avant pour prendre son verre.
Puis j’ai décidé de sortir ma queue.
Léa a suivi mes gestes, sans plus se préoccuper de Thomas. Je bandais, et elle n’a pas mis longtemps à se tourner vers moi pour se mettre à me sucer. Un coup de langue sur la fente de mon gland, pour commencer. Un autre, puis elle goba ma queue tout entière, sous les yeux de mon pote que je fixais du regard en souriant. Je savais ce que je faisais. J’avais les idées floues, mais mes envies étaient claires. J’ignorais si j’allais le regretter le lendemain à mon réveil, mais sur l’instant j’en avais envie.
Léa me pompait la queue et je lui tripotais un nichon.
L’ivresse la rendait un peu maladroite, mais je m’en fichais.
J’ai dit à Thomas :
« Tu veux la toucher… un peu ? »
Il a fait non de la tête, mais il s’est levé. Il a contourné la table basse et s’est mis à genoux près de Léa qui n’a pas cessé de me sucer. Il lui a touché la hanche, puis la cuisse. Sa main est remontée sous sa jupe et Léa a mieux écarté les cuisses.
Il touchait sa culotte.
Il forçait la tension de l’élastique pour toucher sa chatte.
Pour la toucher, tout en regardant Léa me sucer, puis pour lui enfoncer un doigt, ou deux, je n’en sais rien. Je sais juste que Léa s’est mise à gémir à un moment donné, sans cesser d’enrouler sa langue autour de la base de mon gland qui était gonflé à bloc.
Mon pote était en train de branler ma nana sous mes yeux, et je ne suis pas parvenu à me souvenir d’avoir autant bandé par le passé.

Ma tête tournait comme il faut.
J’ignore pendant combien de temps Léa m’a sucé, tout en se faisant masturber par les doigts de Thomas. Tout est flou.
Je conserve seulement quelques images en mémoire :

Léa qui enlève sa chemise et Thomas qui lui suce un sein pendant qu’elle continue de me sucer la bite.

Mon pote qui roule une pelle à ma nana.

Le mal que j’ai eu à défaire mes godasses, puis à virer mon pantalon et mon caleçon, tandis que Léa s’était mise debout pour ôter sa jupe, puis baisser sa culotte sous les yeux de mon pote.

Léa qui se penche de nouveau pour me sucer, tandis que mon pote lui bouffe la chatte. Peut-être aussi le cul, je ne sais pas.

Léa, à poil, qui vient s’empaler sur ma queue en gémissant :
« Oh putain oui… putain oui… »
Parce que ma queue était raide dans sa chatte, et parce que mon pote lui mettait un doigt dans le cul.

Léa qui bascule sur ma gauche et qui ouvre ses cuisses pour accueillir la bite de mon pote. Je revois son gland hésiter, échouer, recommencer, puis finir par s’enfoncer dans la chatte de ma nana.

Il n’avait pas de capote, moi non plus.

J’ai tripoté les nichons de Léa pendant que les à-coups du corps de mon pote faisaient trembler ses nichons comme des petits flans coniques.

J’ai touché la chatte de Léa pendant que la bite de Thomas la fourrait.

J’ai effleuré sa bite et il n’a rien dit.

Plus tard, j’ai enculé Léa pendant qu’elle suçait mon pote.

Encore plus tard, je me souviens que mon pote s’était avachi dans son fauteuil et qu’il regardait le plafond du salon lorsque Léa a repris ma queue dans sa bouche. C’était glissant et visqueux. Ma queue était raide. Mais ce n’était la salive de Léa qui glissait au bord de ses lèvres, c’était le sperme de mon pote qu’elle n’avait pas entièrement avalé.
Ça m’a fait gicler.

Thomas a dormi avec nous cette nuit-là. Dans notre lit. Léa s’est couchée entre nous deux.
A mon réveil, il était en train de la sauter.
J’ai repoussé le drap et je me suis branlé en les regardant, sans toucher.

C’est la vie.
Il faut la prendre comme elle vient.
Souvent, elle vient comme on l’a voulue.
On a ce qu’on mérite.
Ne cherchez pas mieux, on n’a que ce qu’on mérite.

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