Chapitre 1 —
Patrice : homme âgé de 28 ans mesurant 5 pieds 11 pesant environ 185 livres yeux bleus. Il avait de court cheveux châtain auquel il mettait du gel chaque jour pour ne pas qu’il reste sur son front. Il sera le personnage principal de cette histoire fictive.
J’étais célibataire depuis près d’un an. Ce n’étais pas parce que je n’attirais pas la gente féminine ou que je n’avais pas de bonne valeur sans sens de l’humour. J’avais tout cela mais mes dernières relations avais été des constats d’échec car ma tête n’étais plus là. Du moins, je savais que j’avais un problème car j’avais énormément de misère à bander avec mes dernières blondes et cela m’avais complètement anéanti en plus de pas avoir un gros pénis. Le miens mesurais 5 pouce et demie en pleine érection. Je me rappelais par contre qu’aucune fille ce plaignais 5 ans plus tard puisque celui-ci restais dur et j’avais une énorme endurance.
Pourquoi vous parlez de 5 ans? Car c’est là que tous mes problèmes ont commencé. Je n’ai jamais eu d’attirance pour les femmes noires. Vraiment aucune… Je parcourais des sites et j’ai tombé sur un site de comics 3D de femmes noir qui dominaient des femmes blanches. Je suis devenue un énorme fan de cette artistes qui créais ses comiques trois X mais je ne pouvais pas attendre après ses prochaines créations alors je me suis mis à regarder des vidéos ainsi que des histoires parlant de cela. Je me suis même inscris à des sites web trois X de domination/soumission sans jamais mettre ma photo car bien sûr je ne voulais pas que personne ne me reconnaisse. Je n’étais pas fier d’être fan de soumission. J’ai eu quelque contact mais très peu et je ne me suis jamais inscris comme membre payant trouvant que c’était trop coûteux pour des femmes qui étais à presque 200KM de chez moi donc je ne pouvais leur écrire aucun message.
J’étais à présent attirer de manière incroyable envers les femmes noires, je n’avais jamais été aussi attiré de ma vie sexuellement. Malheureusement elles étaient rares chez nous à Trois-Rivières (Québec). Mon fantasme grandissait en moi chaque année et il m’empêchait de vivre ma vie normalement. J’étais étonné de voir combien rapidement notre cerveau pouvais changer nos goût et préférences mais en même temps étais-ce vraiment mon cerveau qui avais changé ou n’avais-je que découvert ce que j’aimais vraiment avec ses sites? Je me devais de le vivre. Je me devais de l’essayer. Peut-être que ma vie redeviendras normal après cela et que j’oublierais toute cette histoire. Je n’étais toutefois pas quelqu’un de très direct avec des inconnues et j’avais de la misère à prendre mon courage à deux mains pour draguer des femmes. Je m’étais donc mis à regarder des sites d’escortes espérant régler le problème ainsi dans la discrétion mais je ne fessais que les textés de leur prix en leur demandant si il fessait de la domination sans jamais me commettre à un rendez-vous.
Nous étions en mai, l’hiver étais terminé et j’avais fini de m’entrainer aux gym. J’avais décidé de me rendre sans mon automobile ce jour-là pour respirer l’air frais mais après avoir fini de m’entraîner la fatigue avais pris le dessus et j’avais décidé de revenir en autobus. J’étais donc assied sur le banc en l’attendant impatiemment quand je vu plus loin une jolie femme noir un peu enrobée avec un afro. Elle semblait écouter de la musique dans son IPod et s’approchais tranquillement de l’abribus. Je regardais son top, sa figure, ses hanches, ses fesses, ses pieds je me grattais regardais alentour voir si du monde me regardais et je répétais. Elle jeta un regard très rapide vers moi ce qui immédiatement me fit regarder ailleurs en jouant l’hypocrite. Pourquoi! Pourquoi avoir agis ainsi! J’ai l’air encore plus coupable… encore plus pervers… Elle s’assied à côté de moi. J’étais excessivement nerveux et je sentais la tension sexuelle monter énormément en moi. Elle regardait sur son cellulaire tout en écoutant sa musique.
Patrice : « Salut..! »
Je lui avais dit salut et j’étais fier de mon approche. C’était une tentative mais… elle m’ignorait complètement. J’espère que personne ne m’avais entendu lui dire salut et être ignoré ainsi. Je regardais alentour de moi et je me suis dit que je devrais arrêter mes approches. Peut-être qu’elle ne m’avait pas entendu mais si elle m’avait entendu j’aurais l’air d’insister et je ne voudrais pas qu’elle pense que je suis fatiguant. Je regardais ses jambes le plus discrètement que je le pouvais… Je salivais… Je salivais de désir pour cette femme! Ma seule explication que j’avais sur mon attirance sur les femmes noires c’est que je trouvais TOUT de beau chez eux. Leur corps était un temple que je voulais prendre soin. Cette femme à coté de moi j’aimais son allure… son afro… son visage qui semblais celui d’une femme de caractère. Ah merde, je commençais à Bander et je portais un short de sport. Par chance j’avais des boxer moulant de compression qui retenais un peu mon érection. Je devais rapidement arrêter de penser à elle et cesser de la reluquer. L’autobus venait d’arriver et j’avais pris comme décision d’attendre l’autre autobus pour éviter un problème qui pourrait survenir. La femme noir ce leva et ce dirigea vers l’autobus mais échappa son portefeuille par terre. Elle continua son chemin dans l’autobus et celui-ci partie avant même que je puisse redonner le portefeuille à la femme noir.
Je voyais l’autobus partir au loin, sans moi comme je l’avais prévue mais j’avais le portefeuille de celle que j’étais obsédée. Quoi faire? Je pris le portefeuille… je regardais l’autobus au loin de nouveau et je pris la route de mon chez moi à pieds. Rendu à mon appartement je posa le portefeuille sur la table, j’étais stressée. Je décidai de regarder à l’intérieur de celui-ci mais il était vide… pas de monnaie… pas de billets… même pas de carte crédit… ni de carte bancaire? C’était bizarre… par contre elle avait son permis de conduire, carte d’assurance maladie et d’autre carte de membership que je ne connaissais pas. J’avais donc son adresse et son nom. Elle s’appelait Carmen. Malheureusement, je n’avais pas trouvé son numéro de téléphone. J’ai donc décidé d’attendre vers 20 :00 avant d’aller chez elle en cas qu’elle travaillerait… je trouvais que 20 :00 c’était une belle heure. Je tuai le temps en jouant quelque cash games au poker. J’étais plutôt un joueur de tournoi en ligne mais on ne sait jamais vraiment quand un tournoi avec beaucoup de joueur peut finir surtout des tournois non-turbo ce que j’avais l’habitude de faire plus souvent qu’autrement. Rendu 7 :30… je partie de chez moi en route vers son appartement. Elle vivait à 15 minutes de chez-moi…
19 :55
Toc Toc Toc…
Elle m’ouvrit la porte, mes yeux baissa rapidement sur son pantalon jogging gris trouée mais repris contact avec ses yeux. Elle ce grattais la tête ce qui fessais bouger quelque peu son afro.
Carmen : « Eh.. oui? »
Patrice : « Oh eh désolé, vous avez échappez votre portefeuille dans l’abribus et je l’ai ramassé je voulais vous le redonnez mais le bus est partie avant.. »
Carmen : « Merci. Entre… »
Carmen me tira une chaise, je déposai son portefeuille sur sa table ne sachant trop ou le mettre. Je regardais alentour de moi et fut surpris… Je voyais plein de vaisselles sales, des portes d’armoire ouverte, du linge garoché par terre. Je me disais qu’elle ne m’attendait pas après tout et qu’elle avait peut-être eu des empêchements dernièrement. C’était assez pauvre comparer mon appartement quoi que je ne roulais vraiment pas sur l’or mais ce n’étais pas un 3 et demie avec des murs magané. Je ne voulais pas voir à quoi sa toilette ressemblais mais je ne la jugeai aucunement car j’étais ce genre de personne, une personne ultra compréhensive… une personne très humaine. De plus quand j’étais plus jeune j’avais déjà eu ce genre de problème avant de réussir de m’établir une routine qui depuis me suivait.
Carmen s’assied en me donnant un verre d’eau. Elle s’était pris une bière de marque industrielle. Je lui souris et me leva de la chaise ne sachant trop pourquoi je m’avais assied. Je ne voulais pas vraiment rester au faite. Je ne sentais pas que c’était la bonne occasion ou j’étais simplement encore une fois trop conservateur pas assez agressif.
Patrice : « Voici votre portefeuille, je vais y aller je vous souhaite une bonne fin de soirée »
Carmen : « Pourquoi le portefeuille est vide, tu as volé mon 60$!? »
Patrice : « Mais non, je n’ai rien volé il n’y avait rien dans le portefeuille quand j.. »
Carmen : « Pourquoi tu pars aussi rapidement quand je te sers un verre d’eau? Putain de tabarnak! Rends-moi mon 60 $! »
Patrice : « Regarde… je vais te donner 60$! Cependant, je t’assure sur la tête de mes parents que je n’ai jamais volé rien du tout dans ton portefeuille. »
Je lui donnai donc 60$. Ce n’était pas une somme astronomique mais j’en aurais quand même eu besoin cette semaine. Je trouvais qu’elle avait plus besoin de cette argent que moi… en plus, je ne voulais pas créer aucun problème et devoir à faire affaire avec la police. Je partie donc là-dessus mais Carmen m’attrapa le bras et me dis de m’asseoir de nouveau ce que je fis. Je regardais mon verre d’eau remplie à moitié tandis qu’elle buvait sa bière.
Carmen : « Merci… qu’est-ce que tu fais dans la vie? »
Patrice : « eeeh bien, je fais du sport… famille… amis… »
Carmen : « Je veux dire, ta job? »
Patrice : « Pour l’instant je ne fais que du Poker en ligne mais c’est assez pour vivre… j’aurais besoin d’un peu plus de chance dernièrement mais ça va. Toi? »
Carmen : « Je travaille dans un gym à l’accueil. »
Patrice : « Vraiment? Quel gym »
Carmen : « Tu le connais sûrement pas, c’est un gym que mon père a récemment acheté et il manque tout plein de chose.. Je ne sais pas comment de temps que je vais rester là mais c’est bien… Mon père à appeler sa le Fer valoir, quel nom de marde pareil. »
Patrice : « Oh ok, non je le connais pas… »
Carmen : « Tu viendras voir un jour »
Patrice : « Ouais… »
Carmen ce leva et ouvris le téléviseur, elle mit une clé USB dans son téléviseur puis pris parole.
Carmen : « Tu aimes Game of thrones? J’ai le dernier épisode. »
Patrice : « C’est recommencé? Ouais j’adore. »
Carmen : « Viens t’asseoir. »
Carmen s’assied avec moi à côté d’elle. Un gros coffre peinturé était devant nous qui fessaient comme une table. Elle partit l’émission et durant que l’intro partais elle enlevait ses bas sales et les jetais près de moi. Elle mit ses deux pieds nus sur le coffre et je sentis immédiatement l’odeur d’une journée de travail m’arriver au nez. Pourquoi avais t’elle jeté ses bas sales près de moi? Je trouvais de plus en plus qu’elle manquait de manière. J’étais quelqu’un d’excessivement tolérant mais je me demandais tout de même ce que je fessais assied à côté d’elle avec la manière qu’elle m’avait traité me traitant de voleur et prenant mon argent sans jamais vraiment me croire… Elle bougeait ses doigts de pieds. Je ne pouvais m’empêcher de regarder ses jambes et son corps.
Carmen : « C’est lequel ton personnage préféré? Moi c’est Cersei Lannister ou Elaria Sand. »
Elle m’avait regardé probablement la reluquée en se tournant vers moi pour me parler. Je me frotta l’épaule l’air d’avoir une douleur quelconque pour essayer de lui montrer une raison de mon regard plus bas qui étais posé sur elle et non le téléviseur.
Patrice : « J’aime bien Tyrion Lannister. Si non j’…»
Elle laissa sortir un petit rire.
Carmen : « Ce petit nain est rigolo mais il a moins de pouvoir maintenant, je le trouve moins intéressant. Hey, tu veux bien masser mes doigt de pieds Patrice »
Carmen posa ses deux pieds sur mes genoux, elle n’avait même pas attendu ma réponse. J’avais ses deux pieds sales sur moi et je commença à masser chacune de ses orteils durant qu’elle regardait Game of Thrones. Je regardais également mais une semi-érection commençait à se faire sentir et je portais encore ses shorts de sport très mince. Pourtant, je ne trouvais pas l’expérience plaisant de masser ses orteils… peut-être était-ce le toucher? Carmen baissa ses joggings troués et à ma grande surprise elle n’avait aucune petite culote. Elle inséra deux doigts dans son vagin et après quelque secondes de masturbation elle m’offrit ses doigts pour que je les mettre dans ma bouche.
Carmen : « Goute-moi. »
J’avais à présent ses deux doigts dans la bouche et j’étais à présent bander aussi dur qu’on le pouvait. On aurait même dis que mon Pénis voulais sortir de mon corps pour grandir encore. Mon addiction d’être avec une femme noir… je venais de la gouter et je n’étais vraiment pas déçu j’en voulais encore plus. Elle m’ordonna de m’approcher licher sa chatte, je l’ai lichée, gouté et savourée tout en jouant avec pour près de 30 minutes. Ensuite je donna de doux baiser sur ses hanches… jambes… ventre.. cou et enfin je l’embrassais avec la langue. Elle sortit sa langue en me disant de sucer celle-ci, je ne comprenais pas trop mais l’envie ne me manquais pas d’effectuer cette nouvelle pratique alors je suçai sa langue pour extirper le plus possible sa salive. Elle remit sa langue dans a bouche et m’inséra un condom. Pour au moins 50 minutes je baisais dans plusieurs positions différentes. Je venais de renaître! Enfin j’avais réglé mon problème. Elle atteint l’orgasme finalement et je jouie aussitôt sur ses seins.
Un coup nettoyé, elle ferma le téléviseur. Je mis mes vêtements rapidement et me fit conduire jusqu’à l’entrée.
Patrice : « Carmen… Je me sens bien avec toi j’aimerais bien qu’ »
Carmen : « Je suis désolé Patrice, ce n’étais qu’une nuit. Ce n’est pas toi mais mes parents qui sont contre les relations interraciales. »
Patrice : « Oh… je vois… eh bien… Merci Carmen. Bonne chance dans tout ce que tu entreprendras dans la vie. Que du bonheur. »
Carmen : « Merci. Bye »
Je trouvais la fin un peu sec mais je partie avec un grand sourire au visage, je venais d’accomplir quelque chose que je voulais faire depuis 5 ans en plus d’avoir réglé mon problème d’érection. J’étais tout simplement trop attirer par les femmes noires. Je devais être exclusive à eux. Je trouverais quelqu’un d’autre, je n’avais plus peur avec ma confiance retrouvé. J’avais même réalisé que toute cette histoire de soumission n’était pas vraiment ce que je désirais. Je pouvais facilement vivre sans soumission normalement avec une femme noire.
Rendu à l’appartement, je réalisais que je n’avais plus mon téléphone cellulaire. Après avoir cherché un peu partout je me suis finalement dis que je l’avais probablement laissé chez Carmen. Je n’avais aucun autre téléphone que celui-ci pour communiquer et je recevais toute les notifications des sites que je m’étais inscris sur celui-ci. Merde, je ne voulais pas qu’elle l’ouvre et découvre toute les chosent que j’avais écrits sur ces sites. En même temps je me rassurais que même si elle les lierait… la relation étais fini. Elle rirait probablement et me redonnerais le cellulaire. Je me suis donc endormie là-dessus ce soir-là.
Le lendemain vers 17 :00, je me rendis chez Carmen. Je cognai deux fois à la porte complètement mal à l’aise mais prêt à prendre le cellulaire et partir pour ensuite passer à autre chose. Carmen m’ouvrit aucunement surprise. Elle était en train de faire un souper de famille sa mère me regardais d’un drôle d’air l’air de ce demander ce que je faisais là. Son père semblais ne poser aucun jugement et continuais de manger même si il m’avais vu. Sa sœur avais un large sourire au visage, je crois qu’elle aimait bien ce qui ce passais. Elle aimait avoir de l’action et voyant la réaction de sa mère qui me dévisageais semblais la régaler. Sa sœur était une vraie déesse. De longs cheveux noirs, un décolleté très plongeant qui montraient ses gros seins très fermes. Étais-ce des naturels? Je ne sais trop… Sa mère ressemblais à sa sœur mais avec de bien plus petit seins. Carmen étais plus costaude. Moins classe.
Patrice : « Salut… désolé de vous dérangez mais est-ce que tu aurais mon cellulaire? Je l’ai laisser ici hier soir.. »
Yvonne (Mère) : « Qu’est-ce qu’il faisait chez vous hier soir! Tu t’es encore envoyé un Blanc… essaie donc d’être comme ta sœur… Donne-lui son cellulaire qu’il se casse… »
Wow, la réaction de sa mère était exagérer. Je comprenais un peu plus pourquoi Carmen ne voulais pas continuer la relation. Je compatissais avec elle d’avoir une mère aussi fermer. Pourquoi ne pas laisser ses enfants décider pour eux même leur vie amoureuse.
Leisha (Sœur) : « Ha ha ha! Arrête maman! Je meurs… je meurs… ha ha ha! »
Frank (Père) : « Bonjour. »
Carmen regardais sa mère contrariée lui fessant de gros yeux, son père avais une attitude plutôt neutre. Il semblait laisser sa femme parler… c’était probablement ce qui ce passais dans le couple aussi. Sa sœur riais encore et je me forçais sincèrement à ne pas trop la reluquée c’était une vrai déesse noir sans aucun défaut j’étais bouche bée par cette beauté. Carmen me regarda puis pris parole en regardant sa mère avec un sourire en coin.
Carmen : « Je te présente Patrice. Mon futur mari, nous allons nous marier »
Yvonne : « QUOI? »
Carmen : « Tu as bien compris bitch. »
Yvonne : « Parle-moi mieux que cela je suis ta mère et tu sais très bien ce que je pense de cette sorte de relation! »
Carmen : « C’est simple, je ne peux trouver mieux. »
Leisha : « HA HA HA HA HA! Quel souper! »
Quoi? Avais-je bien compris? Elle voulait maintenant se marier avec moi? Comment lui dire, non? Je ne voulais pas qu’elle paraisse mal devant sa mère et humilié. Je voulais la supporter et on en parleras après coup.. C’est ce que je me disais.
Patrice : « Effectivement, nous allons nous marier »
Carmen me regardais en me souriant. Je m’assois à la table pour manger avec eux. Ses parents partie rapidement, sa mère en avait assez son père la suivie sans rien dire en saluant Carmen. Sa sœur avais besoin de kleenex pour essuyer ses larmes tellement elle riait puis après le souper elle partit fessant une accolade à Carmen tout en me saluant. J’étais donc seul avec Carmen.
Patrice : « à propos du Mariage Carmen, c’était simplement pour te couvrir. Je ne dis pas non à continuer notre relation mais je ne crois pas au Mariage. »
Carmen : « Agenouille-toi devant moi et enlève mes bas »
Un peu surpris je m’agenouillai devant Carmen et j’enlevais ses bas. Elle avança son pied vers moi, je le tenais de mes deux mains en regardant Carmen.
Carmen : « Massage mon pied, demain nous allons faire les préparatifs pour le mariage. Je veux que tu prennes soin de chacun de mes besoins aujourd’hui pour que je puisse dormir paisiblement aujourd’hui et me réveiller en forme. »
Patrice : « Carmen… je crois que tu ne m’as pas bien entendu je ne veux pas me marier surtout aussitôt dans une relation.. »
Carmen me donne un solide coup de pied sur la tête et pris parole
Carmen : « Tu m’obéis quand je parle et tu ne me contredis jamais! Tu es ma bitch. Mon Sissy! Tu m’appartiendras à 100% avec le Marriage et je sais que tu désir m’appartenir et me servir. Je l’ai vu dans ton cellulaire. Nettoie mes orteils avec ta bouche maintenant »
Patrice : « Aeeeh… Oui carmen. »
Je lichais les orteils de Carmen, je n’appréciais pas cette expérience. Le goût étais salé mais fort également. Je n’avais jamais compris comment des gens pouvais aimer cela mais je sentais en même temps me sentir plus comme un esclave ce qui bizarrement m’excitais. Pourquoi? Pourquoi j’étais devenue ainsi? Pourquoi je ne quittais pas son appartement? J’étais beaucoup trop attiré envers les femmes noirs et j’étais de type très loyaux… ce n’étais qu’un jeux après tout. Ce n’étais qu’un jeux… j’aimais ce jeux… pourquoi ne pas le prolonger mais le marriage? Comment lui dire non… comment…
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