Je me branle en pensant à toi.
Ma main autour de mon sexe je me rappel ton corps. Tes seins fermes, tes hanches et tes
cuisses voluptueuses, tes fesses que j’aimerai saisir. Tout en toi me fait durcir alors que ma
main glisse doucement de haut en bas. Mon sexe dur se gonfle quand ton corps se rappel à
moi.
Je me branle en pensant à ton corps, à ton cul.
Je te revois dans ton petit short rose, les fesses bien moulées laissant admirer l’excitante
jonction entre les cuisses et les fesses. Ou dans ta petite culotte noire, un peu transparente, à
travers laquelle je peux deviner la fente qui sépare tes deux rondeurs. J’adore passer ma main
sous ta lingerie, me glisser entre le tissus et ta peau, pouvoir apprécier tes fesses encore
couvertes. Je te regarde debout, seins nus, tétons dardés, prête à baisser ta culotte et à dévoiler
tes fesses. Tes mains la font glisser peu à peu laissant apparaitre ton cul, puis la font descendre
le long de tes cuisses. J’observe entre tes cuisses pendant que tu te penches, cherchant à
apercevoir les lèvres bombées de ton sexe. Tu te redresses, nue devant moi, belle et excitante.
Je me branle en repensant à toutes les manières dont je peux voir tes fesses.
Rondes et moulées par tes petits short sexy ; cachées par tes culottes qui donne envie
d’enrouler une main sur ta cuisses pour venir la glisser sous le coton qui recouvre ton cul. Je
te revoie debout en string, la bande de tissu séparant les deux globes charnels accessibles à
toutes mes caresses. Je repense à toi à quatre pattes en porte-jarretelle : ta taille entourée et tes
cuisses recouvertes font ressortir ton cul, l’étoffe noire contraste avec ta peau ambrée. La
vision, fugace, de tes fesses quand tu baisse ton pantalon pour te soulager dans la nature, ce
petit moment où seules tes fesses nues se détachent entre ton débardeur et le jean que tu
descends, pour enfin t’accroupir, tes cuisses et tes fesses d’autant plus visibles que le reste est
caché.
Je me branle en pensant à toi en train de te masturber.
Je t’imagine sentir monter l’excitation dans ton bas-ventre, l’envie qui se propage vers ton
entrecuisse et ta main descendre pour déboutonner ton pantalon. Tu lèves un peu les fesses
pour l’enlever. Tes cuisses s’écartent. Ta main se glisse sous l’élastique de ta culotte et tu
lâches un soupir quand tes doigts rencontrent ton clitoris, encore caché sous tes lèvres. Je vois
ta main bougeant sous le tissu, contre ta toison, sentant ton sexe s’ouvrir peu à peu. Tu sens
ton petit bouton de plaisir durcir sous tes doigts. Tu de débarrasse de ta culotte pour caresser
ta chatte de mouvements amples. Peut-être lèches-tu tes doigts avant de les replonger vers ton
sexe palpitant. Peut-être descends-tu ton autre main pour enfoncer tes doigts entre les lèvres et
sentir la chaleur de ta chaire. Un doigt, deux peut-être ?, pour sentir ta fente s’écarter et
caresser la paroi supérieure de ton intimité, de l’autre côté de ton clitoris où une bosse de
chaire plus ferme accentue tes sensations. Je t’imagine deux mains entre les cuisses, haletante,
te tordant un peu sous le plaisir, ton bassin basculant au rythme de tes doigts qui te pénètrent
et qui massent ton clitoris, accélérant peu à peu jusqu’à l’arrivé de l’orgasme. J’imagine tes
cuisses se serrer, emprisonnant tes mains contre ton sexe, ton sexe que tu sens se contracter
puis se relâcher par vagues de plaisir successives.
Je me branle en pensant à toi, aux orgasmes qui te saisissent quand je te lèche la chatte.
Ma main accélère sur mon sexe quand je repense à ma langue sur ton clitoris, à la montée de
ton plaisir, à mon doigt qui descend à la base de tes petites lèvres. La tête entre tes cuisses, la
langue sur la chaire rose de ton sexe, une main caresse aussi ma queue tandis que l’autre titille
l’entrée de ta chatte. Je me rappel tes basculements de bassin qui accompagnent la descente de
mon doigt légèrement sous ton sexe ; ton gémissement quand je commence à masser cette
partie de ton corps entre ton sexe et ton anus. Je me rappel ralentir mes coup de langue au fur
et à mesure que mon doigt se rapproche de ton petit trou ; lubrifié par le plaisir de ta chatte il
glisse jusqu’à ton anus. Je me rappel sentir ton cul se contracter et se détendre aux gré de
mes mouvement de langue. Je t’imagine me dire « j’ai envie que tu me mettes un doigt dans le
cul » mais j’ai l’impression de sentir quand tu en a envie. C’est ton corps, ton bassin et ton
anus qui réclament que j’enfonce mon doigt dans cet orifice serré. Je sens ton cul se contracter
puis se détendre, avant de se contracter de nouveau, comme si il résistait et désirait à la fois se
faire pénétrer. Je pousse un peu entre chaque spasme, profitant des moments de détentes pour
enfoncer un peu plus mon doigt, sentant de l’intérieur ses muscles se serrer. Chaque coup de
langue te fait approcher de l’orgasme, chaque contraction suce mon doigt et me rapproche de
la jouissance. Bientôt tu exploseras de plaisir et je sentirai au plus profond de toi les
tremblements de ton orgasme, les tressaillements de ton corps. Je giclerai en sentant ton anus
se serrer convulsivement autour de mon doigt pendant que tu gémis de plaisir.
Je me branle en pensant à toi, en sentant ton short rose qui a conservé l’odeur de ton sexe.
Le tissu a gardé ton odeur suave et conservé ton gout, il s’est imprégné de toi. Je lèche la
partie qui frottait entre tes cuisses, un petit gout salé me rappel ta chatte. Ton odeur m’excite
et ton gout me fait durcir. Le miel qui coule de ton sexe, et les senteurs plus musquées quand
je descends entre tes fesses pour poser ma langue contre ton anus quand tu es allongée sur le
dos, me font me tendre vers l’orgasme. J’adore sentir ton parfum de femme excitée, les
effluves qui se dégagent de la moiteur de ton sexe, tes odeurs de femelle en chaleur réclamant
du plaisir, l’appel de de ton intimité salée et épicée. Tout m’excite chez toi, tout ton corps, tes
formes, tes odeurs, tes saveurs, tes gémissements de plaisir et tes mouvements sensuels.
J’aime te voir, te toucher, t’entendre, te gouter, te sentir.
Je me branle en pensant à toi, à quatre pattes face à moi.
Tu avais ton débardeur et ton short rose quand tu m’as sucé à quatre pattes. J’ai adoré sentir
tes lèvres sur mon sexe, ta langue frottant contre mon gland à l’intérieur de ta bouche. Je te
revois te redresser pour t’attacher les cheveux, tu sais que j’aime te voir quand tu prends mon
sexe dans ta bouche, quand ma queue glisse entre tes lèvres, quand tu me donne ce plaisir.
J’aime prendre ta tête entre mes mains comme un globe fragile pour sentir tes mouvements
dédiés à mon désir. Voir ton dos onduler avec tes déplacements le long de mon sexe alors que
tes fesses dessinent leurs courbes. Dans le miroir, j’admire les mêmes mouvements sur le bas
de ton corps : tes cuisses et tes fesses bougent à l’unisson de tes lèvres sur mon sexe. Ton
short rose moule ton cul et rentre un peu entre tes fesses. Je passe mes mains sur ton dos, tu te
cambre ce qui souligne encore plus les courbes de ton cul.
Mon excitation monte aussi quand je te vois me masturber puis ouvrir les lèvres pour
introduire ma queue dans ta bouche et y rester pendant que ta langue tourne autour de mon
gland et que ta main caresse doucement la partie de mon sexe qui n’a pas dépassée tes lèvres.
Ou quand tu prends mon sexe à la main et que tu sors ta langue pour le lécher, juste le gland
ou tout mon sexe de bas en haut. Tu as une beauté purement sexuelle quand tu fais ça.
C’est à la fois mignon et cochon Et ça te rend à fois charmante et vicieuse, gracieuse et
perverse. Coquine et salope.
Je me branle en pensant à toi à quatre pattes, tes fesses vers moi.
Ton cul largement exposé dans cette position, tu me laisse profiter de ton corps. Je me
souviens de mes masturbations alors que tu t’installes dans cette position, m’abandonnant
cette chaire opulente. Je repense à ta cambrure qui écarte tes deux rondeurs et me permet de
lécher ta raie sur toute sa longueur pendant que mon sexe devient de plus en plus dure sous
mes doigt. Je goute la profondeur de cette vallée et les sommets des collines qui l’entoure. Je
plonge entre tes fesses comme j’aimerai y enfoncer mon sexe. De si près j’apprécie ton grain
de peau, les détails des courbes qui composent les rondeurs de ton cul.
Si je me redresse, je peux profiter de l’ampleur de ta croupe. Une main sur chaque fesse, je
pétrie tes brioches moelleuses que je voudrai dévorer après les avoir mordillée et léchée. Les
mouvement de mes mains écartent et resserrent tes fesses, offrant deux visions tout aussi
excitantes de ton cul. J’ai envie de te saisir par les hanches et de m’enfoncer en toi, de
pénétrer ton sexe qui s’ouvre entre tes cuisses. J’ai envie de te baiser. J’ai envie de voir tes
fesses bouger au rythme de ma queue te traversant.
Ton cul m’excite tellement que je repense aux fois où je t’ai sodomisé. Une fois
particulièrement. Tu étais à quatre pattes, le vibro entre les cuisses. Tes fesses ondulaient et
s’ouvraient sous mes caresses. Sentant ton désir d’être prise par derrière j’ai fait glisser mon
sexe entre tes fesses, jusqu’à poser le gland contre ton anus. Mon sexe dur a poussé
légèrement contre l’entrée de l’étroit passage de ton cul. J’ai sentie l’anneau s’ouvrir face à la
poussé de mon gland et ton anus s’ouvrir pour me laisser m’enfoncer doucement mais d’un
seul coup au plus profond de tes entrailles en repoussant peu à peu les parois étroites de ton
cul. Tu devais être au bord de l’orgasme avec le vibro car cette pénétration t’as arraché un cri
de plaisir et à déclencher les spasmes de la jouissance. Je n’ai jamais pu autant profiter de te
sentir jouir pendant une sodomie. J’ai senti ton anus accueillir mon sexe jusqu’à ce que tes
fesses s’écrasent contre mon ventre, puis se serrer autour de ma verge dure. Je suis resté
immobile entre tes fesses, recevant les tremblements et les palpitations, les souffles et les
petits cris qui accompagnaient ton orgasme. J’ai savouré ce moment si court et si intense où je
te vois jouir pendant que je te sodomise, où je ressens les contractions tout en m’enfonçant
dans ton cul.
Tu t’es excusée après, que ça avait été très court pour moi, mais je savais déjà que cette vision
allait envahir mes masturbations pendant longtemps.
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